Visite au camp orc

Le cri d'abigael me rappela qu'elle était encore là:

quelqu'un a vu Abigael, ou du moins l'ennemie de haaz ?

je vais voir a l'endoit ou se trouvai son corps ... ... ... il ny a plus rien !! elle a survecue et c'est enfuit, mais elle est bléssée dit il en voyant quelques gouttes de sangdans la neige ...

urzak revint vers le groupe

Elle était gravement blessé, le sang coulait a flot par ses veines ouvertes, elle n'arrivait plus à marcher. Ce soleil... cette horrible soleil l'empechait de se découvrir pour voir dans quel état se trouvait son bras...
Et avec se sang qui devoilait sa piste, elle serait vite retrouver et dans cette état, elle ne donnait pas cher de sa peau; il l'a tuerait aussi facilement qu'on écrase un insect. La fuite était la meilleur solution et, elle le savait bien, même si la douleur était à la limite du supportable pour son corps frêle...

Elle tomba à genoux, elle ne pouvait pas continuer comme celà, elle perdait à chaque seconde la force nécessaire pour continuer à vivre...
Elle mit son bras à l'air, il saignait abondamment, il commença à bruler horriblement, la plaie se referma sous une brûlure effroyable... Les crepitement de la brulure, de la fumé...

Il était presque insuportable, maintenant, de voir ce bras mutiler, presque carboniser... Le sang ne coulerait plus, mais pour quelle sacrifice, son bras gauche ne servirait plus à rien pour l'instant. Il pendouillait le long de son corps comme un membre mort...

Elle le remit le plus vite possible sous, sa longue cape pour ne pas qu'il parte en poussière car si cétait le cas il ne pourrait pas être regénerer grace au sang...

La douleur était maintenant insupportable, lancinante, lui rappelant à chaque fois à quelle destiné il était pour linstant...
Elle se releva après de nombreuse tentative, l'odeur de la chaire brûler lui retourna le coeur; il fallait qu'elle garde sa conscience, ses pensés car elle pourrai facilement devenir totalement folle...
Elle marcha cinq minute, dix minute qui parurent une éternité...

Puis elle s'effondra dans la neige, la douleur n'était plus possible, son dernier regard, fut pour voir si aucune partie de son corps était à nue...

Le néant et l'infinité revinrent prendre leurs place...elle s'était evanouit

Du sang. Tout ce qu'il restait d'Abi. Il fallait la retrouver avant qu'un autre mal ne commence. La retrouver, l'aider.
La sauver. Coûte que coûte.

" Je vais chercher Abi. Mes loups viendront avec moi. Si je ne suis pas revenu ou que je ne vous ai pas fais parvenir de nouvelles d'ici demain soir, considérez moi comme mort.
Cherchez un abri, mes loups vous retrouveront toujours.

Adieu, amis. "

Je rangeais mes cimeterres et me munit de l'une de mes arbalètes. On ne savait pas ce que ces bois renfermaient. L'un des loups partit devant, me montrant la voie à suivre. Les traces de sang étaient fraiches, cela ne posait pas encore de grandes difficultés de suivre Abi.
Le deuxième loup, Fenril, courait à côté de moi, économisant ses forces pour pouvoir ensuite reprendre la tête du groupe.

Une nouvelle chasse commençait.

attendez echtelion !!! ne part pas seul, mon tigre et moi meme t'accompagnont

urzak vit que echtelion était reticent mais urzak savait qu'il fallait faire vite ,il finit par accepter et ils partirent tout deux avec leurs animaux

Une douleur insupportable, la fit soudain revenir à elle-même comme si l’on arrachait sa chair comme si l’on déchirait sa chair... Elle ouvrit les yeux ; elle sentis le souffle chaud d’une bête, elle sentit ses crocs dans une de ses jambes, une sorte de jappement terrible et joyeux la fit frissonner ; on la dévorait …
Elle se décala sur la gauche en un mouvement pour voir l’ennemis en face… Une face poilus blanche, un museau long ; un loup… Elle cria de douleur quand ses crocs s’enfoncèrent à nouveau dans la chair de sa jambe, arrachant les tendons et ses muscles, quand elle sentit ses crocs crisser sur ses os, les endommagements pour un temps… car tous n’ étais qu’une question de temps s’il ne la tuait pas maintenant, s’il ne la dévorait pas vivante…
Mais une inquiétude encore plus grande germa dans son esprit, un loup n’est jamais seul, il chasse en meute, il chasse en groupe de plusieurs individus, alors pourquoi est t’il seul à la dévorer ; il doit être le male dominant et il mange en premier, les autres doivent attendre derrière… Elle tourna le regard, rien… De l’autre coté, …rien.
Elle fut, soudain, rassurer, un seul individu était difficile à battre dans son état, mais une meute aurait été impossible ; la douleur lui revint à l’esprit ; c’était sûrement un mâle dominant déchus et ce monstre avait trouvé de quoi se nourrir : Abi…
Elle roula à nouveau sur le coté et elle essaya de se relever en appuyant sur sa jambe indemne ; mais le loup lui sauta dessus la faisant fléchir de tout son poids ; elle entendit craquer ses cotes sous la puissance du coup porter…
Le monstre avait décidé de la tuer. Au début il avait pensé qu’elle était morte que c’était un dîner facile, mais maintenant il devait la tuer, tant pis, cela lui ferait un peu d’exercice et d’amusement…
Les jappements joueurs du loup effraya Abi, il n’avait aucunement peur d’elle, il n’en était que plus dangereux, mais il ferait bien une erreur à un moment…
Elle tourna la tête quand la mâchoire voulue mordre dans son cou, elle réussit à le détourner avec son seul bras indemne et c’est elle qui mordit dans son cou ; aspirant à longue gorgé son sang… Il se dégagea, mais son sang n’avait rien changer à l’état d’Abi, il était infect et c’était du sang d’animal ; ce liquide, qu’elle avait aspirée avait juste un peu affaiblit la vénérable bête…
Elle chercha le plus vite qu’elle pouvait avant que le loup ne revienne à la charge, une arme pour se défendre des coups mortels du loup, elle ne pourrait pas se lever avec ses cotes enfoncer profondément dans ses poumons, elle ne pourrait pas attaquer debout avec une jambe et un bras en moins.
Rien, elle avait perdue ses armes lors de son combat contre ce pitoyable mage, un rictus de haine se forma sur son visage, elle essuya le sang qui dégoulinait sur ses lèvres, elle cracha…
Le loup tournait autour d’elle, ne lui laissant aucun répits, simulant des attaques pour qu’elle n’ait jamais de moment paisible ou elle pourrait réfléchir tranquillement…
Soudain le loup passa à la charge, mais Abi l’avait prévue, elle reusit à prendre le loup à la gorge, il avait joué, il avait perdu ; le craquement de sa trachée se fit entendre à une centaine de mètres à la ronde, elle était broyer ; il s’effondra…Elle souri de bonheur, elle avait vaincu la bête, elle avait sauvée sa vie ; mais l’adrénaline du combat se dissipa et la douleur revint, elle ne pouvait pas se mettre debout, elle ne pouvait en aucun cas marcher avec une jambe à moitié dévorée et un bras carboniser… Elle commença à essayer de traîner son pauvre corps lâchant des cris a chaque frôlement de sa jambe et de son bras avec le sol…

urzak et echtelion suivait les traces de sang quant alors, le sang avait disparu, il ny avait plus de traces
echtelion demandit a ses loups de suivre la traces graucs a leurs flairs
on entendit alors un craquement sinistre (la trachée du loup)

tu a entendu echt ? sa venait de par là !! allons y !!!

suivant toujours mes tigres et accompagner du clebart d'echtelion, je suivait les traces dans la neige ... "elle" avait rampée ....

quelque metre apres je la vit :
agonisante a terre ... je m'approchit d'elle et m'agenouillat a ses cotés, aussitot elle tenti de me sautit dessus mais je vit que sa jambe et son bras était hors ligne ... je m'ecartit quant meme a tout hasard ...

elle rampait lamentablement vers moi et je ne savais que faire : l'attaquer, l'assomée ? ou la laisser la ... je choisit la premiere solution et pris un baton a terre : je le brandit et lui donnit un coup sur la tete: elle sombrit et j'entendit un "pitoyable vermine" puis elle sombrit dans l'inconscience

je la pris dans mes bras et caressat sa chevelure avec amour, meme si elle était possedée, sa beautée restait enchanteresse ... un instant plus tard je dit au loup de echt d'aller chercher son maitre : celui ci s'executat...
je chuchotit a l'oreille de la magnifique jeune femme : je suis desolé, je sait que tu mentend (sa y est ^^ je suis devenu un romantique ^^)

puis je partit ensuite vers l'endroit ou on avait laisser haazheel mini et eury

quelques minutes plus tard j'arrivait devant eddy mini eury et haaz .... echtelion n'était pas encore arriver

"...jamais la lui ..."

voyant que haaz avait repris des forces et que mininus avait bander son bras je dit :


Bon ? que fesons nous maintenant ? nous sommes tous bléssésou presque, alors nous continuons ou nous rentrons au chaud dans le camp ?

Echtelion vit alors Hêêfi avec un message accrocher autour du coup
il le saisit et le lut :

Citation :

echt, si tu lit se message s'est que tu a du mettre du temps et te pommer comme d'habitude
plus serieusement : j'ai retrouver Abi et nous rentrons au camp pour la soigner, elle, le mage mininus
si tu veux monte sur Hêêfi Pour nous rattraper ou pour rentrer plus vite
urzak

Le voyage vers Néolias fut long et douloureux. Mininus n'était pas sortit de son coma, Abi bougeait à peine et Haaz murmurait sans cesse d'incompréhensibles paroles. Echtelion eut tôt fait de les rattraper. Et ils avancèrent.

Ils arrivèrent à proximité de Néolias, et purent apercevoir une fumée noire s'élever du campement. Des cris résonnaient à l'intérieur des murs.

Echtelion et Urzak se demandaient ce qui se passait, et si quelqu'un était en danger, quand, tout à coup, Quelque chose éclaira un fourreau de Mininus. Ils purent apercevoir que Arafie brillait... d'un éclat blanc. Blanc comme la neige.

Elle redevint bientôt normale, mais ils purent tous en tirer une conclusion, Néolias était un danger.

Mininus ouvirt les yeux...

Le campement était ravagé. De nombreuses tentes gisaient au sol, et bien qu'ils ne puissent encore nous voir, j'avais remarqué de nombreux orcs s'égayant dans Neolias.
Je ne pouvais croire que nos compatriotes n'aient pu repousser l'assaut ennemi alors que nous avions vaincu une si grande armée il y a peu.

" Mini, que faire ? Ce n'est pas en chargeant que nous changerons grand chose. Je préconise du harcélement et une utilistation des peurs séculaires des orcs. Usons de ruse, la force ne pourra vaincre. "

Je suis bien d'accord... aucun moyen de les abattre. On en voit au moins une centaine d'ici, et je suppose qu'il y en a autant dans la taverne, et la caserne.

Mais ne restons pas à découvert, allons nous mettre dans le petit bois la haut... dépêchons nous.

urzak se mit debout, il avait la mine fatiguée, comme ses compagnons d'ailleurs et il dit :

mes amis, Je vais aller chasser, il ne nous reste plus de nouritures et si nous voulons trouver une occasion contre les orcs, il faut que nos estomacs soient plein et nos cerveaux reposés

echtelion et eury, restez la, et protegez les, je vous laisse Halba au cas où...


il s'enfoncit alors dans la foret, seul ...

Haazheel Thorn reprit petit à petit ses esprits, et le monde qui l'entourait commenca à se faire plus claire dans son esprit...
Ses compagnon encore présent lui firent un petit résumée des évements.

Il vit Abigael, le visage torturée par la douleur et la haine allongé dans la neige, une once de pitié traversa l'esprit d'Haazheel Thorn avant qu'il ne se rappelle des tourments qu'elle lui avait apporté.

Le groupe étant maintenant hors de vue du camp, à un peu plus d'un demi kilomètre au nord, protégé du vent par quelques rochers...

Le temps passa, puis Haazheel prit la parole :
Je ne pense pas que se soit une bonne idée de montrer notre présence aux orques, s'ils savent que le roi de Neolias est ici ils nous traqueront sans relâche...
Quand à rentrer à Neolias en douce avec Abigael, sa me semble assez risqué aussi... Qui sais ce qu'elle fera quand elle se reveillera.
Bref, nous somme un peu bloqués... il y a toujours l'avant post que nous avions construit dans les montagne comme position de repli, nous trouveront quelques soldats là bas... Mais pouvons nous vraiment abandonner la ville ?

HRP:ne nous abandonnez pas!!!!!

( )


Hêêfi, mon deuxieme tigre, revint avec deux lievres , elle portait un mot de urzak :

j'amene deja ces deux là mais je continut a chasser , ne m'attendait pas pour manger

(se sera surement monn dernier mess mais je suis encore sur msn .. un peu)

J’avançais a la recherche de Gibier pour repettre nos estomac quand je vis une ombre se dessiner dans un coin sombre … une ombre grande … j’approchai pour aller voir ce que c’était... un sanglier ou peut etre meme un cerf avec de la chance …

Alors que je me trouvais environ a un mètre de cet endroit PAF… en un éclair quelque chose sortit de l’ombre et me sauta dessus, je ne pu l’éviter et tombai avec elle en un Roulé-boulé.
je me remit debout et vis lors d’un centième de seconde ce qu’était mon adversaire :

Une forme grossière humaine, le dos voûté … ses mains avaient des griffes de 5 cm de long au moins … elle était torse nu est une fourrure velue la recouvrait et, le plus improbable, Elle avait une tête de loup.

Les quelques secondes d’étonnement me valurent un violent plaquage de la bête qui me fit tomber à terre …mon adversaire me fonça dessus toutes griffes sortit, je n’avais pas peur car je savais mon armure en mithril solide, et ne fit qu’un lent mouvement de mon bras droit pour me protéger la tête. Un des seuls endroits vulnérables de mon armure.
Mais je me trompais …. Il me griffa a 3 reprises et réduisit mon avant bras (l’armure) en petit morceaux de métaux …. Même ma cote de maille y était passée mais mon bras semblait encore valide …

Je combattais seul, mes compagnons n’arrivaient pas, Étaient-ils eux aussi entrain de combattre ? Ne m’avaient ils pas remarqué ? M’avait ils abandonné ? Cette pensée me vallu une esquive ratée se qui me fit perdre mon casque qui voltigea loin du combat. Je n’avais pas encore réussi à lui faire une blessure assez grave et il ne semblait fatigué. Je commençais peu a peu a perdre mon courage… comble de malheur, elle sortit d’un fourreau dans son dos une épée bâtarde, au reflet rougeoyant.

Alors que je ratais une frappe horizontale je feintai, et lui fit un fauchage avec mon pied, la bête tomba a terre, visiblement elle ne s’y attendait pas mais repris rapidement le dessus en me saisissant de ses mains griffes et me lança au dessus d’elle, avec l’aide et l’appui de ses pied …cela enchaîné par des griffures, comme des coups de poignards. Mon plastron était en miettes, mon bras droit semblait cassé, mon honneur … brisé. Peu de chose me retenait dans ce monde, mais mon destin me disait d’y rester et de continuer à me battre.

La bête commençait a fatiguer, elle était plus lente, moins forte mais rester redoutable …
Un duel d’arme s’enchaînit si rapidement que les deux adversaires s’estimait heureux d’en être sortit vivant et bénissait tout deux leurs armes de ne pas s’être briser … Pic donnait a Urzak une folie meurtrière, mais l’épée de mon adversaire semblait agir exactement pareil.

Le combat durait depuis si longtemps, aux yeux des deux ennemis, qu’on pourrait croire que des jours et des nuits se son écouler, la moindre erreur serait fatale a Urzak … mais il n’était pas Maître d’arme pour rien, ainsi certain naissent avec une cuillère en argent dans la bouche, Urzak devait être nés avec une épée d’argent entre les mains A cette pensée Urzak, comme portée par sa chance, réussit a plonger Pic dans le ventre de la bête, celle-ci qui en eut le souffle couper et tombit a terre, inconsciente …

Urzak s’approcha, dégainant sa dague pour la tuer, quand tout à coup la bête ouvrit les yeux et attrapa Urzak par la jambe. Je me défendis et tentant de donner des coups de Pic, mais chose surprenante, très surprenante même, il attrapa une boule de Pic entre ses mains, les picots ne semblaient ne rien lui faire …
Le temps semblait se figer, une telle aura destructrice semblait animer mon ennemi que je ne pensais même pas à me débattre.
Il serra la main, détruisant la boule de Pic qu’il tenait à la main. J’étais effaré, comble de malheur il tira sur la chaîne ou se trouvait la boule et m’arracha Pic des mains le laissant tomber a quelques mètres de là où se trouvait l’épée du monstre.

Les deux guerriers combattaient maintenant a mains nues … sauf que le loup été avantagé à cause de ses crocs et de ses griffes. Mais Urzak était plus habile maintenant qu’il ne portait plus son armure lourde.

Le combat était acharné mais je découvris enfin la faiblesse du loup, c’était aussi sa force : alors qu’il essayait une fois de plus de me tuer avec ses griffes acérée je lui attrapai la patte et grâce a une clef de bras rapide et efficace je la lui retournais une le poignardais avec ses griffes.

Il poussa un hurlement de douleur avant de se défaire de moi. Son sang coulait a flot et il semblait être très fatigué.
Son regard se voilait mais il trouva encore la force de me foncer dessus et de me renverser, je tombai à quelques mètres de son épée bâtarde. Je n’eut le temps de me tendre le bras pour la prendre car il tenta de me mordre le cou pour me tuer, je mit heureusement mon bras entre les deux, malheureusement il me le mordit.

Je sentis les crocs rentrer et sortir de ma chair une douleur telle que je crut que j’était mort me tomba dessus. Dans un éclair de lucidité je saisit son épée bâtarde de ma main valide et lui donna un coup dans le coup, le sang gicla sur moi, dans les yeux et ceci m’aveuglât.

Je sentais une masse chaude tomber sur moi, je rouvrit a grand peine les yeux et vit sa tête giser sur mon ventre, son corps été tomber a coté de moi, il été décapité... Je me relevai à grand peine, j’étais fatigué, je voulais dormir

Je saisis la tête du monstre et la leva en signe de gloire, c’était mon trophée …
Je poussai un hurlement de gloire et tombai a genoux, puis totalement étalé de tout mon long, évanouit, tenant toujours la tête de loup par la crinière …

Dans un semi coma j’entendit une voix que je connaissait, elle m’appelait, je n’eut la force de rouvrir les yeux et sombrit …cependant il ne put partir encore et rouvrit les yeux, mininus était là, devant lui …. Etait-ce un rêve ? Personne ne le sait, mais il lui dit :


- Mininus , tu est vraiment un Boulet tu sait …. j’ai une chose a te demander, demande au tailleur de me faire une cape de la peau de cette bête … et garde cette tête, c’est mon … trophée … fait le je t’en supplie

Puis il tomba dans un sommeil réparateur

Urzak était mal en point. La créature qu'il décrivait dans son délire me troublait. Les légendes Moredhel en parlait.
Laissant la garde du campement à Eury et Mini, je partais à mon tour dans la forêt, laissant derrière moi mes loups qui ne seraient pas de trop pour protéger les blessés.

Les premières craintes passées, je m'enfonçais d'un pas décidé dans le sombre bois.
Je m'orientais naturellement, conscient que je ne me guidais pas à mes talents de pisteur mais qu'un être balisait mon chemin. Ma volonté n'avait rien à voir dans tout cela, seul la sienne comptait.
Une voix parlait à mon esprit, une voix qui n'avait pas été entendue depuis des lustres.
Mon pas s'accéléra, j'étais moi même surpris de la candence.

Enfin, je débouchais dans une clairière éclairée par une lune sanglante et une autre d'un blanc laiteux. Une troisième présence astrale oppressait la scène. La lune noire, invisible aux profanes rayonnait de tout son éclat.

Au milieu de la clairière, siégeant sur un immense rocher, se trouvait celui qui m'avait amené là.
Une voix guturale et caverneuse s'échappa de ce corps.

" Il ya longtemps que je t'attendais. Je vois que tu as quelque chose qui m'appartient. "

Mon dos explosa, me projettant au sol. J'eu le temps de voir des formes blanches avancer vers l'homme.
L'une d'elle me toucha. Ma peau sembla s'enflammer. La douleur était intennable. Mon esprit était chauffé à blanc, tout m'était arraché, remi, modifié.
Je sombrais rapidement dans une semi inconscience, semi folie.

Haazheel Thorn se reveilla, il se sentait déjà mieux, sa fatigue de la veille faisaient maintenant place à la migraine, et son energie était en train de revenir petit à petit...
A son réveil il regarda autour de lui, il était seul avec Abi (toujours inconsciente), Urzak (tout aussi silencieux) et Eury qui lui expliqua les évenements récents...

Mininus était partit observer Neolias, il attendrait son retour ainsi que celui d'Echtelion afin d'envisager la suite...

...

Malgrès les odeurs que dégager les deux lapins en train de rôtir, ni Mininus, ni Echteloin ne revenait...

Haazheel murmura :
Il y a quelque chose qui cloche, pourquoi ces deux là ne nous rejoigne pas pour le repas...
S'il ne sont pas de retour dans un quart d'heure je part à leur rencontre...

Mininus revint bientôt, il avait l'air pressé...

"Tiens, Haaz ! Bien dormis ? Il n'attendit pas la réponse et continua, Echte n'est toujours pas revenu ???"

Voyant la négation subtile de la tête de Haaz, il en conclu qu'effectivement, Echtelion n'était pas revenu.

"Mais, par ou est il partit ?"

Haazheel Thorn désigna les bois, sombres et obscurs, mais néanmoins, pas très profonds.

"On ferai bien d'aller jeter un coup d'oeil, ou même deux"

Je suis d'avis avec vous mon Roi, je pensait justement le rejoindre si vous ne revenez pas....

Haazheel Thorn se leva, rangea rapidement son livre de sorts... et avec Mininus il commença à se diriger vers les bois...

J'espère qu'il n'ai rien arriver à Sieur Echtelion, un bléssé de plus sa nous handicaperait vraiment, en plus Urzak à vraiment l'ai mal en point... J'ai regardé ses blessures, il s'en remettra mais pas avant un moment, il lui faudrait un guérisseur...

Les deux compagnon était à présent devant les bois, ceux-ci peu épais, mais l'athmosphère y était inquiétant et étouffante, il suivèrent les traces encore frère d'Echtelion...

Malgré la distance qui séparait le roi et ses acolytes du campement, ils entendirent le bruit de la bataille emporté par le vent et soudain un mugissement animal brisa cette ambiance...Plusieurs oiseaux s'envolèrent, terrifiés par ce bruit inhabituels qui provenait du campement...
HRP:Venez vite, on se fait avoir!!!

Elle ouvrit les yeux; elle essaya de bouger ses membres inférieur, mais impossible car une douleur innomable l'en empecha; elle lacha un cri étouffer...
Ce fut maintenant le tour de ses membres supérieur, un seul bougeait l'autre restait dans un état lamentable, il sentait mauvais, la chair bruler commençait à pourrir et à tomber en bande moisis...

Elle ne pouvait pas se lever, elle ne pouvait marcher; il fallait atendre le moment propice pour tuer un homme; ou n'importe quoi qui soit de vivant pour reprendre un peu de force...

Elle était fatigué mais son oreille etait tres affuté et elle entendais les bruit de combat au loin; elle supposait qu'ils étaient retourner à Néolias; mais quesqu'il si passait...