Le marais des Intrigues, ( quête, départ et fin )

La flèche, son attention n'aurais sans doute pas été attiré par l'objet si celui-ci ne s'était pas mit à léviter de son propre chef d'une façon très suspecte. Sa réaction fusa, sans même savoir ce qu'il se passait, ni se qui était à l'œuvre et craignant de voir le projectile revenir se planter quelque par sur son corps, elle lança immédiatement une dissipation des enchantement sur l'objet, touchant éventuellement tout ce qui était en contacte. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque le gnome se dévoila juste à ses pied, la flèche entre les mains. Alors son geste fut vif et aussi instinctif que ses actions précédentes et sa main puissante lâchant dans le même temps la dague, attrapa le gnome à l'épaule.
La stupéfaction était sur les visages des deux mages, mais ce fut à Nemo de rompre le silence en premier.

"Gnimshmarigongalesefrahootspuththrandosamanella, Surtout, ne me prenez pas pour une magicienne de pacotille! Je n'essaye pas de vous tuer !"

La colère avait distordu le visage de la prêtresse, elle savait que le cas du gnome était désespéré et pourtant elle s'était prise un instant à espérer le contraire. Elle avait encore du mal à se défaire de la première impression qu'elle avait eut du gnome et découvrir qu'un allier potentiel de la qualité du semi homme basculait ainsi dans les forces démoniaques la consternait. Iba était formel quand aux démon, "Les démons sont des anti-dieux qui ont eut l'audace de croire en leur prétendue puissance, il ne sont rien et lors d'un avènement nouveau, ces impures seront chassés de leurs plans et exterminés à jamais, et tel sera et devra être le sors de toutes ces créatures, et de tous ceux qui pactisent avec eux, plutôt qu'avec la vrai puissance divine!" Tel était l'enseignement que Yasull avait reçut vers la fin de sa vie lorsqu'il avait été tenté de s'allier avec un buveur de sang.
La punition avait été sans équivoque, si gnimsh ne pouvait être soigné, il serait balayé.

"Pouvez vous encore abendonner la félonie qui s'est installée en vous? Malheureusement, j'en doute fort..."

enzoli entendit la voix de shadow et se guida jusqu'a lui et lui disa:bien parlé shadow
enzoli se métta devans lui pour parré les attaque des ennemis car shadow etais au sol

Le gnome réfléchit à toute vitesse. Némo, même si elle était plus faible, était assez effrayante, dans cette position… mais ils pourrait facilement endosser cette situation a son avantage, et discréditer Némo un peu plus …Le gnome hurlat donc de sa chère et tonutriante voix, digne de tout gnomes, sur un ton, que seul les meilleurs comédiens aurait pu recréer ...

« Pourquoi avez-vous osez me lancer un sort, alors que nous nous battons contre un ennemi commun ! »

Le gnome sortit sa dague, et la saisit de sa main normale. En un éclair, il Lacéra la main qui la retenait. (A tout hasard, j’ai lancé un dés, résultat : 5)

(j’attend de savoir si je réussis ou pas, pour expliquer ce que je fait après avoir éé laché )

( tu n'as pas été laché mon enfant :p )

Elle faillit gémir lorsque la lame lacera sa peau et lorsque le sang coula à grosse goutes de son bras mais sa main avait tenue bon et le gnome ne s'en sortirait pas si facilement. Il lui semblait impensable de laisser partir un tel félon sans pouvoir le corriger. Sans lâcher son bâton elle approcha lentement son autre main, enlaçant le gnome et lui faisant gouter le contacte glacial de sa peau nue.

"Voyons, pensez vous qu'une prêtresse de mon rang se laisserait impressionner par quelque scarification? Je donne chaque jour plus de sang à Iba que je n'en ai perdu aujourd'hui, vous ne m'impressionnerez pas avec cela!"

Alors le gnome put sentir ses force diminuer petit à petit. La prêtresse s'était mise à incanter de nouveau et bientôt une bulle magique vint se dresser autour d'elle, la protégeant d'une éventuelle nouvelle tentative du gnome.

"Il n'est pas dans mon intention de vous détruire dés aujourd'hui petit mage sachez le. Mais si vous vous obstinez, croyez biens que je n'hésiterais pas."

Le sang continuait de couler de la plaie mais la prêtresse n'en avait pas que faire, son esprit savait combattre la douleur plus qu'aucun autre.

Que se passait il ? Il sentait ses forces diminuer… ses réflexes s’amenuisaient …

"Voyons, pensez vous qu'un savant mon rang se laisserait impressionner par quelque fatigue? Chaque nuit est pour moi un temps perdu pour étudier, je suis habituer a pouvoir étudier tout en étant fatigué, vous ne m'impressionnerez pas avec cela !"

Pourtant, il eut bientôt la preuve que son « immunité a la fatigue » n’était pas tout a fait ce qu’elle était, lorsque il n’eut le temps de réagir alors que Némo intentait. Dans un premier temps, il devait échapper a l’étreinte de la magicienne, ensuite il aviserai … de toute façon, sauf si elle avait eu le temps de le relancer, son sort de voile noir devrait sans doute bientôt se stopper. Le gnome incantât a son tour, et tout a coup, les bras et même, le reste du corps de Némo devint lourd, a tel point que, ne serait ce que ce porter était difficile …. Parler en articulant bien lui était maintenant très dur, maintenir sa prise aussi …se déplacer relèverait de l’exploit …

Dur comme la pierre :
Enchantement, dure 19mn 27s. La personne visée devient immédiatement aussi lourd que la pierre. Une personne visé par ce sort aura donc de grandes difficultés à se déplacer

Plongé au milieu des ténèbres, Tyrea ne voyait que ses adversaires dans l'obscurité. Il S'approcha lentement, fesant en sorte de ne rester en face du mage ennemi. Ce dernier lança un sort sur sa droite dans une fournaise éclatante alors que Tyrea s'approchait aussi discrètement que cela lui était permi. Sous l'écho de son armure, le mage se retrouva face à lui, voyant une lueur bleuté, il incanta de nouveau. Mais alors que sa gorge articulait d'incompréhensibles formules, un shuriken le réduisit au silence. Tyrea avançait toujours vers les derniers survivants.

Voyant que les créatures du dernier carré ne comptaient pas se rendre, il saisit son arme des deux mains, une fois de plus. Les défenseurs étaient surement térrifiés, entendant des sons d'articulation métalique rouillés tandis qu'il pouvaient désormaient apercevoir de petit crystaux s'échapper de la forme éthéré. Soudain, la nuit devint jour, ou ce qui pouvait être le jour en ces lieux.
Quand il aperçut Chaotic derrière les survivants, il savait qu'ils avaient gagner ce combat. Tous avaient la respiration lourde tandis que leurs bras frèles portaient leur armes.
Tyrea se tenait près à frapper quiconque s'approcherai de lui, lui infligeant une mort rapide, sans souffrances.

Eh bien messieurs. C'est le dernier avertissement, ensuite vous irez rejoindre les cadavres décomposés de ce marais. Qui êtes vous!?

Le gnome s'était résigné, ainsi que le révélait son dernier sort, il acceptait de renforcer de façon définitive pour la rendre presque indestructible, pour la mince contrepartie de préparer une espèce de fuite plus ou moins tardive. Nemo faillit rire cette tentative plus que pathétique, en aucun cas elle n'aurait tué le gnome avant d'avoir prouvé à tous qu'il méritait sa mort et il était trop tard à présent, le voile noir allait se dissiper et tous tomberaient nez à nez avec l'étrange situation. Le gnome serait discrédité une seconde fois, on accuserait sa lâcheté et sa malveillance, et même si ce ne serait pas suffisant pour le condamner, une suspicion se mettrait lentement en place. C'était tout ce dont elle avait besoin, le reste suivrait selon se plans.

"Eh bien... je vais m'économiser... il me semble... Pauvre mage..."

Et alors que sa voix s'épuisait en un dernier murmure, elle prononça la courte, incroyablement courte incantation. Alors le gnome put sentir à nouveau ses forces diminuer, comme si un malaise s'instaurait en lui et en même temps Nemo reprenait quelques forces. Le vole de vie avait été bref incroyablement bref et si superficiel, presque symbolique.

"Je récupère mon dut!"

Murmura-t-elle avec un sourire imperceptible. Alors le voile noir tomba, les ténèbres se dissipèrent et la lumière blafarde et maladive des lieux reprit son empire. Nemo n'avait pas encore lâché le gnome et elle devait presque à présent s'appuyer sur lui pour supporter le nouveau poids de ses membres.

"A présent rendez moi cette flèche Gnimsh! Je sais ce qu'un illusionniste peut faire... Avec un peu de mon sang!"

Elle avait parlé fort, l'attention serait immédiatement portée sur le couple, quoiqu'en veuille le gnome. D'ailleurs son étreinte s'était relâchée, ne restait du tableau que la prêtresse au bras et à l'épaule meurtrie, et le gnome, tenant toujours en main la dague imprégnée du sang de la prêtresse. Le deux, l'un en face de l'autre.

Le gnome compris enfin le piège que Némo lui avait tendu lorsque le voile noir disparut… Elle savait qu’elle ne pouvait pas battre le gnome, et comptait le discréditer face à la foule. Mais il n’avait pas encore perdu. Juste après avoir été lâché, le gnome s’écroulât a genoux et crachat ses poumons, une expression typique lorsque l’on se faisait étrangler. Il portât sa main au cœur, et grognât indistinctement, sans doute pour insulter Némo … Elle était la première a l’avoir porté si près de la Défaite, mais il n’avait pas perdu. Se relevant en titubant, il époussetât rapidement sa ses vêtements, puis il jetât un regard Hystérique a Némo, et répondit de sa même voix tonitruante et suraiguë :

« C’est ça ! Essayez de me faire porter le chapeau ! Déjà a l’académie, vous avez essayés ! Oui, je vous ai attaqué, mais seulement pour me défendre ! Pourquoi m’avez-vous attaqué dans votre voile noir !! Et pourquoi m’avez-vous ensuite étrangler ! Si je n’avais pas été rapide, vous m’auriez tué ! Et puis de quelle flèche parlez vous ? »

[Avis aux autres : Je tient juste a rappeler que même si vous pouvez lire les pensées de mon personnages, votre personnage, lui ne peut savoir. Oui, c’est moi qui ait cherché, mais comment pourriez vous le savoir ? D’autant plus que nous avons un peu près la même valeur d’éloquence, et que je reste très populaire dans la ville (« le gnome qui s’est battu contre Ziramel »), tandis qu’elle reste une personne assez occulte et peu recommandable a cause de sa manière vestimentaire .
Voila, c’est juste pour qu’il y ait une certaine mesure d’impartialité dans vos futures réactions, car a part Shadow, vous pouvez pas vraiment prendre partit avec un simple regard de la scène..]

momo edit: soutient adminique, impossible de déceler un changement d'allignement à la tronche d'un pj

Ayant perdu leur sang froid, trois hommes du groupes se jettèrent sur Tyrea et Chaotic. Un seul d'entre eux alla se battre contre Tyrea. Il chargea, l 'épée en avant. Son arme dfut dévié par la hallebarde de Tyrea, laissant une fine couche de glace sur l'acier. Désorienté, l'assailant tenta une autre attaque Il fut de nouveau projeté sur le côté. Lucius alla lui faucher les jambes. L'ennemi recula d'un bond et fit un estoc dans un cri de folie. La lame fusa vers la tête encapuchonné du prêtre guerrier. Pivotant sur une de ses jambe dans un geste de révérence, il esquiva l'attaque. Désormais sur le flanc de l'adversaire, il planta le manche de son arme derrière derrière lui et le heurta avvec l'épaule. Propulsé par le choc, il trébucha lamentablement, s'écroulant sur le sol noici. Là, un coup de pied vint lui arracher son arme tendit que l'adamantium fendit l'air pour s'arrêter à quelques centimètre du coup de la victime.

Une dernière volonté?

Aucune réponse ne se fit entendre à pas des pleurs et le souffle rapide de la victime. Dans un bruit hideux, la tête encore dissimulé par la cagoule de l'assailant fut séparer de son corps.Très rapidement, il purifia son arme du sang qui le recouvrait d'un coup puissant dans le vide, soufflant le fluide rouge vers les cieux.Il reposa ensuite son regard sur les deux hommes restés en retrait.

[Alors, y font quoi ces deux là? ^^]

Kroq Dar se relevant vit que beaucoup d'ennemis avaient succombé, mais aucun de leurs côtés à part un des mages qui étaient tombé au début.
Seulement il manquait deux individus, le gnome et la personne au air lugubre.

Mais peu importe, il doit aider le groupe malgré la douleur qui l'assaille. Il vit que les dernier adversaires étaient presque tous au combat, il y'en à deux qui faisait une chose étrange avec une des ces maudites plantes. Voyant Tyrea achevait un ennemi puis regardant vers ces deux mêmes personnes qu'il regarda quelques secondes plus tôt. Kroq Dar espérait qu'il 'avait en tête d'allé les affronté, en tout cas au moins lui y irait.
Il alla donc dans leur direction en courant pour essayer de les arrêter, eux, qui essayaient de faire quelque choses de cette plantes dangereuses...Autant les en enpecher, une seule idée vient à l'esprit du lézard c'est de percé cette plante avec son épée, ce qui sera faciliter par la rune de son épée. Car les foulards des deux ennemis n'avaient pas l'air bien serrés.
Heureusement qu'il avait bien serré le sien.

C’était un combat inutile, si Baltazar ne se trompait pas, des Neoliens se battait contre des Neoliens ? Aucune inutilité…Quand le mage apercevait un de leurs potentiel ennemis tomber, il en était a la limite de s’en vouloir, pourquoi tant de haine ? Il ne le savait pas. Mais Baltazar garda bien dans son esprit que si aucune résistance n’était mise en place, « l’ennemi » ne laisserait aucun survivant non plus, et le mage des sables n’avait pour l’instant pas envie de mourir. Un ennemi au sol et évanoui c’était déjà un ennemi a interroger pour en tirer plus d’information, alors que les morts eux, ne parlaient plus…Le voile noir avait maintenant disparut, et ont pouvait discerner clairement les ennemis, deux se jetaient dans la mêlée, et deux autres était en retrait, Baltazar savait qui mettre hors course !
Il se permit de mettre moins de distance entre les hommes en retrait et lui même, il saisit son bâton prêt a envoyer une boule de feu sur un des deux hommes pour l’empêcher de bouger, il devait viser le pied, mais un simple problème se dessinait, pour cela, il devrait réussir a passer le petit groupe de combattant, comprenant deux personne de Neolias.
Tant pis, s’il devait toucher un allié, il se débrouillerait pour s’en sortir.

Son baton pointé dans le meilleur angle, il récita la formule secrète qu’on lui avait enseigné et l’instant d’après le bois se noircit et une boule de feu fusa vers sa possible cible, si elle la toucherait elle ou un autre, sa c’était encore a savoir…

[Besoin d’un Mj la ^^]

L'homme s'était trahit par son propre cris, troublant par sa seul irruption le conflit qui s'était instauré entre les deux mages. En fait leur petit numéro n'avait absolument pas eut l'effet escompté, tous se battaient, personne ne les avait remarqué, aucune exclamation aux gémissement du gnome qui avait finit par se relever avec une expression qui témoignait la même lassitude que celle qui avait touché la prêtresse. Il n'y avait rien de plus dure que de soigner sa mise en scène pour finalement être ignoré, quelque fut leur allignement, les deux mages l'avaient ressentit comme l'un des plus grands affronts possible. D'un autre coté, il se sentaient particulièrement ridicules avec leurs chamailleries.

*Humpf, lui qu'il vienne pas faire chier!"

Le soldat adverse n'était pas totalement inexpérimenté mais il était exténué, l'éclaire de Baltazar l'avait réellement sonné et sa rage ne faisait que réduire à néant le peu d'efficacité qu'il lui restait.

"Pauvre fou, ne te met entre nous!"

La prêtresse n'eut qu'à tendre son bâton, son coup dévia l'épée de l'assaillant qui toujours entrainé par sa course s'écrasa sur l'arme en bois. Son visage sembla émettre un craquement puis l'homme s'étala au sol. Cette simple action avait necessité à la prêtresse une grande force à cause du maléfice du gnome et elle se sentit encore plus lasse.

"Gnimsh, je vous propose de remettre cet affrontement à plus tard, notre petite querelle n'est pas très appropriée à l'instant."

L'homme se releva en jurant, sa figure était en sang et il titubait. Il n'avait même pas prit la peine de récupérer son arme. Elle lui attrapa la gorge et le tira vers lui. L'homme suffoquait littéralement, ses pieds avaient quitté le confort rassurant du sol.

"Vois comme votre pathétique assaut a été éradiqué et ose encore t'insurger!"

Alors elle lâcha le cadavre de l'homme qui s'écroula à ses pieds.

« Barf, comme vous voulez … »

Le gnome claquât des doigts, et le sortilège ralentissant la prêtresse pris fin. Tandis que celle-ci s’attelait a tuer le dernier guerrier, le gnome regardât a gauche, puis a droite, jusqu'à trouver e qu’il cherchait : Le cadavre du mage … Le gnome se dirigeât rapidement vers ce dernier, et commença a le fouiller … peut être trouverait il des composants de sorts, ou quelques artefacts magiques qui pourraient lui être utile ?

Mj, je trouve quoi ?

Mj: félicitation, il n'y a plus d'ennemi! ( en fait il n'y en a jamais eut )

gnimsh tu trouve: rapport de la délégation du consul Jace Beleren, page 4
( le reste est sans intérêt si ce n'est son bâton... :p )

Citation :

IV-1

A l'aube de ce quatrième jour, nous ne savons pas comment prendre les évènements qui nous accablent. Nous sommes encore douze au campement mais la motivation ne bat pas son plein. Nous attendons le prochain convois avant de prendre une quelconque décision. Pour la première fois, nous n'avons pas été attaqués cette nuit mais nous ne savons si nous devons nous en réjouir ou craindre que l'attaque vienne plus tard.

IV-2
En début de journée nous avons vu un premier convois arriver. Nous l'avons accueillit sans no
us méfier attendant les hommes et le matériel supplémentaire avant de nous lancer plus en avant dans ce marais. Malheureusement ceux qui sortirent des charrette n'étaient pas des alliés. A peine avait-il débarqué qu'ils avaient tué l'un d'entre nous, notre riposte fut immédiate et nous nous battîmes avec l'énergie du désespoir contre ces hommes lézards qui nous assiégeaient. Ils tuèrent encore deux des nôtres avant de fuir. Cette fois une haine incroyable nous animais. Nous avions a faire à de vrais ennemis, pas de vulgaires plantes, pas de maléfices étranges et inconnus, pas de créatures sorties des profondeurs du marais nous attaquant dés que nous quittons le camp. C'était de vrais adversaires, organisés et capables d'user de ruses plus fourbes encore que nous ne l'aurions imaginé. Il ne nous restait plus qu'une chose à faire, Déplacer le camps, et laisser celui-ci tel un leurre pour la prochaine attaque. Il fallait user à présent de nouvelles ruses pour venir à nos fins.

Premièrement, nous nous équipâmes des capes les plus blanches possible affin de nous camoufler dans la neige. Ensuite nous prirent avec nous deux tentes que nous déplaçâmes un peu plus loin, sur une colline voisine plus éloignée du marais. Nous ne ferions ni barricades, ni feu, dissimulant du mieux que nous le pourrions ce nouveau lieux de vie. Enfin nous nettoyâmes le camps des récents combats qui y avaient eut lieux (déplacement des cadavres des hommes lézards qui nous ont attaqué et camouflage des traces de sang ) et plaçâmes en son centre une de ces plantes immondes. Par simple curiosité et aussi pour voir si nos ennemis les craignaient comme nous.

IV-3

Plus tard dans la journée un second convois apparut au loin. Nous sommes en mesure de penser qu'il s'agit d'allier mais nous craignons que ce ne soit pas le cas. Nous attendrons qu'ils débarquent dans l'ancien campement et les prendrons en embuscade. Si ce sont des alliers, nous nous reconnaitrons mutuellement et alors nos ennemis commenceront a nous craindre.
Sinon, nous combattrons jusqu'à la dernière parcelle de nos vie, nous les tuerons sans la moindre pitiée, nous ne faiblirons pas et si jamais la bataille devait tourner en leur faveur, alors tout espoir serait perdu, et nous n'aurions plus qu'à donner nos vies jusqu'aux derniers. Si ce sont des ennemis. Neolias ne peut plus rien pour nous, nous ne pouvons plus que mourir pour elle, et au vu de ces quelques jours passés ici, ce sera une délivrance.
Faïstos, Faïstos, notre seul dieu, faites que cette caravane nous vienne en aide! Car sinon, vous me perdrez, moi Julian, votre plus fidel serviteur.

Si vous cherchez un peu les alentours vous trouverez en effet quelques cadavres d'hybrides sauriens entassés, vous remarquerez au passage qu'ils ont subit quelques mutations, ( gueule plus fine et longue, dents plus acérées, griffes plus longues, carapace depuis le haut de la tète au bas du dos, pattes antérieures et postérieures visiblement plus adaptées à la course à quatre pattes.
Un peu plus loin encore, les deux tentes sont toujours là. ( avec couvertures et autre .. )

Deux choix s'offrent à vous: attendre la nuit au camp et tenter de découvrir quelles créatures attaquaient régulièrement l'équipe précédente ( que vous avez remarquablement bien massacré :p ) ou bien vous attaquer directement aux mystères du marais. ( vous pouvez faire deux groupes mais déconseillé... )

**Bof, rien de très important …**

« Hey, le gros guerrier, là-bas, tient, cadeau ! Sa devrait t’interesser … Bien, maintenant, il faut prendre une décision ... Il pariait a présent obligatoire de se rendre au centre du marais, je propose donc de passer la nuit ici, puis de partir ... il nous faudra du temps pour soigner vos blessures, ainsi que se reposer...»

Le gnome, usant de sa magie, envoyât le parchemin dans les mains de Tyréa. Puis, il se dirigea a vue, vers l’endroit ou il avait posé son bâton. Par chance, il n’était pas abîmé. Remettant la gemme grise a celui-ci, le gnome se sentit plus rassuré. Puis, enfin, Il allat s’asseoir dans un coin.

Au fur et à mesure que son esprit comprenait son erreur, à chaques mots, la peine et le remord s'emparraient de Tyrea. « Maudits sauriens, s 'ils n'étaient pas venu, tout ça ne serait pas arrivé! ... Non, c'est de ma faute, mon arrongance ma conduit au massacre d'innocents. J'ose me prétendre guerrier de Faïstos, quelle blague! Je suis désoler mes frères, mais il en fut ainsi, puisse notre Dieu vous acceuillir pendant que je rejoindrai Iba... »
Tourmenté par ses erreurs passés, il déposa les corps côte à côte, leur donnant une position mortuaire la plus digne qui soit, et ferma leurs yeux.
Je risque de périr, mais je nous ne nous revérons pas, même dans l'autre monde.
Détournant le regards des cadavre stoïques, il se dirigea vers l'endroit pù les sauriens devaient être empilés. Sur le chemin, de ses yeux des larmes coulèrent tendit que son visage restait impassible. Sa formation de garde avait fait de lui une statue de marbre, lui façonnant un masque avec la guerre.
D'un revers, il les essuya, et là, au coin d'une tente, près de la barricade, ils les trouva. Il s'agissait bien des créatures décrites dans le rapport. « Quel fin misérable. Tout ça à cause de ces abérations contre nature! »
Lorsqu'il revint au près des siens, il avait retrouvé son calme habuituel et put écouter ce que dit Shadow. Son regard se détourna pour disparaitre dans l'ombre de sa capuche.

Nous ferions mieux de partir, du moins cette nuit. Il est écrit ici qu'il sagissait bien des anciens membres de ce camp. Il est dit aussi que les dernière vivre est plus à l'Est, vers les collines. Si nous voulons dormir, mieux vaut être discret. Si nous restons ici, nous risquons d'être attaqué et demain nous naurons certainement plus la force de continuer notre tâche.
Mais... je n'ai que trop parler aujord'hui, je vous laisse décider.

Son regard se détourna pour disparaitre dans l'ombre de sa capuche tandis que l'incertitude le rongeait

Rwodka en tombant a terre durant la nuit avait vut une lueur rougatre s'approcher a grande vitsse du deuxieme ennemi,qui avait soudenement prit feu.Pendant ce moment d'inquiétude de l'ennemsi Rwodka en avait profiter et avait tuer cet holibrius qui avait était devant lui .Puis il avait rejoins la troupe tout en essayant d'allumer sa pipe...
maudite pipe qui ne s'allumer pas,il se rendit compte alors qu'elle était vide,il se mit alors a la remplir et cette fois si s'alluma.
Plus tars,une grande disscution avait eu lieu et plein de question se poser, l'une des plus importante était ou dormir,cela fut vite décider,enfin vite,une bonne demi-heur,mais la principal rester et personne n'en avait parler depuis leur arriver ici.Rwodka se sentit l'ame d'un guerrier et posat cette question fatidique avant que tout le monde se prépar.

**ne pas passer pour un abrutit,ne pas passer pour un abrutit...**

-Dite je pense qu'il faudrait bientot penser a prendre un repas,car j'entend ici,plus d'un ventre qui crit famine,je propose de se nourir en arrivant a l'endroit prévut pour la nuit,sinon sans force nous ne serons que plus vulnérable.

déclara Rwodka a l'ensemble du groupe,puis prit une grande bouffé de sa pipe et attendit la réponse de chacun,mais sans manger,nos force ne seront que plus faible.

-Ah et il faudrait savoir si la plante touche les annimeaux,car il faudrait alors étre encor plus vigilant,car meme la moindre des betes ou des insectes pourrait nous étre fatal.