Acte 4, versets 2, 3 et4.

Proche de l'évanouissement ...

Ne plus penser à la mort, si proche. Je la sent frôler mon armure. Je l'entend, vibrer à mes oreilles ... Je la voie, frapper mes compagnons ...

Je la deviens ...

Je la donne à ces êtres ... Je la distribue au hasard du Destin, frappant les formes qui passent à mes côtés. J'entend les sinistres craquements. Je sens le fer rebondir sur la chair ou les armures.

Quelle est cette force qui me fais tenir sur ma selle ? La hargne ? Le courage ?

La folie ... Ma vision est floue et mes pensées troubles.

Je dois rester concentré sur mon objectif : Passer la petite rue, traverser une sorte d'étable et frapper une ligne de défense mal organisée. Massacrer les ennemis, remonter les ruelles jusqu'aux portes du bastion. Rentrer à l'intérieur et tuer le Maître des Lieux ... Ou redescendre finir les défenses ennemis. Tenir la ville basse ...

Je serre les brides de mon Bélier. Son souffle chaud entoure d'une aura blanche son museau ... Il souffre, il a mal ... Mais il est de la véloce race des montagnes de Madalor. Il presse la cadence ...

Je devine Nim à mes côtés ... J'aurais aimé lui dire que je l'appréciais beaucoup et le tenais toujours en respect ... avant la fin, avant la fin de cette journée.

-" Raaaah ! Tenez Compagnons ! Tenez bons !"

Nous venons de traverser la petite rue. Eclater les portes du hangar, il commence à prendre feu ... Personne à l'intérieur, une chance ...
La paille atténue le bruit de nos sabots, le bourdonnement de ma tête se calme. Il faut que je me reprenne. Il faut que je reste calme ... Je porte ma main à la gourde ... Vide ... Je n'ai même pas la force de la remettre, elle tombe simplement à terre ... Je viendrais la reprendre plus tard. Peut-être ...

Nous arrivons devant un barrage, quelques Hob-Gobelins sont rassemblés autour d'un feu de camp. Avant même qu'ils ne réalisent, nous sommes sur eux ... Je fonce sur un ennemis qui porte une corne à son horrible bouche ... Je râle en frappant violement sur son instrument. Celui-ci est choqu", mais sort rapidement une courte rapière. Il tente de frapper la croupe d'Eddy. Mais je fais rapidement un demi tour et le repousse contre le feu. L'aide d'un guerrier me permet de lui assèner un coup de marteau pour l'envoyer dans son bûcher ...
L'escarmouche est rapidement terminée ... Nous devons continuer vers le bastion, continuer... Nous laissons les corps de quatres camardades que le Destin à choisit ...

Continuer, continuer .. Les ruelles sont désertes. Partout pierres et débris jonchent le sol. Des rats se faufilent entre les portes, ils cherchent des cadavres ...

Nous sommes proches ... Nous arrivons ...

Le Bastion ... Un seul garde es à l'entrée, il tente de nettoyer un tas de rochers qui bloque les grandes portes noires ... Il est perdu ... ils sont perdus !

(Bon, apparement il faut faire vite ... La quête se termine officielement demain. Mais ceux qui veulent pourront rester dans les environs ... Y'a peut-être des fautes, y'en a sûrement, mais n'a fout .. j'verrais demain :p)

Nous ne sommes plus que cinq cavaliers, et une dizaine de soldats ... Mais nous sommes invincibles ! Nous sommes sûrs de notre victoire, de la victoire de Neolias ... Il faut venger nos frères, nos compagnons ...

Vengeance !

Le gardien tentait vainement de refermer les portes quand il tomba à terre, touché par la flêche d'un des guerriers. Il hurla de douleur quand les sabots de nos montures lui brisèrent les os ... Un guerrier eut pitié de lui et l'acheva d'un coup d'pée à travers de la gorge.

L'intérieur de ce qui devait être un imposant et luxueu palais était dévasté. La majeure partie des meubles et le mobilier avait été utilisé pour renforcer les défenses.

Nous gravissons rapidement les étages ... Vides ... La garnison avait été entièrement déplacée dans la ville pour tenir nos forces ... Ils avaient donc jetés toutes leurs cartes dans la bataille !

Dernière étage ... Les appartements Princiers ! Oubliant le protocole, nous fracassons la grande porte noire ...

Une grande pièce éclairée par une centaine de chandeliers apparait ... Au centre, le Seigneur ... Le Maître des Lieux ... Il se lève d'un bond, surpris, à notre arrivée ... Il ne devait sûrement pas s'attendre à une percée de ses lignes ... Pas jusque chez lui ... Il attrape lentement une imposante épée bâtarde finement ciselée ...
A sa droite se trouve un Prince, à la longue chevelure noire. Il porte les armoiriées de la citée ... Lui aussi dégaine une longue épée à deux mains ouvragée ...

Reculant de quelques pas, un Haut-Conseiller tente de disparaitre derrière les rideaux, tout en empoignant une dague ...

Un imposant maître d'arme est entouré d'une dizaine de puissants Hob-Gobelins autrement mieux équipés que leurs camardes ...

Le Seigneur hurle au Maître d'arme un ordre en Elfique. Celui-ci lui répond d'un signe de tête et se jette en notre direction, bien décidé à nous abattre ou à périr ...

Nos valeureux guerriers se jettent eux aussi à leurs rencontre ... Un choc terrible retentit, couvert par les cris de guerre ...

Mais ma mission est de tuer le Seigneur .... Je dois l'abattre, jeter sa tête ... je dois le tuer !

Je saute de mon bélier et le pointe du mon marteau.

-" Viens te battre, faible ! Viens te battre ! "

Celui-ci doit avoir comprit ma phrase et saisit son épée pour s'approcher lentement de moi ... Nous nous battrons à mort ...

Nous nous toisons ... Longuement ... Intensément ... Qui sera le plus fort, le plus rapide, le plus malin ? Quel armée allait l'emportée ?
Je me décide ... Je dois frapper le premier ... Je guette un signe de faiblesse de sa part, un moment d'inattention ...

-" Raaaaah ! Pour mes ancêtres ! !

Je saute sur la table et tente d'abattre mon marteau sur ses côtes. Mais celui-ci esquive rapidement et abat son épée sur mon bras gauche. Je tente de parer avec le manche de marteau et bloque suffisament pour éviter le coup. Je fais un large mouvement pour faire gicler son arme. Mais le Drows fait gicler sa lame et des étincelles fusent lorsqu'il touche mes gantelets. Heureusement Echtelion était pas un si mauvais forgeron et mon armure tint bien.
Je lui donne un coup de botte dans le bras gauchet me dégage, puis je glisse de la table en la renversant et frappe le torse de l'Elfe qui n'a pas le temps de se dégager et recule lourdement. Je profite de ce moment pour me remettre debout et charge le Drow qui avait repris souffle contre le mur. J'abas Mjöllner de son côté pioche, mais l'agile Seigneur réussit à rouler sur le côté et me donne un violent coup sous le bras gauche. La douleur est intense, j'espère que la lame n'est point empoisonnée ... Mais je ne dois plus penser à mes souffrance.
Combattre !
Je tente de moins forcer sur mon bras et reprend mon attaque. L'Elfe sombre est déjà en position et lève son épée pour me frapper. Je m'écarte au dernier moment, puis donne un léger coup sur ses côtes. Il titube mais reste debout.
Je fatigue ... Cela fais presque cinq jour que je n'ai point mangé véritablement, et que nous combattons contre des démons enragés ... Mon armure me semble plus lourde, ma bouche est sèche ...
L'Elfe noir est en pleine forme, il est rapide et bien équipé ... Son arme est propre, bien aiguisée ... Pour lui, la fin du combat ne fait pas de doutes ...

Pour moi non plus ...

Je hurle en laissant retomber mon arme sur le Seigneur, qui esquive de quelques centimètre et des éclats de roche giclent à travers la pièce ...

Mon marteau brille maintenant d'une nette aura blanche. Il est excité ... Il suit mes humeurs !

Je le laisse retomber une nouvelle fois, laissant glisser un peu plus mon endurance ... La roche gicle une nouvelle fois.

L'Efle sombre se reprend et saute derrière une chaise pour se remettre debout. Il réussit à se redresser et pare avec aisance mon coup, puis me frappe du plat de son arme. Le coup est lourd pour moi ... Je glisse en arrière et trébuche sur le corps d'un guerrier de Neolias ... Un compagnon ... Mort.

Le Drow saute par dessus sa chaise et laisse frapper sa lame, qui passe à quelques pouces de mon casque. Il relève sa sombrée épée pour me frapper, avant que je n'ai eu le temps de le bloquer. Je pousse désepérement de mes jambes pour éviter le coups, mais il réussit quand même à me tailler profondément la chair du torse.

Il éclate de rire. Il sait que je suis à sa merci. Il lève de nouveau son arme, et l'abat sur mon bras que je dressais pour me protèger le visage. Mon sang gicle ... Ma vie s'écoule ....

Je revois Madalor ... Je revois mes compagnons ...

Un nouveau coup me tranche le flanc. Mon armure est éclatée ...
Je ne sens plus mon corps ...

Je revois mes ancêtres ... Je revois mes amis ...

Il hurle de rire à présent, il semble atteint de folie.
Sa lame s'enfonce plus profondément dans mon flanc ... Je sens un côté éclater ... Je sens la chaleur et mon sang couler sur le pavage ...

Je revois ... Un Elfe sombre qui dresse une épée sombre ...
Je revois une pièce sombre, aux multiples chandeliers ...
Je revois ma mort ...

...

...

Non ...

...

...

Je lève mon pied, et lui éclate le genou ... Il ne s'attendait sûrement pas à me voir bouger. Il rigole toujours ... Sa chute, lourde, sur le sol résonne dans ma tête ...
Je me relève péniblement mais retombe faiblement ... Ramper ... Je m'approche du Drows et le regarde, il tent lui aussi de ramper vers son épée ... Il rigole. Sa jambe droite forme un angle étrange ... Je lui prend le pied et le tire vers moi ... Pas assez de force, je ne fais que le retenir ...

Je continue à ramper sur lui, en laissant échapper mon sang sur le sol si bien pavé ... Je pose mon genou sur sa jambe et me redresse faiblement ...

-" Ho Thyr ... Thyr ..."

Je lève mon marteau, si lentement ... Si difficilement ... Il tremble en l'air quelques secondes puis s'écrase contre son autre genou dans un craquement lourd.

Le drow hurle, mais reste hilare ...

Je m'écroule sur lui, épuisé ... Nous somme deux ennemis, épuisés ... Brisés ... Je sens que je vais bientôt mourir.

Bientôt mourir ...

Non !

Je sors péniblement un dague da ma ceinture, et je glisse quelques centimètre vers le visage de l'Elfe. Ses yeux sont vitreux et son teint blanc ...

Je place la pointe sur sa gorge, et pose ma main sur le manche ... Donner sa dernière force, ne pas mourir tout de suite ...

Appuyer !

Je m'écroule en même temps que j'appuie de tout mon corps sur la lame ... Je sais son sang gicler sur ma barbe et mon visage ...

Mais la nuit m'envahis ...

J'ai froid ...

Oromis était à l'arrière de la charge, il avait reussi suivre difficilement. Arrivé au porte du palais, il dit à Eladrieril:

" Bado! "

Le cheval comprit et partit. L'elfe entra, le palais était désert, mais il entendait de l'agitation au dessus de lui, il monta les escalier en courant comme il pouvait, ne faisant pas attention à la coupure de sa cuisse, pour arriver devant une porte défoncée. Il entra et vit Eurynohm allongé sur un drow, les deux adversaire semblaient morts. Il voulut aller les voir mais vit que d'autres personnes se battaient contre des hobgobelins a côté. Il en attaqua un, fonçant tête baissée, un sabre en avant, mais le hobgobelin le vit, se tourna vers lui et s'appreta à donner un coup de son épée, une immense épée à deux main. L'elfe s'arrêta et l'épée s'abattit sur le sol, juste devant lui. Il tenta un estoc, mais le monstre le tenait efficacement en respect avec sa lame. Le maître archer fit une feinte à droite, puis donna un coup dans les côtes de son adversaire, il traversa l'armure d cuir pour laisser une petite coupure dans sa peau. Mais le hobgobelin donna un coup dans son sabre, l'envoyant cinq mètres derrière lui. Oromis recula lentement, tenant son deuxième sabre devant lui. Il se pencha pour récuperer son sabre, la créature qui lui faisait face en profita pour abattre son épée sur l'elfe. Ce dernier roula par terre, et récupera son sabre, mais il était en mauvaise posture, il était allongé, se protégeant avec ses deux sabres. Il pensa:

* Sa change des autres... Non seulement il a une bonne arme, mais en plus un bon entrainement... *

Oromis se leva, son adversaire donna un coup horizontal. L'elfe essaya de parer, mais trop tard, l'épée passa entre ses côtes, en cassa une ou deux et laissa une blessure profonde qui saignait abondement. Il retomba, donna un premier coup dans la cheville du hobgobelin. Un deuxième, celui-ci tomba. L'archer lui enfonça un sabre dans le coeur, l'autre dans la gorge. Il se releva difficilement, se tenant les côtes.

Gnimsh, suivant de près Oromis-par pur hasard- vis en même temps que lui le capitaine, baignatn dans son sang et dans celui de son ennemi. Peut être était ce enfin l'element qui pourrait enfin lancer son plan ? le gnome devait tenter sa chance. au mieux, sa lui apporterai les faveurs du chef des armée, et lui permettant ainsi une ascention plus rapide dans les grades, au pire, il mourrait en heros, en ayant soigné le capitaine, se qui permettrait de mettre fin a cette guerre ..
Oui, car seul un chef pouvait finir une guerre, seule une personne éloquente, une vrai... Une amée sans chef vallait encore moins qu'un groupe de brigand et de coupe-jarrets ...

Le gnome s'agenouillat a coté de Eurynohm, après avoir déplacé son corps sur le dos -se qui ne fut pas mainse affaire, étant donné le poid du nin, avec son armure, et la force minime du gnome- le gnome enleva le casque du nain, le poisat a coté de lui et posat ses deux mains sur son front. après avoir pseulmodier une longue et langoureuse formule, une lumière bleu émana d'abord du corps de gnimsh, et tel l'eau, coulant de lac en lac, la lumière se déplaçat vers les bras de gnimmsh, puis dans les mains,et passat enfin dans la tête d'Eurynohm, puis dans tout son corps, jusqu'a le rendre aussi lumineux que Gnimsh l'était, il y a de cela quelques minutes ..

Sous les yeux de gnimsh, les coupure du nains et toute les autres blessures se refermaient d'elle même, ne laissants que de minimes cicatrices ... alors que le nain frémissait, comme s'il sortait d'"un magnifiue rêves, ou d'un terrible cauchemar, le gnome ne pouvait plus tenir, il avait donné la dernière partie de son mana au nain, ainsi que ses forces ... le gnoe était exténué, et alors que le nain se reveillait, le gnome tombait, évanoui, exténué, a coté de lui ... Dans un état second, proche du coma, le gnome se noyait dans ses dernières pensée, avant de retrouver un sommeil ien mérité ...

***Au moins, grace a ça, plus personne ne pourrat dire que les gnomes ne servent a rien ..***

Huragorn siffla. Mani arriva. Le nain monta dessus, les armes rengainées, a moitié mort. Allongé sur sa monture, il la dirige prudemment en retrait de la bataille. Echo est près de lui. Hura' est las, il a mal. Il se laissa glisser au sol, sort de sa bourse de cuir une plante étrange. Une athelas...Il en mangea un bout, et tendit l'autre morceau a Echo. Une sensation de retour a la vie lui redonna courage. Il sortit sa tabatière, en mis dans sa pipe. Juste un peu d'herbe du malade. Huragorn tire de longue bouffé. La chaleur de son corps se fait plus intense. Ses bras reprennent des force. Il se leva. Il rangea sa pipe en argent, ouvrage nain très agréable au touché. Il sortit ses épées courte. Hura' ouvre la bouche, cri. Sa voix est de nouveau celle d'un guerrier! Celle d'un Néolien! Celle d'un nain! Le mercenaire chercha un instant, et trouva de quoi nourrir Manfred, dans une caisse du campement. Il lui donna, et le mammouth repris quelque force. Le nain sourit, et sauta sur lui. Maintenant, la guerre reprenait!
Huragorn talonna Mani, qui partit au galop. Ils passèrent en plein dans la bataille. Un hobgoblin allait faire une nouvelle victime. Une épée lui trancha la tête. Un drow tirait a l'arc. Une hache se planta dans son ventre, le projetant au sol. Le cavalier du mammouth avait pourtant une autre cible. Il avait aperçu les chefs de la guerre partirent vers le donjon. Mani défonça un hobgoblin qui espérait les arrêter. Hura' désirait sa vengeance. Il voulait massacrer les dirigeant de ce fortin. Personne n'avait le droit de toucher a Néolias et ses habitant!
Arrivé a la grande porte, le Nain sauta de son mammouth, et lui dit de partir. Le pachyderme compris, et repartit vers le camp, tout en fracassant un crâne ou deux a coup de défenses. Le mercenaire courut, suivant les mort. Il ne vit personne. Chaque étage était vide. A par un hobgoblins qui montait, lui aussi. Le combat fut rapide : le nain attrapa une lance au sol, et la lança. Elle se ficha dans le bras du peau verte, et Huragorn lui planta ensuite son épée dans l'estomac, en ayant pris soin de paré l'attaque de son adversaire de son autre bras. Le nain continua sa course dans les marches, puis arriva enfin dans une grande salle. Là, les grandes figures de la forteresse drow, et des hobgob' beaucoup mieux équipés que ceux d'en bas! Le combat allait être beaucoup plus dur, et Huragorn se félicita d'avoir pris le temps de se reposer...La bataille commençait vraiment!


HRP : Nim, Eury! Me voilà!

Je fus soulevé du sol par la force inhumaine du semi orc, ses paroles résonnèrent dans mon esprit...Se repetant inlassablement, un lâche, le suis-Je?Non, je ne crois pas, au moins, si je meur ,se sera au combat, dans ma vie, les paroles du semi orc me redonnent confiance en moi, l'energie qu'il me manquait pour accomplir le combat, celle qui m'avait abandonner suite aux nombreuse fois ou la mort me frôle, ou on sent sa respiration, froide...Rauque dans notre nuque...Une charge d ecavalier s'élançer vers le bastion ennemie, centre de commandement des drow...Je réeesaya de me relever ,sans succés, non, je peux le faire,je DOIS le faire...Je me léve, petit à petit, je me tient au soigneur,toujours présent à côté de moi, qui me regarde, ébahi par cet energie, cet nouvelle energie présente en moi...Je retrouve confiance en moi, une partie de moi, celle que je croyais perdu depuis si longtemps...Un but dans la vie, pas seulement combattre inlassablement, mais un but, vivre!Le soigneur s'approche en tremblant un peu...
"Vous...Vous tenez à peine debout,prenez sa,c'est de l'arnica, pour réduite la douleur des muscles..."
Il me tendait un petit flacon avec un liquide blanc à l'intérieur, je le pris, faisant confiance à cet homme, cet homme sans qui, de nombreuse vie serait disparue...
*Sa marche pas son truc...*
Je ne ressentait rien,enfin rien de différent...cela viendra surement plus tard...Je dégaine mes sabres,la ueur qu'il dégage devient plus présente, plus visible, rouge sang...L'enchantement...Il entoure mon arme d'un halo rouge, plus visible à présent, ne faisant qu'un avec la lame ensanglanté...Celle qui avait fais tant de mort, et qui en causerait bien plus encore!Je commence à courir pour suivre la cadence des cavalier si impérieux sur leurs destriers, imposant la mort au peu de forces présente à l'intéreiru de la ville...Le palais, sa y est, le médicament fait son effet,mes courbature se réduise...Là une porte, elle est défoncé, la porte pricipale, j'entre, là une autre porte, mais fermé, je l'ouvre avec violence grace à un coup de pied, personne, personne ne vit donc ici?Je continue mon chemin à travers les couloirs, suivant la trace des guerrier de Néolias...J'arrive trop tard,là le ommandnat des armées de Néolias, ce nain, dont le roi le tient certaibnement en grande estime tombe au sol, achevant surement le seigneur drow...Je recherche un combattant pour se battre, la salle des officier est ici, il doit surement y en avoir un...Non, tous sont pris...je baisse mes armes et recule dans un coin, pour m'assoir, et surveiller les combat en me reposant, les blessures ne tarderaient pas à revenir...

Froid ...

Je sens de l'énergie parcourir mon corps ... Je sens les plaies se refermer ...
Le temps ... La vie ... Ces choses semblent s'arrêter.
Je parviens à entrouvrir les yeux ... Je vois un visage familier qui est en transe au dessus de moi, je vois une aura bleue entourer mon corps.

Je sais.

J'ai frôlé la mort. J'ai marché en sa compagnie sur le chemin de la fin ...

Mais je l'ai quitté ... La magie m'a ramené dans cette pièce sombre ... Mon Destin n'est pas de mourir aujourd'hui ...

Le calme disparait et le fracas des derniers combats me brise les tympans ..

Je tente de me relever, de comprendre ce qui se passe ... Au mes côtés, Gnimsh est allongé. je prend son pouls ...Il n'est pas mort, mais proche du coma ...

Je vois les scènes ... Le Seigneur est mort, mon poingard dans la gorge. Le m'aître d'arme est éclaté ... Nim à une dague à ses côtes ... Nim ! Je me relève et rampe difficilemen vers lui ...

Je m'écroule à ses côtés ... Il n'est pas mort non plus ...

Soudainnement je me rend compte que tout est finit ... Le Prince à fuit, et le Haut-conseiller est mis à terre par deux de nos hommes ... Plus de gardes royaux ...

Victoire ... amère ...

Nos hommes sont en train d'arracher les longs rideaux, pour laisser entrer la lumière, la vie ...
La carnage se révèle à nos yeux ... Du sang ... Notre sang. Des corps mutilés jonchent le sol, des râles, des cris. La mort est si présente !

-" Portez ... Les drapeaux ... de ... Madalor .. et de ... Neolias ... Nous .. avons ... gagnés ..."