La Guerre [Acte 3]

Nim sourit de toute ses forces, elle était en vie et même consciente, la soulevant lentement, il semblait que la jeune femme n’était pas plus lourde qu’une plume pour le nain. Il l’emmena a nouveau sous la terrasse de l’écurie. Lentement il la déposa sur un ballot de paille pour ne pas la blesser plus. Le nain s’assis a coté d’elle et laissa planer un long silence, il ne voulait pas parler, de peur d’affaiblir la jeune femme encore un peu plus. Le nain avait remit de coté son arme se jurant de ne plus l’utiliser jusqu'à la fin de cette maudite guerre. Sauf si bien sur l’occasion présente ne pouvait lui laisser le choix. Nim scruta la scène, les corps de leurs ennemis mort pourrissaient au sol, les corbeaux étaient déjà venus pour commencer leurs longs travaux de charognard. La nuit allait tomber bientôt et les combats n’en seraient que plus difficiles, bien qu’un nain est un elfe se débrouillait encore avec aise dans le noir. Nim soupira et regarda Durmik, le nain semblait encore en forme et assez endurant, c’était un nain très robuste, ils iraient sûrement ensemble boire un jour une bière naine…Mais pour sa, ils avaient encore le temps…
Le temps passa lentement, les quelques orcs qui trouvaient le chemin de la place défendu rencontrer les traits acérés des archers, ils ne passaient en général pas cette défense sommaire. Et comme le nain l’avait prédit, la nuit était maintenant tombé, un peu partout dans Neolias les braseros s’allumaient et les combats continuaient, avec moins de vigueur bien sur, les quelques orcs restant préférant piller plutôt que de combattre.
Certain avaient sûrement put croire a la fin de la guerre, mais un ennemi commun était encore frais a l’extérieur, les elfes noirs, les drows, les pourritures de la nuit…C’étaient des adversaires indigne mais puissant a ne pas sous estimer, comme aucun adversaire d’ailleurs. Abigaël reprenait lentement mais sûrement ses esprits, si bien que quand la nuit était tombée, elle avait rouvrit les yeux. C’était déjà assez rassurant pour le nain. Il distingua ses formes dans l’obscurité, le petit éclat de lune qui éclairé l’endroit ne m’était que plus en valeur ses traits juvénile et sa peau blanche. Le nain frissonna légèrement, il aurait aimé que la nuit dure et que la guerre cesse simplement pour contempler cette vision de pureté. Il s’éclaircit la voix et ajouta simplement. Vous vous réveillez mon amour ? La nuit a étendu son rideau sombre sur Neolias, mais ne vous inquiétez pas, nous les avons…repoussés.

C’est a cette instant que dans tout Neolias, le grand cor de guerre résonna, sonnant le ralliement vers le lieu principal du campement, le Manoir Royal ! Nim se releva, marmonnant a son compagnon quelque parole en khazalid, le nain a la barbe rousse grogna mais se tint prêt a partir. Nous devons avancer déclara t’il lentement. Sans demander quoique se soit, il aida la jeune femme a se relever, la soutenant autant qu’il pouvait. Et tous trois se mirent en route pour le Manoir. Pendant le chemin nombre de Neolien les suivaient ou les dépassaient, tous avaient la même destination.
Une fois arriver, devant le manoir et la caserne, beaucoup de monde était attroupée. Des archers se postèrent dans la caserne pour un meilleur angle de porté. Le dernier carré était formé. Le trio se plaça prêt d’une charrette remplit de paille devant les portes de la caserne. Ici ils avaient une vue imprenable sur les endroits les moins sur, ceux qui seraient attaqués en premier ! Quelques orcs arrivèrent, mais ils furent abattus par les archers. Le silence était tendu, et l’instant d’après un rocher énorme décapita une des tours de la caserne, les hommes a l’intérieur mourraient, écrasé sous les gravats, qu’elle créature avait donc une telle force pour sa ? Nim se tenait prêt a se battre, devant lui arrivaient quelques elfes noirs, un d’eux était particulièrement éloquent. Un commandant et sa garde, les pires adversaire possible, vif rapide et fort, assez puissant pour surpasser bon nombre de guerrier, et surtout, plein d’expérience, mais il était encore loin mais le trio n’allait sûrement pas se battre seul contre eux ! D’autre Neolien arrivait pour les aider a combattre ces nouveaux agresseurs. Parmi eux, quelques visages familiers…

Groupe Commandant Drow et sa garde en formation :
-Nim
-Abigaël
-...

[J'ajouterais se petit sous message a celui qui choisira tel ou tel monste, les premiers a poster seront les mieux servit ]

*Vous vous réveillez mon amour ? La nuit a étendue son rideau sombre sur Neolias, mais ne vous inquiétez pas, nous les avons…repoussés. *
Abigaël jugea qu’elle n’était ni en état de se battre, ni capable de se mouvoir seule : Elle était un fardeau plus que tout autre chose, elle ne parviendrait qu’à se trouver dans une situation bien pis qu’elle ne l’était déjà si celle-ci décidait d’aller au devant de la bataille à venir. Elle devait trouver un médecin au plus vite mais doutait qu’elle puisse somme toute rejoindre son amant avant la fin sur le parvis des combats.
En définitive, elle endigua cette envie, profitant de ce dernier moment en compagnie de Nim pour le contempler de ses grands yeux verts, tantôt comme l’avare lorgne sur sa pierre précieuse, considérant que celle-ci est un cadeau du ciel, tantôt comme le narcissique s’admire dans une glace, estimant sa silhouette comme sa seule raison de vivre, son amour. D’autre part, elle n’arrivait même plus à détacher son regard de son amant tellement la peur de ne jamais le revoir était despotique. Or, cette crainte faisait partie intégrante de son amour car la perdre serait corrélatif de la négation de ses sentiments, d’une partie d'elle qui née aussi rapidement que l’avait été son regard ne pouvait des lors s’envoler comme l’oiseau que l’on libère de sa cage. Elle était liée à Nim, et si celui-ci périssait, il en serait de même pour cette partie de son être.
Abigaël doutait néanmoins qu’une telle chose puisse arriver, qu’on lui enleva son bonheur avant même qu’elle ne puisse y goûter pleinement. Cette pensée étant inconcevable, elle la chassa dans les tréfonds de son âme.
Désormais seule la peur subsistait, enveloppante et cruelle, germant dans son ventre comme une maladie dont seul la présence du Nain pouvait guérir de ses maux. Autrement dit, l’amour dont elle était le récepteur et l’émetteur renfermait des tourments et pouvait être tout aussi douloureux qu’il était jubilatoire.

Soudain, le cor du rassemblement résonna au dessus de la ville, retentissant comme une plainte, sonnant comme le glas d’un moment paisible durement acquis.
*Nous devons avancer*

[…]Si nulle part le beau n’est présumé sali, pourri ou bien sournois,
Le laid quant à lui s’aperçoit, se montre du doigt, fait rire parfois;
Si bien qu’il noie, tantôt de plaintes, tantôt de craintes,
Le relent d’une vie honni, vomi de relent de paresse…[…]

[…]Un elfe, reclus en plein milieu du village, pieds et poings liés par des chaînes d’une lourdeur tel qu’il ne pouvait espérer faire un pas, la regardait d’un œil curieux. Le visage enseveli d’hématomes jaunâtres, le dos courbé et la tête incliné sous le poids de son fardeau, il conservait néanmoins une noblesse, qui bien que légère ne le faisait nullement paraître pour le monstre qu’il était sans doute.
Qu’as-t-il put bien faire, songea Abigaël, il n’a ni la tête d’un scélérat, ni les yeux d’un meurtrier. Quel méfait à t’il commis pour se retrouver dans une situation pareil ?
Tandis qu’elle cherchais une explication à cet état de fait, l’elfe la héla d’une voix suave et sucré qui dans d’autres circonstances aurait put la charmer mais qui présentement ne faisait qu’accroître ses doutes :
Je vous remercies, déclara-t-il allègre. Vous m’avez sauvé la vie ! Ces bandits se seraient sans doute amusés un temps avec moi, mais somme toute je doute qu’il m’aurait laissé en vie.
Abigaël ne sachant quoi répondre, resta silencieuse. Le comportement de l’elfe la troublait et ses propos davantage. En effet, La Compagnie avait empêché une heure plus tôt des brigands de pillés le village mais c’était les habitants eux même qui l’avait attaché et non les brutes qu’ils avaient repoussés, aussi, elle resta en retrait, stoïque, attendant une explication valable.
Je sais ce que vous vous dîtes, continua-t-il, un homme dans une situation tel que la mienne ne peut que l’avoir mérité. Or ce n’est pas le cas ou tout du moins le châtiment que l’on me fait subir n’est rien en comparaison du petit larcin dont je suis à l’origine.
Ah et qu’avait vous donc fait ? Ne put s’empêcher de demander la jeune humaine
Eh bien, répondit-il, vous allez rire mais je mourrais de faim et j’ai crut bon de subtiliser une poule à ces braves gens. Vous ais je déjà dit que je vous trouvais ravissante ? Ajouta t-il, amusé.
Abigaël se rapprocha du prisonnier, sortit un onguent de son sac et le lui lança tandis qu’elle lui marmonnait qu’il n’était pas dans un bel état et que cette crème lui soignerait le visage
Constatant que sa remarque n’avait fait que plonger plus encore la jeune femme dans un mutisme profond, l’elfe décida de lui faire par de son histoire, lui relatant les tenants et les aboutissants de sa triste aventure :
Il s’appelait Ewen. La nuit dernière, il s’était faufilé dans l’un des poulaillers du village, choisissant une poule qui n’étant pas la plus belle, aurait put le contenter quelques jours de plus, le temps de trouver un coin de la forêt moins avare en vivre. Mais quand il s’était décidé à fuir, le fruit de son larcin dans son sac, il avait découvert que quatre villageois armés de bâtons l’attendaient à la sortie. Il avait été rué de coups et enchaîné sans qu’aucun ne lui dise finalement ce qu’ils allaient faire de lui…
Son histoire, bien que narrée d’une manière singulière avait émue la jeune femme. Et celle-ci lui avait promis de trouver le moyen de le libérer si son histoire était avéré. En contrepartie, il choisissait d‘aider La Compagnie à sécuriser la région pendant quelques temps. Ewen avait accepté.[…]

[…]Les cimetières fleurissent, se répandant tel un poison,
Là même ou la raison recule en frivole promesse
Et tandis,
Que la passion devient sanglots sur le berceau de la pression,
L’impulsion devient étau de l’âpre faux d‘exécution…
Ainsi,
De même qu’une putain découvre les maladies qui la souillent,
Un jour viendra ou la fange goûtera une fouille similaire.
En son sein, une bouillis d’orgueil, de haine et d’effroi
Dont les pis seront aisément, vous, moi…[…]

Néanmoins, le voyage n’avait pas été de tout repos pour Abigaël, la douleur a de nombreuses reprises s’était ranimée, la faisant parfois chanceler, tourner de l’œil, si bien qu’arrivée au manoir, elle était extenuée, manquant de s’endormir lorsqu’elle s’était étendue sur le sol.
Abigaël n’avait jamais autant souffert, d’une part de la peur de perdre son amant, d’autre part, de celle de s’éteindre sans connaître les aboutissants de son amour, comme une fleur se fanant avant même que les premiers rayons de soleil ne la ravivent de sa chaleur. Qui plus est, le supplice physique prenait un malin plaisir à obscurcir son jugement…

Rien n’était finit et bien qu’elle espéra qu’aucun ennemis ne les dérangea, des elfes noires étaient apparut, le visages marqué par la haine, le regard sournois, un sourire sur leurs lèvres bleuâtres. Abigaël se mit à pleurer…
Mais quand cette folie se terminera…murmura-t-elle, désespérée, les yeux perdus sur le firmament étoilés, leurs prunelles étincelant des larmes de ses sanglots.

[…]Alors, tous réaliseront,
Que l’amour est injustice et que le vice est son pourtour.[…]

Le mage s'approcha lentement de l'humaine, autour d'eux les combats avaient repris au pied du manoir mais ils avaient la chance d'être suffisamment en retrait pour ne pas craindre d'attaque. Le mage avait été appelé tout juste une minute plus tôt et bien qu'ayant beaucoup de blessés à soignés il avait décidé de faire passer l'humaine avant les autres, il la connaissait, pas personnellement non mais c'était une guerrière de renom, il l'avait vu se battre à plusieurs reprise et se souvenait d'elle avant sa disparition, Abigaël.
Il se pencha au dessus d'elle, examinant son corps meurtris, alors sans perdre plus de temps, il sorti sa pierre de magie de sa robe et la posa sur le front de la guerrière, puis tendis qu'il incantait, un flux de chaleur traversa son bras, sa paume, la pierre brilla d'une lueur nacrée, puis lentement le flux se répandit dans le corps d'Abigaël et elle put bientôt se mouvoir à nouveau.
Le mage lui ordonna de se lever, elle s'exécuta avec difficulté, ressentant encore quelques résidus de douleur mais elle se sentait véritablement mieux. Alors le mage s'inclina et disparut dans la foule abondante qui inondait les rues autour du manoir.

Mj: tu peux à nouveau marcher, penser, parler normalement mais le combat demeurera une tâche extrêmement difficile. Retourner te battre serait considéré comme un suicide.

Les autres blessés moyens et légres vous pouvez vous considérer guérits, les blessés graves vous êtes à présent dans le même état qu'Abigaël, bon rp à tous!

_________

petite description des adversaires:

commandant drows:
Elfe noir monté armée d'une épée longue extrêmement rapide et excellent escrimeur, ses gardes lui vouent leurs vie et préfèrent se sacrifier pour lui sauver la vie que de le voir tomber. Les gardes sont au nombre de dix, ils sont chacun armés d'une épée double qu'ils manient très bien, ce sont chacun des adversaires redoutables.

Golem de chaire:
Golem de près d'une dizaine de mètres de haut, ses bras sont hérissés de planches de bois récoltés sur les barricades et sa force lui permet d'écraser la plupart des armures. Le mage qui l'a invoqué est en retrait appuyé par un petit contingent de drows, il répare régulièrement son golem, il est conseiller de le tuer en premier mais ce ne sera pas tâche aisée. Le golem entre dans une furie sanguinaire dés que le mage meurt, sans maitre il frappe autant alliés qu'ennemi mais ne gagne pas en puissance.

Les possédés:
Vingts anciens défenseurs de néolias tombé dans la défense du mur, ils semblent à peu près normaux à première vue mais leur regard vide laisse entendre qu'ils sont possédés. La plupart des néoliens pnj refusent de se battre contre eux.
Leur résistance est inhumaine, ils se relèvent toujours quelque soit le coup porté mais ce ne sont pas d'immenses guerriers, Le mage qui les a enchanté relève un autre cadavre pour chaque néolien possédé vaincu. Il est situé en retrait et ne bénéficie pas d'une grande protection. Encore faut-il passer sa troupe de possédés.
Sa mort affaiblit un peu les possédés mais les rend beaucoup plus agressifs.

Les trolls:
Deux trolls très impressionnants qui écrasent à peut près tout sur leur passage. Pas aussi gros que le golem, leur nombre leur permet toutefois une coordination qui comble leurs mouvement patauds. Attention aux archers drows derrière eux!

Bonne chance!

Parmi le petit groupe venu en renfort pour soutenir le puissant Nim se tenait un drow que le nain connaissait bien. Cette vision fantastique d'un drow marchant contres les siens, prêt à se battre corps et âme pour conserver sa place, ici, avec d'autres, ne choqua pourtant aucun des néoliens présents. Tous connaissaient le dévouement du maitre d'armes pour sa ville, sa patrie, et il avait sû prouver à maintes reprises sa loyauté. Bien sûr, les temps avaient changés, bien sur le Roi ne reignait plus et la ville n'était plus la même, mais qu'importe. Une fois de plus, il marchait, digne, malgré les cicatrices qui marquaient son visage, fier, d'appartenir à une telle communauté, d'avoir enfin une chose à perdre et une raison de lutter... Une fois de plus, il marchait pour Néolias.

Il se posta sans dire un mot aux côtés du commandant nain et des quelques hommes qui se tenaient à ses côtés. La présence d'une femme dans ce petit groupe ne le dérangeait guère, bien qu'il ne comprenne pas pour quelles raisons le nain acceptait cela. Etait-ce deja le point ou toute aide, quelques soit, était bienvenue ? Ou bien cette femme avait-elle quelque chose de spécial que Chaotic n'avait point reperé ?

Le drow n'eût pas le loisir de s'interroger d'avantage car un mouvement soudain se faisait sentir en face, comme une agitation nouvelle. Le groupe d'adversaire restait dans l'ombre et les Néoliens n'osaient attaquer les premiers. On entenait encore le bruit de combats lointains, des cris d'hommes mais aussi de bêtes, cependant sur la place le silence s'était imposé, entrecoupés seulement d'un murmure opressant... Chacun attendait des ordres qui ne semblaient vouloir venir pour faire face à cette situation pesante. Qu'attendait donc Nim ?

A la nuit tombée,Rwodka,Burz,et la meute,composées du sanglier géant de Burz qu'ils avaient retrouver dans le quartier sud et de la meute de Rwodka,arrivairent au manoir,ou la plupart des survivants et des blessées étaient rassemblées.
Les rempart avaient cédés,et ils avaient laissées plasse a d'inombrable créature semant le chaos dans la ville,en se moment ou je vous cite cet histoir,le manoir été entourés d'enemie.
Les principeaux avait étaient dénombré au compte de 4,a prioris il y avait un chef Drows,des Trolles,des Golems et ce qui semblaient etre des citoyens possédés,comptés au nombre d'une vingtaine.
Rwodka,monté sur son loup géant vie au loin,un camarade qu'il avait rencontrés lors de la précedente guerre,le chef Nim,le dernier nain de l'endessous,il voulut aller le salué,mais le nombre de personnes les séparent était trop important pour allé a sa rencontre,de plus il avait l'air occupé avec une gente damoiselle.
Rwodka esseya quand meme de l'appeler:
-Commandent Nim,Commendant Nim!!!
Mais rien n'arriva a lui enfin c'est ce que pensa Rwodka et Burz aussi car il ete aussi une de ces connaissances.
Rwodka alluma alors sa pipe a opium et se mit a tirer de grande bouffés de fumer.
D'un coup Burz et Rwodka entendirent alors un appelent venant du coté sud,ou une attaque devait se produire.
Sans hésité ils allairent a l'action la ou on les apellées por se battre en arrivant a l'endroit d'apelle,ils virent au loin,deux Trolls surement ceux dont ils avaient entendue parlé en arrivant au camps.
Mais Rwodka savait pértinament qu'a eux celle ils leurs etaient impossible de gagner ce combat.

[HRP:Groupes pour les deux trolles ^^
-Rwodka
-Burz
-Huragorn

une personne et la bienvenue meme plus ^^
(je parle pour Burz,car il ne peut se conecter donc je le fait vivre dans mon rp)]

Je me joins a vous pour le troll!

Huragorn combattait dans l'avenue sans relâches, bien que la fatigues le tenait. Un groupe de soldat leur avait porté secours, et le flot orc était de plus en plus faible. Le cor de rassemblement sonna. Bonne ou mauvaise nouvelles? Vu les chaos qui régnait un peu partout, les colonnes de fumée s'élevant dans la ville, et les bruit de combats résonnant un peu partout, le nain sentit une mauvaise nouvelle. Au moins, lui et son groupe ne serait plus seul! Un dernier coup de hache, et le genou d'un orc se sectionna. Il n'en restait presque plus, et quelques flèches les mirent à terre. Le groupe, maintenant près d'une trentaine, parcouru rapidement l'avenue. Puis le forgeron les mena dans des rues moins larges, plus discrètes. Le son venait du Palais Royal. Le nain espérait y arrivé sans problème. Il avait un point de côté, et des courbatures; sa passerait vite, mais c'était tout de même gênant.
Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est que l'un des deux troll passent aussi par les ruelles, mais entre traversant deux bâtisses et en écrasant la moitié du groupe de soldat qui suivait le nain! Le bruit qui accompagnait la scène fut effroyable : le mugissement du troll, les cris des soldats horrifiés, ou blessés, ou simplement au moment de leur mort, et surtout celui du bois qui explosait et de la pierre qui s'écrasait au sol sous le passage du massif monstre. Huragorn eut un réflèxe, et hurla aux survivant de courir! Tout le monde s'activa, alors que le colosse les avait repérés, et levait sa masse. Le choc fit tremblé le sol, et projeta du sang sur les Néoliens qui couraient. Car en effet, deux soldats étaient réduit à l'état de crêpes dans la ruelles. Les défenseurs de la ville déboulèrent enfin devant le Manoir. Là, la résistance était très forte! Mais un autre troll était là. Hura', un peu étourdit, jeta un œil derrière lui : le troll était là aussi. En fait, il y avait bien deux troll gigantesque, bien qu'il avait du mal à l'accepter! Le forgeron courut vers un régiment d'humains qui avaient l'air de s'intéresser aux troll. Il y avait quelques nains, et il sut tout de suite qu'il fallait aller vers eux : des nains étaient toujours la pire choses qu'il pouvait arriver à un troll.
D'une voix forte, Huragorn hurla :

"Est-ce que quelqu'un ici à déjà tué une créature aussi massive? Si non, alors ne perdez pas courages, et attaquez vous aux archers poster derrières!"

Puis le nain prit sa hache, et se mit face aux troll. Celui ci était en train de s'avancer dans une des grandes artères de la ville. Il y avait de la place, un avantage pour les Néoliens...Mais aussi pour lui! Par contre, le second colosse s'avançait a travers les maison, écrasant tout a coup de masse pour se frayer un passage. Sa vision peu développé lui indiquait une chose : son cousin, qui était près a se faire attaquer. Donc bientôt, il y aurait deux troll dans la rue. Le combat allait être dur...

Toujours dans sa quête de trouver l’état major de l’armée Néolienne, pour ainsi pouvoir apprendre quelques informations sur le déroulement des opérations, le gnome se dirigeât –non sans mal- vers le centre de la ville. En effet, la ville était parsemée de petits combats, sous la technique de la guérilla. Jugeant le fait de passer par les ruelles assez compliqué selon ses critères, le gnome décidât d’emprunter le chemin des toits. Se cachant dans une ruelle étroite, le gnome escaladât difficilement un mur de brique gelé. Ses petits doigts ayant perdu l’habitude de la rudesse de la montagne (l’avaient ils un jour gagnés ?) L’expérience fut longue et laborieuse, mais enfin le gnome réussit à arriver sur le toit enneigé. Il se félicitât qu’aucun ennemi n’ait eut l’idée de passer par là, alors qu’il était entrain d’escalader, car, dans la position ou il se trouvait, il n’aurait pu esquiver l’éventuelle attaque…

Mais même avec son agilité naturelle, passer par les toits ne fut finalement pas la solution miracle. En effet, éviter en même temps les tentes, et que les groupes ennemis, en bas, ne l’aperçoivent, semblait plus compliqué que l’algorithme d’Eu-clik l’ancien, une des règles d’or de la mécanique gnomique. Enfin, il arrivât devant le manoir royal, La ou il vit Nim, ainsi qu’une humaine se diriger dans la direction opposée au gnome. S’apprêtant à sauter du toit pour les rejoindre, le gnome remarquât tout a coup quelque chose.

Trois Néoliens se battaient entre eux. Oubliant un instant la raison de sa venue dans ce quartier, le gnome regardât un instant le combat, jusqu'à la mort d’un des protagoniste … Tout a coup, les deux autres Néoliens vainqueurs cessèrent de bouger, comme s’ils n’en voyait plus l’intérêt … Tout a coup, le gnome remarquât leur regard d’un blanc de nacre, qui fixait sans le voir le corps de leur défunt compagnon. Tout a coup, le gnome compris que ses deux guerriers avaient sans doute été ensorcelés … Encore en vie, ou déjà mort ? le gnome n’aurait sut le dire, en ce moment même, mais il avait tout de même remarqué des blessures qui pouvaient paraître assez grave pour être mortelle …

Le gnome se mordit silencieusement la langue. Il avait totalement oublié Nim ! Dire qu’il avait été a quelques dizaines de mètre, l’espace d’un instant … Que faire, Suivre Nim, dans l’espoir de le retrouver, ou chercher plus d’information sur cette ensorcellement ? Le dilemme causât a Gnimsh un grand trouble, mais sa curiosité et son envie de tout connaître l’emportât… Après tout, il se contrefichait pas mal de cette guerre, et ses théories stratégiques étaient bien moins intéressantes à ses yeux qu’un sujet d’étude… Se replongeant totalement dans l’observation et l’étude de ses guerriers ensorcelés, le Gnome, marchant à pas de loup sur le toit, se rapprochât légèrement des deux possédés inactifs en bas.

Tout a coup, il remarquât, a une vingtaine de mètre, appuyé contre un mur, un drow, entouré de trois ou quatre Néoliens au même regard vide … Au vue de son accoutrement, il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait d’un mage ennemi … sans doute la personnes ayant le contrôle sur ses Néoliens ensorcelés. Cependant, il était hors de portée de l’endroit où se trouvait le gnome, et descendre pour aller le voir de plus prêt était à éviter, au vue de la meute de chien de garde à ses bottes. Il fallait qu’il en sache plus sur ses adversaires avant de les attaquer … Et pour cela, Une seule méthode : Observation, Expérimentation Conclusion. Le gnome se couchât silencieusement contre la neige, et avançât lentement, pour être le plus prêt des deux Néoliens, tout en restât hors de vue du Mage drow.

Même de prêt, le gnome ne sentait pas l’odeur caractéristique des Zombie. De plus, Le gnome vis la pomme d’Aden de l’un des guerriers déglutir, et son plastron se lever et s’abaisser au rythme de ses respirations… Ils étaient donc encore vivant, détruisant ainsi l’hypothèse des zombie … Vu leur attitude, il était très peu probable qu’il soient dans leur état normal, mais pas nom plus drogués … On aurait plus dis qu’il Avaient perdu une partie de leur conscience, et ne faisaient plus qu’obéir aux ordres … Ce pouvaient ils que les ennemis de Néolias aient développés une science de l’hypnose plus performante que celle connue du gnome ? Où peut être pire ? Des capacités médicales –et notamment chirurgicales- plus évoluées ?

Non, impossible, ils n’auraient pas eu le temps depuis le premier assaut … Non, cela devait être une simple hypnose magique …. Mais Sans aucun doute elles devait être résistante : En effet, jamais un magicien ne serait rester ainsi entouré de tels bombes a retardement, dans le cas ou les effets de l’hypnose n’auraient été que de quelques temps … Mais a quel point s’étendait cette hypnose ? Le gnome cherchât un instant dans sa poche. N’importe quoi pourrait faire l’affaire… Il en tirât un boulon rouillé, dont le pas de vis était inutilisable. Visant un instant, il le lançât en direction des deux possédés, de telle façon qu’ils soient obligés de le voir. Cependant, le gnome évitât que son projectile touche les deux faux zombies.

…Pas de réaction…

Apparemment, le possédés était aveugle … se qui signifie qu’il ne s’agissait pas non plus d’une hypnose … En effet, si sa avait été le cas, ils auraient du voir son boulon, étant donné qu’ils avaient vu le Néolien normal les combattre tout a l’heure … Dans le cas présent, il semblait plutôt que le Possédé ne pouvait voir que les vivants le touchant ou étant des ennemis déclarés… C’était donc par magie qu’ils avaient rejoint l’armée ennemie … Mais a présent, pour en savoir plus, il fallait qu’il aille les voir de plus prêt … mais seul face a une vingtaine de possédés, Il n’avait pas l moindre chance … Il fallait donc qu’il attende qu’une petite troupe de guerrier arrive pour ses intérêts …

Groupe Possédés :
-Gnimsh
...

Hogri's n'avait pas été très actif depuis le début de cette guerre. Il semblait pétrifié, non pas par la peur, mais plutôt par le fait qu'il était totalement ébahi. Mais il avait décidé d'agir. Malheureusement, ce n'était pas un as au combat. Par contre, il pouvait distraire et gêner ses adversaires... Qui attaquer? Procédons par élimination....
Le golem? Par sûr qu'on puisse le distraire de toutes façons. Les trolls? Pas envie...les possédés? Non, sa peut pas être vraiment distrait non plus.... Reste plus que les elfes noirs. De bon escrimeurs, un vrai suicide, tenir deux secondes serait un record. Quoi de mieux?
Hogri's commença a prendre quelques caillou, puis il les lanças sur le drow le plus proche. Celui-ci n'y prenait pas attention, vu l'aisance avec laquelle il esquivait les "projectiles".
L'animateur de rue commença a les lancer plus fort en criant.
" Eh, le moche. oh le boulet! OREILLES POINTUES! Punaise tu devrait te reconnaitre même les trolls sont plus beaux que toi!"
Le drow ne prêtait aucune attention a ces remarques mais il finit par recevoir un caillou en pleine figure. L'elfe noir se tourna vers Hogri's, et commença a avancer vers lui, un sourire sadique aux lèvres...
*oh....*
Hogri's, lui se mit a reculer lentement. Il sortit son arme, en se disant a lui même:
*Allez, je tiens plus de deux secondes...*
Une goutte de sueur coula sur son front, il l'essuya avec sa manche. Comment le vaincre? Ou du moins, survivre a ce combat? En tout cas, pas en se battant a l'épée.. Il fallait ruser, ou espérer que quelqu'un vienne mettre un coup dans le dos de cet elfe. Autant ruser. Mais comment? Déjà, l'écarter un peu de ses copains. Hogri's para le premier coup puis esquiva
le deuxième d'un bond en arrière. le drow continua d'avancer vers lui. Hogri's recula encore un peu jusqu'a être a une distance respectable du reste du groupe des drows. Maintenant, trouver comment feinter. Peut être se servir du décor. Mais de quoi? En reculant, il faillit trébucher sur quelque chose, plus précisément un bout de bois planté dans le sol. Heureusement, l'elfe ne s'en était pas aperçu. Tout devint alors clair pour le gnome....
Hogri's changea tout a coup d'attitude. Il s'arrêtat, observa le drow, puis fit un "tsssss", long et méprisant. Il tourna le dos au drow, puis se mit a marcher rapidement. L'elfe fut tellement énervé par cette attitude qu'il courra vers le gnome dans une rage sanguinaire. Mais lui, il trébucha , ne se rattrapât pas, et se rétama pitoyablement au sol. Hogri's explosa de rire mais pas le drow. Celui-ci se releva d'une pompe et courrut en ne pensant qu'a une chose: Massacrer ce gnome .

A suivre, tout le monde s'en fout mais a suivre quand même

Le cor sonna alors qu'ils n'avaient pas quitté leur abris. Histrion se leva d'un bond la lance à la main. Son regard se porta au ciel qui avait perdu beaucoup en luminosité, puis se posa sur le visage de l'archer. Leurs regards suffit pour qu'ils se comprennent mutuellement, et sans un mot ils empruntèrent au pas de course la ruelle la plus proche. Ils se faufilèrent à toute vitesse dans l'étroit passage, déboulèrent sur une rue où tout une troupe de néoliens battaient en retraite. Il ne voyait pas pourquoi il se repliaient de la sorte, ni quel armées les acculait ainsi vers le manoir royale mais il suivit du mieux qu'il put. L'archer qui l'accompagnait courrait deux pas derrière lui sans perdre une once de terrain et il était toujours à coté de lui quand il arrivèrent dans une grande place, juste au pied du manoir. Les Néoliens en arme s'y étaient rassemblés et se tenaient prêts à combattre l'ennemi où qu'il arrive.
C'est alors que par une rue toute proche on vit venir tout un contingent de drows aux amures étincelantes et aux épées longues et finement travaillées, dont la lueur nacrée témoignait d'une méthode de forge propres aux races anciennes. Histrion en connaissait un peu de part sa mère mais en ignorait le principe. Il savait cependant qu'il devait s'agir là de nobles, et de grands guerriers.

Le conflit s'engagea presque immédiatement. Sans s'en être rendu compte Histrion était parmi les premiers rangs. Il vit une épée à double lame tournoyer au dessus de la tête d'un drows, la feinte fut presque imperceptible et une lame vint cueillir un bras, puis une tête. Et tendis qu'il découpait dans la chaire des soldats de Néolias, un autre couvrait son flan et le rendait presque intouchable. Leur attaque minutieuse et patiente serait certainement impossible à contrer pour Histrion.

Il tenta désespérément de protéger un soldat, plaçant sa lance en barrage devant le défenseur tendis que le drow frappait. Il sentit un choc violent lui ébranler le corps, craint quelques dixièmes de secondes que son corps se disloque mais teint bon. L'homme qu'il venait de sauver fut fauché par la deuxième lame du drows en un mouvement d'une vitesse et d'une fluidité inouïe. Et alors que la flèche de l'archer qu'Histrion avait la chance de compter dans ses amis vint obliger le drow à reculer en une esquive simple mais efficace, il put se dégager du combat à son tour.

Il saisit alors sa lance à la manière d'un bâton, imitant les postures à la fois complexes et gracieuses de son ennemi. Il para une première attaque, soudaine et puissante qui entailla littéralement le manche de sa lance, voulu riposter mais ne trouva que l'air sous sa lame et à nouveau il dut parer une attaque qui venait cette fois du coter et comme il s'y attendait il fut obligé d'esquiver une attaque immédiate et fourbe qui exploitait la seconde lame du drow. Une feinte récurrente et meurtrière qui semblait emporter chaque soldat qui la rencontrait dans une danse de mort.

A nouveau une flèche vint obliger le drow à ne pas abbatre immédiatement sa cible. Mais au vu de la complexité et du rythme du combats, Histrion s'écroulerait très certainement de fatigue avant que son adversaire ne commence à ressentir une douleur dans les bras. Il ne vaincrait pas seul, ni même avec la seul aide de l'archer.

Puis il vit un instant, l'espace d'un regard, presque imperceptible, sachant qu'il ne pouvait s'attarder sur un tel détail, celui qui semblait commander les drows, un guerrier dans toute la beauté de son art. En une fraction de seconde il vit son bras seul armé d'une épée longue aux reflets profonds et à la lame fine, parer simplement une attaque parfaitement exécutée et faucher une tête. Il ne comprit pas tout de suite que seul son œil d'elfe lui avait permit de voir un mouvement si rapide et que malgré cela, il n'aurait pas sut l'éviter. Cette fois il y avait bel et bien des héros dans les deux camps.

Au moment ou ils allaient entraient dans le lard de ces trolls,ils entendirent non loin d'eux,un nain,pendant une fraction de seconde personne ne sut qui il ete,mais aprés mur réflexion,environs,trois secondes,Rwodka reconnue se nain,il était le forgeron de Néolias
Un Nain trés connue du peuple,et a se qui parait une force peu commune parmis le peuple nain deja exesivement fort parmis les autres race.
Il s'adressat au guerrier et soldat qui commencait a s'inquiéter de leur sort,et ces ceuls paroles redonnairent le courage au troupes alentours,qui avait pour ordres de s'attaquer a ces deux grands trolls.
Ils le virent alors prendirent ceuls sa hache et avancer vers ces deux immondice,tandis que derriere lui des archer tirer,aproximativement pour le toucher ce qui ne marcher.Les soldats de Néolias eux,avaient ecoutaient avec courrage les ordres de ce nain et ils tiraient derriere les trolls en espérants toucher les archers adverse.
Rwodka et Burz eux, ne perdirent pas de temps et grace a leur monturent,galoperent vers Huragorn pour lui venir en aide et terasser ces monstres.Rwidka sortit ces haches et en se rapprochant de Huragorn il les fient tournoyaient en l'air tandit que Burz lui avait sortit sa masse et la faisait froller le sol sur le dos de son sanglier géant,tandis que Rmirnoff et Ronizuka courait et volait a coté d'eux.
Arrivaient a l'endroit ou se tenait Huragorn,ils s'arraitairent et Rwodka parla:

-Bonjour a vous cher Huragorn,cela faisait longtemps que je ne vous avez point vue,j'avait esperer vous revoir mais pas dans de tel circonstance.J'éspére que vous n'éte pas blesser,car ce combat risque d'etre d'une incroyable durté.

-Burz pense pareil que frere,beaucoup difficile de se battre,dit Burz en se penchant pour apercevoir les deux nains.

Aprés avoir tailler une breve causette avant la bataille,Tous trois prirent la directions de ces deux trolls,ils entendaient sifflés a cotés d'eux les fleches ennemis,qui a prioris n'étaient pas de grand tireur.
Rwodka siffla Rmirnoff,celui ci vint ce poser sur son épaule,Rwodka lui murmura ces ordres a l'oreils,puis celui ci s'envola a gauche et disparut dans le tumulte de la bataille.
Rwodka,Burz,Huragorn,Rwisky,Ronizuka et Nogrash le sanglier génat de Burz,tous courirent vers les deux trolls,tous avait voulut de l'action qui avait manquer pendant un certain temps leurs beau pays,mais jamais ils n'avaient put imaginer que la guerre pourrait aller aussi loin dans la souffrance,dans le sang et la destruction,leurs argne n'étaient pas encor au plus haut mais dans un futur,peu lointain,elle eclaterait et détruiré tous en eux,tous ce qu'il y avait de logique dissparaité et la violence et la haine,la destruction et la sauvagerie ferait surface comme jamais au par avant.

Hogri's savait qu'il ne pouvait absolument rien faire contre ce truc enragé aux oreilles pointues qui l'attaquait. Fallait dire qu'il venait de se ridiculiser pitoyablement. Mais ce genre de coup de chance n'arrivent pas deux fois. Donc, logiquement, un gnome va vite, très vite mourir. Mais autant vivre assez de temps. Hogri's se jeta sur le côté au moment ou une lame allait le décapiter, puis il se releva d'une roulade.
*Mesdames et messieurs, moi, Hogri's, votre animateur de rue adoré, va effectue aujourd'hui son dernier spectacle. Le gnome et le truc...*
Cette pensée le fit sourire. Mais en même temps, cela lui donna envie de faire quelque chose: Se croire en spectacle. A chaque fois qu'il fait sa, il ne fait attention qu'a ses gestes, et ne pense plus a rien. Un premier coup arriva. Hogri's analysa la situation. Une feinte simple. Le regard de son adversaire se portait vers une autre direction. La lame va faire de même. Le gnome réussit donc, avec classe, ou plutôt avec de la chance, a éviter le coup. L'animateur de rues se releva et riposta rapidement. Bien sûr, l'assaut fût en vain, une simple parade suffit a bloquer le coup et a désarmer le gnome. Celui-ci évita un coup de justesse pour recevoir un coup de genou en pleine figure et être projeté au sol. La douleur était insupportable, mais en spectacle, le douleur n'arrête pas. Alors que le drow s'approchait. Un petit poignard se trouvait près de lui, un peu enfoui dans la neige. L'elfe noir posa un pied sur le torse du pauvre gnome, leva son arme.... Hogri's réagit au quart de tour. Il agrippa rapidement le poignard, et frappa le pied qui le bloquait au sol. Mal ajusté, le coup ne fit qu'une petite entaille au pied du drow, mais cela suffit pour qu'il le retire. L'animateur de rue fit un roulé-boulé pour éviter un coup fatal, puis se releva d'une pirouette. Il ne put s'empêcher une remarque:
"Faut arrêter la bière, petit. les tafioles comme vous la supportent mal."
Le drow n'avait pas l'air de parler le commun, mais il comprit quand même que le gnome se payait sa tête. ce qui redoubla sa rage.
*Je me suis jamais autant amuser depuis le jour ou ma vie était aussi en péril. Ça devait être hier....
Bon, comme disait mon grand père; "Faut jamais refaire les choses deux fois!" Donc, faut trouver autre chose.*
Peut-être y avait il une faille. cet elfe était tellement enragé par ces deux ridiculisassions a la suite que ces sens de combats devaient être un peu moins aiguisés. Mais valait mieux se fixer sur cette idée tout de suite. L'elfe allait frapper. Si la théorie du gnome est bonne, esquiver le coup sera simple. Si elle est fausse, le coup sera sans doutes fatal. Mais il fallait tenter le tout pour le tout....

La tombée de la nuit avait agit sur son esprit comme un doux et langoureux réveil. Ses yeux s'ouvrir lentement sur l'obscurité tendis qu'elle sentait un courant d'air froid longer sa nuque. Elle frissonna autant de plaisir que de froid, il était l'heure. Un sentiment de puissance et d'exaltation avait lentement prit possession de ses pensés, elle se leva, faisant face à la troupe plus sage encore que des marionnettes qui se tenait devant elle. Les ténèbres seraient une musique suffisamment douce et sobre pour compter l'inévitable défaite des ennemis de Néolias.
Puis sans un mot ni un bruit les squelettes au nombre précis de onze, entamèrent leur procession. Alignant leurs mouvement comme une armée de robots fantomatiques ils sortirent un par un de la demeure qui était maintenant celle d'Iba. La grande prêtresse de Néolias fermait la marche silencieuse, dirigeant d'une pensée ferme le moindre geste de ses laquais. Ils traversèrent plusieurs rues, ayant la chance de ne trouver personne tout d'abord. Les silhouettes noires des squelettes semblaient se fondre avec le pavage sombre des rues et leurs ombres opaques étaient autant de voiles de ténèbres. Seul un drow ou un elfe aurait put les distinguer dans la nuit qui s'était abattue sur Néolias.

Des drows cependant c'était précisément ce qu'on était le plus susceptible de rencontrer. Ils avaient réussi à s'emparer d'une si grande partie de la ville que la prêtresse était à présent excentrée des combats et sa lenteur calculée lui confèrerait un retard non négligeable. Elle ne savait pas même où se rendre n'ayant pas entendu le cor de rassemblement. Son sommeil avait été réparateur et impénétrable, il était la conséquence directe de ses sacrifices et elle avait toujours quelques courbatures. Rien en comparaison de la souffrance qu'elle s'apprêtait à infliger.

Dans son esprit défilait déjà les images de drows torturés pour leur hérésie et leur audace. Elle voyait des orcs écartelés forcés à prier Iba pour leur salut, ce qu'elle leur offrait alors avec une immense générosité, leur tranchant la gorge. Elle voyait les mages drows à qui on avait coupé la langue et les mains, ces mêmes mages qui de part leur propre existence étaient condamnés à connaitre les pires souffrances que le temple était en mesure de dispenser. Le temps d'Iba renaitrait alors du cataclysme et la croisade sombre que ses membres avaient entrepris depuis sa création reprendrait et s'attaquerait cette fois tel un fléau et avec une rage implacable sur toutes les communauté d'hérétiques infidèles et de créatures démoniaques.
Car Iba, Incarnation de la mort, des enfers et de l'insanité était destinée depuis sa propre naissance à régner en maitresse absolue et impitoyable sur tout Garkam, ces terres de félons qui se complaisaient dans le meurtre et la torture.
Tel était le grand axiome qui guidait le temple d'Iba.

Nemo arriva sur le lieux de combats, son chemin frayé entre les combattants néoliens par ses gardiens d'outre tombe. Immédiatement quatre fronts lui apparurent, chacun malmené au plus haut point par un ennemi d'une force nouvelle et considérable contre lesquelles les recrues pathétiques de l'armée de néolias ne pouvaient pas même espérer survivre. C'étaient des ennemis haut et forts, qui terrifiaient par leur seul présence et taillaient dans les troupes de la pauvre ville des sillons aussi large que les rues. Mais le point le plus mal en point de la défense de la cité se trouvait sur un des fronts centraux. Une troupe simple et peu nombreuse repoussait des soldats tétanisé qui semblaient même avoir refusé le combat. Pendant un instant elle avait cru, en voyant les créatures à l'allure de zombis, que des soldats avaient trahit les leurs et s'étaient retourné contre leurs frères. Mais leurs yeux n'étaient pas ceux des vivants, leurs yeux étaient ceux des morts et ces soldats sans âme étaient du même acabit que ses squelettes. C'est là qu'elle engagerait le combat.

Un flèche vint soudain cueillit un des possédés. Leurs mouvements lents et saccadés, leurs démarches pataudes et emprunte d'une force étrange laissait supposer bon nombre de techniques pour créer de tels guerriers mais aucun de connu. Le possédé fit un pas en arrière, sembla regarder la flèche plantée dans son œil gauche puis d'un geste ferme il l'arracha, emportant avec l'œil et un peu de cervelle. Il planta la flèche dans le premier néolien à sa porté qui hurlait de terreur.

Puis les orcs squelettiques de la prêtresse arrivèrent au niveau des possédés. Ils étaient certes en sous nombre mais l'étroitesse de la rue comblait largement ce défaut. Le combat des deux fois nés fut à la fois intéressant et spectaculaire. Des deux cotés les combattants encaissaient sans le moindre sursaut des blessures qui auraient atterré n'importe quel vivant, et bien qu'aillant subit des dégâts irréparables, ils continuaient de se battre chacun avec la même force et la même démarche désintéressée.

Un possédé avait perdu une tête, celle-ci avait roulé et contrairement à ce dont on aurait put s'attendre, aucun jet de sang ne vint ponctuer sa blessure. Le possédé sembla avoir un instant d'hésitation puis il se jeta littéralement sur un orc qui avait déjà perdu un bras et qui transpercé de toute parts s'effondrait sans un cri, avec le seul bruit de ses os qui heurtaient le sol. Alors comme pour combler la brèche temporaire qui avait ouvert les rangs de la prêtresse, un projectile d'antimatière vint frapper les deux possédés qui se trouvaient là. L'explosion les fit tout juste reculé, arrachant leurs plaques et avec de véritables lambeau de chaire. On sentit que leurs os avaient cédés sous l'explosion mais cela n'avait pas suffit pour les arrêter.
A présent ils commençaient à repousser lentement mais surement les orcs qu'elle avait lancé contre eux et elle commença un instant à douter. Et comme si une sorte de malédiction la frappait, elle entendit les soldats néoliens, les vivants, qui s'exclamaient avec horreur que la guerre était perdue et qu'il était impossible de vaincre une telle armée.

Huragorn conversa quelques secondes avec Rwodka et ses compagnons, puis regarda à nouveaux le premier troll, plus proche. Celui ci était en train de détruire une maison remplie d'archer Néoliens, qui le repoussait presque avec des flèches et de longues lances : ils ne tiendraient pas longtemps. Hura' décida d'essayer de les sauver. Le nain s'élança dans la rue le plus vite que ses jambes fatigués pouvaient le supporter, et arriva au bas du troll. Sa hache siffla dans l'air, et traversa la peau pourtant très épaisse du monstre : Un petit filée de sang, très petit pour la masse du troll, coula sur la lame du nain. Le tibia du colosse sentit quand même la douleur, et se tourna en beuglant terriblement fort en remuant son pied. Le forgeron fut éjecter a une dizaine de mètre de là, et s'écrasa, par chance, dans un grand tas de foins. Le choc fut assez amortit, mais il était étourdit. Au moins, le troll avait une nouvelle cible : l'escouade qui l'avait prit pour cible!
La cohue était total : les coups de masse faisaient tremblé le sol, et les beuglement du troll secouait le crâne de tout le monde. Bientôt, ses bras et ses jambes furent sanguinolents.
Hura' s'était rapidement relevé, et à coup de hache rapide, il frappé le plus fort possible : la peaux de ces géant était très épaisse. La technique de frappe du groupe était simple : de petit coups rapide, en prenant le moins de risque possible, pour le fatiguer. Cela marchait fort bien : les coups de leur ennemi était plus lent, plus lourd, sans conviction : les petits êtres qui lui courraient autour en le frappant étaient rapide et furtif! Mais Huragorn oubliait presque, dans la folie de l'affrontement et des batailles alentours, le deuxième colosse : le monstre frappa rapidement, avec toute la force donc il était capable, sur les soldats qui ne s'y attendaient même plus. L'un d'eux fut écrasé à moitié : un bras et une jambe était intacte, le reste était éparpillé un peu partout. Les cris d'horreur gagnèrent les combattant. Un troll, s'est déjà dur. Deux troll...
Huragorn repéra une maison proche du premier. Du toit, il pourrait sauter sur l'épaule de son ennemi. C'était risqué, et sa ne servirait qu'a en tuer un seul. Mais sa valait le coup. Le nain hurla à ses compagnons de gardé courage : il revenait dans un instant. Et il disparu par la porte défoncé à coup de hache de la baraque.

Shadow se réveilla lentement. La petite troupe avait trouvé refuge dans un abri de roches carbonisées... Il sentait sa tête lourde. Il passa lentement sa main sur son visage et se redressa. Il respira un grand coup ,et sil il n'y avait pas eu cette odeur de sang et de ripailles tout autour de lui, il aurait pu croire qu'il se trouvait dans sa tente... Il regarda tout autour de lui. Les combats semblainet s'être intensifié, mais dispersés en plus... Il se releva et saisit son baton. Ces quelques instants de repos lui avait permis de recouvrer des forces ,a lui ainsi qu'a tout les membres de son groupe. Il s'avançèrent alors dans les ruelles ,lorsqu'ils virent deux néoliens se abttre et terasser un troisème. Puis il vit quelque chose de brillant tomber du toit... Etrange tout sa... Ils allaient se lancer a l'assaut mais Shadow les retint. Il y avait quelque chose qui ne collait pas. Ils ne semblaient pas intrigués... Et pourquoi des néoliens se battraient ils entre eux ? ILs restaient maintant immobile comme des statues en plein rue ,les bras balants... C'est alors que le saurien vit leurs yeux blancs. Blancs et vide d'expression. Il n'eut qu'une pensée ...

** Encore la peste bleue ? Mais... Ils avaient pourtant abbatus le dragon qui en étaient a l'origine ? **

Il décida de grimper sur le toit pour voir plus loin. Il les fit se cacher , puis escalada agilement. Il se retrouva sur le toit ,rampant dans la neige froide. Il avait vu une petite créature... Il s'approcha de lui en rampant ,sans faire de bruit. arrivés a ces côtés le foulard sur le bas du visage ,a la manière des cow boy ,il souffla :

" Des êtres possédés. On en a deja vu une fois a Néolias... C'est étrange qu'ils soient là... Vous avez une idée de plan d'attaque ? "

Pendant qu'il parlait au gnome, une petite troupe d'Orc deux fois nés s'avanaçeint ,dirigés par une grande créature ,que le saurien connaissait. Il vit les deux fois nés néoliens s'avancer vers les orcs et les mettres a mal... IL faudrait trouver quelque chose ,et vite ...

***Tient tient, de la visite … Mais … Oh ! je la connaît elle ! Ouaaah, elle nous a formé un joli bataillon … Voyons voir comment sa va se finir …***

Le gnome, ne bougeant pas de son point d’observation, ne lâchât pas d’un œil le combat qui se déroulant en bas : Cependant, ce qui l’étonnât le plus, fut de voir un des assaillants –qu’il avait jugé vivant- continuer a se battre sans tête … Avait il seulement imaginer les signes de vie ? Non, il était sur que non … Il ne connaissait qu’un ensorcellement capable de contrôler un corps, vivant, et l’empêcher de succomber a ses blessures … La magie démoniaque… La seule source de magie strictement interdite d’apprendre … en voyant ce qui se déroulait en dessous, le gnome comprenait a moitié pourquoi … Créer un escadron de guerriers intuable avait de quoi faire ressentir des frissons a n’importe quoi …

Pourtant, le combat se déroulant en dessous gardait une issue incertaine, même si le gnome voyait très nettement que les mouvements des assaillants étaient plus rapide et plus précis que ceux des zombie de Némo. Tout a coup, il entendis des bruit, a coté de lui et alors qu’il se préparait a repousser une attaque a coup d’antimatière, il vie avec surprise une homme lézard grimper sur le toit, puis rejoindre le gnome. Quant il fut a coté de lui, le Gnome put remarquer, au vue du bâton magique dans le dos du saurien- que le nouveau venue était magicien … Cela n’arrangeait pas vraiment ses plans … pour dire vrai, il aurait préféré –si il avait eu le choix- une cohorte de guerriers, plutôt qu’un magicien, sans doute de seconde zone … Mais il fallait faire avec se qu’il avait…

***Hmmmm … Il y a de grandes chances qu’à la mort du magicien ses démons se détruisent, ou au moins, s’affaiblissent… Mais ils ne me laisseront sûrement pas l’approcher d’assez prêt pour pouvoir l’attaquer … Et même si j’arrivai a avancer, par les toits par exemple, dés qu’ils verraient que je l’attaquerai, ils courront lui porter mains forte, sans doute … Il faut donc les séparer, mais si ce mage voit que l’on fait quelque chose, il viendra nous mettre des bâtons dans les rouages … Il faut donc faire vite est bien… Malheureusement, mes seuls alliés sont deux magiciens, je suppose donc qu’ils n’accepteront pas de rester dans leur simple rôle de pion …Hmmm, je sait ***

Le gnome se tournât vers shadow et lui chuchotât rapidement :

« Je pense que le mieux pour toi, c’est que tu reste la haut et que tu nous couvre avec des projectiles magiques …même si c’est pas très glorieux, c’est comme ça que tu pourra être le plus utile, d’après moi … pendant ce temps la, je vais donner un coup de main a cet femme, en bas, après, j’irai m’occuper de cet autre magicien là-bas … Au fait, quel est ton nom ? Orf, finalement, ne dis rien, c’est pas la peine, tu me le dira si tu survivras … »

Chaotic ne tenait plus, cela faisait trop longtemps qu'il attendait un ordre et il ne pouvait se résoudre à rester inactif alors que d'autres jouaient leur vies au même instant. Bravant touts les ordres qui avaient pu être donnés, le drow sortit des rangs et s'avança sur la place à la rencontre du groupe adverse. Aucun des Néoliens n'esquissa le moidnre geste pour l'en empêcher, mais quelques uns chuchotèrent discrètement, se demandant pour la plupart si l'elfe noir ne serait pas en train de changer de camp...

Sans s'en soucier, le maître d'arme continua sa marche, silencieux, jusqu'a arriver à mi-distance entre les habitants de la Cité et l'endroit présumé ou se postaient les envahisseurs. Il ferma les yeux quelques secondes, essayant au mieux de se remémorer le langage qu'il avait appris recemment... La moindre erreur grammaticale pouvait avoir de lourdes conséquences, or Chaotic n'avait pas prononcé un mot en ancien langage drow depuis fort longtemps. L'elfique post-cataclysme, en majeure partie inspiré de la langue elfe traditionnelle, avait remplacé tout les anciens dialectes elfes à Néolias, et à présent les subtilités de sa langue maternelle lui échappaient... Il tenta néanmoins de s'adresser aux drows, espérant avant tout être compris...

" Vous avez dépassé nos limites. Vous avez tués nos frères. Vous êtes dans nos murs. Désormais, préparez-vous à mourir... "

Un sifflement salua aussitôt ses mots. Une flèche se figea à quelques centimètres seulement du drow... Comme il l'espérait, ces paroles avaient réussies à percer le calme des ennemis... Mais était-ce réellement une bonne chose ?

La tension était palpable dans l’air, tel un battement de cœur sourd qui envahissait tout le monde au plus profond de son âme. Beaucoup sentait déjà que la mort était arrivée, et que se jouait maintenant l’avenir de Neolias tout entier. Nim voyait bien que tout le monde hésitait a se jeter dans le combat, craignant de perdre la vie ou simplement, analysant la situation. Quand un mage blanc vint soigner sa promise, Nim souffla, elle n’était plus en danger de mort, enfin, elle ne mourrait pas de ses blessures, mais bouger serait pour elle sûrement encore trop risquer. Il serait resté a son chevé nuit et jour en attendant qu’elle guérisse, mais le nain était tirailler entre défendre Neolias et la personne qu’il aimait. Il réfléchit un temps soupira.
Si Neolias tombait, il vivrait son idylle sous les croassements des corbeaux…
S’approchant lentement de la jeune femme qui se reposait a nouveau, a demi assise sur un pan de mur. Il baissa la tête et inspira fortement, il était temps.Abigaël…Nous devons nous battre, et j’ai bien peur qu’il est maintenant impossible pour moi de rester ainsi inactif…Pardonnez moi mon âme, mais pour notre futur, Neolias ne dois pas tomber. Il se frappa le buste en signe de conclusion. S’approchant d’elle, il l’embrassa, juste assez pour se donner le courage qui lui manquait pour l’abandonner ainsi. Le nain se retourna, espérant vaincre pour ne pas craindre d’avoir prononcer ses dernières paroles a sa bien aimée.
Il était temps…

Face a Face les deux armées se regardait, c’était maintenant plus une guerre d’archer que d’acier. Mais, si la guerre devait être gagné, il fallait avancer. L’air semblait vibrer, qui annoncerait la charge ? Après un moment de silence intense pour une guerre, l’elfe noir du nom de Chaotic rompit les rangs pour s’avancer et parler dans cette détestable langue qu’était l’elfique noir. Une flèche fusa et se planta non loin de lui, la provocation avait t’elle marchait ? Le nain leva sa massa d’arme et s’éclaircit la pour que tout le monde l’entende.

Néolien, nous ne sommes pas tombé il y a un an, nous ne tomberons pas aujourd’hui ! Après le cataclysme la terre était encore blesser par ses plaies, mais nous n’avons pas abandonné…Et nous n’abandonnerons pas aujourd’hui ! Pour tout se qui nous est chère, pour nos familles et notre patrie, nous vaincrons ! CHARGEZ !!

Nim se retourna pour faire face a son adversaire, les gardes et le commandant drow. Il décrocha son bouclier de fer et abaissa sa masse, la charge avait sonnée. Les cors retentissaient dans tous Neolias et le nain distança bientôt Chaotic.
En face, les drows c’étaient préparer a recevoir le flot de Neolien gonflé de courage, ils tenaient leurs lames prêtent a frapper.
Quelques instants plus tard, le nain fendit en premier le groupe de guerrier qui le séparait des guerriers d’élites, s’ils tombaient, Neolias vaincrait. Comme la neige qui fond sous la chaleur, le nain faucha les premiers rangs de guerrier pour se frayer un sillon mortel jusqu’aux adversaires attendu.
L’étoile du soir était déjà rouge de sang quand il commença son combat contre un des gardes, un drow âgés sûrement, car il para l’attaque du nain avec agilité. La masse et la lame bleuté s’entre choquèrent, un panache d’étincelle jaillit. Nim donna un coup de bouclier pour se séparer de son adversaire. Une distance respectable c’était instauré entre les deux combattants. Le nain tenta un bref regard derrière son adversaire, le commandant le scrutait d’un œil noir, neuf autres gardes étaient devant lui, impassibles, leurs longues lames plantaient dans la neige, attendant chacun un autre ennemi pour protéger leurs chef. Le nain grogna en pensant au commandant ** Ta tête sera mon trophée**

Il se concentra sur son combat, le drow casqué semblait l’analyser, Nim fit de même. L’instant d’après, le combat reprit, chacun jugeant la force de l’autre, le nain s’économisait, ce n’était pas contre lui qu’il devrait puiser dans ses dernières ressources…

Quand Huragorn entra dans la maison,Rwodka vit une ombre de plus en plus grande venir vers eux,Mais cette ombres s'arretat au niveau du premier troll et s'attaqua a son visage,Rwodka savait de qui il s'agissait,son aigle,a qui il avait donner l'instruction de fair le tour et d'attaquer le premier troll qu'il verait au yaux pour le priver de toutes action dangeureuse.
A se moment Rmirnoff le second loup de Rwodka courut vers Rmirnoff pour lui venir en aide
Pendant se temp Rwodka et Burz monter sur leurs montures tournaient autour du premier troll a vitesse changente pour eviter de se fair toucher pendant que le troll essaiyait de les toucher ou de detruire se qui les entouraient.Rwodka donnaient des coup de plus en plsu puissant tandis que Burz taper au meme endroit se qui former au niveau des impactes plusieurs ronds rouge qui ne tarderaient pas d'explosés.

Mais malheureusement Nosgrash la montur de Burz fut toucher au cote et projeter a plusieur metre avec son maitre.Burz pris d'une rage folle,en voyant son sanglier evanouit a terre.Il courrut la masse en l'air et se mit a frapper,pas pour blesser mais pour tuer ou casser directement,il y mettaient toutes ces forces sans prendre la force de bouger ou d'eviter les coups de son ennmis.
Puis ils fut de nouveau envoyé a terre, et parut mort,enfin se que crut Rwodka car pour lui,le toll avait tuer son frere.Il criat alors a sans fair peter les veines de sa gorges.

-AAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRGGGGGGGHHH

Les Néoliens avaient répondus présents et désormais les deux bataillons s'affrontaient directement. Le premier flot de soldats avait deja dépassé Chaotic lorsque celui-ci commença à se resaisir. Il devait à présent soutenir l'assaut aux côtés de ses frères, non pas de sang mais de coeur, malgré la force et la technique de leurs adversaires. Sans ménager ses effets, le drow sortit ses deux sabres et se fondit dans la masse de l'armée Néolienne. Celle-ci avait enfoncé les rangs mais la première ligne d'elfes noirs les maintenait toujours à bonen distance de leurs capitaines. Seul un petit groupe à la tête duquel se dressait Nim avait réussi à percer jusqu'aux combattants les plus expérimentés...

Un capitaine lança un ordre qui s'adressait sans douet à Chaotic mais celui-ci n'entendait plus, son ouïe s'était fermée aux voix et aux bruits parasites pour se concentrer sur le fracas des épées qui s'entrechoquaient. L'une d'elle s'éleva juste à côté de lui mais le maître d'armes fut plus rapide et sa lame vint à la rencontre de l'épée assasine... D'un geste vif il bloqua cette dernière grâçe à la dague incurvée dans son arme fétiche et l'envoya voltiger quelques mètres plus loin. Son possesseur, un jeune drow effrayé d'après les tremblements qui l'agitaient, tenta de fuir mais en vain... En un instant le métal argenté fit son oeuvre et sa vie s'éteignit dans un soupir inaudible.

Quelques autres jeunes elfes essayèrent de bloquer la progression de Chaotic mais celui-ci savait qu'il n'y avait plus de temps à perdre et évitait au possible tout combat prolongé en s'esquivant d'une passe d'armes, laissant à d'autres le soin de s'occuper de ces combats qui n'étaient pas les siens...

Il arriva finalement à s'enfoncer suffisamment pour ressentir un changement dans l'intensité des combats. Alors qu'il était à présent dans l'oeil du cyclone, le calme regnait en maitre. A la disposition qu'avaient adoptés les drows, le maître d'armes comprit qu'ils voulaient protéger quelquechsoe ou quelqu'un... Il s'agissait donc de gardes du corps. L'un d'eux avait d'ailleurs entamé un duel contre Nim, mais il en restait encore une petite dizaine de gardes. Sans doute étaient-ce la les combattants les plus émérités des contrées drows, mais Chaotic ignorait leur niveau... Le temps et la connaissance de l'autre jouaient en sa défaveur. Il décida donc d'agir le premier, sans attendre que les protecteurs ne profitent de leurs avantages...

" L'un de vous est-il assez courageux pour oser m'affronter en duel, ou bien êtes vous tous des lâches comme ce "capitaine" qui se cache derrière vous ? "

Le mépris dont il faisait preuve et la manière d'accentuer le terme de capitaine provoquèrent instantanèments les elfes noirs et trois d'entre eux l'encerclèrent par précaution. Ils étaient tous armés de la même épée, une longue lame effilée qui semblait dure comme la pierre et tranchante comme le vent... Il ne pourrait lutter seul contre trois plus de quelques secondes, mais il se prépara quand même à effectuer un premier contre... Mais avant que la moindre attaque se soit donnée, un garde qui ne s'était jusqu'alors pas manifesté pris la parole.

" Je demande l'honneur de montrer à cet insolent ce qu'il en coute de trahir ses origines. Laissez-moi le combattre seul à seul... "

L'absence de réponse sembla être considérée comme un avis favorable, et les trois elfes s'écartèrent pour laisser le champ libre à leur congénère. Rapidement, Chaotic estima son adversaire afin de juger de ses points faibles. Une forte aura combattive émanait de toute sa personne mais le calme de sa voix n'avait pourtant rien laisser paraitre de son agressivité... Son ennemi était fort, peut être plus que lui, et il savait controler sa puissance... La ruse allait être sa seule issue de secours s'il comptait aider Nim et ses troupes à venir à bout de ces elfes...

Huragorn monta les marches deux à deux, et arriva enfin dans le grenier. Une échelle menait à une trappe qui donnait accès au toit. Le silence régnait presque ici, et le nain en profita pour reprendre son souffle. Ses blessures se multipliait au fils des combat. Depuis l'aube, il combattait. Ils combattaient tous. Il ferait bientôt nuit. Mais un tremblement de terre fit trembler la bâtisse où était le forgeron, et lui rappela que le troll frappait fort et pouvait défoncer sa cache à tout moment. Il agrippa un barreaux et grimpa, explosa la trappe d'un coup de hache, et atterrit en haut de la maison. D'ailleurs, cela était presque un immeuble, car il avait au moins trois étage! Assez pour le mettre juste au niveau des épaules du premier colosse. Huragorn regarda rapidement la situation : les deux monstres frappaient presque au hasard, balayant autour d'eux à grands coup de masse. Malheureusement, des tas de soldats morts étaient étalés partout dans la rue! Soudain, un aigle s'attaqua à un des troll. Ses coups de bec au niveau des yeux déconcentrait le géant, qui se défendait vigoureusement! Le troll recula, frappant l'air, espérant toucher le volatile, et se rapprocha dangereusement du nain. Hura' saisit sa chance.
En poussant un cri de guerre à la façon nain, l'ex mercenaire s'élança sur la tuiles. Le troll n'y fit pas attention. Le spadassin, une épée courte a la mains, s'appuya au bord du toit, et sauta le plus loin possible, a cause de sa petite taille. La silhouette du nain fut visible de loin, volant dans l'air. Puis ce fut le choc.
Huragorn planta la lame de son épée dans l'épaule du troll, et celle ci fendit la peaux et la chair pour permettre au nain se ne pas redescendre en bas. Le forgeron, très rapide, s'aida du manche de son arme pour remonter sur son adversaire. Celui ci poussait des beuglement inhumain, et se secouait en tout sens pour retirer le petit insecte en métal poilu de son cou. Hura' lui se tenait tant bien que mal autour du coup de l'animal. Soudain, celui ci se calma, pour mieux situer son gêneur. Huragorn avait juste eut le temps de prend sa hache. Un instant il y eut comme un blanc, un silence. Tout le monde avait peu de la réaction du troll. Soudain, un cri sortit tout le monde de sa torpeur : Huragorn venait de passer par dessus l'épaule du colosse, et partait pour s'écraser au bas du monstre. Tout le monde cru qu'il allait mourir bêtement là, au milieu de la bataille, a cause d'une perte d'équilibre idiote.
Personne ne s'attendait a voir la hache brandit du nain se ficher dans le haut du ventre gonflé du troll(gonflé, comme tous : lors des batailles, ils mangent à leur envie, et leur bide prend des forme(comme nous quand on boit de la bière! )), puis le ralentir sur toute la hauteur de ce bide, qui s'ouvrait donc au passage de haut en bas. La lame se bloqua enfin, le nain fut retenue d'un seul coup, et le choc fit sortir la hache du ventre du troll, faisait tomber le nain de deux à trois mètre de haut. Huragorn atterrit, roula boula entre les jambes de son adversaires, et...s'écroula, assommer par le choc. Au même moment, un cri de clameur s'éleva : les tripes du premier troll touchait le sol, déversant un flot de sang sombres. Beaucoup vomirent devant ce spectacle horrible. Le pauvre géant tenait son ventre du mieux qu'il pouvait, mais les pertes étaient trop forte. Dans un dernier râle, il tituba, et commença à s'écrouler par terre. Le bruit fut terrible! Le sol trembla. Un ennemi était à terre.
Huragorn aussi.

Au moment ou Rwodka allait frapper le troll,il entendit un cris inhumain,cela ne pouvait donc pas etre un des leurs mais bine un enemi.
Tous regardairent alors le second Troll,ou Huragorn se trouver,pour eter plus précis il se trouvait sur les épaules du monstres,tandis uqe l'aigle continuer de frapperla tete et que Rmirnoff attaquer les jambes,le troll eu un moment de douleur ce qui fit perdre l'équilibre a Huragorn,qui en tombant tranchat le bide de ce monstre en faisant sortir ces tripes.

Ce qui tuat le troll et assoma Huragorn,par sureter ou par faim Rmirnoff et Ronizuka sautairent sur le vente du monstre et se mirent a mangerces tripes,surement le petit creux du soir.
EN voyant cela Rwodka,eu un nouveau moment de fureur,car peut eter Huragorn était mort,et cela Rwodka ne pouvait le consevoir,il se jeta alors a corps perdut dans la bataille.Il se mit alors a genous sur Rwisky et sauta sur le monstre,les deux haches lever bien haute,préte a decoupé,trancher,meurtrire tous ce qui leurs tomberaient devant.Malheureusement se fut le cas du corp de se pauvre troll,qui vit son flanc droit s'ouvrire béant,dans une giclée de sans ,et son entrejambe voler en éclat (oui je c'est sa fait mal )dans un éclat rouge ,les troupes viernt deux boules de chair voler a terre.
Pris de douleur le troll se mit a genou,mais celui ci ne se souvenait plus que Burz avait frapper a mort ces jambes et principalement les genous,qui était rouge violacé,en tombant donc dessus,il eu un hurlement de douleur et tomba en arriere,Rwodka ne prit pas le temps de réfléchir et profita de cette action,pour courir sur le copr du troll encor vivant et planta une de ses haches dans le ventre et il prit la deuxieme a deux main et avec une grande partit de sa force et en si reprenant a trois fois,il tranchat la tete de ce troll.
Il eu un autre hurlement de joie dans les troupes,mais tous n'était pas finit ,car derriere les deux trolls mort il y avait encor des soldat certes peut nombreux ,mais suffisament pour mourir,car rwodka était au bout de l'épuisement.Il vit alors nos troupes arrieres courirs pour aller au combat...

Un mage était venue la soigner. Son sortilège avait fait disparaître la douleur et elle était de nouveau capable de se mouvoir seule. Malgré tout, le magie avait ses limites.
Abigaël savait que son corps ne pourrait supporter de se battre une nouvelle fois sans faillir et qu’elle était désormais condamnée à regarder sans rien pouvoir faire, ses frères d’armes tomber un à un sous les coups de l’ennemis. Mais l’amour dont elle était porteuse avait grandit, s’insinuant dans le moindre de ses mots, le moindre de ses gestes ou de ses pensées. Il était sa force, son courage, son ardeur, elle était son cœur. Elle n’était rien sans lui, et lui, indissociable de son âme et de son corps ne pouvait être sans elle. Il était elle, elle était lui, un seul être qui mué par l’existence d’un autre, tentait d’exister, de vivre en harmonie. Et, si parfois sa douceur devenait douleur et sa passion, fureur, Abigaël savait qu’il était sa seule raison de vivre et que si celui-ci venait à disparaître, elle-même s’étendrait dans les larmes, succombant à la fatalité de ne jamais plus sentir sa chaleur. Aussi, elle était prête à tous les sacrifice pour que celui-ci perdure, quitte à donner sa vie pour que l’homme dont il était la source, le conserve le temps de la rejoindre dans la mort. Mais, à l’inverse, si son âme soeur périssait, elle aspirerait sans doute à la rejoindre immédiatement.
Abigaël se mit à réfléchir, essayant de trouver un moyen d’empêcher son amant de combattre…

*Abigaël…Nous devons nous battre, et j’ai bien peur qu’il est maintenant impossible pour moi de rester ainsi inactif…Pardonnez moi mon âme, mais pour notre futur, Neolias ne dois pas tomber*
Nim l’avait embrassé et s’était détourné d’elle, cheminant seul vers les combats. Elle, ne sachant quoi lui dire, était restée muette, le visage accablé par la conviction de ne jamais le revoir en vie.
L’amour…

[…]Papa ! Papa ? Tempêta-t-elle une nouvelle fois, les yeux pétillants de candeur entre les échos lugubres de ses appels. Elle ouvrit une porte, puis deux, fouillant l’appartement à sa recherche. Elle était certaine qu’il était ici, qu’il se cachait pour l‘effrayer, comme il aimait le faire avant de la prendre dans ses bras et lui raconter les histoires merveilleuses dont il était sujet pendant la journée. Qui plus est, la fillette l’avait entendue rentrer une heure plus tôt, et bien que sa mère lui avait ordonnée de rester sagement dans sa chambre, l’envie de le voir était plus forte, presque tyrannique, c’est pourquoi elle était finalement sortie de la pièce dans laquelle on l’avait contrainte à rester.
Bientôt, il ne resta plus qu’une pièce à visité : L’appartement dans lequel ils avaient emménagés deux ans plus tôt étaient beaucoup plus petit et bien moins mystérieux que la maison de sa basse enfance. Autrefois, elle pouvait gambader librement, découvrir de nouveaux endroits chaque jour, aujourd’hui, elle faisait rapidement le tour du lieu ou ils vivaient. De plus, Dame Sonia n’était plus là pour la surveiller. A l’époque, elle jouait avec elle, la protégeant de tout les monstres de l’extérieur, faisant même éloigner celui qui se trouvait sous son lit ou dans son placard. La fillette l’avait aimée comme une grande sœur, comme la seule amie qu’elle avait eut. Puis, son père lui avait dit qu’elle était tombée malade, qu’elle ne reviendrait sans doute jamais. La petite fille ne l’avait jamais revue, Dame Sonia avait disparut de même que la maison et seul son maigre souvenir subsistait désormais.
Elle ouvrit la dernière porte…
Son regard de jade dissimulé derrière de longues mèches fauves aux extrémités flamboyantes, contempla la pièce. C’était la chambre de ses parents, une pièce à deux lits bien distinct, sobre, sommaire. Les volets étaient clos et la seul lumière qui y parvenait provenait de la porte entrouverte, là même où se trouvait la fillette. Dans un coin, sa mère était assise, le regard froid et suintant de colère, braqué contre une silhouette noirâtre en suspension dans l’air à quelques centimètre du sol, son père.
Il était là, le cou rougeâtre et glabre, les cheveux en bataille, visqueux, collés le long de son visage bleuâtre par la salive, les larmes et la sueurs.
Celui-ci contempla de ses yeux vides et globuleux l’encadrement de la porte, puis continua son chemin, tournant puis retournant comme une marionnette, lentement autour de lui-même. La fillette resta stoïque, captivé par la vision, présumant que son père venait d’inventer un nouveau jeu…
Puis sa mère la remarqua, hurla qu’elle n’avait rien à faire ici, qu’elle ne devrait plus jamais venir ici, l’ordonnant d’aller dans sa chambre. Mais il était trop tard, Abigaël venait de comprendre, elle avait vue la corde…
Dit pouquoi tu nous aime plus Papa, murmura-t-elle, les yeux pétillants d’inquiétude tandis que sa mère la prenait dans ses bras[…]

Abigaël se releva.
Son regard de jade se figea sur les massacres, les assauts et les cadavres en contrebas. Puis, essayant de distinguer la silhouette de son amant, elle songea que s’il lui était arrivé quelque chose, elle se jetterait dans la bataille avec l’espoir d’y mourir en sa compagnie.

Le combat commençait à s'éterniser, les protagonistes échangeaient coup sur coups, feinte sur contre et personne ne parvenait à gagner le moindre centimètre carré de terrain. Histrion avait tout fait pour ne pas reculer, et il n'avait rien cédé à l'ennemi. Il devait puiser jusque dans ses plus profondes réserves pour rester ainsi face à l'ennemi sans faiblir. Plus que tout, les flèches de son allier l'aidaient dans ce combat. Elles ne tuaient pas car elles étaient sans cesses contrées, ou esquivées et quand par miracle elle atteignaient leurs cibles et qu'on espérait enfin voir un de ces guerriers si parfaits tomber, elle ricochaient bêtement sur leurs armures.

Si jamais il parvenait à percer une défense aussi élaborée que celle qu'on lui opposait, il faudrait également qu'il tienne compte de cette armure qui sans gêner les mouvements de leurs porteurs leur assurait une protection supplémentaire d'une qualité rare.

Histrion s'était en plus placé dans une situation assez particulière qui ne l'enchantait guère. Se trouvant être, avec l'aide de son archer un point de résistance particulière, les troupes drows avaient réussi à gagner un peu de terrain autour de lui et il se trouvait à un stade déjà avancé dans
les lignes adverses. Autour de lui quelques autres soldat de néolias essayaient de venir le soutenir mais ils tombaient les uns après les autres et au vu des attaques qu'il devait encaisser de toutes parts, il sentait que son tour viendrait lui aussi presque aussi inexorablement. Deux champions néoliens avaient réussi à percer ces lignes infranchissables et ils semblaient à présent seul au milieu d'un cercle de combattants ennemis. Vu l'étroitesse de la rue, en rejoindre un des deux signifierait sans doute pour lui un retour à une situation plus acceptable.

Il y avait cependant une distance importante entre lui et le plus proche de ces héros. Il amorça alors lentement une petite retraite, indiquant d'un signe de la main à son archer qu'ils devaient se replier. Tout en restant sur ses gardes, sans tourner le dos à l'adversaire il recula lentement vers les lignes de néoliens. Il parait tantôt une feinte qui le déséquilibrait, une flèche venait le sauver puis il parait une nouvelle attaque qui écorchait son épaule ou sa cuisse. Puis il se sentit soudainement entouré par la foule de ses alliés qui reculait elle aussi un peu. Puis estimant qu'il était à présent hors d'atteinte il rompit les rangs, traversa la masse compacte des défenseur pour arriver au niveau d'une habitation. Il enfonça la porte d'un coup de lance, et s'engouffra dans la bâtisse sombre.

"Vas à l'étage et couvre moi, je vais essayer de rejoindre le nain!"

L'archer acquiesça et s'exécuta. Puis Histrion traversa d'un pas rapide l'habitation, il sortit un peu plus loin par une fenêtre et comme il l'avait prévu, il était à présent tout proche de ce combattant dont l'audace et l'habileté l'avait mené jusque là. En deux pas Histrion fut aux cotés du vétérans. Peut-être qu'à eux deux le combat tournerait enfin en faveur de Néolias.
Alors il perçut un cris derrière lui. Il jeta un très bref regard et vit avec horreur et stupéfaction l'archer, posté à une fenêtre, touché par une flèche, qui reculait et s'effondrait. Il maudit intérieurement le drows qui avait fait cela et il se trouvait à présent scindé entre deux proposition, reculer et aider un ami, rester et risquer sa vie pour une patrie qui n'était pas réellement la sienne.

Le combat avait été très rude dans les ruelles, Tyrea avait crut à mainte reprise son heure arrivée mais il avait survécu à l'instar de ses compagnons et au grand désespoir de ses ennemis, cela en partie grace à une troupe de renfort qui était venu les aider et avait fait basculer le combat dans leur camps, laissant Tyrea put donc repartir vers le manoir, mais seul cette fois, car tout ceux qui l'avaient alors suivit jusqu'au combat s'en était allé, loin de toute cette violence et Tyrea priait pour leur salut. Les dernier rayon du soleil disparurent pour laisser place aux ténèbres. L'espoir semblait s'être envollé avec les dernières âmes de ses alliés. Mais ce n'était pas la fin, Tyrea se dirigea vers le manoir, rongé par la culpabilité. Ce fut lui qui les avait envoyé se battre; ce fut lui qui donna la charge, et ce fut encore lui qui ne put les sauver.. Il n'était pas assez fort pour les protéger, eux, ses frères d'épées. Il sentit une de la rancoeur envers lui même, ronger de l'intérieur par une soif de puissance qu'il pourrait mettre au service des autres, mais comment l'acquérait-il? Lui, un simple lancier de Néolias. Il avançait au rythme des fracas de son armure déformée et perforée par endrois qui résonnait comme un glas, sa lance et son bouclier près à frapper, il aperçut un groupe bien étrange se livrer une bataille isolée, des défenseur de Néolias s'heurtait à des squelettes, véritables automates ambulant. Il commença à courir vers le coeur du combat, là où il ferait la seule chose qu'il pouvait faire, combattre.

Lorsqu'il s'approcha, il alla s'en prendre aux squelettes dans un premier temps jusqu'à ce qu'il se fasse attaquer par un des soldat de Néolias, son épée parrer par le pavois de Tyrea qui commençait à avoir l'habitude d'être assaillit de tout côtés. Le possédé avait surpris Tyrea qui fut désiquilibrer par cette attaque surprise, ils tombèrent ensemble. Les yeux des deux hommes se croisèrent, et Tyrea put voir les orbites blanche comme l'âcre luirent sous un rayon lunaire éphémère. Il ne comprennait plusrien. Les soldat n'était pourtant pas des zombies alors pourquoi se battait-ils contre lui? Pourquoi n'avaient-t-ils plus d'iris? Dans quelle bataille c'était il retrouvé?

Le zombie hurlait et essayait de le mordre de sa bouche hurlante et distendue, Tyrea le retenu avec son gantelet de fer, la créature redoubla d'ardeur, faisant couler un filet de bave jusqu'à son épaulière. Cet homme semblait torturé et avait perdu toute humanité, d'un air plaintif, Tyrea se saisit avec de la tête du garde avec les deux mains puis l'envoya en l'air d'un puissant coup de lattes
Il se releva, ramassant ses armes. A peine avait il pu se redresser qu'un autre possédé se jeta sur lui, l'épée frola son visage. Un autre coup. Tyrea lui faucha la jambe déjà éventrée avec sa lance en coix. Le soldat tomba à terre. Son attention se fixa sur un squelette en difficulté contre deux gardes. Il tranperça la tête de l'un d'eux. Alors qu'il retirait la pointe de métal crépitante dans une gerbe rouge, l'ennemi ne s'effondra pas malgré sa cervelle qui coulait du trou béant. Il sentit une main s'accrocher à sa jambe. Celui a qui il venait de découper la jambe s'agrippait fermemant, ses ongles rappant le fer de son armure dans un grincement horrible.

Tyrea regarda autour de lui. « Suis-je en enfer? » pensa-t-il devant la vision cauchemardesque ou le frère combattait le frère et où les morts revenait pour accomplir les sombres desseins de leur maître.
Bien décider à donner le repos aux morts une bonne fois pour toute, le possédé avait dégainer une autre épée et tenta un estoc vers le ventre du lancier. Il enfonça de nouveau sa lance dans le cou de l'être rampant avant d'être toucher, le décapitant, puis il sorti sa hache en rangeant sa lance.
Le possédé gigotait dans tout les sens, désorienté sans sa tête. Tyrea commença à faire trouneoyer sa hache dans un halo bleu, un ennemi chargea, il perdit un bras, celui qui tenait une lourde masse d'arme. Le lancier put admirer avec quel lenteur ses ennemis frappaient, « il faut croire que la mort et la décrépitude vont de paire.. pauvres âmes torturer, laissez moi vous oulager de cette malédiction.... » Un deuxième coup alla découper l'autre bras de l'assaillant mais fut paré par un petit bouclier de fer déormais déformé par l'impact "hmm, ils n'ont rien à voir avec des zombies ordinaires...". Le dernier coup le mutila affreusement d'une blessur partant du coup et s'arrêtant sous l'épaule. Même sans bras, la créature se mouvait encore. Il était touujours insignifiant, il ne pouvait même pas accorder la paix à un mort vivant. De rage, il envoya un crochet dans le visage de la carcasse pourrissante qui s'écras sur le sol, pour mieux se relever.

Malgré l'immortalité des créatures, il trouvait se combat facile. Jusqu'à ce qu'une voie lugubre s'élève. Son regard traverça le lieu de duel pour se poser sur un drow qui se tenait en retrait. "Je suis sur que cette pourriture les controle!" Il ne comprit aucun de ces mots mais les secondes qui suivirent, trois possédés se jettèrent sur lui. Il put en repousser un avec son bouclier mais succomba à la masse organique et hurlante qui essayait de le tranpercer avec des dagues. Cherchant désepérément de l'aide autour de lui tout en se protégeant grâce à son pavoi, il aperçut une femme en robe noire et arborant un masque mortuaire; il connaissait cette personne, mais où l'avait il vu?
Il avait trop réfléchit, disperçant son attention et une dague alla se figer dans son mollet, Tyrea laissa un cri de douleur sortir de sa gorge et venant se mêler aux baillement surnaturel des cadavres ambulants

Edit Zazak : Attentio, tu te bat pas contre des zombie ! Et c'est pas encore la saisons ou les membres tombents ! OPublie pas que se sont d'anciens défenseurs de néolias, (et qu'ils possèdent donc encore tout l'équipement qu'ils portaient de leur vivant) et que comme l'a précisé Modamar, par un étrage sortilège, ils ont su garder leurs capacités guerrières ! Ils sont plus fort, plus agiles, et plus resistants que de bêtes Zombie ! Se sont quant même d'ex vétérans de Néolias, Pour ainsi dire, qu'en combat 1 contre 1, tu aurai déja du mal.

Ok je prend note

Sarius qui avait combattu ses ennemis avec fougue. A la fin dans la bataille de la ruelle il ne rester presque pas d'ennemi ni d'allier. Il vu Tyrea parti vers le manoir, il le suivit. Soudain il fut attaquer par un squelette, le combat ne dura pas longtemps mais après que Sarius est abattu son ennemi il vu les os bouger. Il décida de s'éloigner car des ennemis immortels c'était chiant à butter puisque qu'ils étaient immortels. Il retrouva Tyrea qui avait était blesser à la jambe il s'approcha de lui pour le tirer en dehors du combat le temps qu'il reprenne ses moyens, il aperçut plusieurs personne qu'il connaissait, il reconnu un certain nain qui l'avait aidé longtemps au par avant. Sarius, après avoir laissé Tyrea à l'abri parti sur les toits des maisons, il pouvait voir la bataille et son envergure. Il arma son arbalète, visa et tira; le carreau fila et alla se figé dans le front d'un garde possédé, il avait préférer cette cible à un squelette car ces dernier ne craindraient sans doute pas un carreau dans le crane. Soudain il vit deux grades possédés montaient sur le toit où il était. Il tira un carreau sur le premier qui se trouvait au bord, ce dernier reçut le carreau dans l'épaule puis il tomba du toit. Sarius rangea son arbalète et dégaina deux épée courte qu'il portait, il fonça sur le garde restant, le combat allait être dur

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