La Guerre [Acte 1]

Répondant aux ordres du lieutenant, ils firent échos à son crie pour avancer lentement mais surement, protégé derrière la barrière de lance. Mais un fait inatendu se prodiot, les orcs se jetèrent d'eux même sur les lances, action qu'ils ne comprenèrent dans un premier temps mais qui trouva son sens lorsqu'ils ne réussirent plus à s'en servir. Tous sortirent leur arme de leur fourreau, se battant à une main, refusant d'abandonner leur lance. Tout ce compliqua encore lorsque de nouvelles échelles apparurent sur leur flanc. Bientôt, d'horribles visages grimaçant et verts firent leur apparition au dessus du mur. L'un d'entre eux rencontra la prétresse illuminé et sement la mort autant que possible. Soutenu par quelques rescapés et son supérieur, Tyrea ne douta pas qu'ils tiendraient encore quelques temps.

Il revint en une fraction de seconde à son combat. Emputé d'un bras, ils combattirent non sans mal les peaux vertes qui se marchaient dessus pour se battre. Lorsque les derniers corps empaler tombèrent au sol, tous lachèrent leur lance, convaincu que les cadavre n'iraient pas s'écraser plus bas. A l'unisson, un bouclier s'encra dans sur chaques bras qui n'était pas encore armée.
S'engagea un violent corps à corps. Les deux groupuscules se chargèrent mutuellement sur quelques mètres. Et une sanglante mêlé débuta, les coups d'épée, de hache et de masses tombèrent sur chaques hommes; Tyrea, lui, gagna son duel assez rapidement non sans récupérer quelques entailles là où son armure ne le protégeait. Alors qu'iml acheva son assaillant d'un coup d'épe, un autre orc manqua de lui trancher la jambe.

Il se figea un instant, regardant autour de lui. Les hommes criaient pour se donner courage, à chaques orc écrouler, deux autres apparaissaient, les combats fesaient rages. Une lame se dirigea vers sa gorge, et par reflex esquiva, échangea quelques passes et fit tomber son ennemi en lui brisant la jambe, achevant l'infâme créature. Sur sa doite, les carreaux des arbalétrier semblaient s'envoller au ralenti pour faucher plusieurs orcs à chaques volé, un de ses confrère perdit un bras au milieu du flot de sang qui s'écoula. Un autre ennemi lui le planqua au sol en se jetant sur lui mais ne reçut qu'une lame dans le dos, lépée du lietenant.
Ils n'allaient pas tenir longtemps...
Soudain, une explosion résonna et la horde hurla de haine, une brèche.
Le dernier orc tomba enfin, ils consolodèrent leur position et attandait le prochaine assaut. Tyrea se tenait à côté de son mentor pendant cette guerre, il lui souria, essayant de lui redonner un peu d'espoir, mais en vain.

Allons, tous ne vas pas si mal, si nous mourrons, se ne sera pas sans but, et puis... le rideau grisatre de se monde d'éclaircira et alors vous les verrez.... les étendues blache et au dela, la lointaine contré verdoyante (puisqu'on par dans les sitation je m'y met ^^)

Une flèche lui transperça le coup, venant clore son discour sous les yeux ébahis de Tyrea. Son regard se porta au loin, des drows, ils revenait donc une nouvelle fois?

A terre!

Les survivants se plaquèrent contre les crénaux, évitant la plupart des flèches, Tyrea se demandais pourquoi les orcs mettaient tant de temps, il reçut une réponse plus qu'explicite.

Histrion se battait avec plus d'aisance à chaque ennemi tué, si ses forces pouvaient diminuer du fait de la fatigue, c'était la première fois qu'il se battait depuis longtemps et il prenait confiance en lui. Même s'il n'aurait sut dire si les attaques qu'ils portait avec tant de succès lui venaient plutôt de son entrainement récent où de son expérience passée, il était certain d'une chose, il n'appartenait plus à ces soldats improvisés qui mourraient tour à tour.

Une autre particularité d'Histrion était que contrairement à tous ces autres soldats qui hurlaient pour un rien et pensaient ainsi se donner du courage, il demeurait parfaitement silencieux, tuait autant pour son propre compte que pour la survie de Néolias, et il ne tirait pas la moindre gloire de ses actes - et cela bien qu'il les estima juste et légitimes.

Durant le combat il avait ramassé un bouclier orc et il avait dut lâcher sa lance car trop encombrante, peut-être la récupèrerait-il, peut-être pas. Cela lui importait peu quand il voyait non seulement la quantité d'armes qui jonchaient le sol en plus des cadavres, mais surtout du fait de la bataille elle même. Il avait plus à se soucier pour sa propre vie que pour ses armes.

Il para une attaque verticale avançant sur l'ennemi dans un même temps, le coup sembla le clouer au sol mais il avait une ouverture parfaite sur la façade de l'orc et il ne lui fallut qu'un geste pour perforer son torse. Il garda un instant le cadavre de l'orc contre lui s'en servant pour parer une nouvelle attaque, puis il s'en sépara reculant d'un bon en même temps. L'orc lui lança alors son arme pensant certainement l'abattre de la sorte mais le projectile resta fiché dans le bouclier qui commençait déjà à partir en lambeaux. Il se jeta alors sur l'orc désarmé qui tira au dernier moment une cimeterre du fourreau et qui manqua de lui tronçonner un bras. Puis comme dans un désire de complique la situation, un autre orc arriva derrière lui. Dans une tentative désespérée il se jeta dans ses jambes, envoyant dans un même mouvement les restes de son bouclier au visage de l'autre. Son épée sectionna une cheville, un corps tomba à la renverse tendis qu'il se relevait de l'autre coté prenant un peu de distance. Mais alors qu'il esquissait un mouvement de retraite deux autre créatures lui barrèrent la route. Il esquiva une attaque d'un bond en arrière et taillada un bras, puis il voulu regarder derrière lui pour s'informer de la progression de ceux qui le prenaient en étaux. Ils avaient étés remplacé par un soldat Néolien déjà blessé qui venait l'aider.

Ils résistèrent autant qu'ils le purent, ne jouant que sur la défensive contre une marrées verte qui croissait sans cesse. Parfois ils en abattaient un qui tentait une action trop audacieuse. Une volée de flèche vint éclaircir les rangs ennemis mais Histrion et les autres défenseurs de Néolias perdaient du terrain.

Ils se pensait perdu quand une explosion vint ébranler le mur. Cette fois non seulement il ne se fit pas surprendre, mais en plus il put profiter d'une seconde d'inattention des orcs pour faire une percé, il trancha la gorge du premier, perfora la poitrine du second et il s'attendit à recevoir un coup de hache dans le dos tendis qu'il s'enfonçait dans la troupe verte. Mais ceux les Néoliens qui l'accompagnaient profitèrent de l'occasion et le suivirent dans sa charge désespérée. Son épaule fut entaillée, et il chuta quand on le bouscula pour l'expulser du mur, il se recroquevilla au sol, sur le dos, fauchant à grand coup d'épée tout ce qu'il y avait autour de lui. Il sentit sa jambe se déchirer et ses attaques faiblir quand enfin la troupe compacte qui l'entourait disparut. Il était entouré de cadavres orc et quand il se releva avec peine, les membres anquilosés, toute une portion de mur avait été reprise.

Puis on le prit par les bras le tirant en arrière, une volée de flèche s'écrasa autour d'eux, des flèches ennemies.

"Par tous les diables, ces satanés drows sont là aussi, et le mur est ouvert! Nous somme perdu!"

Un homme venait d'hurler derrière lui, un autre qui l'aidait à se relever le rassura.

"La bataille n'est pas perdue, vous avez été magnifique, je connais un peu de magie, je vais soigner vos blessures"

Une nouvelles volées de flèches s'écrasa sur le chemin de ronde, fauchant plusieurs hommes qui se repliaient dans une débâcle monumentale. Il sentit une douces chaleur irradier ses membres et sa tête lourde reprit petit à petit de sa conscience.

Le cor sonna dans la cité Néolienne, je me réveilla à ce son, que se passait-il?Je restais allonger afin de bien me réveiller et comprendre la situation, mon esprit encore engourdit du trop peu de sommeil de cet nuit qui débutait à peine,je me leva, m'habilla rapidement et pris mon armure de fer légère que j'attacha , les lanières de cuir bien sérré pour éviter de ce détacher, l'armure scintillait .Trop peu utilisé, cet dernière ne serait que plus efficace.Je pris mes armes et sortit.Mon arc dans le dos et mon katana ainsi que le tanto à la ceinture, un soldat néolien passait au milieu des gens sortit pour savoir ce qu'il se passait, il criait:
"Des orcs, une attaque massive !Aux armes !!"
je me précitpita alors vers la porte principale,je voyais des femmes et des enfants pleurer et térrorisé sur le chemin, la ville s'était bien développer,a présent je courais dans les rues pavé de néolias,l'étendard de la ville en main, j'approchais à grande enjambée vers la porte principale, quand je trébucha ,mais je me rattrapa de peu, les reste d'une secouce me parvint et me déséquilibra.J'entendais un soldat criait que la muraille sud avait cédé...
*C'est la qu'il y aura surement plus de combat...*
je pivota et me dirigea vers le mur brisé.
*je peux laisser ce mur, tous les meilleurs combattant ce sont surement réunis la bas, je n'ai pas leur force mais je ne peut laisser des jeunes recrues se faire tuer...*

Le gnome restât là, un instant, regardant la scène d’un air neutre. Bizarrement, personne ne semblait s’intéressait a sa présence, sans doute tout simplement parce que peu savait qu’il était sans doute capable de détruire une cohorte d’orc en claquant des doigt… Ses derniers passaient en beuglant a coté de lui, tels des fauves … Bon, il fallait avouer que le gnome n’était pas habillées en couleurs vive, et se trouvait a l’entrée d’une ruelle assez sombre, et qu’il était très dur de le voir, étant donné qu’il ne faisait aucun mouvements

**Ben quoi, qu’est ce qu’ils attendent pour les repousser !**

Surpris, le gnome regardât sans bouger une vague de guerriers orcs achever un petit groupe de résistance elfe à l’entrée d’une ruelle.

**Pfuuuu faut vraiment tout faire soit même dans cette citée … Dés que ce bordel est finit, je déménage …**

Incantant rapidement et agitant une main d’un air absent vers un orc s’apprêtant a achever un Néolien, Sa longue épée rouillée se changeât tout a coup en … Baguette de pain … Du moins, c’est ce que l’illusion du gnome avait fait croire a l’orc. Le peau verte, bien trop ébahit par ce tour de magie de bas fond –dont il ne connaissait pas l’origine- Oubliât lors d’un instant qui lui fut fatal le Néolien, qui put transpercer de sa la lance la grosse tête de la bête avec la force du désespoir… Le gnome regardât alors une énorme masse d’Orc se diriger dans sa direction … Et comme par hasard, aucun Néolien ne se trouvait prêt de lui pour lui servir de bouclier …

**Hum voyons voyons … Qu’est ce qui pourrait m’être utile dans une telle situation, alors qu’une dizaine d’orc se déplace librement vers moi … Va falloir que je leur fasse peur …
…
Merde … Un orc, sa a peur de quoi ? Hum … Ni de la mort, ni du sang … Oh, je sais ! Hihi, on va rire tout les vingt ! **

Le gnome lançât son sort, et se glissât encore un petit peu plus dans l’ombre de la ruelle, puis il attendis que les orcs approchent le plus prêt de lui, quant il sortit tout a coup, et Hurlât. Cependant, le regard terrifié des Orcs en dit long sur l’apparence qu’avait du prendre son visage grâce a son sort d’illusion … malheureusement, il n’avait pas moyen de se regarder dans une glace a l’instant présent … Sa l’aurait pourtant bien fait rire… Tout de même, voir une demi douzaine d’orc reculer en tremblant devant un être deux fois plus petit avait le don d’être assez comique… Ce qui l’était moins, était les 3 Orcs qui semblaient plus valeureux et étaient restés …

Le gnome réfléchit à toute vitesse … Un sort pour tuer trois personnes en même temps, il en connaissait ?

…Ben non …
Mais il en connaissait un pour se diviser en trois, ce qui lui permettrait de fuir plus facilement … Cependant les Orcs ne semblèrent pas vouloir lui laisser le temps de lancer son sort. En effet, l’un d’eux venait de lancer un coup dévastateur avec sa hache à double tranchant, qui détruisit presque entièrement le mur a l’endroit ou se trouvait un instant plus tôt le gnome… Dans le cas présent, il ne lui restait plus qu’une solution … Courir, et c’est ce qu’il fit, d’ailleurs assez bien, puisque par chance, il se retrouvât face à un groupe de résistant Néoliens … Il leur laissât grassement s’occuper des trois orcs enragés qui le poursuivaient, pour maintenant essayer de retrouver le Capitaine de l’armée, histoire de s’informer un peu … Après tout, c’est ce qu’il faisait le mieux : Apprendre, comprendre, puis utiliser.

Le mage se concentrait tuojours alors q'uil put admirer une vollée de flèche mais qui se dirigeait curieusement vers les murailles. Il se redressa alors qu'il rechargeait, un carreau entre les dents. Au loin, une marrée verte qui ne semblait avoir diminuer malgrer les montagnes de cadavres qui s'aglutinaient contre les murailles, étant parfois à moins de deux mètres du bord dans lequel le sang humain et orc se mélangeaient dans une source sanglante.

Son brave corbeau lui ramenait de petit morceaux de chair que son maître et lui se partageaient tout en admirant les massacres. Soudain, une explosion retentit et d'énormes bloc de pierres s'envolèrent des deux côtés du champ de bataille, épargant plus de soldat situer majoritairement sur la muraille que les orcs dont les rangss furent fauché par les rocs.
En bas, les renforts néoliens arrivèrent à la brèche, luttant pour que les orcs ne puissent monter et le gouffre se figea lorsque les deux camps réfugiers derrière leur boucliers essayèrent de passer en force.

Qu'est ce que?

Son attention se perdit vers le point d'origine du son explosif. Ils avaient percer une brèche dans la muraille, et cela n'arrangerait pas ses plans qi s'envolèrent en même les immense blocs de pierre.
Aussitôt, Jack et son familier sautèrent sur un autre toit, cette fois lisse et surplomber de rebords de pierre. Et lorsqu'il vu ses congénèrent, il eut instantanement un plan.

Et si je fesais ça et puis.... Hihihi, sa promet d'être amusant.

Il prit son arbalète, visa et lacha unepluie mortelle de fer qui faucha plusieurs orcs malgré leur amures. Le liquide vital s'écoula sur la neige la rendant d'un rouge pur qui zigzaguait entre les morts.

Il remit son masque et ses yeux se mirent à luire, il s'apprêta à descendre quand une flèche lui coupa égèrement l'épaule, très vite, d'un regard perçant, il regarda tou autour de lui, voyant un drow qui le fixait, arc à la mains. Malgré la distance, sont tir précis allait se figer dans la tête du damné. Par reflex, il esquiva la flèche et se coucha. Il replaça plusieurs trait sur son arbalète et une fois cargé, il passa la tête au dessus du muret rapidement, visualisant sa cible. Elle se tenait à quelques 80 mètre plus bas. Il rempa pour séloihner secrètement du tireur. Lorsqu'il se redressa, il crucifia tout ceux qui se trouvait autour du drow, de même celui ci disparut derrière quelques orcs. Son regard scrutta l'horizon et la silhouette de l'elfe noir se faisait spectrale. Lorsqu'il le repérait, ce dernier le tenait en joue et lui tirait dessus. Jack savait que sans la distance qui les séparaient, il aurait rejoind les enfers il y a bien logntemps.
Ce fut une véritable partie de cache cache qui débuta, les deux economisant leur munitions autant que possible.

Et merde, voilà un gors imprévu...

La crucification de Jack lui coutait trop chère en munition et décida d'adopter une visée indiscutable où un seul carreau irait répandre la mort chez l'ennemi.
Le temps passa et les deux adversaires ne se souciaient plus de la bataille, subjuger par leur jeux mortel.
Jack se redressa, attenit que le drox tire le premier... Enfin la flèche fusa vers lui, il s'échappa de sa trajectoire et répliqua d'un tir bien placé dont l'appel d'air hurlait tel le cri de la banshee et passa dans l épaule du drow. Le carreaux n'avait pas atteind un organe vital à son grand regret. Son camarade de jeux le regarda fièrement et leva son étuit, vide de munition avant de s'évporer dans la masses verte qui avançait inexorablement.

Nim, murmura-t-elle avant de se détourner brusquement de cette vision fugitive pour entrevoir entre les rangs désordonnés des orcs de sombres silhouettes qui par malheur annonçaient un combat bien pis qu’il ne l’avait été jusqu’à maintenant. En effet, les défenseurs devraient bientôt faire face à un ennemis des plus mortelles, un ennemis dont l’intelligence surpassait de loin la simple rage des peaux vertes ou des trolls, un ennemis doué d’une conscience moral, d’une raison qui bien que froide comme la lame d’une épée émanait d’une société, d’une conviction commune de ce que devait être la civilisation, d’un rêve austère ou la liberté d’être serait corrélative de sa négation et ou l’égalité s’incarnerait dans la conception illusoire d’une femme Elfe Noire supérieure.
Non c’est…c’est impossible, bredouilla-t-elle, stoïque, abasourdit par la désagréable surprise de n’avoir pas considérer cette éventualité comme possible, par l’impression saumâtre de s’être fait abuser par ses propres espérances. Non, Abigaël n’avait pas pensée une seule seconde pendant qu’elle luttait pour défendre les murailles de Néolias que les défenseurs allaient finalement se mesurer à des adversaires perfides capables à eux seuls de renverser la ville et tout les rêves qui s’y étaient développés depuis le cataclysme.

Pourtant, lorsqu’elle était encore à la tête de la compagnie elle avait supposée à juste titre que les orcs ne pouvaient se rallier d’eux même sous la même bannière, qu’il y avait un esprit derrière cette ode aux massacres, au sang et à la haine et cette esprit s’était maintenant en partie dévoilé. Et même s'il était fort possible que derrière les matrones drows, se dissimula encore bien pis. Abigaël n’abandonna pas toutes espoirs, elle se remit bien vite du choc dont elle avait été la complaisante victime pour se reprendre une nouvelle fois, se servant de son épée comme d’un étendard, pour pourfendre les orcs qui continuaient malgré les nombreuses pertes dans leurs rangs de se hisser sur les murailles.

Elle chassa les drows de ses pensées pour se concentrer sur le combat en lui-même, mais il eut autre chose qui la préoccupa. Depuis qu’elle avait aperçut Nim, affrontant avec aisance les forces ennemis qui par malheur le croisaient, l’envie de combattre a son coté fut plus forte que l’appréhension d’être rejeté par celui-ci pour les exactions qu’elles avaient commises par le passé. Elle se dégagea un passage entre les cadavres encore chaud qui parsemaient de toute part les remparts, pour se diriger vers le dernière endroit ou elle l’avait aperçut, et c’est là qu’elle le retrouva, dans une posture semblable à celle qu’il arborait quand elle l’avait distingué et que leurs regards s’étaient croisés.

Or, même si la perspective de le voir bel et bien en vie et de ne pas avoir à le chercher davantage dans le chaos glauque de la bataille, elle ne sut pas quoi lui dire, toute les phrases qui s’étaient formés dans sa tête quelques secondes plus tôt s’étaient envolés comme l’oiseau que l’on libère de sa cage. Elle était là, l’air malingre, restant immobile au milieu des affrontements à quelques mètre tout au plus du nain, oubliant un instant qu‘elle se trouvait de ce fait en danger de morts. Elle reprit sa respiration, se calma, puis s’exclame d’une voix douce et peu assurée simplement, Nim…

La nouvelle de la brèche ne mit pas longtemps à atteindre le consulat, en
réalité elle avait été communiqué à la seconde même et en moins d'une
minute la garde personnalisé de Bogard Vincieux guidée par le consul
lui même arriva au niveau de la brèche, peut-être avait-ce été un
miracle, mais les orcs n'avait presque pas put progressé, retenus par
des nains farouches et quelques vétérans valeureux qui sans en avoir
l'aire donnaient bien du file à retordre aux assaillants. La troupe
n'arriva d'ailleurs pas seul, Jace Beleren était juste derrière avec
deux de ses apprentis et ils avaient déjà commencé à jeter toute sorte
de sors pour soutenir la garde qui chargeait. Bogard, parla, la voix
amplifiée par la magie de Jace et on pouvait l'entendre partout dans
Néolias.

"Soldats de Néolias, nous nepouvons plus tenir le mur, il va falloir organiser la retraite versl'intérieur de la ville mais surtout je ne veux aucune débâcle! Sachezque ceux qui auront fuis aujourd'hui ne vivrons plus demain et ils
auront contribué à la victoire des orcs! Nous allons organiser une
résistance de rue, à l'abri des flèches drows! Nous allons ériger des
barricades et leur faire payer chaque mètre de terrain! "

Puisil arriva au corps à corps, découpa un orc d'un coup d'épée tendis que
ses garde appuyaient sa percée et causaient des ravages
impressionnants. Deux ans de chasse à l'orc, ça vivifie les hommes et
ça donne un peu d'expérience.



Jace lui avait laissé la garde contenir la charge orc et s'était tourné vers
les habitations toutes proches. Par chance elles étaient vides et il
n'y avait aucun archer sur leurs toits, alors il fit des signes à ses
apprentis et ensemble ils commencèrent à incanter, le sol sembla
trembler, il y eut plusieurs explosions et les maisons s'écroulèrent
les unes après les autre créant un nouveau rempart contre l'agresseur.
Ils modelèrent ensuite le nouveau mur à l'aide de leur magire,
entassant les pierre et hérissant les poutres tel des pieux acérés.
Quand ils eurent finit, l'accès à l'intérieur de la ville était de
partout bloqué à l'exception d'une rue étroite où les défenseurs
seraient grandement avantagés.




Chandra n'était pas resté sans tâche, il était monté sur le mur accompagné d'une troupe de soldats et mage guérisseurs de l'armée de Néolias. Il prêtèrent main forte aux hommes qui se trouvaient sur le mur et qui faiblissaient, il distribuèrent leurs soins du mieux qu'ils le purent, tâchant de préserver au maximum les forces de la ville et aidant à la
retraite. Il bougeait avec une rapidité hors du commun, esquivait et
contre attaquait subitement égorgeant ses victimes et il commettait ses
carnages à l'aide seulement d'une dague longue qui luisait avec un
éclat particulier.
Quand il redescendit du mur, celui ci avait été
presque complètement perdu mais beaucoup de guerriers avaient été
sauvés et soignés et rassemblés plus dans le centre de Néolias, ils se
préparaient à défendre la ville sous un nouveau jour.

hrp:
Les blessures ont été soignées et les forces sont revenues, les orcs
ont prit le mur et pénètrent dans la ville mais les rues étroites et la
nouvelle architecture de Néolias permettent un combat de rue à
l'avantage des défenseur ( archers aux fenêtres, barricades, ect.. )
après leurs intervention les membres du consulats sont retournés au manoir pour planifier la suite de la bataille.

L'ennemi affluait de toute part, les court moment de répit n'étaient que souvenir, désormais, ils devaient se réfugier derrière les crénaux du mur pour éviter de récolter des flèches et finire par rejoindre ceux qui n'étaient plus de ce monde.
Le desespoir l'envahissait petit à petit mais n'y succombera pas, Il voyait la pretresse d'Iba lutter avec quelques hommes, elle aussi était en difficulté, ils ne pouvaient plus tenir cete parti des remparts. Tyrea regarda à droite puis à gauche, la sueur coulait sur son front et dans son armure, il voyait ceux de sont régiment se fesant massacrer, à peine capable de supporter le fardeau de leur propre épées. S'ils restaient, il mourraient sans ralentir plus l'adversaire que queqlues seconde, c'est pourquoi il dit à tous de se replier, d'abandonner ce carré du mur.

Ses mots arrivèrent dans toutes les oreilles mais il avait oublier queque chose, il n'avaient plus d'accès à l'escalier.
Affaiblit il aurit pu paniquer, il aurait pu lancer ses dernières forces dans la batille, pour l'honneur dans la mort mais au dela de ces sentiment, sa conscience reprit le dessus, il scruta la poaroi interne du mur du regard et y décrouvrit des corps agglutinés en masse formant de grand tas cadévériques.
Il leur suffirait de sauter, au moin, bien que les orcs pouvaient les suivre, ils ne serait plus malmenés sur plusieurs front et ne subirait plus la mluie mortelle que les drows fesaient s'abattre sur les défenseurs.

Si vous tenez à la vie, suivez moi! Si vous restez ici, puisse Iba vous acceuillir mais si vous voulez survivre, replions nous! La victoire ne sera pas notre sur ce sol suillé par le sang...

Tyrea montra la voie, il récupéra sa lance encore. enfoncer dans le buste du peau verte, il rengaina ses armes et sauta sur dans le vide à plusieurs mètres de haut. Son attérissage fut amortit par les corps inertes. Mais le poids de son armure lui déboita l'épaule lors de la chute tellement elle était encombrante, et, ajouté au haut degré de fatigue prolongé dans lequel il se trouvait, ça ne pouvait conduir à une autre issue qu'une blessure
La pluspart des hommes les suivirent, trop fatiguer pour lutter plus de cinq minutes, ils avaient aussi récupéré leur lances, ou celle de l'ennemi, peut leur importait dans un tel moment et aucun ne se blessa comme l'imposant colosse qui s'érodait à chaques souffles.

Ralliez vous! Ce n'est pas encore finit!

Alors que les lanciers s'enfuyèrent, l'imposante voie de Tyrea résonna, fesant appel aux courage des hommes qui avaient combattus à ses côté. Dans un ultim effort, tous se préparèrent à recevoir les orcs les plus épris de combat. Tous chutèrent, et alors qu'il flottaient dans les airs, une volé des arbalétrier devenus fantômes, extermian la plupart des orc où les blessant gravement.
Ceux qui tenaient encore debout se jettèrent sur les humains pour venir mourir, tel un éclair, transpercé par les pointes de fer alors que les blesser mourrait paisiblement par les carreaux insensibles tandis que les soldats marchaient comme des somnambules au milieu des rues, cherchant un officier capable de les guider et de les informer.

Soudain, une voie résonna en fesant échos dans la ville, la même qu'il avait entendu lors du discourt des consuls. Soudain le courage revint, les coeurs se remplirent de la juste colère, et, dans ce qui parut un miracle, leur force revint, leur épuisement et leur blessures guérrir, ils étaient près à reprendre le combat, guider par le colosse qui se redressa fièrement, reprenant son immense lance en mains, près à pourfendre l'adversaire une fois de plus.