Les geôles (=prison)

Attérrée, Mozza contemplait ce déchaînement de folies et de violence. Le Roi !!! C'était le Roi qui se cachait sous cette défroque....Alors qu'il lui aurait été si simple de se présenter et de faire preuve d'autorité. Décidement, ce pauvre monde partait à la déroute. Si les puissants n'avaient d'autres ressources que d'utiliser les plus basses vilénies des communs des mortels, ils ne resteraient pas puissants bien longtemps...
Froidement, elle retourna s'asseoir. Il était hors de question de participer à cette mascarade.

Euh ouais... Xptation:

Ziramel: Très beau Rp tout le long : 600Pxs
Mozza: Pareil, moins active vers la fin: 550Pxs (pour t'embêter)
Mininus et Zazak: 500Pxs

Sarius, parce que je t'aime: 2Pxs

Comment ça, moins active sur la fin ??? C'est que j'ai un GNP à préparer, moi ! Alors fais gaffe, sinon t'auras des gros problèmes le week-end prochain.....

serais ce des menaces ? DDD Very Happy

bon, stop floood

Urzak, n'embête pas ta belle-maman ! Oups, j'en ai trop dis...

MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

Notre futur couple urzak et mininus.........ah mais que ce sera bo Sad

Mdr op je stop floood effacer le mess, je m'en vais réviser..... Les geôles (=prison) - Page 4 Urzak

Après quelques instants d'absence, Ziramel revint d'un pas lent et calme. Le moindre de ses gestes était mesuré, et malgré la douceur apparente de ses mouvements, il n'était ni appaisé, ni détendu. S'approchant ainsi de la cellule de Mozzarella, il se contenta de lui siffler dans un murmure ce qu'il comptait lui dire. S'arrêtant à une quarantaine de pouces des barreaux, il déclama d'un ton momocorde et sombre:

"...Je crois que nous avons un problème..."
Quelque chose clochait dans le maniérisme du lézard. C'était évident.
...C'est alors que tout devint clair : c'est justement toutes ses manières, ses tics et ses manies qui étaient cruellement absentes. Bien sûr, il restait la créature sordide et inhumaine qu'elle avait connue, mais pour la première fois depuis leur première rencontre...Il ne se comportait pas en bête.
Ses lèvres et sa gorge articulait avec une lassitude où toute la menace émanante de ses crocs était absente. Ses yeux, quoiqu'animal, étaient aussi simples et avenant que ceux de n'importe quel inconnu se rapprochant d'un animal blessé. Malgré son physique, toute la sauvagerie et la haine qui émanaient autrefois de lui de façon palpable n'étaient plus.
...Mais était-ce vraiment rassurant?
Toute comédie, toute attitude particulière n'avait plus raison d'être, et enfin cet être s'adressait franchement à celle qu'il avait condamnée à l'obscurité des geôles par colère et frustration. Qu'est-ce qui pouvait le pousser à être aussi franc à présent? Etait-ce un nouveau stratagème, ou bien la situation le désespérait-elle à ce point qu'il ne pouvait que parler franchement et chercher des conseils où il pouvait?
Sa voix reprit, toujours aussi monotone et noire:

"...Avez vous réalisé sse qui vient de sse produire?"

Tenant à la main le document avec lequel il s'était octroyé le droit d'enfermer sa comparse, son regard n'était plus qu'étrangeté. Entre ces écailles noirâtres et luisantes, ces deux perles semblaient, pour la première fois, refléter quelque chose qui s'approchât d'une conscience. Certains disent des yeux qu'ils sont le miroir de l'âme.
Aujourd'hui, peut-être ceux ci en réflétaient enfin une...

suite de: les problemes

Sarius qui suivait le garde arriva dans les geôles il vit Mozza dans une cellule et i lvit ziramel qui avait l'air bizarre.

Ziramel attendait sagement qu'une réponse se forme sur les lèbres de la jeune femme pour venir cueillir les mots qui le conforteraient. Il avait désespérément besoin de conseil. Tout autour de lui s'écroulait. Les rares qui lui avaient suscité autre chose que du mépris et de l'indifférence s'étaient tour à tour ligués contre lui.
...Aujourd'hui, le roi lui même l'avait menacé de le tuer.
C'est alors que la silhouette massive d'un milicien apparut dans l'encadrement de la porte. Les yeux hagards, ce dernier regarda, éperdu, les traces de sang encore fraix qui maculaient le sol. Alors que son visage se déomposait à mesure que la salle lui apprenait en partie les récents évènements dans un mutisme tendu, une deuxième silhuette se découpa déjà derrière lui. Armée de deux sabres dont les lames refletaient l'éclat macabre des bougies, elle s'approcha à peine suffisament pour que la faible lumière illumine son visage, tel un sombre messager.
Heureusement, Ziramel reconnu assez vite Sarius. Un homme armé dans la caserne, surtout dans une période aussi troublée, sort rarement indemne s'il représente potentiellement un danger.
C'est donc après un bref éclat lumineux parcourant ses habits dorés que le capaitaine de la milice contint son énergie et retint sa méfiance, au moins pour un instant. S'adressant à son homme sur un ton évident de reproche, et ce sans un regard, il le questionna:

"...et bien, Pëderclaf? On entre pas isssi comme dans un moulin...Que fait ssset individu isssi et pourquoi brandit-il des armes devant moi?"

**...pourquoi diable a-t-il quitté sa ronde? Et où est passé Kvorgen?!**

Visiblement, tout s'enchainait dans une perte totale de contrôle...Mais si un homme aussi dévoué que celui-ci pouvait mener de pareils gens ici, c'est que quelque chose d'autre posait problème...Quelque chose de suffisament dangereux et immédiat pour qu'on vienne expressément le voir. Si pendant une seconde, l'idée de l'épidémie suggérée par Haazel Thorn traversa vivement l'esprit du reptile, et lui souffla l'idée que le roi n'était, tout comme Urzak, plus le même homme pour cette raison, un élément le troubla profondément...Que faisait cet elfe ici? Il n'avait aucun lien avec l'épidémie? Etait-il un messager du maître mage?

Haazheel THorn entra à son tour dans les gêoles lugubres. Mais, il ne prit pas le temps d'observer et d'essayer de comprendre la présence de sang ici, le sort de Neolias était en danger, et chaque minute ne devait être perdu !
Son regard parcoura les différentes personnes présente ici, la confusion régner... mais peut importe pourquoi.

Le mage s'adressa directement au chef de la milice, et il lui annonce d'une voie rauque :

Mon hypothèse s'avoue être vrai.
Neolias est actuellement la proie d'un nouveau fléau...
La peste bleu !

Quelques gardes qui était encore ici le regardère bouche-bée.Mais peut importe maintenant, il fallait agir au plus vite.

Le quartier sud de la ville est durement touché, mais les autres quartiers semble être épargnés.

Peut-être que se parchemin pourra vous en dire plus sur le mal qui nous frappe.

Haazheel tendit au lézard un morcequ de parchemin, sur lequel étaient gribouillés quelques lignes, dans une écriture fine et pointue :

Citation :: La peste bleu

Aussi connu sous le nom de Turgon Calafalas en elfique, ou mal bleu dans le commun.

La peste bleu est comme toutes les autres pestes, brutal et devastatrices ses effet son nombreux et vont souvent du délire mental à la mort en passant par des montée de fièvres enormes, des vertiges, nausée, coma[...]

La peste bleu est une des rares maladies capable de se dévelloper dans les endroit gelées, tel les montagnes eneigée ou les contrées bien au nord de Madalor. [...]

La peste bleu est contagieuse, mais son moyen de transmission est assez particulier, si bien que nous nous sommes souvent interroger sur la possibilité d'une variante de la peste bleu qui ne soit pas contagieuse.
La peste bleu est en effet véhiculer par les rats, les hommes ne peuvent se transmettrent la maladie sans l'intermédiare des rats[...]

Les rats sont porteur de la maladie sans pour autant en être affectés, la maladie ne les rongent pas. Pour une raison qui nous est inconnu les rats son en effet immunisés à la peste. [...]

Les rats peuvent donc, en nous mordant, ou en répendant leur fientes un peu partout, propager le virus à travers toute une ville. Ainsi donc, pour contrer la maladie il faut réguler les mouvements des rats, et ne jamais les laisser circuler librement dans une ville. [...]

Aucun remède n'a était découvert à ce jour, mais les herboristes se penchent de plus en plus vers la Lessien Ar-Feiniel, petite fleur blanche se dévellopant dans les montagnes, au bord des neiges éternelles, et dont le pollen a, parait-il, un caractère guérisseur [...]

Il est déjà arriver, qu'après le passage d'une épidémie, tous un village soit re...(tâche de graisse masquant une bonne dizaine de lignes)... effet dévastarice n'est donc pas à prendre à la légère, et le pire est toujours à prévoire...

Il faut agir au plus vite. Et, le roi étant absent depuis un moment je pense qu'il revient à nous, maîtres marchands, commandnt des armée et chef de la milice, de prendre des initiatives.
Je pense que dans un premier temps il serait nécessaire de mettre le quartier sud en quarantaine !

La mine grave, Ziramel avait complètement détourné son regard de la scribe. Ses craintes étaient fondées : la maladie, plus combattive et discrète qu'aucun adversaire, s'était installée dans le camp...Une myriade de questions batifolaient dans son esprit...
Etait-ce la raison de l'état actuel du roi? Serait-il lui aussi touché, lui qui ne se souvenait pas avoir jamais été malade? Comment endiguer la peste? Que faire, enfin?!
Fixant Haazel Thorn d'un regard sombre traduisant son inquiétude, il sembla somnoler quelques instants avant de poursuivre:

"Mais même en cas de quarantaine, la ssurvie du quartier ssud sseraient impossible. Ssans échanges concrets entre les quartiers, ils dépérisssent, faute de vivres comme de protection. De pluss, même en cas de quarantaine, sselle ssi ssignifierait...la mise à mort de tous les habitants vivants dans ssette zone...à moins que l'on trouve un antidote?"

Une fine lueur passa dans les yeux du capitaine à ces mots; puis il continua vivement:

"Toute quarantaine ne peut être utile que ssi l'on découvre un moyen de guérir les malades...Ssette fleur menssionnée issi; y a t-il des hommes dont la ssélérité et le courage leur permettrait de ss'en approcher?
...Nous ne ssavons rien des propriétés même de ssette plante, ausssi ssela rissque-t-il s'être un voyage inutile. Néanmoins, à part se disspersser dans les étendues glassées qui nous entourent, ss'est notre sseule chansse..."

Le vieu magicien rélféchit un instant, le plus d'hommes possible devrait être sauver certes, mais certains devront mourir...
Il reprit alors :

La surive de Neolias imposera des sacrifices !
Nous devons endiguer la maladie, la bloquer là où elle est et éviter à tout prix qu'elle se répande dans la ville.
La quarantaine nous permettrait ceci, même ci une certaine partie de la population sera condamné.

Mais bien sûr, certains d'entre nous devront aller à la recherche de ce remède, peut-être pourrions nous ainsi sauver quelques vies. Et les autres feront de leur possible pour endiguer la maladie et dératisser Neolias.

Sarius rengea ces armes et dit a Ziramel que l'autre milicien qui avait à la garde est tomber malda je pense qu'il à atrapper se que Haaz appelle La peste bleu, je n'est pas voulut en avertir son collegue pour ne pas le tromatiser. je voulut vous voir surtout pour savoir si vous comptier délivré Moza ou pas.

Le capitaine réagi à peine aux propos de Sarius. Ne se détournant pas de Haazel Thorn, il assimila avec surprise les dires de l'elfe. La peste bleue, encore? Et il avouait un silence coupable en s'en défendant par humanité et compassion? C'était ridicule...Qu'on vienne le voir pour s'enquérir de la liberté d'une jeune traitresse achevait l'hypocrisie et l'arrogance de cette venue. Mais qu'importe. Après tout, il y avait des affaires bien plus urgentes qu'un trouble fête de faible envergure...
Le silence du reptile lui permettait néanmoins de se concentrer sur ses pensées sans avoir à répondre aux dialogues incohérents des visiteurs indérisables. La peste bleue...Si des sacrifices étaient nécéssaires, cela ne ferait qu'ajouter aux morts qui frapperaient à la porte de ses rêves, mais il n'avait pas le choix.
En réalité, le plus fâcheux était que pour tenter de s'isoler de la maladie et de garder une hygiène convenable, loin des rats, nombre de survivants, parfois déjà contaminés, viendraient souiller ses bains. Cela était dangereux et malsain, aussi fallait-il également prendre des mesures à ce propos, et sans tarder, sans quoi ce lieux de paix deviendrait un foyer de contamination...
Qui plus est, le maître mage avait daigné venir, et son corps était faible, sa santé fragile. Il était évident que la situation des malades et de la contamination devaient déjà être critique pour qu'il fasse l'effort de se déplacer...Cela était d'autant plus dérangeant et inquiétant que l'ostracisme du vieil homme et sa discrétion n'étaient plus à refaire...

L'heure était aux décisions, et il fallait agir vite et bien. Forcant sa réflexion au mieux, Ziramel entreprit de proposer une alternative, l'air grave:

"...Il faut partir à la recherche de sses fleurs. J'esspère profondément qu'elles sseront asssez nombreuses pour sssoigner la populassse. Pendant ssse temps, les hommes encore sssains dressseront la quarantaine, et maintiendront la sséparation de force, refluant les malades vers les quartiers ssud; car je doute que les perssonnes déjà ssouillées acsseptent qu'on les laissse mourir lentement...
Pour le moment, il est urgent de contacter des ecsssperts de la montagne capables néanmoins de récupérer ssette plante, afin de revenir porter le remède. Ss'est une coursse contre la montre, pas un insstant à perdre! Connaisssez vous des hommes capables et aguerris à notre propos?"

L'heure n'était plus aux formalités. Il fallait sauver le maximum de gens, sans quoi Garkam s'éteindrait dans la neige, la souffrance et le sang. Pour la première fois, ce jour là, Ziramel pensa aux autres avec conssidérassion. Il fallait les aider, et il essayerait ssans arrière penssée...

avec plusierur personnes je pourais allait allait chercher les fleurs que vous avez besoin, vous dites qu'elles sont dans les montagnes, il faudrat que je me renseigne sur les créature que l'on trouve las ba pour qe l'on ne soit pas surpris si on est attaquer.

Le magicien lançat un regard méprisant à Sarius. S'il pensait vraiment qu'ils reposeraient l'avenir de Neolias sur qu'un seul homme.

Il reprit sa discution avec Ziramel et enchaîna...

Voilà qui me semble une très bonne idée.
Un petit groupe partira dans les montagnes, pendant que nous essayons de mettre le quartier Sud en quarantaine en évitant tout débordement...

Le mage fut interrompu par des voies se faisait entendre dans la cour au dessus... Puis à la porte des géoles qui s'ouvrit à la volée laissant place à Hura, Tawar et Kroq Dar.
Les gardes ne semblait pas les avoir empécher d'entrer. L'effervescnece dû à la récente évasion avait du entraver quelque peu la traditionnel sécurité de la caserne.

Sarisu avait comprsi se que foulait dire le regard que lui avait lancer Haaz et il lui dit:
" je ne conter pas non plus y aller seul, si tu te souviend de se que j'ai dit

Citation :: avec plusieurs personnes

j'ai jsute dit je me porter dans les volonteres pour aller chercher la fleur.

puis il vit Hura, Tawar et Kroq Dar entrer dans la salle. Il se demanda combien encore il allait y avoir de personne à rentrer nous importuner.

Vu l'effervescance de la situation, Ziramel avisa avec célérité:

"...Je crois que tout est dit. En l'abssensse matérielle du roi, j'ai pleine confiansse en vous pour organiser ssette ecssspédission au plus vite, à défaut de votre partissipassion. A présent, j'ai d'autres disscussions tout aussi importantes à entretenir isssi...en privé. Je vous ssais gré de mon ssoutien, et merssi encore."

**La caserne est de plus en plus bondée d'indérisables...Comment les faire attendre? Ont-ils seulement une raison d'être là...?**

Le sang des victimes du lycantrope fugitif rendaient encore au sol une couleur pourpre sombre, appuyée par l'éclat des bougies aux flammèches vacillantes. A chaque pas se risquait-on à tremper ses semelles dans le sombre liquide, et la froideur des lieux avait été nuancée par l'explosion de la serrure piégée. Les récentes péripéties avaient laissé d'abondants indices de leur passage, et il était préférable que les importuns ne s'y attardent pas. C'est donc en faisant geste à ses visiteurs présents de sortir qu'il précisa au milicien toujours présent:

"Pëderclaf? Raccompagne donc nos visiteurs. Tu en profiteras pour ssignaler à nos nouveaux hôtes qu'ils m'attendent dans mon bureau en m'attendant. Ssse ssera vite fait..."

Sarius sorti des prison puis de la caserne, il devait se renseiggner.

Lorsque le calme fut revenu dans les geoles, Mozza s'approcha des grilles pour être au plus près de Ziramel.

Quelle belle opportunité, mon cher Ziramel... Le Roi est parti, sans doute décrédibilisé aux yeux de tous par ces actions irréfléchies... Les ailes de la Mort plane sur ce camp...Qui reste t-il en qui croire ? Vous, qui ferez régner l'ordre et la loi...et mon Maître, qui rapportera triomphant le remède à nos malheur...
Il reste une question, cependant : qui sera LE gagnant, à l'issue du jeu ?

Alors que Ziramel demandait a ce que l'on fasse sortir les geneur, Huragorn sentit une presence. Un homme était assis par terre, sa tête penchait vers l'avant. Hura' vit a travers ses cheveux crasseux ses yeux, rouge. Ceci suivait le groupe sans relache, et soudain ils tombèrent. Huragorn fut pris de degout ; l'homme venait de mourir. Ses yeux revelait maitenant un blanc vide. Huragorn s'en approcha un instant pour verifier s'il était vraiment mort, et a ce moment...La main se releva et attrapa celle du nain. L'autre decocha un coup de dague, caché un instant plus tot derrière son dos. Elle rasa de près la joue d'Hura', y laissant un fin filé de sang. Huragorn sauta en arrière, en criant :
"Encore un! Un zombie!!!"

C'était un garde...
Depuis le début il semblait assez malade, et toussait régulièrement.
Puis il finit par s'éffondrer, le tumulte avez du l'affaiblir d'avantage, l'envoyant vers les tourments de la mort...
Et il se releva sous les yeux ébahi de la petite troupe qui se trouvait dans les géôles. Son corps se déforma et son armure tomba, dévoilant un corp charnue recouvert de tâche bleu et noir pourissante.

Il ne fut que quelques seconde à Haazheel pour qu'il comprenne que cet homme était atteint du mal bleu...
Et maintenant, il s'était relever sous la forme d'un zombie !

Huragorn recula, toujours a terre, vers le petit groupe.
"C'est quoi CES TRUCS!!!"
Huragorn pris sa hache et la lança sur le zombien mais le manqua.

Face à la décadence qui se dressait devant lui, l'air visiblement hostile, Haazheel ne mit pas longtemps à réagir.
Lorsqu'Huragorn lançat sa hache, le magicien avait déjà commencer sa transe... Les bras en croix sur son torse, l'adepte du néant se redressait de toute sa hauteur, ses yeux brillait d'une lumière rougeatre, intensifier par l'obscurité des géoles. Ces yeux étaient rivés sur le zombie, rivés vers sa cible...

Les bras du magicien se détachèrent petit à petit du torse, ses lèvres frémirent, libérant une longue formule magique, résonnant contre les paroi des géôles.
Cette formule n'avait rien de mélodieux, rien de musicale. Les dissonnance était nombreuse, certain soldat frémirent face à à la discordance de l'incantation.
Une boule noir (d'antimatière) se formait petit à petit entre les deux mains du magicien, celui ci fixait toujours le zombie, tel un chasseur fixant sa proie. La boule grandit doucement entre ses mains, et lorsqu'elle atteignit une dizaine de centimètre de diamètre elle fut projeté vers le zombie...

Elle le traversa de part en part, formant un trou béant en plein milieu de son ventre.
**Ses créatures sont visiblement peu résistante**

Le zombie s'éffondra sur le sol de pierre des geôles, une odeur de pourriture commena à remplir le sous-sol des casernes.
Il se tourna vers ses compagnon, puis commenca à dire :
Il me semble que...

Mais il fut aussitot interrompu par un gargouillement venant du zombie. Celui ci rampait sur le sol, tentant par moment de se relever...

C'est cette fois une vive lueur qui traversa la salle en un bref éclat. Une griffe à découvert hors de sa manche, pointant vers les restes fumants et éparpillés de ce qui était la tête du mort vivant; l'air aussi calme que si une bougie avait simplement eu besoin d'être rallumée, Ziramel reporta son regard sur Haazel Thorn. Malgré tout, la gravité de son regard exprimait son inquiétude et sa nervosité, aussi s'exprima-t-il avec vivacité et hargne:

"...La ssituassion est pire que prévue. Le roi doit-être retrouvé, il court peut-être un danger de mort. Mais la priorité resste les villageois qui meurent et rescussitent à chaque insstant. Plus une sseconde à perdre!!"

Il se retrourna vers Mozzarella, sortant une petite clef dorée de sa robe. Plongeant ses yeux dans les siens, il s'exprima en ces mots:

"...La ssituassion est encore une fois critique. Peu importent vos crimes, chaque vie est capitale en sses temps chaotiques. Pour le moment, vous sserez donc plus utile au royaume hors de ssses murs que gardée issi...Puisssiez vous mettre votre intelligensse au sservisse du camp, sssette fois.

...SSs'est une faveur que je n'accorderais plus..."

A ces mots, la clé couina dans la serrure de la cellule, avant que celle ci s'ouvre lentement dans un grincement sonore.
...La liberté ouvrait enfin ses bras à la jeune femme.

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