Journées banale pour un gnome ... peu banal

Tranquillement lové dans sa cape, pendant que Barnabé s’occupait de diriger l’âne, fraichement acheté à Néolias, sous la neige drue. Cependant ce dernier montrait quelques réserves a avancer au rythme espéré par les deux voyageurs. En effet, au bout de plusieurs heures, ils n’avaient parcourus qu’un chemin ridicule. Après avoir dormi, essayer de lire, regarder le paysage, écrit une pensée sur un post it, il n’y avait rien a faire. Gnimsh s’ennuyait ferme. Enervé, il finit par hurler sur Barnabé.

« Mais Nom d’un Diable, Barna ! Tu peux pas faire avancer cette bestiole plus vite ?! Pousse-toi de là, gros Ahuri, JE vais m’en occuper…. »

Le gnome sauta de la charrette et se dirigea vers l’âne, tandis que l’homme bandé s’écarta rapidement, pour se mettre hors de danger. Approchant sa tête a quelques centimètres ses yeux de ceux de l’animal

« Bon, Sale bête, on va se mettre d’accord tout les deux … Si t’avance, Carotte, si t’avance pas, Boule de feu. Toi comprendre moi, ou moi te montrer ? »

Pour toute réponse, l’âne mordit dans la barbiche du gnome et essaya de brouter bêtement.

Le gnome, écumant de rage, fis jaillir de ses mains une boule d’antimatière presque aussi grande que lui, et il fallut toute la force de Barna pour empêcher le gnome de la jeter sur l’animal qui avait oser l’humilier. Finalement, le gnome adopta une meilleur méthode, qui fut de mettre feu a l’animal. Bien sur, il essaya d’avoir la main légère, en ne causant aucune brulure mortelle ; Son but était simplement de donner un coup de vif a l’âne. Chose qui réussit plutôt bien, presque trop bien même. L’âne, le dos a vif, brulé par la boule de feu mineur du gnome partit a toute allure droit devant lui. Grace a son agilité, le gnome réussis a s’agripper a la charrette qui partit en flèche, contrairement a Barnabé, qui resta planté sur place dans la plaine, regardant son maître partir au loin. sans même s'inquieter pour son soufiffre, le gnome s'assit et patienta.

Devenu incontrôlable, l’âne courra de tout son souffle droit devant lui vers les monts brumeux. Content de cette situation (ignorant le fait qu’une chute a cette vitesse pourrait provoquer de gros dégâts, que se soit matériel ou corporel)

Par chance, cette chute ne se produisit pas, et après avoir courus pendant plusieurs dizaine de minute, la bête, essoufflée ralentis peu a peu, jusqu'à s’arrêter et s’effondrer sur le sol

Le gnome descendis a son tour et regarda a nouveau la bête de haut.

« Bon alors, canasson, tu te bouge ? On n’est pas arrivé encore ! Peut être en veux tu encore ? »

Le gnome incanta et fis a nouveau apparaître une boule de feu dans sa main. L’âne, semblant comprendre, se releva immédiatement, et repris sa route, plus sereinement.

**Bah voila ! Papa m’a toujours dit que j’avais aucuns dons avec les animaux … Crétin de père ...**

Quelque heures après la formidable chevauchée du gnome a dos d’âne, le grand méchant de petite taille de la nouvelle histoire arriva dans son antre : Beau Manoir, digne de son propriétaire. D’ailleurs, on pouvait même dire a son image : remarquable, effrayant pour certains, même. Si tôt arrivé, laissant là la bête crevée par l’effort (après tout, Barnabé allait sans doute bientôt arriver, il s’occuperait d’elle … si elle ne mourrait pas de froid d’ici la).

Le gnome se dirigea directement au premier étage, face a un pan de mur, apparemment sans histoire. Vérifiant que personne ne se trouvait dans les alentours (après tout, il allait dévoiler le passage secret de son laboratoire ultra secret ! mais c’était un secret !) le gnome pris sa dague, et coupa très légèrement la paume d’un de ses doigt, de façon a ce qu’une simple goute de son perle de sa peau. Le gnome appuya alors son doigt souillé sur le mur quelques seconde avant de l’enlever. Une minuscule trace de sang resta la quelques instant, avant de disparaître, comme bue par le mur. Tout à coup, pierre par pierre, les murs semblèrent se déplacer comme des portes automatiques. Le mur en face du gnome laissa alors place à un passage, menant tout droit a une trappe. A l’intérieur de celle-ci se trouvait une échelle de corde. Sans une once d’hésitation, le gnome descendis dans la pièce secrète, son vrai repère secret : son laboratoire.

Personne ne connaissait l’existence exacte, ni le lieu de cet endroit. Personne n’y avait jamais pénétré. Personne a part lui, et quelques rares privilégiés dans les rang de ses cobaye (a savoir, tous, excepté son larbin manchot, son disciple, et sa cuisinière ). le gnome se calla dans un fauteuil de pierre, bien moins confortable que ceux de sa bibliothèque. D’un œil, il regarda son laboratoire, comme pour admirer son œuvre. Crée dans une grotte, les murs étaient tous recouverts de parchemins couvert de runes : celle la même qui permettait de dissoudre l’aura magique (notamment de temps en temps démoniaque) en ses lieux, permettant au gnome, une impunité totale face a Jace, du consulat de Néolias. C’était ici qu’avaient vue le premier jour d’une nouvelle vie beaucoup des habitants de ce châteaux : Max, qui était en fait l’esprit d’un des maçons, après un lavage de cerveau, qui fut apposé dans un objet animé. Mais encore Barnabé, qui lui était … il ne s’en souvenait plus (surpriiiiise) et bientôt de nouveaux locataires, sans doute.

Le gnome fut soudain pris de l’envie d’aller rendre visite a ses chers cobayes. Empruntant un passage du même type que le premier, il descendit dans ce qu’on pouvait appeler le second sous-sol de son Manoir. A présent dans les entrailles du mont du lycan, un véritable musée des horreurs s’ouvrait. Dés l’entrée dans le mystérieux étage, il ne restait a présent presque plus de lumières. Une odeur affreuse de pourriture, mêlée a celle des excréments, du sang et des cadavres prenait le visiteur à la gorge, l’étouffant a moitié. En effet, l’hygiene, et le respect des morts étaient inexistant ici, ou plutot incompatible avec leurs possibilitées materiel. De plus, l’humidité et le froid du Laboratoire du Gnome ressemblaient a présent a un léger rafraichissement comparé a ce lieu, au murs moite et a la température capable de donner des frissons a un glaçon. Le plafond, assez bas, couvert de stalactites, voyait couler goute par goute la condensation d’une eau croupie teintée de sang. Le bruit répétitif des gouttes tombant sur le sol de roche massif, particulièrement irrégulier. Ce lieu particulièrement sinistre ressemblait plus à une obscure grotte, repère d’un monstre sanguinaire, qu’aux cellules pour cobaye pour un laboratoire. Bien sur, Gnimsh, vu qu’il s’agissait bien là de son œuvre, et pas de celle du diable, ne semblait pas du tout attristé par les pitoyables conditions de vie de ses cobayes.

Il se baladait dans le long couloir, sifflotant un air gaie, les mains dans les poches, se précipitant devant chaque porte de ses cellules. Approchant son visage au plus près des barreaux de roches de ses prisons avec une parodie d’insouciance (peut être non voulu), tel un enfant dans un Jardin Zoologique. Son attention fut attirée par une plainte venant d’une cellule proche. Le gnome s’approcha et jeta un œil dans la cellule. Celle-ci était remplie d’une poignée de gnomes, Quatre, plus précisément. Un connaisseur aurait remarqué qu’il s’agissait la de 4 des gnomes qui étaient (tout comme Gnimsh) sensé être mort dans l’explosion de leur industrie a Néolias, il y a de cela quelques mois. Une jeune Gnomette (la seul du groupe, d’ailleurs), a la vue du gnome appela Gnimsh d’une voix désespérée.

« Gnimsh ! Gnimsh, pourquoi fait tu ça ? Nous n’étions pas bien à Néolias ? Pourquoi nous as-tu enfermés ici ? Nous sommes obligés de boire l’eau qui ruisselle des murs, et de manger la mousse qui y pousse dessus pour ne pas mourir ! Trouver un rat dans nos cellules est un véritable repas digne d’un dieu a nos yeux, maintenant ! Comment veux tu que nous survivions ici ? Ne nous as-tu jamais considérés comme des amis ? »

Le gnome cilla puis reconnut enfin, avec l'aide de sa voix, la gnomette. Il s'agissait de Gnina, la jeune vendeuse de son ancienne industrie. Il l'appréciait beaucoup, presque comme une sœur. C'est sans doute pour cela, que Gnimsh décida de l'épargner, contrairement a la quasi-totalitée des autres gnomes, qui furent sacrifiés dans l'explosion. Il continua a la regarder, comme si de nombreux souvenirs chaleureux lui revenaient en tête, puis baissa les yeux, l’air sincèrement désolé. Après un instant, il reprit, avec une voix apitoyé et chaleureuse :

« Tu a raison … nous sommes amis. Surtout toi, tu m’a toujours aidé, et j’ai une dette a te rendre. C’est promis. Je vais vous faire sortir de la, dés que possible. Et puis …»

Il montra du doigt un autre gnome et incanta rapidement. Celui-ci, jeta un regard apeuré au gnome, mais son corps exténué par la faim et les conditions de vie refusa de bouger, jusqu'à ce qu’un faisceau d’antimatière découpe précisément son cou en deux, faisant tomber sa tête jusqu'à la petite gnomette, recroquevillée sur elle-même, trop horrifiée pour pouvoir bouger

« Voila. Déjà, le problème de la nourriture est résolu. Je reviens vite vous sauver, a bientôt »

Barnabé rentra au manoir dans la nuit. A son arrivée, il trouva la charrette devant le manoir, l’âne, éreinté, couché dans la neige a coté. Tout son dos était brulé. Barnabé se dépêcha de le trainer a l’intérieur du manoir, histoire qu’il ne meurt pas d’hypothermie. Il chercha rapidement son maître dans tout le bâtiment, mais ne le trouva pas. Il se douta alors qu’il devait se trouver … « là ». Le colosse frissonna rien qu’à penser à ce lieu, ce lieu qui l’avais rendu ainsi, et qui l’obligeait a présent a suivre la personne qu’était Gnimsh, dans l’espoir de redevenir normal, un jour…

Il entreprit alors de décharger les affaires qu’ils avaient achetées dans la journée, a Néolias. Il arriva alors aux trois plantes carnivores, achetée à l’Herboriste. L’ex-maçon respira un gros coup, avant de les saisir délicatement. Se trouvant chacune dans un pot de terre cuite de la taille d’une corbeille à papier, elles avaient l’apparence de fleurs, exotiques, certes, mais tout a fait normale. Cependant, il ne savait pas ce que le gnome comptait en faire. Après mur réflexions, il décida de les laisser dans le hall d’entrée. Quant le gnome les verrait, il s’en occuperait. Maudissant son maitre pour ses passe-temps, plus que dangereux et insolite, le grand Barnabé partit en direction de sa chambre, pour aller se coucher.

Finalement, le gnome finit par sortir de son laboratoire. Après avoir montré une fois de plus son sadisme, et son état émotionnel plus que déséquilibré, il décida d’aller se coucher, juste avant de remarquer qu’il n’avait rien mangé depuis plus d’une demi journée. Il se dirigea vers la cuisine, avec le dessein de se restaurer, quant il aperçu en bas de l’escalier des fleurs. Tout à coup, il se souvint de ses achats, et –faim et fatigue oublié- il descendit en toute hâte admirer ses plantes carnivores. Il décida de les monter directement dans son jardin d’intérieur (il décida à l’instant qu’il s’agirait d’une des pièces sous sa chambre). Il gravit, pot de fleur dans les bras- les escaliers pour installer tout de suite ses fleurs dans la pièce. Pendant plusieurs heures il les regarda amoureusement, alors que celles-ci semblaient tout a fait impassible. Cependant, le gnome ne se décourageant pas, il décida, au bout de quelques heures d’observations intenses, que la nuit lui porterai conseil. Il finit donc par aller se coucher.

***

Le gnome dormis très mal, cette nuit la. Il fit différents rêves loufoques, comme un ou une armée de gnome se battaient fasse a des plantes a tête d’âne, a coup d’arrosoir, ou encore, de lui qui offrait une rose a Gnina (la gnome qui était devenue cobaye de Gnimsh), et que la fleure avalait goulument la tête de la gnome, avant d’exploser dans un nuage de fumée, et de se transformer en pingouin. Finalement d’humeur grognarde, il descendit prendre le petit déjeuner. Mais même un bon repas ne put lui enlever la pensée de son dernier rêve : Haazheel Thorn et Jace beleren qui battaient a plate couture le gnome a la pétanque … Peut être n’avait il pas encore assez de pouvoir …Et si tout ses rêves étaient prémonitoires ? Il n’avait jamais eu beaucoup confiance en la divination. Il devait s’en assurer … Le moment était peut être venu de partir en voyage ? par exemple vers … la forteresse maudite ? Mais, il aurait sans doute besoin d’un « compagnon » … Il sortit dehors et se mis a hurler, dans l’espoir d’être entendus par une certaine personne aussi volatile qu’un coup de vent :

« Jack … JACK … JACK … JACK … JAAAAAAAACK BORDEL DE MERDE DE NOM D’UN DIABLE !!!! »

S’énervant tout seul, ayant pour seul réponse l’écho des montagnes, le gnome attendit là, dehors, dans l’attente de l’arrivée de son interlocuteur.

Aux milieu des piqes enneigés, une ombre rodait. Jack of Bldes s'était installé dans une groe inhabité, dissimulant son enteé derière des buissons. Il s'agissait d'une deumère assez sommaire, l'absence de lumière l'hmidité de la caverne satisfesant amplement les envies du drow bien qu'il s'enmitouflait dans des peaux d'animaux pour dormir. Mais ce qui lui plaisait le plus était que l'érosion avait créer une antichambre isolé. C'était parfait pour ses expériences ca les odeu ne était évacuer par un courant dair permanent, laissant une température rarement supérieur à cinq degrés.
Une plate forme en pierre se tenait au milieu, c'était l'unique preuve d'une intelligence autre qu'animal dans cette grotte. Plus loin, le mur creusé par les éléments avaient fomés un entonoir où Jack stokai les quelqes insrument médicaux qu'il avai embarqué avant de s'enfuir de néolias.

Ainsi, il rodait continuellement à la recherche de cobaye, espérant réussir une greffe parfaite. Malheureuseent, le froid et la rudeur des coditions d'expérimentations étaient top rude pour les sujets qui finissaien inévitablement par mourrir.
Enclain au désespoire, il se dirigea vers le manoir, peut être que Gnimsh avait de quoi entreposser la marchandise et ce en meilleur état.

Tandis qu'il s'avançait, il entendit un écho flou qui devnait de plus en plus clair au fur et à mesure qu'il s'approchait du manoir.
Quand il en compris le sens, il préféra attendre encore une petite heure avant de se montrer.

Gnimsh... j'aimerais vous demander une faveur si cela est posible.

Dit-il d'un ton neutre, ne trahissant à aucun moment le plaisir qu'il éprouvait à savoi que le gnome s'était casser la voie pour rien.

Le gnome, après avoir hurlé de tout son souffle pendant près d'une demi heure, était finalement rentré, de peur de prendre froid. il se calla dans un coin, dos a la cheminée, songeant a différentes chose plus ou moins importante, jusqu'à ce que Jack se glisse dans l'entrebâillement de la porte.

"Ah bah quant même !"

Le gnome se leva, retira la couverture qui l'emmitouflait et se plaça face a l'elfe noir, le regard accusateur :

"Sa fait une heure que je t'attend ! mais nom d'un poulpe chevelu ! Qu'est ce que tu foutait ? Enfin bref, passons.... Une faveur a me demander ? Sa tombe bien, j'en ai aussi une a te soumettre... tu prendra bien du thé ?"

"Ce que je foutait? Quesion stupide... Te voire énevé est tellement satisfesant, en plus j'ai réussit trouver quelques gobelins dans les alentours."

Ah?! Vous m'aviez appelé? C'es surement à cause du vent que je ne vous ai as entendu. Ah non je sait, pet être est-ce simplement parce que je me suis intallé assez loin pour ne pas vous entendre.

Lachant un petit ricannement, il fut surpris que le gnome lui propose quelque chose sans conrepartie. Méfiant, il refusa le thé "généreusement" offert, de toute faon, il n'aimait pas le thé...

Il exposa son problème de conservation de ses cobayes à Gnimsh et lui demanda s'il ne disposait pas d'un endroit où il pourrait tester sa chirurgie sans que la chair ne soi altéré par le froid.

Au faites, vous aussi, vous avez quelque chose à me demander? Je vous préviens, je ne vous donnerai pas mon autre main hi hi hi.

Ignorant la plaisanterie du Drow, le Gnome repris, inormalement serieux :

"Bien, jvais pas y aller par 4 chemins : Je veux que tu m'accompagne dans un voyage, en direction de la orteresse noir. Le fait que tu soit un Drow, et que tu ait de grande connaissance sur les démons pourrait peut être m'être utile. Biensur, il en va de soit que je saurai te récompenser pour ta loyauté ... Peut être qu'un accès a mon laboratoire privé pourrait te faire plaisir ? Peut être même que si je suis vraiment content de toi, je te construierai une chambre experimentale uniquement pour toi ?"

La pression monta encore d'un ton ... Le Gnome était si différent d'il y a quelques instants, son regard était maintenant celui d'un être sans aucune pitié, celui d'une personne ayant causé la mort sous toute les coutures, le regard d'un assassin.

"Il en va de soit que si jamais tu essaye de me tromper ... se ne sera pas qu'une seule main que je prendrait ..."

Impassible, Jack pris son temps pour répondre. En effet, enterr dans la forteresse noire lui serait aisé puisqu'il est dans le corps d'un drow, cependant, il se doutait que ce qui interressait Gnimsh ne risquait pas d'être stable. Après avoir ouillé dans les souvenirs de son hôe, il pensait savoir ce qui interessait le gnome. Le seul domaine magique que les elfes noires avaient exploité plus que tout autre race était celle liée aux démons.

Etant le résultat d'une parfaite posséssion démoniaque, il en connaissait un rayon sur le sujet. Cela pouvait s'avérer interressant.

Voyez vous, il ne vous sera pas si facile d'obtenir ce que vous aller chercher là bas, mais rassurez vous je ne compte pas vous trahir. Les autres de ma race n'apprécient guèrre les visiteurs.
Cependant, à la vue de la récompense j'accepte de vous accompagner.
Peut être y trouverai-je de quoi me satisfaire.

Gnimsh fit un pas en avant et dis :

"Holà, on se calme, tout le monde. On est pas venu se foutre sur la gueule ! J'ai un marché a vous proposer... avec a la clef, des informations plutôt utile, en ce qui concerne Néolias. Pour l'instant, je ne demande qu'une audience avec les hautes instances ..."

Comme signe de soumission, Gnimsh baissa bien bas la tête dans une petite courbette, et jetta par la même occasion un regard, persuadant a jack, qu'il souhaitait qu'il laisse le gnome se débrouiller .... pour l'instant

J'ai pas envie.

Lança-t-il en ricanant. Il était rester jusque là particulièrement pacient. Il avait escaladé des montagnes, traverser des valé et ce, sans un mot. Il ne pouvait même pas prendre le temps de dépeucer un voyageur perdu. Enfin, lorsqu'il entendit ses congénères le mancer, un violente envie de meutre l'avait pris.
Cependant, malgré son égo surdimensionner, il savait qu'il ne falait pas faire de gaffe en ces lieux, sous peien de mort.
Il retira son masque en continuant à rire un peu

C'est bon, je plaisante, pas la peine de faire cete tête le vieux. Bon, écouez les gars, ce gnome n'en à pas l'air, mais il en a dans la caboche. Et ne vous inquiétez pas, s'il fait quoi que ce soi contre l'un des notre je veux bien me charger personnellement de le orturer puis de le tuer.

Jack ne pu s'empêcher d'en faire trop, comme à son habitude. Toutefois, il espérait que ces paroles lui amènerai les faveurs des gardes, car après tout, quel drow n'aime pas torturer les être plus petits que lui?

Mj (je prend le relais) :

Les portes s'ouvrirent finalement après un silence de mort, pivotant lentement sur leur gond dans un grincement phénoménale, les forces qui étaient à l'œuvre pour faire se déplacer un telle monument devait être gigantesque.
Une silhouette apparut dans l'entrebâillement de cette énorme porte, une silhouette de femme qui cria d'une voie plus que convaincante :

"Laissez les entrer... Et n'ayez crainte, s'ils n'ont rien d'intéressant à dire il ne sortiront pas d'ici vivant"

La voie n'était pas étrangère au gnome, ça ne pouvait être qu'elle, la femme du marais.

"Avance Gnimsh, ramène aussi ton allié..."

**Tient tient ... la r'voila elle ? Dans ce cas, Guismort aussi doit êre encore en vie, et peut être aussi le guerrier ? Baaaah, sans importance.**

Un instant aux traits soucieux, Gnimsh retrouva bientot un visage détendu, exploitant un grand sourire.

"Eh bien, Jack, Ne faisont pas attendre cette ravissante succube"

Le gnome, sans crainte, avança dans la forteresse, comme s'il s'agissait de sa résidence secondaire ... Selon lui, une source de connaissance comparable voir supérieur a celle de l'académie de Néolias se trouvait en ses murs. S'il suffisait d'avouer quelques secrets confidentiels qu'il avait pu trouvé grace a son ancien poste de Sergent de la Milice, c'était donné. Après tout, lors de cette guerre, que se soit Néolias, ou cette forteresse qui remporte la victoire, ça ne faisait rien, tant qu'il y trouvait son compte ...

T'as vu, ils ont tout gobé, y à pas à dire, l'appat du gain fait faire vraiment faire n'importe quoi à n'importe qui ha ha.

Murmura-t-il à l'oreille du gnome. Evidemment, cette phrase pouvait être plus qu'irrinoique venant d'une personne s'étant aventurer dans la forteresse drow sans aucune raison évidente. Pour les autres du moins, car Jack comprenait la logique de son cereau torturer. Et c'était ben le seul....

Enfin un lieu où jack of blades se sentait bien. Des ruelles sombres, une arcitectre gohtique rendant honneur à cete forteresse et ses habitants. Ici, mort et souffrance était le quotidien, une vie accepté par tous. Le meutre, les expériences, le machandage d'exclave et la mise en circulation d'étrange subsances euphorisantes circulaient librement. Evidemment, les victimes de tout ceci éait rarement des drows.

Une succube? Ces vils créatures n'apportent jamais rien de bon, j'espère que vous le savez Gnimsh. Elle se jouent des mortelles en prenant une apparence d'une beauté irrésistible, maléfique, afin de mieux convaincre quelques fous d'assouvir leurs basses besognes.
Non, on ne peut vraiment pas leur faire confiance...
J'te préviens, je jouerai pas les toutou pour cette carne!

Sous tout ce beau discours se tenait l'expérience d'un être qui fut déjà berné par ces démons. Mais ça, c'est une autre histoire.

Continuant sur un ton tout aussi faussement cordiale, le gnome répondis :

"Il me semble. Jamais mes yeux ne pourraient oublier une si belle enfante, ainsi que ce cher Guismort..."

Le gnome finit par un large sourire, qui aurait pu être bienveillant. Même si il savait pertinement qu'il s'agissait d'un démon, il ne pouvait qu'admirer sa beautée.

**Allons mon vieux Gnimsh, t'aurai l'air de quoi si tu te faisait embobiner par une succube ?**

A cette pensée, il détourna les yeux de son regard verre, et fixa un point légèrement a coté de sa tête. Par courtoisie, il décida de laisser la succube lancer le vif du sujet, et pour montrer qu'il ne se sentait pas géné de la situation, il dis sur un ton de discutions :

"Alors, ma chère ? Comment allez vous depuis le Marais ? Vous êtes toujours aussi ravissante..."

Biensur, il savait que ce genre de flatterie était plus que superficiel pour elle ...