Trouble nocturne[libre]

Erco avait voulu participer à une quête qui avait comme but d'aller dire bonjour à un groupe de goblin. Mais par malchance ou chance qui sait, le porte-bannière avait louper le départ: il avait trop but la veille.Il lui avait fallu une journée entier pour s'en remettre. Il était, à présent, totalement frais et apte à prendre des décisions, mais il faut toujours qu'il y aille deux rigollots pour casser l'ambiance. Ces deux comiques avaient vu Erco sortir de l'auberge ivre mort et avaient du penser que même douze heures après, il serait toujours ivre. C'était leur premier faute. Ils n'étaient armés, chacun, d'un glaive de mauvaise qualité. Ils avaient tout de suite encerclé Erco, enfin prendre en sandwich car encercler quelqu'un à deux est plutôt dure. L'un d'eux avait dit d'une voix qui était sensé froide, mais qui fit sourire Erco:

-La bourse ou la vie?

Erco regarda la personne qui venait de parler. Elle avait des cheveux blond descendant jusqu'au épaule. Il devait mesurer dans les un mètre huitante, mais sa largeur d'épaule était très faible( environ trente cl d'un enfant de seize ans). Le porte-bannière ne pouvait voir l'autre bandit. Il répliqua sans grande peur. Il avait tout de suite vu que c'était deux rigollots qui manquaient d'argent et qui ne devaient pas être très malin pour s'attaquer à un membre de l'armée:

-Moi, je dis ta bourse contre ta vie

Et Erco dégaina sa courte épée d'un mouvement fluide et précis. Il ajouta avec un petit rire:

-Je crois que vous avez pêché un gros morceau...Sans me vanter.

Ça avait été dit avec ironie. Le premier bandit chargea l'épée haute et frappa. Erco para et contre-attaqua sans trop être totalement attentif. Ce n'était que de vulgaires mécréants qui ne devaient jamais avoir trancher une seul gorge. Mais à la grande surprise du soldat, son adversaire réussit à paré sans aucune difficulté l'attaque d'Erco. Ce dernier sortit son poing griffe, que la fête commence. Il arrêta un coup d'estoc et frappa avec son poing gauche qui était, rappellont-le, armé d'un poing griffe. Le poing toucha le visage de la victime qui recula sous le coup: le visage en sang. C'est là que le deuxième adversaire entra en action chargeant Erco. Le blessé fit de même mettant ainsi le porte-bannière dans une situation délicate. Un peu d'aide ne serait pas à refuser.

Erco se dit qu'il aurait mieux fait de donner sa bourse car pour finir, il n'était pas tombé sur ce qu'il pensait. Ça n'était pas des bleu. Il sentit une lame lui effleurer le bras, seul son brassard de fer le protégea d'une égratignure en plus. Il attaqua le brigand au visage ensanglanté qui para de justesse la frappa du porte-bannière qui était, à présent, chaud. Il évita, frappa, para, contre-attaqua, feinta pour finir enfoncé sa lame dans le ventre du blessé qui poussa un petit cris en sentant un bout de fer lui transpercer la chair. Il dû sentir une froideur, puis une brûlure intense. Il lâcha son épée et le bruit du choc entre terre en fer résonna dans ça tête.
Erco ne perdit pas de temps et retira d'un coup sec sa courte épée de la chair de son ancien ennemi qui s'écroula par terre.
Il n'en restait plus qu'un, un dont la peur commençait à se lire dans ces yeux. Erco lui dit avec une voix froide, une voix d'un soldat endurcit par des années de combats:

-La bourse ou la vie. Ou bien tu poses tes armes et je t'emmène voir la milice. A toi de choisir...

Le porte-bannière baissa son épée, mais elle était prête à être relevée pour toute tentative de fuite ou de combat. Pour prévenir une quelconque fuite, Erco se déplaça de façon à ce que le dernier brigand soit acculé contre un mur et de cette façon ne puisse fuir.

Hrp est-ce qu'un MJ peut jouer le dernier brigand Hrp

Le brigand sembla hésité car bien sur il pouvait tenter de fuir, mais cela serait un total suicide. Le voleur pourrait aussi se rendre, mais pour un homme de la nuit s'avouer vaincu est comme dire à un chevalier d'abandonner un duel. Il restait la dernière possibilité donner sa bourse est disparaître. Mais cela était aussi déshonorant pour un bandit. Erco ajouta avec un large sourire:

-Alors, mon vieux on hésite. On a peur?

Le brigand, lança un regard noir à Erco avant l'élancé contre lui, lame en avant. Le porte-bannière para le coup et envoya son poing gauche vers la tête du fuyard. Le poing heurta la tempe du bandit qui avant de tomber évanoui frappa dans un dernier geste désespéré le soldat.
Ce dernier ne s'attendant pas à ce genre d'attaque, ayant cru la partie gagnée, laissa passé l'attaque qui heurta l'épaule d'Erco. Le blessure n'était pas extrêmement profonde, mais la douleur n'en était pas moins grande. Il lâcha son épée courte qui résonna en heurtant le sol.
Le porte-bannière regarda le corps évanoui du voleur qu'il venait de mettre KO, puis ses yeux se portèrent sur le cadavre du premier, une marre de sang s'était étalé autour du corps.
Erco porta, enfin, sa main droite à son épaule, il tréssaït en sentant ses doigts touchés la plaie. Il ramassa son arme et la remit au fourreau. Puis il ligota le seul survivant de l'attaque à l'aide de ça chemise. Il allait trouver la milice à présent, mais avant faire les poches de ces deux bandits qui sait ce qu'ils pourraient avoir.

[MJ qu'ai-je gagné?]

-100 écus
-70xp

Le groupe avançait rapidement dans un silence complet cela ne dérangeait point Erco qui avait mal à la tête et à l'épaule. mais pour cette dernière le bruit ne dérangeait pas. Les gens s'écartaient devant le trio qui marchait d'un bon pas. Il faut dire quela plupart des personnes sortant la nuit n'aiment pas la milice. Erco, lui-même, lorsqu'il était jeune et rebelle n'aimait pas la milice. Il demanda lorsqu'ils arrivaient en vue du lieu de l'affrontement:

-Qu'elle est votre nom? Moi c'est Erco.

Avant que les deux miliciens aient le temps de répondre, ils arrivèrent sur ou les corps étaient cachés. Erco montra dû doigt le cadavre ou une flaque de sang s'était étalé autour et le vivant qui gémissait, ces gémissement s'amplifièrent à la vue de la milice. Le bandit semblait avoir vraiment peur. Le porte-bannière lui dit avec froideur:

-Tu aurai dû m'écouter.

Sklaera marchait d'un pas tranquille dans la petite ruelle, éclairée par la douce lueur de la lune. L'air était frais et agréable. Elle se promenait sans but précis, savourant ce moment de tranquillité. Elle s'arrêta cependant pour observer la scène : deux hommes, visiblement des brigands, gisaient au sol, et la milice était déjà surplace.

-Tu aurais du m'écouter. dit un homme. Grand et musclé, il dégageait une forte odeur d'alcool.

Des paroles dures, certes, mais vraies. La jeune femme soupira.

- Encore des voleurs qui se sont trompés de victime, hein? murmura-t-elle avant de tourner les talons.

Erco entendit une voix féminine, douce mais à la fois froide. Le porte bannière se tourna et regarda l'inconnue. Il la dévisagea de haut en bas. Observant chaque forme de son corps. C'est grâce à cette observation qu'il sur que son interlocutrice était une mage. Il lui dit avec une voix assurée:

-Vous devinez bien belle demoiselle. Et semblez être plus coriace que ces bandits, bien que cela ne soit très difficile, mais pas jugement hâtif. Pourrais-je connaître votre non, si cela vous semble juste, ou disparaissez.

Il fit une pause, puis continua:

-Je peux deviner plusieurs de vos questions et je répondrais à celle que je suis sur que vous poserez...Mon nom est Erco, porte-bannière de l'armée.

Il s'était avancé, il n'aimait pas parler à des personnes de loin. Il avait complètement oublié les deux miliciens que se trouvaient derrière lui. Ils devaient être en train de relevé le bandit blessé et ramasser le corps du mort.

Sklaera faisait demi-tour, quand elle entendit une voix dans son dos. Elle se retourna.

-Vous devinez bien belle demoiselle. Et semblez être plus coriace que ces bandits, bien que cela ne soit très difficile, mais pas jugement hâtif. Pourrais-je connaître votre non, si cela vous semble juste, ou disparaissez.

Sklaera fut tentée de partir, mais la curiosité la retint.

-Je peux deviner plusieurs de vos questions et je répondrais à celle que je suis sur que vous poserez...Mon nom est Erco, porte-bannière de l'armée.

Un sourire étonné naquit sur les lèvres. La spontanéité de l'homme était surprenante. Il s'approcha. Il ne semblait pas menaçant mais elle restait sur ses gardes.

- Ta spontanéité m'étonne. avoua-t-elle. Elle avait adopté le tutoiement naturellement, et Erco ne devait pas être beaucoup plus âgé qu'elle en âge humain.
Je m'appelle Sklaera.

Elle avait hésité à lui donner un faux-nom, mais cela ne changeait en réalité pas grand chose. Deplus s'il était réellement porte-bannière dans l'armée, ils allaient probablement se revoir. Inutile donc de se créer des embrouilles supplémentaires.
La jeune femme s'adossa au mur. Cet humain l'intriguait, et elle l'observait à présent sans aucune gêne.

Erco écouta la réponse de Sklaera, il apprit son nom, un nom à consonance elfique. Il se demandait bien pourquoi elle avait passé par là, alors il demanda avec un léger sourire:

-Sklaera,...heu...beau nom, mais j'ai une question qui me brûle les lèvres pourquoi êtes-vous passé par là car il est rare de voir une femme qui plus est belle se promener à cette heure tardive du soir ou matinal.

Il jeta un regard au milicien et vit qu'il était déjà partit avec le prisonnier et le cadavre. Il fallait qu'il retourne à la caserne car il avait demander quelque chose au vieux milicien. Il ajouta donc:

-Excusez mon empressement, mais j'ai à la caserne une réponse qui m'attend, mais si vous voulez bien m'accompagner, on pourra bavarder tranquillement.

Erco écouta les paroles de Sklaera, elle dit qu'elle en profiterait de regarder les dernier rayon de la lune. Cette elfe était vraiment comme ses semblable à donner de l'importance à quelque chose qui ne sert par à grand chose. Enfin ça c'était l'avis d'un soldat qui avait, déjà, été souvent trahit par la lune lors d'un combat nocturne.
Il fit signe au deux miliciens de retourner à leur bureau et leur dit:

-On vous suit.

Puis, il se retourna vers l'elfe et lui dit avec un large sourire, qui n'était visible que grâce à la lune:

-Après vous, je vous suit.

C'est ainsi que le petit groupe se dirigea vers la caserne ou attendait un vieux milicien à qui Erco avait demander une mission.

Hrp je suis vraiment désolé pour le retard, mais j'ai vraiment pas eut le temps
Suite: https://garkam.actifforum.com/la-salle-principal-f94/arrivee-d-erco-tard-le-soirsuite-de-trouble-nocture-t3161.htm

Sklaera vit le visage de l'homme s'étirer en un large sourire. Il semblait amusé, et elle n'eut pas le temps de s'en demander la raison, car le groupe se mit en route.
Sur le chemin, Sklaera repensa avec un sourire au premier humain qu'elle avait croisé. Elle n'avait qu'une vingtaine d'années elfiques, et pourtant elle s'en souvenait comme si c'était hier. Elle s'était imaginé une grande créature bronzée et musclée, et elle était tombée sur un petit humain, au teint d'une blancheur inquiétante et maigre comme un fil de fer. Elle apprit qu'il s'appelait Taffy, et devint peu à peu devenue son amie. Ils partagèrent de longs moments de complicité, jusqu'au jour où il fût emporté par la maladie qui le rongeait depuis quelques années humaines déjà. Elle s'était fait une promesse ce jour-là...
L'elfe tourna la tête pour regarder les étoiles qui disparaissaient au fur et à mesure. Le jour ne tarderai plus à se lever.


[hrp]Désolée, je sais pas quoi poster dans l'autre sujet.[/hrp]

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