Meurtre sans lune

Sujet: Meurtre sans lune Lun 3 Sep 2007 - 18:13

La nuit …
Noire …
Trop noire …
Des pas … des hurlements, mais personne pour l’aider …
Le pauvre humain courrait, courrait, effrayé comme si la nuit voulait le dévorer, mais son chasseur ne semblait pas se lasser de sa proie… Courrant a en perdre Haleine, Marc fuyait … Il fuyait sa mort. Bientôt, ses pieds trébuchèrent sur une bosse dans une ruelle sombre. S’étalant de tout son long a terre il poussât un hurlement de peur qui disparut dans la nuit comme si cette dernière l’avait avalée, ne laissant de ce cri, qu’un pâle écho, vide et faible… Ses jambes ne semblaient plus vouloir le porter, mais il ne voulait pas mourir … si il le rattraperait, il mourrai … Tout a coup, il ne fis plus a geste. Le jeune humain sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine, il avait entendu un bruit ! Regardant de toute part, comme si il s’attendait à voir arriver la faucheuse à un coin de rue, une ombre passât derrière lui. L’apercevant du coin de l’œil, il se retournât et eut un haut-le cœur : il n’y avait rien. Tout a coup l’idée d’allumer son briquet, l’unique source de lumière qu’il portait sur lui. Levant une main tremblante vers sa poche, il sentit ses doigts se crisper autour du petit objet. Le sortant lentement de sa poche, il cherchât a tâtons une brindille, ou n’importe quel autre combustible sur le sol composé d’un mélange de terre et de neige fondue. Bientôt, se qui pouvait être nommée de torche de fortune, faute d’autre terme, éclairât les contour de la ruelle. Marc sentit son cœur se desserrer un peu : l’ombre qu’il avait vu, n’était autre que celle d’un rat… il avait eu peur d’un bête rat … un bête rat avait réussis a l’effrayer … mais son véritable agresseur devait toujours être a sa poursuite, le cherchant dans les recoins de la ville … un fin courrant d’air soufflât, ébouriffant au passage la tignasse brune du jeune homme… Ce vent ravivât ses véritables peurs. Un peu calmé il posât sa torche a terre, et se relevât lentement. Tout a coup, la lumière s’éteignit, Sans doute avait il posé sa torche dans une flaque, ou même autre chose, qui noya sa dernière lueur… Jurant, il donnait un coup de pied rageur dans un pan de tente quant tout a coup, il se figea… Il revenait … il était la … il …il … Ils étaient là. Il ne réussis plus a se retenir. Sa vessie lâchât, sa voie aussi. Il entendis un terrible hurlement, le terrible hurlement de la mort, quant tout a coup, il se rendis compte que c’était lui, qui hurlait … il hurlait a en mourir ...
La nuit …
Noire …
Trop noire …
Des pas … des hurlements, mais personne pour l’aider …

[Messieurs et Mesdames de la milice, a vous de jouer]

Sujet: Re: Meurtre sans lune Lun 3 Sep 2007 - 18:41

Modamar jouissait à présent d'une nouvelle liberté, la douleur qui lui avait dévoré le dos n'était à présent plus qu'un pâle souvenir et il se déplaçait comme il s'était toujours déplacer. Avec silence et agilité. Sa nouvelle cape dont l'efficacité n'était pas contestable contribuait aussi à sa furtivité et il se déplaçait en cette nuit à l'abri de tous les regards. Seuls ses rats pouvaient le trahir, mais si ses rats étaient visibles, lui restait dans l'ombre. Chacune de ses dague dans une main à l'affut du moindre bruit et de la première cible possible.

La traque d'une proie était une activité qu'il chérissait particulièrement et d'avantage encore quand elle n'était pas poussée par un instinct irrépressible et maladif. Il pouvait alors prendre son temps, suivre ses victimes, laisser monter en lui l'adrénaline et l'envie de tuer. Il pouvait alors savourer l'appel du sang, l'attirance gagner progressivement en intensité jusqu'à devenir palpable au contacte même de sa peau frissonnante qui transmettait ses pulsation cardiaque, rapide et impatiente.

Cette nuit là un vent puissant soufflait déjà sur Néolias. Le maudit se faufilant comme une ombre entre deux tentes trainait derrière lui en plus d'une dizaine de rats et une véritable tempête qui s'infiltrait sous les tenture, projetant partout de la neige et de la glace. Il était facile pour les quelques personnes blotties dans leurs tente, entendant les élément se déchainer tout près qu'un nouveau cataclysme se préparait mais les intempéries passaient et seul le vent nocturne venait encore les perturber. Parfois quelques rats s'infiltraient dans une tente entre ouverte, apportant la neige avec eux, arrachant aux propriétaires des lieux des cri, sursaut de dégout et de terreur. Le carnophage lui ne se manifestait pas. Il observait l'évolution de ses sbires, ses malédictions qui le collaient comme son ombre.

Puis soudain, elle lui apparut, un homme, il ne semblait pas tranquille, un rat lui passa entre les jambes et il sursauta, puis une ombre se glisse dans son dos, il se retourne mais ne voit rien, un rat, ce n'était qu'un rat, non, il y a des bruits de pas aussi, l'éclat vif d'une dague perce soudainement les ténèbres, une deuxième, du vent, de la neige. Et puis.. une trace fraiche qui ne tarda pas à être effacée par le vent. Quelqu'un le suit, il en est sur, pourquoi? Que lui veut-on? Il appel, un “Qui va là” plaintif s'élève entre deux bourrasques sifflantes et retombe dans le silence nocturne. Puis la réponse, enfin, un râle, profond et bestial, un rire aigu et emprunt de sadisme. Cela ne lui dit rien qui vaille, il se met à courir.

La cible, la proie, son jouet de chaire et de sang venait de le repérer, c'était voulu, parfaitement voulu, il n'y a nul gloire à triompher sans péril, nul satisfaction à gagner sans jouer. Il n'est pas venu tuer, non il est venu jouer. La course est lancée.... mais il ne joue pas tout seul, il le sens. L'homme cour aussi vite qu'il le peut mais il n'est pas très rapide. Ses vêtement ample sont chaud et le protègent du froid mais le gênent.Il tourne derrière une tente. L'homme est affolé il ne comprend pas ce qu'il se passe. Modamar l'à devancé, l'attend derrière une tente mais un présentement, il laisse l'homme lui passer devant, sans lui tendre d'embuscade... En effet il n'y a pas qu'un chasseur. Son coeurs bat à une vitesse insoupsonnée, distribue son sang chargé d'adrénaline à chacun de ses muscles. L'excitation est à son comble, le sang, l'envie du sang, la pulsion l'envahit, prend le contrôle de son être, semble alléger son corps, accélérer ses foulées, ou bien est ce seulement la nostalgie des ses première chasses. Si seulement celle-ci n'était pas gâché par cet “autre”, cela lui rappela vaguement ce personnage caché derrière son masque, un sentiment de haine, il continue sa course, si il peut avoir l'autre chasseur avec il ne s'en privera pas.

L'homme s'était mis à crier, il était affalé dans la neige, l'expression figée. Derrière une tente Modama guette mais l'autre n'apparait pas. Cette carcasse au milieu de la vie lui fait tellement envie, il hésite, attend encore quelques secondes que l'autre réclame sa proie mais rien.
L'homme vit une silhouette s'approcher lentement de lui, il ne distingue pas se trais cachés par un capuchon noir, puis soudainement cerné par les rats, qui attaquaient autant le carnophage que sa future victime, plantant leurs incisives plus tranchantes que des rasoires dans les chaires à leur porté (Celle de Modamar est sans conteste la moins bonne.) il se met à hurler de nouveau.

“Lève toi, humain! Nous allons jouer!”

L'homme se recula lentement, une expression de terreur lui balafrant le visage. Il fouilla ses vêtements, il avait bien une dague, il était temps de se battre. Sa main tremblait tout en effleurant le manche de son arme. Il l'empoigna, reprenant un peu confiance en lui, peut-être n'allait-il finalement pas mourir ici.

Modamar était sur ses gardes, sans en être sur, il craignait l'attaque décisive de sa proie, celle qu'on tente alors que tout espoir semble perdu et qui peut miraculeusement renverser la situation. Chacun de ses pas oppresse un peu plus sa cible. Il ne dévoile qu'une seul de ses dague, la seconde servira comme effet de surprise. Mais l'homme ne se décide pas, la sueur perle sur son front et gèles se cristallisant dans ses sourcils. Ce sont les rats qui ferons la différence, alors que l'un d'eux vient de lui grimper sur le torse, l'homme sursaute, hurle, sa dague s'extirpe de son fourreau et frappe la bête tendis qu'il se relève. Une mains froide s'empare alors de son poignet, le mort vivement, la main lâche la dague, tout est finit. Il se débat mais déjà l'adversaire s'est reculé, il lui colle un uppercut, expose son flan à une estoque fatal. Il s'effondre alors que sa hanche ouverte d'une large balafre crache sang et tripe. Un pied difforme se pose sur son coup, une main obscène lui couvre la bouche, et une armée de rongeurs se régale de ses viscères. Une larme perle au coin de son oeuil. Coule lentement et gèle. Une dague découpe ses vêtements, arrache des lambeaux de chaire au passage. Les rats sont à présent près d'une vingtaine, sans doute attirés par l'odeur du sang en plus de la présence du carnophage. L'homme veut hurler, on ne perçoit qu'un gémissement, puis une mâchoire pas tout à fait humaine se pose sur sa gorge, l'étrangle, récolte un peu de sang, puis dans une impulsion bestiale et hémophile arrache la carotide. On s'abreuve à la rivière pourpre qui s'échappe de la base du coup, puis creuse un peu plus, on arrache le sternum, quelques côtes, on admire les organes internes se noyer dans leur propre sang et enfin ce coeur, ce coeur qui ne bat déjà plus...

Sujet: Re: Meurtre sans lune Lun 3 Sep 2007 - 21:12

Sa proie…
Leur proie
On leur avait volé leur proie…
Caché dans un coin d’ombre, ils regardaient leur rival déchiqueter et ravir le corps et l’âme du pauvre marc … On leur avait ravis leur cible, ils raviraient l’âme de leur rival. Se déplaçant dans un courant d’air, comme si une seule et même conscience les avait animés, tous se déplacèrent sans le moindre bruit vers le Carnophage. Tels les ombres qu’ils étaient, pas un détail auraient pu révéler leur position. Alors qu’ils levaient leurs armes au ciel, pour assassiner celui qui avait osé les prendre de vitesse, et avoir mis fin à leur jeu, quant tout a coup, ils s’arrêtèrent un instant. Comme si tout a coup, ils avaient perdu toute discrétion, Modamar sentit comme une présence derrière lui … Mais a peine avait il tourné la tête qu’un coup de vent semblait avoir emporté toute traces d’éventuels autres personnes dans les lieux …
Une dizaine de minutes plus tard, l’aube pointait …
Sa proie…
Leur proie
On leur avait volé leur proie…

Sujet: Re: Meurtre sans lune Lun 3 Sep 2007 - 21:53

Une farce
un piège
on se joue de lui
Planté en plein de milieu de la rue, entouré de rats, sa proie gisant un peu plus loin, il venait de les repérer, eux... qui? Ils étaient passé dans son dos, avaient disparut avec le vent. Combien? qui était/ent-il/s ? En réalité... il s'en foutait. Le soleil se levait il était déjà loin, retourné dans son antre, car bientôt le corps serait trouvé et on chercherait le criminel, lui? pas forcément, de toute façon...
Un piège
farci
Il se jouera d'eux

Sujet: Re: Meurtre sans lune Lun 3 Sep 2007 - 23:02

Ce matin là, Huragorn sortait...De la taverne. Après avoir passé une nuit mouvementé, il s'était réveillé dans un tonneau vide, sentant la bière a dix mètre a la ronde. Sa lui arrivait souvent, il savait faire la fête, que diable! Puis, un peu désorienté, il était arrivé dans les ruelles vide et sombres de Neolias. La clarté du matin ne l'aidait pas beaucoup, sa vision était un peu trouble, et il avait légèrement mal au crâne! Cela faisait au moins dix minute qu'il tournait en rond dans les ruelles, et il rigola tout seul. Dommages qu'il n'ait pas de cloop' sur lui, sa lui manquait. Un rat qui passa entre ses pieds le surpris un peu. Peut être que l'odeur étrange qui planait ici l'avait attiré! D'ailleurs, d'où cela pouvait il provenir?! Le nain y réfléchissait tout en marchant, mais soudain, la réponse lui arriva devant les yeux. Au détour d'une nouvelle ruelle, qu'il n'avait pas encore prise, un cadavre étrangement déchiqueté lui fit tourner l'estomac, déjà un peu retourner par tout l'alcool de la nuit dernière. Il vomit contre une maison, et il reprit un peu plus ses esprit. Son instinct reprit un peu le dessus, et il attrapa sa hache. Personne n'était là, mais on ne savait jamais! Le contact du manche de son arme réveilla encore son esprit, il son cerveau ne fit qu'un tour. Sa mémoire d'abord, lui rappelant qu'il avait entendu un histoire du genre, de quelques personnes trouvé mort, et les expert avaient déclaré que la victime s'était faite dévoré...Personne ne savait trop par quoi! Il fallait donc prévenir la milice! Le criminel devrait bien être arrêté! Si c'était un homme..Enfin, Huragorn ne pouvait pas en croire ses yeux, aucun humain n'aurait pu faire une tel atrocité! Peut être un ours...Mais comment aurait il pu se retrouvé ici?! Ses questions s'effacèrent, car il arrivait directement sur la place du marché, près de la caserne. Bientôt, le mystère serait éclaircie. Du moins, il l'espérait!

Sujet: Re: Meurtre sans lune Mer 12 Sep 2007 - 20:07

Irra venait de rentrer de la forêt où elle avait rencontré un personnage particulièrement ambigu qui après l'avoir attaqué, menace, charmé, qui lui avait joué de la musique et qui avait fini par la chasser avec une cimeterre. L'expérience était restée assez traumatisante pour elle. Ayant rencontré deux personnages de la ville elle avait eu a faire à deux opposés parfaits chacun apportant leur lot de sensations et de désagréments. Finalement elle était bien décidée à endosser son rôle de milicienne et de serrurière... enfin surtout son rôle de milicienne affin de faire régner l'ordre en néolias.

**Tient tient, un attroupement étrange de personnages de toutes sortes, il doit se passer quelque chose de pas normal ici... oh j'y suis une grand mère a fait un malaise, c'est surement ça, je vais vite aller voir si tout va bien... non en fait je m'en fous des grands mères... mais j'ai quand même envie d'aller voir...**

"pardon, oui pardon excusez moi... oh monsieur un peu de respect voyons.. vous êtes pas un gentil garçon! pardon messieurs, ici la milice, laissez moi voir cela, eh pas de coup de coude c'est pas faire play, ou je vais lui coller un procès verbale! attendez, lâchez moi enfin! ah merci monsieur vous êtes aussi de la milice? oh j'ai jamais vu quelqu'un d'aussi grand et... musclé... allez me chasser ces imbéciles qui gène la loi! "

** Bon alors voyons ce ... Ah doux jésus, c'est un cadavre! et un beau... aha c'est horrible... horrible...**

"milicien... eum... b... j'pourais avoir un sac s'il vous plait? c... comment ça pour quoi faire? j'vous en pose des question... eum excusez moi"

** calmons nous, c'est pas aussi moche que quand on bouffe nos proies... eum... si , c'est moche... c'est hyper moche... calme, restons zen...**

"alors nous avons donc un cadavre... eum déchiqueté oui je note donc un cadavre déchiqueté... c'est moche hein? alors... cause du décès... et bien déchiqueture ... oui ça me parait être une bonne cause de décès ça... ensuite ... heure approximative du décès... merde j'ai pas de cadran solaire... rho et puis elle sont complètement bidon les question de ce rapport... identité de la victime... un clochard... oui eum je vais quand même le gouter on sait jamais... oui en effet un gout prononcé de rat c'est un clochard... et bien mes amis c'est un clochard probablement bouffé par le loup pérque... comment ça vous savez pas ce que c'est? Rho bas c'est une grande bête ... oui oui comme un arbre, avec plein de patte... comment des milliers? ça fait combien ça? oui bah sans doute oui et avec une ... ou deux je sais plus... oui donc une et demi on va dire, une et demi grande tête et une grand bouche avec plein de dents aussi coupantes que des clou... ou des dague oui si vous voulez... quoi non cet homme n'a pas été tué à coup de dague, c'est le loup pérque, je ne vois pas ce qui aurait put causer un tel massacre autrement... et donc où j'en étais. Oui ba inutile de se casser la cervelle à chercher une autre piste pour moi l'affaire est close... hein oui c'est bien close qu'on dit... rho et puis zut au revoir hein, je dois aller me reposer moi... non mais je travail, je travail et puis quoi?"

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