la fouille des bois ....[Rp Gnimsh/Ziramel]

Gnimsh, juste derrrière le capitaine de sa compagnie, un certain lieutenant elfe peu connu certe, mais assez bon archer pour tuer un ecureuil sur une branche a 100 mètre ... Gnimsh tremblait de tout son frêle corps ..... il était un des seuls magiciens bien expérimenté... les autres était principalement des archers et des guerrier .... la compagnie fouiillait la foret a la recherch d'un eventuel indice envers l'homme leard renegat quant il arrivèrent dans une clairire ...

Ziramel marchait entre les arbres mourrants, seul...ou presque. L'ours de Nim, qu'il ne pouvait toujours pas se résoudre à tuer -car après tout c'est sa survie qui l'avait poussé à épargner Nim- avancait lourdement, l'air rêveur, regardant les branches ou passait un oiseau à de rares occasions.
Le saurien, lui, bien moins rêveur, ne savait trop comment se débarasser de l'animal. Lui n'avait jamais été très doué avec ce genre de bêtes, et il aurait sans doute préféré en laisser un squellette fumant plutôt que de trimballer une tonne de muscles, de poils et de lard à l'air endormi.
Débonnaire, l'animal ne s'inquiétait pas outre mesure de la proximité de l'homme lézard, auquel il s'était habitué au fil des longues heures passé ensembles.
Le reptile, lui, ne s'entichait pourtant toujours pas du mammifère...
Bref, ils avancaient, le ventre plein -la biche chassée la veille leur avait servi de repas copieux, et il en restait pour quelques jours- se demandant où passer la nuit, du fait de la présence croissante des gardes.
Heureusement, Nim n'était en lui-même plus un souci depuis qu'ils s'étaient séparés il y a peu. Mais restait cet...ours.

Soudain, quelques bruits de neige craquelantes frémirent plusieurs mètres derrière le saurien. Etait-il suivi? Impossible! Et pourtant, il n'était plus seul. Ne prenant pas la peine d'attacher l'ours du nain, le saurien essuya un saut léger et parfaitement silencieux pour s'élever dans les airs et se reposer, lentement, sur les plus hautes branches d'un des arbres avoisinnants -bien qu'encore bien trop petit à son goût-.
Observant ses arrières, il distingua avec une déception effacée par l'amertume, les silhouettes portant l'uniforme typique de la milice.

**Décidément, Thomasss ne me porte toujours pas dans son coeur...**

Au moins, aussi haut perché et se confondant avec la couleur obscure de l'écorce, il ne devrait pas être immédiatement repéré. Mais la présence de l'animal poilu et musculeux en contrebas les amèneraient probablement à penser que la bête n'était pas seule...Il ne fallait pas tarder à agir.

Alors ques la compagnie avançait dans les bois, un hurlement ettouffésortit de la bouche de l'un d'eu ... un ours blanc ...
La plupart de la compagnie se précipita vers elle, laissant la Gnimsh, ainsi que quelques autres personnes...

Tous allèrent voir l'ours, peut être plus par crainte que par honneur, qui sait ? mais tandis que les guerriers et les archers se préparaient a subir le quelconque assault de la bête, Gnimsh reflechissait ...

un animal comme tel ne vivait pas ans cette foret, les ours blancs vivaient bien plus au sud. De plus le comportement passif de la bête était soupçonneux ... se qui amena a la conclusion qu'il devait sans doute être apprivoisé, mais il avvait beau regardé autour de lui, rien ... aucun maitre, c'est alors que ..

Le sol enneigé trembla, comme si un géant endormi sous la terre se réveillait soudain en sursaut. De la neige tassée et branlante surgirent alors de multiples colonnes de pierres, aux abords efilés et tranchants. S'extirpant du sol comme si elles s'articulaient violemment, elle se replièrent sur les miliciens dans une série de mouvements rapides, violents, secs et cassants. Bien que tentant rapidement de s'enfuir dès qu'ils comprirent le piège, les miliciens ne purent que se heurter aux barreaux tranchants de leur soudaine cage.
D'où venait ce maléfice? D'où pouvait émaner un tel pouvoir?! Ils l'avaient sans doute déjà presque tous réalisé, mais paradoxalement, ils ignoraient où se trouvait le maudit reptile...

Les miliciens encore libre hésitaient. Se déplacer risquaient de les mettre à découvert, mais attendre pouvait les exposer tout autant. En tous les cas, ils devraient aider leurs camarades. C'était un conflit stratégique...Et il fallait se décider au plus vite. Ce qu'ils firent, quand une fois encore, le terrible et inattendu manège reprit! Autour du second détachement d'hommes, de sombres griffes de pierres surgirent brusquement de terre en faisant voltiger la neige, se refermant autour du groupe en une étroite cage. Malgré la rapide réaction des hommes pourtant entraînés, les crocs de pierre s'étaient érigés en leur sombre prison, sans qu'ils puissent faire davantage que de passer un bras ou le morceau d'une jambe entre les barreaux tranchants...

Alors, un bruissement retentit dans les branchages secs et gelés...Toutes les têtes se retournèrent, paniquées, convaincues de bientôt voir apparaître sous leurs yeux la créature qu'ils chassaient, mais par laquelle ils venaient de se faire capturer. La tension montaient, les oreilles se tendaient, les coeurs battaient la chamade et les yeux s'écarquillaient nerveusement. Dans leurs prisons, les soldats ne pouvait guère bouger, entassés les uns sur les autres. Trop peu de place pour tendre ne serait-ce qu'à moitié un arc. Trop peu de mouvements pour dégager son épée, aussi risqué cela pouvait-il être, de toutes façons.

Un autre craquement de branches, à l'opposé, survint alors. Puis un autre, encore plus loin. Les nerfs des soldats étaient tendus à l'extrême. Heureusement pour eux, Thomas les avaient entraînés suffisament pour ne pas lâcher, même en pareille situation. Même si la plupart était déjà convaincue qu'ils allaient mourrir d'une des plus horrible manière, ainsi sans défense.

**...Je devrais m'enfuir...Mais laisser là cet ours risque de m'attirer des ennuis par la suite. Et puis, en apprendre un peu plus sur les récents évènements ne peut qu'être bénéfique. Je manque d'informateurs, par les temps qui courent, alors que la milice semble plus méthodique que jamais...**

Le jour percait clairement à travers les branchages, et le soleil ridé et pâle laissait suer de peur les miliciens prisonniers dans l'enfer blanc et noir des bois enneigés. Les hommes inspectaient frénétiquement et sans relâche les arbres, les branchages, les moindres traces de pas au sol. Comprimés les uns contre les autres, la pression augmentaient, les faisant lentement haleter...Ils se savaient observés, et ils se savaient surtout sous l'emprise d'un chasseur bestial, animal, et suffisament sordide pour traiter les êtres humains, les elfes et tous les mammifères comme du bétail. Aujourd'hui, c'était eux qu'on emmenait à l'abbatoir, et le bourreau tardait à appliquer sa sentance, comme pour mieux se délecter du spectacle du troupeau paniqué. Pourtant, celui-ci savait d'instinc, de façon viscérale, que la peine capitale ne leur serait pas épargnée.

La neige qui craque lentement juste derrière la seconde prison de pierre.
Les hommes qui n'osent pas se retourner, sentant immédiatement une présnce inhumaine grandir dans leur dos, et s'approcher en un instant.
Et un souffle chaud accompagné d'un bruit de pas pesant.
La tension était insupportable. Certains tremblaient de tous leurs membres, les lèvres palpitant incessament. Les yeux furetant inexplicablement en tous sens, pour ne pas rater une miette de ce qu'ils ne voulaient pourtant voir pour rien au monde. La sueur coulait.
Alors, une voix rauque et bestiale résonna, finissant de glacer les sang des miliciens au supplice. Ceux retenus contre l'ours docile mais imposant et dangereux ne voyaient que leurs camarades piégés tout comme eux. Les autres, incapables qu'ils étaient de se retourner, ne pouvaient que sentir le souffle chaud et bestial qui leur parcourait tantôt l'échine au travers des serres rocheuses. Mais s'ils ne voyaient pas la menace mortelle qui achevait de planer sur eux, tous entendirent avec une clarté macabre la même phrase cinglante et pleine d'une ironie nostalgique:

La milice était prise au piège ! Malheureusement personne ne pouvait bouger dans la cage ... personne sauf ? un irreductible gnome résistant encore et toujours a l'attaque ... Gnimsh, bien que abasourdi par la puissance magique que l'homme lezard avait acquérit depuis leur dernière rencotre ... pour dire vrai, le gnome était térrorrisé ... mais tout a coup, il se rendis compte d'un detail ...

La cage, bien que très petite, avait été faite a une echelle humaine ... pas pour des petits gents tel que lui. Le gnome enlevat son tabard, caché de Ziramel derrière les autres milicien, puis, se glissa entre les barreaux de la cage et, saisissant son courage a deux mains, sortit en un instant de derrière celle ci, pointant son baton sur l'homme lezard... Sa formule lui brulait les levres ... mais avant cela il dis, sur un ton, auquel il tentait de cacher toute la peur qu'il contenait...

Vous n'êtes plus notre capitaine depuis le moment ou vous avez trahis le royaume, et faillit tuer Ses hauts dirigeant ...

La réponse fût immédiate, cinglante et sans équivoque. Et elle fût physique.
Le saurien se tenait là, les écailles ne reflétant pas la lumière aveuglante du soleil. Le décor lui même semblai irréel, comme grossièrement rayé de blanc et de noir aveuglants.
La machoire serrée, un mot de pouvoir s'échappa d'entre les crocs acérés du reptile. Aussitôt, un jet de lumière distordue fendit l'air en tous sens, se contorsiant dans un crissement strident. La lumière jaillit sur plusieurs mètres, avant d'atteindre violemment sa cible en pleine poitrine.
Mais au lieu de le projeter contre le sol, la décharge immaculée avait immobilisé le gnome sur place, s'enfoncant dans son petit torse contracté comme un harpon d'énergie, piégeant ses membres, privant le petit magicien du moindre mouvement. Tous les muscles du milicien étaient violemment contractés dans une série de crampes surnaturelles semblant vouloir déchirer ses muscles sous l'effort. Ainsi souffrant et immobile, impuissant, Gnimsh était debout malgré lui, parcouru de violents spasmes, tandis que de brefs arcs électriques saillaient çà et là hors de sa peau distendue.

La situation était critique pour la milice, maîtrisé en un instant. Dans leur duel de magie, l'ancien dirigeant de la milice semblait avoir gagné avant même que ne débute réellement le combat. Leurs pouvoirs étaient-ils à ce point différents? Y avait-il une telle marge entre leurs forces respectives? Du point de vue de la milice, tout semblait sans espoir...

S'approcha d'un pas vif et pesant, marquant la neige au rythme de son souffle chaud et inhumain, le reptile arriva en trois pas en façe du gnome. Le dévisageant de toute sa hauteur, le mépris se lisait dans ses yeux vitreux aux iris fendus, incapables de battre.
Sa queue fouettant nerveusement l'air, Ziramel tendit alors un bras froid et visqueux vers la tête crispée du gnome, Saisissant son visage de part en part de ses doigts crochus et charbonneux. A ceux ci luisaient intensément les nombreux bijoux qu'il n'avaient jamais cessé d'arborer.
Alors, dans un bref mouvement, la main reptilienne monta dans les airs, faisant s'élever Gnimsh dans les airs. Ses petites jambes toujours secouées de spasmes ne touchaient plus terre, et il se trouvait un bon mètre au dessus du sol, comme une queue de lézard coupée qui se tortillerait nerveusement.
Sans le regarder dans les yeux, la bête noire lui murmura alors dans un grondement sourd:

"Je te ssuis ssupérieur...Fallait-il que je te tue pour que tu comprenne où était ta plasse?! Tu n'as pas ton mot à dire! Tu n'es rien comparé à moi!!"

D'un geste dont la violence fît frémir les soldats emprisonnés, tristes spéctateurs impuissants du duel inégal, Ziramel abbatit violemment son bras couvert d'écailles lisses et mates, envoyant le gnome percuter le sol neigeux la tête la première dans un craquement sourd, avant de rouler mollement dans la neige, toujours crispé de part en part.

S'approchant alors du corps palpitant du petit magicien, le saurien tendit une paume macabre dans sa direction, ses doigts crochus semblant vouloir le dépecer à distance. Soudain, alors que les mots anciens et crépitant de puissance s'échappèrent une fois encore de sa bouche, l'air autour de la grande et noire silhouette s'embrasa, débordant de flammes et d'étincelles meurtrières. Alors, le monstre, debout fièrement aux côtés du corps allongés et meurtri du petit être, acheva son incantation.
Les flammes environnantes furent comme aspirés par un souffle venu d'un autre monde. Canalisées autour du bras mortuaire du reptile, elles se déversèrent dans un déferlement sauvage et irrépressible sur leur cible. Le bruit de la combustion résonna lourdement dans les airs, tendit que le torrent de flammes prenait la forme d'un dôme de feu pulvérisant ce qui s'y trouvait.
Une fois le calme revenu, le saurien s'éloigna. Le corps fumant du gnome était brûlé de part en part, son uniforme en loques portant encore quelques flammèches par endroits. Autour de son corps à présent immobile, la neige s'était sublimée, laissant un sol aide, sec et craquelé.

Ziramel, considérant sa victoire aquise, s'approcha alors de la prison où se tenait l'ours, comprimé contre les soldats atterés.

A... Attent... le lezard ... j'en ai pas...finit...avec ...toi ...

D'un effort impressionnant, incroytable pour tous, même pour le gnome, celui ci, s'était mis a genoux par terre... et plongeat sa main dans la neige, en attrappant une poignée, et la lançant sur lui, eteingant ainsi les dernières flamèches ... puis, petit a petitit, le sang coulant sur sa peau noircie par les brulures.... le gnome se releva, et fis quelque pas en avant, vers le lezard a présent retourné vers lui

Je ne reçent... Plus aucune peur... pour toi .... Lezard ... Tu es... peut être plus... fort qu moi.... mais ceux dépassant les loi... payerons leur vie de leur sang ... même si je doit en mourrir...

et d'un geste très rapide, il fis sortir du sol une pierre, la faisant leviter comme si celle ci était plus légère que l'air, puis la tailla par magie en une roche acérée, grossièrement taillée et qu'il lança ur le lezard qui lui tournait le torse, visant le dos de celui ci, tout ceci en même pas un instant ...

Ziramel ne pouvait y croire...ce petit gnome de rien du tout, ce petit être insinifiant qui l'îdolâtrait tantôt, ce...gnome, avait survécu? Impossible! Ca n'avait aucun sens!! Pas après ce qu'il avait déchaîné sur son petit corps pour le faire passer de vie à trépas!

La pierre fendit l'air, tranchant le flanc du reptile alors que celui-ci se retournait incrédule. L'entaille n'en fût que d'autant plus large, ouvrant les étoffes en une fine coupure pour sectionner les écailles dans un craquement sourd.

Hébété et rageur, le saurien n'en croyait pas ses yeux. La douleur qui lui perçait le flanc alors que son sang coulait sur ses écailles lisses ne le ramenait pas à la réalité. Regardant Gnimsh se relever, il ne put qu'articuler des mots pleins de colère et d'étonnement:

"Toi!...Imposssible!! Tu devrais être mort!! Comment!"

Le gnome toridit sa bouche maculée de sang en un sourrire ... le lezard n'avait sans doute pas remarqué la légère enveloppe, quasi invisible entourrant le gnome depuis sa sortie de la cage ...en effet, celui ci n'était pas assez bête pour se jetter dans la gueule du dragon s'en s'y être préparé ... Juste avant de e montrer, le gnome avait pris la peine de lancer un sort de bouclier magique sur lui-même ...

C'était sans doute cela qui lui avait sauvé la vie ...Son souffle agité par sa précédente attaque revint peu a peu a la normale ... la douleur disparaissait un peu, et Le gnome répliqua, une lueur de raillerie dans la voix :

Surpris, Ziramel ? Je suis sans aucun doute piètre mage par rapport a toi, mais sache que j'ai suivis l'entrainement du même maitre que toi ..
Me tuer ne sera pas si simple face a moi ... Les gnomes ont toujours un coup d'avance sur les autres, quelques soit leurs niveaux ...

Le regard du gnome étincelat un instant sur la dague de pierre plantée dans le tronc d'arbre, derrière Ziramel... bien que sa dague ne l'ai pas tué, elle avait remplie son objectif premier ... certe, maintenant, il restait a survivre le temps de pouvoir utiliser cet avantage ... Si il réussissai, la vie du lezard ne tiendrait plus qu'au Gnome...

Les mots du gnome ne firent que décupler la rage du saurien...Celui-ci ne s'était toujours complètement remis de son utilisation intensive de la magie de la veille, et continuait de devoir incanter sort après sort. Avec eux, c'est sa propre énergie vitale qui s'échaperait bientôt de son corps s'il n'y prenait pas garde. Invoquer un sortilège n'était jamais impossible pour un mage, mais la magie réclamait toujours son tribut...Il fallait être prudent.

Ne prenant pas la peine de réfléchir, Ziramel frappa violemment le sol neigeux du manche de bâton, en direction du gnome. Peu lui importait la stratégie, désormais. Le gnome était la seule menace plausible pour lui désormais. Il lui faudrait s'en débarasser au plus vite, quel que soit le moyen...

Sous le coup du magister, la terre s'ouvrit dans un grondement sourd. La neige s'y engouffra en grande partie, tombant sans fin dans le précipice qui se formait. La faille continua de se former en un éclair, comme une fissure sur laquelle on tire violemmentn, progressant droit vers le gnome pour l'y engouffrer. Mais alors que le précipice s'ouvrait rapidement jusque sous le gnome, celui-ci bondit hors de portée du trou avant que celui-ci ne le dérobe à la surface de la terre.

Certes fâtigué et blessé, Gnimsh n'en restait pas moins un gnome: habile et rusé. En dépit du sol calciné, de la faille ouvrant la terre entre eux et du sang qui coulait lentement sur chacun d'eux au rythme de leur souffle haletant, ce combat n'était pas encore fini...

Le gnome esquiva allègrement l'attaque du saurien, et tourna autour du saurien, a environ 5 mètre de celui ci, ... cette manoeuvre, aux apparences plus guerrieres que magiques, était en fait une magnifique ruse, faite pour interrompre le contact visuel du saurien, mais aussi pour recuperer sa dague de pierre ... Ensuite, il avait son plan ... mais encore fallait il avoir la chanse de pouvoir le réaliser ..

En effet, elle était plus que préscieuse pour le gnome. celui ci, dans une galipette dans la neige, recupera la dague et la mis a sa ceinture, juste au moment ou le saurien l'avait perdu de vue. puis, il reppris se manège, obligeant a faire tourner le lezard encore quelques instant...

tout a coup, le sol trembla... un regard vers Ziraml indiqua pour le gnome que le lezard était l'origine de cela ... mais il l'avait maintenant mis en faiblesse, en effet, a quatre patte par terre, se serai difficile d'esquiver un sort ... Heureusement, son bouclier était encore de la partie

Gnimsh était à terre. Il n'en fallait pas davantage. A présent en vue, il suffisait d'une rapide succession de quelques mots de pouvoir pour se débarasser du gnome.
D'un geste de ses griffes, Ziramel balaya l'horizon d'un soufflet. Aussitôt, un courant ascendant remonta les loques du milicien vers sa tête, avant d'arracher subitement son corps à la neige: le gnome fût projeté dans les airs sur plusieurs mètres, avant de s'enfoncer violemment entre les branchages acérés et cassants d'un arbre gelé avoisinnant.

Prpfitant de cette encartade, le reptile entreprit de se mettre à couvert derrière les arbres avoisinnants. Il avait beau être massif, son corps et son expérience dans ce domaine lui permettait de rester furtif en forêt, et à présent que le gnome l'avait brièvement perdu de vue, il fallait en profiter. Il attaquerait par surprise. Mais cette attaque serait la dernière...Il le fallait.

La situation devenait de plus en plus compliquée...Ziramel, caché derrière les troncs identiques des arbres de ces bois, venait de perdre le gnome des yeux, ce qui était souvent fatal dans un duel de magicien. Plus grave encore, Gnimsh s'était montré capable de le blesser, lui! Ce qui relevait plus de l'exploit moral que physique. De plus, les prisons de roche qui retenaient prisonniers l'escouade mortelle de miliciens ne dureraient pas pour toujours. En l'absence de concentration suffisante, et considérant la précipitation avec laquelle il les avait invoqué, elles finiraient par s'effondrer. Pas prochainement, heureusement, mais l'on était jamais à l'abri d'une mauvaise surprise...

Sortir de son poste serait du suicide: une flèche de pierre pouvait toujours lui arracher un oeil ou des doigts s'il n'y prenait pas garde. Mais rester en place pouvait donner l'occasion au milicien de contourner son couvert végétal pour le prendre à revers. Il fallait trouver un moyen de perturber la concentration de l'adversaire pour l'empêcher de lancer des sorts élaborés, afin de pouvoir se lancer rapidement à sa recherche.

Ziramel se remémora les paroles à prononcer. Dans un sifflement, il articula l'antique incantation. Alors, les vents se mirent à s'agiter autour de lui, ondulant par vagues inégales, comme agités par des effluves accidentées. L'air se courbait, se distandait et se déchirait de plus en plus violemment. Alors, il rabattit ses paumes l'une sur l'autre, et les fît lentement glisser entre elles. L'air se contorsionna de plus belle, mais son déchirement retentit clairement. Un son déchirant retentit, glacant les sangs de ceux qui étaient malheureusement assez près pour subir l'infâme musique. Tel les cris confondus de milliers de bêtes sauvages à l'agonie, les airs se déchiraient et se tordaient en violents remous dont le son insupportable vous traversait l'échine telle une lance empoisonnée.
Le reptile, lui, ne semblait pas affecté. Sortant de derrière le tronc d'un des arbres à pas vifs, il marcha en direction des arbres ou Gnimsh avait disparu, caressant toujours ses paumes.
Malgré le calme de sa démarche, l'air s'agitait toujours en un affreux ensemble de milliers de cris d'outre-tombe.

Gnimsh posa son baton sur ses genoux (il était assis contre le tronc d'un arbre, sur une de ses branche) plaqua ses mains contre ses oreilles .. se son était si désagréable ! rassemblant ses pensée, il tentat de se remémorer le sort qu'il avait appris hier, chez le maitre mage .... ça y est ... d'une voix forte, criant dans le vent, le gnome hrlat une formule magiue. Aussitot, de toute part et de tout les angles, des nuée de flèches percèrent les arbres, comme si elles venaient de partout a la fois, appeurant quiconque ne savait pas que c'était une illusion... c'est a dire tout le monde ici, a part Gnimsh ...

Le gnome ouvrit l'oeil, et tentant de se calmer et de ne plus faire attention au bruit, il ouvrit l'oeil, pour reperer Ziramel, si celui ci bougeait du moins ...

Ziramel ne bougea pas. Tétanisé par l'apparition aussi innatendue qu'impressionante, il réagit avec un sang-froid dont il n'eut pas le temps de se féliciter. Plutôt que de tenter d'esquiver, ce qui relevait de l'exploit; ou de dévier les flèches, et elles étaient trop nombreuses pour cela; Ziramel adopta un parti simple: empêcher les flèches de le blesser.

Figé sur place, un étau hors de ce monde vint l'enserrer tout entier, piégeant son corps d'une énergie statique propre au minéral.
Mais aucun des projectiles ne semblait décider à le blesser. Son précédent sortilège avait cessé sous l'effort, et le silence n'était plus percé que par le bruit des flèches sifflant dans les airs.

Surpris, décontenancé, le reptile ne put retenir le flot de réflexions qui se déversa dans son esprit. S'agissait-il d'une autre escouade de miliciens? Si oui, il fallait trouver un subterfuge, et lequel? Si les miliciens l'avaient déjà encerclé, était-ce Gnimsh qui les avaient conduit à lui? Pourquoi ces flèches ne lui causaient-elles aucun mal? Alors seulement, il compris.

Ce ne pouvait-être qu'une illusion. Et il était tombé dans le piège...

Enfin ... Enfin Ziramel avait fait une erreur ... Le gnome , avant me^me que Ziramel ne comprenne que c'était une illusion, se souvint des paroles de son sort, puis, quelques micro-secondes plus tard, lança l'incantation.
A peine Ziramel avait il lancé sa dissipation de son sort que l'éclair partit sur lui, l'empechant de réagir ... l'éclair semblait avoir du mal a penetrer les ecailles noir d'ébène de Ziramel, comme si celle ci était chargée d'une energie contraire, mais enfin, la charge toucha Ziramel ...Celui ci sentit ses muscles se contracter difficilement ... sa peau se tendi, ses mouvements furent rendus impossible ... Le gnome déscendis branche en branche de sa cachette et, dis a Ziramel :

Mon cher Ex-capitaine, vous faiblissez, je le craint... As tu du mal a tuer une personne qui n'est "rien" comparé a "toi" ...

Le gnome ne se faisait pas d'illusion, il savait que ses reserves de Mana faiblissaient ... il sentait que ses forces l'abandonnaient ... Usant ses dernière resources de Mana, il leva son baton et, fis apparaitre de roches, semblable a la dague de pierre qu'il avait lancé en début de combat. Celles si se taillèrent toute deux, comme la première puis, lors d'un dernier mot, le gnome reppris les paroles du lezard :

"Le jeu est terminé...Il est temps d'en finir."

Puis, il envoyat les deux dagues de pierre, foncer vers Ziramel ... Une vers son torse ... Le gnome retint son souffle ... cette attaque, si elle réussissait, avait de grandes chances de le tuer ...

Le lezard fut projetter contre le tronc d'un arbre sous la violence du choc .... son franc reptilien laissait echapper un grand flot de sang couler, ainsi que sa poitrine... celle ci portait d'ailleur toujours la dague .. Le lezard semblait assomé ... Le gnome souflat un instant ... il avait gagné ... il avait .. tuer... Zirazmel ... du mois, c'est se qu'il croyait ...

Le gnome était persuadé d'avoir vaincu...et pourtant. Fier de sa prétendue victoire, il pouvait se précipiter vers ses compagnons pour tenter de les délivrer. En effet, ils devaient se demander ce qu'il était advenu d'eux, depuis qu'ils s'étaient éloigné des prisons de pierre. Heureusement, le gnome pouvait les rassurer, désormais.

...Mais déjà un mouvement retentit derrière lui.

Maculé de sang, le reptile saignait de ses plaies profondes, et le liquide mate coulait d'entre ses crocs, depuis son flanc, sa poitrine et son ventre, jusqu'au bas de ses étoffes. Mais sa rage initiale, bien qu'entachée par la fâtigue, n'avait pas cessé de s'intensifier dans son regard animal.

Debout et résigné, il jeta résolument les dagues de pierre sanglante au sol. Et s'approchant d'un pas du gnome qui se retournait, surpris, il siffla d'une voix guturale:



Oui, le saurien était encore en vie, en dépit des profondes blessures qui auraient largement suffies à tuer n'importe quel homme normal. Mais lorsque Gnimsh sentit le souffle chaud du lézard derrière lui, il n'eut pas le temps de faire davantage que se retourner.
Aussitôt, un puissant souffle l'enveloppa, le soulevant de terre, et le projetant en tous sens. Tournoyant en tous sens, au dessus du sol, il n'était plus qu'une poupée de chiffon brutalement secouée dans les airs par des doigts invisibles.
Alors, il fût projeté contre l'arbre qu'avait heurté Ziramel plus tôt. La tête en bas et plaqué contre l'écorce glacée par un souffle écrasant le comprimant sans relâche, il sentit le regard glacé du saurien se poser sur lui.

Remontant le long du tronc, comme tiré par une main invisible, il fit face au regard de braise de la bête. Celle-ci, posée mais clairement bouillante de rage, dévisageait la figure du gnome depuis la position très inconfortable de dernier. Lui saisissant soudain la gorge de ses doigts crochus et griffus, et lui soufflant son haleine animale en plein visage, elle lui grogna:



Gnimsh sentit alors son corps se redresser lentement. Comme raclé contre la surface du tronc, il tournait sur lui même et se tint bientôt à l'endroit, quoique toujours au dessus du sol neigeux, et fermement appuyé contre l'écorce par la force brutale et probablement magique.

Ziramel lâcha son étreinte. Libéré, le gnome retomba à terre, le souffle court et le coeur battant, mais toujours en vie. Le magister avait déjà fait volte façe et s'éloignait à pas lents. Fuyait-il le gnome? Il semblait. Au moins n'insistait-il pas davantage...
Malheureusement, si. Se retournant une nouvelle fois à plusieurs mètres du milicien, une puissante rafale balaya les airs, faiant voletiger la neige le long du couloir d'air propulsé contre le gnome. Celui-ci, à bout de force, fût projeté une nouvelle fois en tous sens à travers l'air glacé des bois. Après une série impressionante de tours sur lui-même, son corps s'écrasa sèchement contre la neige humide et tassée. Alors, toujours conscient, tandis qu'il relevait faiblement la tête pour apercevoir son agresseur une nouvelle fois, il vit la grande silhouette noire et inhumaine du renégat, déjà bien loin devant lui, marchant à pas lents en s'appuyant sur son bâton. Mais dans le rythme des battements de coeur qui lui gonflaient douloureusement les tempes, il entendit clairement un dernier avertissement traverser les airs, et s'établir, clair comme du cristal, dans l'esprit de Gnimsh. Ses mots, il ne les oublierait sans doute jamais...

"Tu as eu de la chansse aujourd'hui, petit...Mais tu es trop dangereux pour être ignoré. Aujourd'hui, tu es devenu quelque chose, ss'est vrai. Mais je ne laissserai pas sse quelque chose grandir impunément. Sssi nos chemins sse croisent à nouveau...

Je te tuerais.

D'issi là...ssi tu veux vraiment mériter le titre de magissien...entraîne toi.

Ssurpasse moi. Et peut-être qu'un jour, tu pourra rivaliser avec moi. Mais n'oublie pas...
Je ne t'épargnerais plus."

Ainsi disparu Ziramel entre les arbres gelés, sous un soleil livide et un ciel immaculé. Ainsi disparu, une fois encore, le fugitif renégat.

Le gnome regardat le reptile s'en allé, reflechissant a ses dernières paroles ... puis, usant ses dernière forces, il se traina sur le sol jusqu'a l'endroit ou Ziramel avait lancé les deux dagues de pierre ... les serrant dans ses petits poing, il se promit de ce venger ... il regardat lentement le sang rouge foncé de Ziramel, couler petit a petit sur le tranchant de la dagues ... Aujourdhui, le reptile avait gagné une bataille mais pas la guerre... Il s'améliorerait encore, jusqu'au jour ou il réussierai a battre le Reptile .... et ce jour la ... Ce jour la ça vengeance sera accomplie ..

Mais le gnome, a bout de force, tomba a terre et se traina vers le tronc de l'arbre le plus proche -celui ou Ziramel c'était écrasé- Et s'appuyat contre ... en ce moment, rien ... rien ne l'embettait... il n'avait plus peur, il n'était pas en colère ... il avait seulement honte ... si il avait aider ses compagnons a sortir de leurs cages, il aurait pu battre le lezard, et le capturer ...

Dans sa honeuse pensée, le gnome s'assoupie peu a peu, serrant dans sa main une des ecailles noir ebène de Ziramel ... ceux dépassant les loi... payerons leur vie de leur sang ... Le gnome se vengerait, Et Ziramel, perdra son plus grand but ... sa vie ...

Fin du Duel, et du Rp. considerez que les miliciens, une fois que leurs cages s'effrite, me ramène, toujours évanoui et serrant l'ecaille de Ziramel dans sa main, a la caserne

+320xp Zira
+300xp Gnimsh