La conclusion d'une poursuite

Le groupe avançant de plus belle, toujours sur ses gardes. Le bruit semblait se rapprocher, et bientôt, il sembla aux aventuriers entendre quelque chose de plus faible, tout proche d'eux.

Alors qu'ils se faisaient silencieux et écoutaient attentivement, se rapprochant encore et toujours avec précaution et lenteur, ils perçurent avec plus d'acuïté le son étrange.
On eut dit un souffle lent, peut-être même plusieurs...Il était d'ailleurs probable que la source du bruit, entende la même chose de l'autre côté.
Prenant rapidement les devants*, Ziramel avança à pas de loup. Finalement arrivé contre l'entrée, il brandit lentement son bâton, frôlant la paroi de sa pierre rougeoyante.
La tension monta d'un cran tandis que le silence n'était brisé que par les bruits de respiration à peine perceptibles. Le calme faisait loi, mais tous attendaient de voir ce qui se trouvait de l'autre côté, se préparant à fixer l'inconnu dans les yeux, l'arme au poing. Les blessures et la fâtigue s'ajoutaient cependant au froid, et la découverte pourrait fort bien être la dernière que les explorateurs pourraient faire, si cette halte de la dernière chance leur était fatale.

Soudain, le choc. Des pants entiers de bois éclatèrent brutalement et s'éparpillèrent dans les airs, avant de retomber sur le sol grisé, dans un nuage de poussière et de fumée obscurcissant la vue.
A présent seule dans le cadre de la porte, la silhouette voutée et grognante du reptile occultait la lumière. Ses yeux luisaient d'une lumière fauve, et son souffle exsangue et rauque laissa échapper une fumée drue et dense alors qu'il ouvrait lentement sa longue machoire garnie de crocs.
Sa cape s'agitait, ballotée par les courants d'air ascendants. Son bâton pointé droit devant lui, fumait tout autant et brillait de plus belle.

La fumée et la poussière se dissipèrent lentement, laissant entrevoir plus de détails des deux côtés. Le regard de Ziramel, froid et bestial, insensible mais brûlant, rencontra celui de Mininus. Les deux êtres étaient façe à façe. A nouveau, ce fût un court silence...

*: il faut dire que ça ne bouge plus tellement...

Quand la poussière se fut dissipée, l'elfe s'approcha en boitant, il vit une grande silhouette, s'approchant encore, il reconnu Mininus; il dit, étonné:

Mon... mon roi?! Désolé pour cette entrée... agressive. Mais, que faites vous là? Vous avez trouvé la reine?

Il s'inclina comme il pouvait, s'appuyant contre le mur se trouvant à côté de lui. Comment se faisait-il que le roi était là? Au moins, il se sentait en sécurité, le lézard ferait surement moins le malin devant lui.

Puisque Mininus venais sens doute de se rendre conte qu'il n'y avais aucun danger, Thomas en profitât pour se diriger vers la reine....

Arriver tout près d'elle il s'agenouilla, l'examinas rapidement;

_O ma reine je vous en prit permettais moi de regarder si vous ne soufrer d'aucun trouble....si vous avez un quelconque problème dit le moi je verrais si je suis en mesure de le régler.

Il commençait déjà à sortir une trousse; et une couverture pour l'offrir à la reine si elle avait froid

ps: pour le moment Thomas ne touche po la rein...l'éxamin rapide il le fait juste du regarde lol...

Rengainant son épée, mais fixant toujours Ziramel, Mininus ne fit pas un geste. Il n'émit pas un son quand Oromis lui adressa la parole, seul son regard suivait l'homme lézard.
Enfin, après quelques minutes, il fit un pas sur le coté, laissant entrer le second groupe à l'intérieur de l'avant poste. Il y rentra à son tour, sans prendre la peine de regarder si Ziramel allait rentrer ou non. Il parcourut l'intérieur de la salle d'un regard furtif. Thomas s'occupait d'Alya, dans un coin de la pièce, soignant ses maux et examinant les pictogrammes peints ou gravés sur sa chaire blanche. Nim était assis sur une caisse, il semblait allait mieux. Aragh quand à lui, semblait pensif, il ne disait rien et ne bougeait pas.

"Bon et bien nous n'allons pas nous attarder ici plus longtemps, nous partons."

Mininus attendit quelques secondes que Thomas achève son travail, puis il souleva Alya dans ses bras et la serra contre lui. Elle s'endormit presque immédiatement. Le couple passa l'embrasure de la porte, et se dirigea vers les manettes de l'ascenceur.

Urzak, en selle, les attendaient en bas, seul avec son tigre et son destrier
restant pensif a son commbat de tout a l'heure il entendis enfin le bruit significatif de l'ascenseur. il regardatg en l'air, s'attendant a voir le grouppe dessus. mais il ne fus rien, en effet, il y avait personne dessus .... Oh ! mais si, il y avait une personne dessus.
Urzak decendis de son cheval et s'oprocha pour voir de plus pres .... en effet,
Il se trouvait une personne, une personne qu'il connaissait que trop bien c'était (encore) lui ...
a peine avait il fait un gesste que son double lui sautait dessus, il le fis volietiger grace a une roulade arriere, et il sortit son poignard ... vraiment, il devrait s'acheter un jour une vraie dague, mais la il n'avait pas le temps d'y penser. Oubliiant tout edefense, toute sécurité il lui fonça dessus, dague en avant.mais son double ne bougea pas d'un pouce, meme lors de l'impact de son arme. Le second Urzak mis son main sur sa blessure et la regarda avidemment, puis il dis d'une voix chaoptic que Urzak ne se connaissait pas ..

La reconciliation est pour ..bientot...

Puis, d'une geste vif il appuya sa main contre celle du vrai Urzak, laissant une trace de sang ...

Tout a coup Urzak se reveilla en sursaut au bruit caracthéristique de l'ascensseur. il montait toujours son cheval ... Etait ce un reve ? Suremment, la bataille l'avait drolement fatigué ... et pourtant, Urzak regarda sa main. Une étrange marque de sang le tatouait maintenat, pprennan la forme d'une tete de loup ...


(Bon, pour ceux qu'on pas compris, la "premiere fois" je me suis endormi pas de " Je saute pour aider Urzak face a son double -_-)

…A l’anéantissement de ses espoirs, perlait une larme de désillusion, une lassitude sans limite lui accaparant, pensés, émotions, humeurs. Et, ni le froid de la neige en émoi autour de sa silhouette chancelante et meurtrie, ni la fatigue de ce voyage cauchemardesque, ne l’abattait autant. Feignant le sommeil dans les bras de son compagnon, elle réagirait en temps voulus aux vaines paroles de sa conscience. Qu’était-elle devenus ? L’impression qu’elle ne contrôlât plus ses émotions, persistait sans relâche en son esprit confus…Comment réagirait-elle si elle perdait le contrôle face à une situation contrariante ? Hausserait-elle le ton pour se faire entendre raison…La peur de ruiner le bonheur de son amant la rongeait avec délectation. Le songe se mêlait à la réalité pour ne former qu’une seule mémoire, était ce sincère ? Avait-elle bien vécut ses évènements, s’était-elle marié ?

Finalement dans un sursaut de sanglot incontrôlable, ses paupières s’ouvrir de nouveau à la lumière du jour… Ballotté jusqu’alors dans les bras de Mininus, elle s’en dégagea comme de la peste. Délestant son corps des bras ferme du roi semblablement à un individu émergeant d’un rêve atroce, elle se retrouva bien vite par terre, les muscles endoloris. Ses sourcils prirent alors une position insoutenable…haineux…Et le flot de mots qui s’en suivirent, furent bien pis.

NE ME LAISSE PAS TRAINER PAR TERRE, SUIS-JE DONC SEULEMENT UNE CHIENNE DOCILE A TES YEUX !!!

Cette expression terrible se dissipa aussi vite qu’elle était venue, elle n’avait duré que le temps d’une phrase ; mais le déchirement que cela devait entraîner en son intérieur n’avait pas de limite…Les pleurs ne laissèrent place qu’à un chuintement d’excuse…

Je…je suis désolé…je…je ne sais pas…ce…ce qui m’a prit…

Son regard, embué par les larmes, se détourna de l’image de son amour, ne pouvant la supporter plus longtemps. Comment en était-elle arriver-la ? Cet excès était-il, le début de…non

Haussant un sourcil, puis l'autre, Mininus se demandait ce qui c'était passé. Sans dire un mot, il le reprit dans ses bras. La fatigue et la douleur devaient être la cause de ses mots irréfléchis. Du moins il l'esperait.

Il leur fallut un peu moins d'une heure pour faire fonctionner l'ascenceur, et ils purent descendre jusqu'au bas de la falaise. Mininus laissa Urzak mettre la nymphe sur le cheval, et refusa d'y monter lui même. Il marchèrent inlassablement vers Neolias.

Fin de quête

Pex du groupe 1:

Participation / Rp / Combat / Idée

Nim: 200 / 300 / 300 / 100 : 900
Urzak: 200 / 300 / 300 / 100 : 900
Thomas: 150 / 250 / 200 / 150 : 750
Mininus: 150 / 300 / 300 / 50 : 800
Arhag: 50 / 50 / 0 / 50 : 150 (T'étais pas là au début aussi ^^)

Mj : Orlyx, étant donné ton état tu es ramené chez le guérisseur, tu te réveillera donc là bas.

Aharg qui les avait suivit de près,fut l'ascensur à son tour. Arod qui l'avait attendu était à l'heure. Les pensés de l'elfe était commment allait être le village. Peut-être serait-il normale ou peut-être, comment dire, détruit. Il repensa à tous ce que lui était arrivée à ce village. Mais bon tout ca est finit. Pensons au présent ce dit-il. Aharg carressa le dos de son cheval, et le mit au trot.

Aharg se mit derrière le roi, faisant le garde du coprs en quelque sorte. Il guettait de partout surveillant de près le roi. Ahrag lui demanda:

-Mon roi, si le village est détruit, comment ferons-nous?

HRP:D'accord je me réveillerais chez le guérisseur.