un Thomas en colère et avec plein de bonne idées

Thomas venais se présenter devant les garde pour la troisiéme foi depuit sa resante arrivé...il avais l'aire particulérrement sur les nerf...

l'un des deux garde de l'entré eu la mauvais idée de prononcé quelques mots:
_quois encore vous!?!...mais ma parole quesque vous lui voulez au roi, coucher avec lui!?!...
les deux homme rire avec peut de discretion...Thomas dejas a bout de nerf se rédit net...un léger vent se soulevas et fit valser la neige qui tombait dans tout les sens, en un éclaire le garde se retrouvé avec un couteau sous la gorge...
_je ne tien pas a vous farie du tors...mais vous dépasser les limites l'AMI...une autre reflexion de ses genre et je ne garentit pas votre securiter...et n'oublier pas que je suis aussi soldat...
les garde furent pour le moin surpris par cette action...éclaire...celui avec le couteau sous la gorge ne fit qu'un: gloup
ceci n'est pas une menace , mais un avertisement...maintenant aller me chercher le ROI...et aucunnes autres personne c'est claire...

Une lame se glissa sous le cou de Thomas. Elle était froide et blanche. Elle picotait affreusement. Le jeune homme ne fit plus un geste, et les gardes reuclèrent en s'inclinant.

"Je vous prierais de ne pas menacer mes gardes, messire Thomas"

La lame se baissa, et Thomas put voir que son attaquant était le roi en personne. Ce dernier souriait de toutes ses dents. Il fit entrer Thomas au chaud, et il allèrent dans son bureau.

"Il parait que vous vouliez me parler ? Et bien je suis libre pour quelques heures, que me voulez vous ?"

Thomas était détendu enfin un peut plus qu'avant....bien enfin seul sens parazite a coté ou quoi que se soit pour le géner...
_bien, bonjour mon cher...roi, dejas vous senté vous mieux depuis la dernier foit a l'auberge je n'ais pas eu le temps de juger de votre êtas, une affaire urgente a régler...

"Oui je vais mieux, bien mieux. Et cela grâce à vous. Je vous remerçis. Mais nous ne sommes pas là pour discuter de ma santé. Je vous en prie asseyez vous."

Il désigna la chaise, et le laissa s'y assoir. Une fois confortablements installés, ils ne dirent rien pendant quelques minutes. Enfin Mini déclara:

"Et bien, je vous en pris, parlez..."

(juste comme ça, dabns le titre c'est "colère" pas coler!

T'inquiète, Kaldran, si Thomas ne faisait que ces fautes là...
mais bon, on lui pardonne!!!!!!

et bien seigneur, si je vien vous voire aujourd'hui et que je suis comme cella c'est parceque les rares aucasion ou nous nous somme vue....biennnnn...vous ne m'avais pas entendu...aussi voila de quois je souhaitais m'entretenire avec vous, les défence de ce campement sont atrocement faible, la muraille et a peine construite et il n'y a aucun defance quel quel soit...aussi bien physique que magique, certe il y a bien une milice...mais elle n'est pas utilisé a bonne éssient...j'ais consulter les archive, qui parle d'une tribue de wyverne qui aurrais attaqué la ville, mais celle si netait pas protégé corectement (Thomas commencais a s'énérver et on pouvais sentire des senglots dans sa voix...) si des homme avais etais placé en poste la ville aurrais pu étre avertie de cette attaque et bien des vies aurrais pus étre sauvais...(le tableau étais quelque peut troublant...Thomas avais élevait le ton puis s'étais totalement abatut sur ses dérnier parolles...il étais retombé sur sa chaisse et des larme coulé le long de ses joux...il avais tériblement mal au coeur, en vent chaud et agreable montas à l'intérieur de la tente, se qui ne menquas pas d'étoner Mininus, de l'aire chaud?...par ce temps??...sans ouverture???....mmmmmmmmm)
oui, oui, je sait ce n'est pas leures faut, pardonne moi, c'était ton choix...Thomas séchas ses larmes et se redressas...

Ah, je commence à comprendre... Thomas Cardo ? Oui, j'ai connu votre frère. Un héros. Ca mort fut héroïque, et je peux vous assurer qu'il restera dans les mémoires. Sachez que j'ai perdu beaucoup de proches moi aussi au cours des dernières années, et je sais ce que cela fait. J'agis pour le bien du camp, ça je veux que vous le sachiez.
Maintenant, je vous en pris, continuez, vous m'avez l'air honnête, et plein de bonnes idées.

je...je vous remerci pour mon frère, il étais brave...et il me manque tériblement...mais je sait qu'il est toujours là, avec nous, dans notre coeur...ten que nous croiront en lui, il seras là, et croyer moi je croit vraiment beaucoup en lui...mais nous ne somme pas là pour parler de lui, peut étre un autre jours si vous le voulais bien autoure d'une chope de bierre en son honneur...sinon je souhaitais vous proposé plusieure idées pour la défence de cette cytée...les voici: augementer le nombres de gardes dans le camp et les patrouilles...j'ais entendu parler de plusieures meurtre, alors cela rassurera la population, mais attention a ne pas tomber dans l'excès, sinon cela l'effrayera...
deuxiément créer avec l'aide des magiciens les plus puisant une barrier magique qui protégerais la ville de differente agrétions...j'ais cru resentir que le talent ne manquer pas par ici...et j'ais l'imprétion que leurs pouvoires ne sont pas d'une grande utiliter...alors il pourais les mettres à contribution pour l'endrois ou ils vivent...mais attention je n'y connais pas grand chosse en magie, je compt sur votre aide pour me soutenire et sur la leur pour crée ou inventer cette barierre, de plus je sait que ces quelque chosse qui doit demander beaucoup de temps et deffort mais si nous voulont survivre encore longtemps il vas faloire se donner les moyen de le faire, mais je suis sur que vous me comprener...n'es pas majesté...

Mininus se leva, posa ses poings sur son bureau. Il réfléchissait. Ce que lui proposait Thomas serait dur à organiser. Il répondit d'une voix calme, apaisante:

"Nous ne pouvons augmenter le nombre de soldats, car ils s'engagent tous seuls, nous ne forçons pas les citoyens. Et nous n'en avons malheureusement pas assez pour augmenter les patrouilles. Quand à la barrière magique, il faudrait que j'en parle à Thorn. C'est le seul magicien "déclaré" que je connaisse personnellement."

mmmmmm...au moin le roi desidrait il de se bouger un peut...bien maintenan le plus dur serrais de convaincre les autres magicien...
_pardonner moi sir...mais que s'avais vous de Ziramel...je le pensse suceptible de nous aidé...il à l'aire misterieux...et d'apré mes renseignement asser influant auprer des autres...de plus je le trouve asser...comment dir gentil n'est pas le mots...mais je pensse qu'il est bon...je voudrais que vous m'éclaireriais...
aussi j'ais entendu parler d'un avant poste situer un peut plus loing dans la montagne...peut étre purion nous l'utiliser a des fin plus judicieuse, enfin cella réste une idée à aprofondire, mais peut étres devrion nous rassenblé les puisance dirigeante de ce camps pour en parler avec plus d'éficasiter, et entendre plus d'avis et d'idées...je pence que la défance a étais trop négligé au profit du comerce. Non pas que je porte un jugement sur vous ou quiquonque je ne fait que regarder et parler des problémes apparent...

Mininus regarda Thomas. Il n'avait aucune envie d'être mêlé à Ziramel, mais il savait bien qu'il n'avait pas le choix. Il resta un long moment dans le silence, ruminant des maledictions destinées au saurien. Enfin il parla:

"Pour vous être franc, je n'aime pas beaucoup les magiciens. Beaucoup on trop d'ambitions. Les autres sont fous à lié. Pour l'avant poste, il appartient désormais à un clan nain. Enfin, non. Il est toujours sous mon contrôle, mais je doute qu'il le reste bien longtemps, et je refuse un conflit avec les nains. Je verrais."

On toqua à la porte, un serf passa la tête par l'entrebaillement. Il regarda Thomas avec beaucoup d'interêt. Enfin il dit:

"Messire, je suis envoyé par votre conseillé. Il se posait des questions quand à votre santé. Il s'étonnait de ne pas vous avoir vu sortir. Mais je vais le rassurer, excusez moi."

Mininus sourit et soupira. Il avait encore à faire au dehors.

"Ecoutez Thomas, j'ai de nombreuses tâches qui m'attendent, mais la sécurité de campement est ma première préoccupation. Vous m'avez l'air digne d'interêt. Je compte sur vous pour m'aider. Après tout, c'est votre idée. Parlez au capitaine. Et rapportez moi sa réponse, essayez bien sur de le convaincre. Ensuite nous irons ensemble voir les nains. J'ai confiance en vous."

Sans un mot de plus, il se leva, salua Thomas comme un égal, et l'invita à sortir. Une fois dehors, ils se séparèrent, Mininus se dirigea vers les bureaux du NOT

(PXS: 70)