Une petite ballade

Trimbalant toujours cette sacoche trop grande pour elle; elle semblait vagabonder entre les ruelles à la recherche de quelques chose; elle avait l'air tres absorber dans ses recherches...

Ses grand yeux couleur noisette, tournait et retournait dans tout les sens, pour observer la foule d'homme et femme qui vacait à leur occupation diverse; légales ou louche...

Mais pourtant elle ne semblait aucunement y faire attention; et soudain car elle était trop distraite, un humains peu scrupuleux lui rentrandedans; et s'il l'avait fait expres il semblait n'en avoir aucun remord ni aucune peine à avoir fait rouler bouler une ptite Kender dans la neige glacial du matin...

Il ne fit même pas attention à elle car il ne bougeat pas le petit doigt pour la relever ou pour lui offrir la moindre aide; cet homme semblait presser et ne pensait pas s'attarder à aider une hobbit misérable qui fouillait les ruelles à la recherche de quelques chose a manger : "une mendiante, bah le temple s'en occupera surement !"

Il continua alors à tracer sa route, mais soudain comme prit d'un flash lumineux, il s'arreta à quelques mêtre de la hobbit; il se retourna brusquement et tata l'endroit ou devait se trouver sa bourse : rien...
Son visage si impacible et si neutre rougissa à vue d'oeil; et la haine monta soudain en lui quand il tourna le regard pour voir sa bourse si rempli dans les mains de Araora...

_Que fais tu avec ma bourse Hobbit, rend la moi tout de suite ou sinon tu va gouter de ma lame, sale petite voleuse

Puis l'air de rien, Araora prit un air blesser comme si on l'avait insulter; et elle répondit à l'humain sur un ton sec.

_Moi voler? Je pensais que tu n'en aurais plus besoin, c'est tout...Je me suis juste tromper, tient je te la rend...

L'homme sortit son épée et violemment il appuya sur le pomeau laissant ressortir les veine de sa mains en signe d'indignation... Il avait surement penser que la hobbit se moquait de lui, mais pourtant elle avait dit sa sur un ton sincere; tant pis il ferai vengeance tout seul...

Après avoir déserter la scène du crime pour ne pas en voir plus, sanossar pris une rue annexe, il tomba nez a nez avec un genre de gnome et un homme, furieux, épées dehors, près a trancher le petit ou la petite être, il galopa dans la direction de cette personne et s'interposa

"Que veut tu lui faire, comment peus tu vouloir la tuer ou même la blesser, regard la elle ne peut faire aucun mal..."

Il bonba le torse et regarda l'homme d'un regard sévère...

_Ah je suis une gnome; pourtant il me semblait que j'était une Kender; mais si vous le dite c'est que c'est la verité...non? Mais ne faite pas attention, j'ai jamais reçut de coup d'épée et je ve voir ce que ça fait, ça doit être franchement drole!!

L'homme ne savait plus quoi faire, apparemment il pensait maintenant avoir le droit à une folle et il se calma peu à peu sentant la rage qu'il avait en lui s'amenuiser; il saisissa la bourse...
Puis s'exclama d'une voie impetueuse:!

_Vous crier justice et pourtant vous defendez les voleurs, vous les hybrides

Sur ce il cracha au sol puis il commença à s'en allez...

_Mais euhh, je voulais jouer avec son épée !!

"Qu'est-ce une boursse par rapport a un génocide ?"

Dis le centaure en voyant l'homme s'engoufrer dans la ruelle la plus proche....Il tourna la tête, regardant la petite gnome ou comment avait-elle dit ? Kender ? Puis il dit d'une vois caverneuse en ce baissant pour lui parler

"Bonjour toi, qu'elle est ton nom ? Et que fais tu dehors dans ces ruelles dangeureuse ?

Il ce remit a nouveaux droit et sortit sa pipe de son gilet, il y fourra une dose de vieux tobbit et l'alluma...

Je m'appelle Araora et je cherche des choses lumineuses qui se faufile par terre et dont personne ne voit malheureusement de valeur particulière...

Elle sautilla une fois sur place pour faire tinter les objets qu'elle avait deja ramasser

Rien de grande valeurs physique; mais une certaine valeur abstraite car j'aime le tintamarre que font ses jolis objet quand je me met à traverser les ruelles et les cercles carrelés de veine d'alcool et de sang de brioche chaude...

"Hum voler ce n'est pas bien, vous pouvez vous attirer beacoup d'ennuis petit être, je ne serais pas toujours la pour vouz aider."

Il lacha un rire bourrus et tira une bouffer de vieus tobbit, il serra son baton, et susura une phrase, un trait vert sortit du baton, et toucha le sol, quelque minute plus tard une rose d'or sortit de la neige

"Voila c'est la seul chose que je peut vous offrire, a moins que vous accepteriez de venir prendre un verre a la taverna avec moi ?

Elle prit alors un air boudeur puis elle s'exclama sur un ton plus que sincere en remuant un de ses pieds...

Je n'est jamais voler moi, il avait fait tomber malencontreusement sa bourse par terre. Je l'est simplement ramasser, pensant qu'il ne la voulait pls, c'est tout; je me suis juste un petit peu tromper...

Et quand le centaure fit son sort, la rose disparus aussi vit qu'elle était venu; elle était maintenant au fond la sacoche d'Araora, dormant paisiblement au son des tintement.

"Prendre un verre" ; mais vous m'aviez dit que ce n'était pas bien de voler et maintenant vous voulez prendre des verres à la taverne alors qu'ils ne vous appartiennent pas; vous etes un centaures plein de paradoxes...

A cette remarque, sanossar éclata d'un rire caverneux, il fit pousser une infiniter de fleur couleur d'or, son rire augmenta encore d'un ton

"Ah vous êtes très marrante, jeune kender, très très marrante, aller monter sur mon dos nous allons boire un coups "

Il pouffa encore un peu, ce séchant même les larmes qui commencer a lui couler sur la joue...

Araora se demandait pourquoi il riait; elle n'avait pas comprit ce qu'il y avait de drole, alors elle commença à se sentir de plus en plus gener et à devenir toute rouge puis voyant que le centaure rigolait de plus en plus, elle se mit à rire aussi même si elle ne savait en aucun cas pourquoi...

Super ! monter un centaure; on va voir ce que ça fait !!

Elle sauta sur le dos du centaure mais elle ne reussit pas à monter toute seule n'étant pas assez grande pour le faire...
Elle sautillait sur place attendant une réaction de la part du centaure, faisant une nouvelle fois tinter les objets qu'elle gardait précieusement dans sa sacoche...

En voyant la kender sauter sur lui et rigolais, sanossar éclata encore d'un rire plus grave et sonore...Il commenca a trotiner vers l'auberge, en commencan a baisser d'un ton

"Ah vous êtes une personne bien rigolote, c'est la première fois que je rencontre quelqu'un de votre race, et pour l'instant j'en suis bine content, allons direction la taverne"

[suite taverne ^^]

Sortant de la taverne elle avait suivit des effluves d'odeur qu'elle avait suivit le long d'une route encore enneigé et à moitier boueuse; mais elle avait finit par retourner devant le bâtiment de la taverne, alors elle avait décidé que les odeurs étaient perverses et qu'elle ramène toujours au même endroit; elle ferait un nouveau dicton Kender

Une odeur est perverse car elle te ramène toujours à l'endroit ou tu l'a sentis

Mais soudain le vent souffla un bon coup, et toute odeur disparus puis revinrent aussitôt, alors, voyant que son proverbe avait l'air bancal, elle décida de rajouter autre chose à la fin de ce magnifique dicton...

Une odeur est terriblement perverse, car elle nous ramène toujours à l'endroit ou nous l’avons sentit en premier; sauf quand il y a du vent...

Puis toujours devant l'auberge, ses pensés toujours hautement utilisées, elle s'aperçut que le vent qui soufflait avait disparus et que l'odeur elle même avait disparus aussi, elle se demanda pourquoi et décida à nouveau de modifier un peu son nouveau proverbe Kender, car ce n'est pas d'une fois qu'on fait un dicton car sinon il serait totalement absurde; elle remercia une nouvelle fois son incroyable intelligence...

Une odeur est terriblement perverse car elle nous ramène toujours à l'endroit ou nous l’avons sentit pour la première fois; sauf, quand, il y a du vent ou quand il n’y en pas…

Elle souria joyeusement à son nouveau proverbe, puis sautant joyeusement pour faire à nouveau tinter sa sacoche, elle faillit tomber par terre la tête la première dans la bouillasse e glissant sur une plaque de verglas ; mais se rattrapant sur un pied en effectuant des petits gestes circulaires avec les bras, elle reprit peu à peu l’équilibre… (il faut comprendre ici qu’une Kender est très habile et agile, car ce n’est pas tout le monde qui pourrait y arriver ; mais je ne m’avancerai pas sur son état de dextérité après quelques verres)
Et tout en esclaffant un petit rire peureux, timide ; elle se remit bien sur ses jambes et regarda sa sacoche qu’elle dépoussiéra d’un coup de mains bien placer… Elle continua alors son chemin, vagabondant entre les tentes de cette villes étrange ou ne régnait qu’une odeur de tensions et malheur…
Pourquoi détruire le monde si c’est pour avoir le même, le lendemain ? Elle comprit alors que, cette, drôle d’ambiance était sans doute une obligation commune à vivre grâce à une pathologie acerbe qui rend la vie bien plus dure qu’elle ne veut le faire croire dans les rêves les plus lointains, se limitant dans les siècles embrassés de poussière et de cendre, de carnage et sang…

Elle se rappela alors ce que lui avait dit son grand-père un jour
_Dit grand papa ; pourquoi tout le monde ne ramasse pas des objets en vagabondant partout et en ne faisant rien qui puisse faire fâcher les gens ?
_Si tout le monde ramassait des objets ; il n’y en aurait plus pour toi…

Son grand-père avait occupé le rôle de père pendant de nombreuses années car le vrai père d’Araora, avais sauté dans un ravin pour voir ce que ça faisait, malheureusement, il n’en était jamais sortis…Ce fut une grande perte pour la famille mais il fallait bien continuer à vivre et c’est alors que son grand-père avait décidé de s’en occuper (quoi ? La mère ? Ah ! Oui ! Elle a suivit le père d’Araora dans le ravin pour la même raison… Quelle curiosité ! )

Mais pour l’instant elle ne s’en souciai pas trop car elle se promenai dans les ruelles tout en faisant bien attention de ne pas tomber par terre et de ce fait ; se salir et surtout salir sa merveilleuse sacoche…
Elle continua joyeusement sa route, entre les ruelles de cette charmante petite ville

(eh bien je fait un double post naaaaaa)

Une planète de pensés se réclamait à la vie, malheureusement la mort s’était tellement répandue lors du cataclysme qu’elle restait graver dans le cœur et dans la moindre parcelle de chair des survivants… Comment ne pas se sentir favoriser alors qu’on l’a été ? Car quand on a vu, sa femme sa famille et même ses enfants des fois, s’en aller aussi subitement qu’un éclair dans la nuit noir, il ne nous reste plus que l’espoir de les rejoindre…

Mais pourtant, certains gardaient cette mort au fond d’eux pour se donner le courage de vivre à nouveau, de renaître à la lumière du jour et de la terre, si sombre si froide aujourd’hui, mais tellement prête à cette renaissance attendue… Subtilité réelle ou inconscience, personne ne pourra le dire, bien que, tout le monde pense la même chose, et si ? Et si elle nous aimait ? Pensés si simpliste et pourtant si direct et pur car elle vient du plus profond de notre cœur…

Malheureusement certain pour qui l’amour rimait avec haine ne s’en souciait en aucun et plutôt asservissait leur coté maléfique et puéril sur un air de pouvoir et force inventée soit par leur nature ou par leur propre valeur culturelle ; une expérience difficile n’est t’elle pas le moyen de suivre les extrémités et de ce fait le mal pur ou le bien pur… La question est la et pourtant personne ne se la pose directement à soit même ; il y a là, un certain paradoxe…

Aroara enfantine et infiniment puéril ne se serait jamais poser un regard sur ses fictions dit « existentiels » soit par ennuie, soit par une maturité peu développée ce qui est bien sur l’ordre de tout les Kenders ; mais sous ces airs d’enfants, mignons et adorables se cachaient des problèmes insondables à l’œil nus, et pourtant pour ceux qui connaissent un temps soit peu les Kenders, ils remarqueraient tout de suites ce changement par rapport à ceux de sa race…

Tout simplement, les cheveux ! Car cette race affectionne particulièrement les avoir long et d’une longueur incroyable ; pour eux se sont une sorte de deuxième âme parce qu’il s’en occupe avec soin et patience… Ils les gardent long tout le temps et toute la vie, de la naissance jusqu’à la mort… Alors pourquoi Araora ne portait t’elle pas, les cheveux longs comme tous ceux de sa race, c’est une longue histoire et un grand désaccord entre son frère et elle-même et aussi une sorte de provocation à sa propre chair à ses propres traditions…

Un simple collier à casser toute relation entre elle et ceux de sa race et bien qu’elle en fréquentait encore quelque uns comme elle avant le commencement du cataclysme et cette sorte de renaissance subite ; elle ne voyait que des marginales comme elle et ils étaient très peu à être banni de cette vie de Kender, et quand il croisait un non banni, ils étaient traité comme des excréments…

Heureusement que le cataclysme mit fin à toutes ces horreurs car sinon sa vie de proscrit et de peine aurait eu raison d’elle et quelques années plus tard après que son innocence est disparus elle aurait sans doute choisit une mort honorable pour finir cette tristesse palpable, pour finir ces regards de mépris lancer par sa propre chair, sa propre race… Sûrement une sorte de suicide rituel que son grand père aurait été obliger d’accomplir pour sauver la vie de leur famille ou plutôt le déshonneur de la famille et s’a aurait été a Araora de mettre fin à ses propres jour pour se laver de sa propre et immonde image qu’elle reflétait sans ses cheveux…

Car un Kender qui fait régner le deshonneur sur toute sa tribu, a les cheveux couper et doit les garder tel jusqu'à la fin de sa vie… Le suicide rituel n’était utiliser que par une poigner de Kender incroyablement a cran sur les traditions culturelles et bien sur juste avant le cataclysme il n’était qu’un village à encore le mettre en place et malheureusement c’était celui de Araora…

Et quand elle revenue au village alors qu’elle avait été bannie, son grand-père n’eut plus de choix il dut y recourir et alors qu’il chantait le chant suicidaire du défunt le cataclysme éclata… Voici les mots quelles entendit juste avant le cataclysme…

Naturelle et claire
Une vie, un éclair
Jouissance d'un fou
Ou ténèbres d'un trou
Quel avenir dans le trépas?
Quels souvenirs de l'au-delà?
Alors je pleurs mon bonheur
Je ris de mes peurs je ris à la mort, ce gouffre insipide,
Dans mon âme et mon corps, parole putride
Alors Je regarde ces fleurs
Naissance d'un temps
Naissance d'un leurre
Cette infinité, ce néant
Sang et beauté
Somptueuse dureté
Quand le plaisir,
Devient désir,
La mort se régale,
De ce repas frugale…

Alors elle s’était réveiller le lendemain, couverte de poussière, alors toute tradition avait été détruite, anéantis… et tout enchaînement de peur et d’horreur, disparus, oublié perdus dans la poussière de l’ancien monde, perdus dans la douleur de la renaissance d’une terre presque morte et pourtant si vivante…

Elle marchait dans les ruelles de la ville pensant au temps passer, et en un éclair qui passa, un regard presque mature apparut mais disparut aussi vite ne laissant qu’une perle de tristesse pure couler le long de sa joue et s’écraser sans bruit dans la boue neigeuse du camp, dans tant de vie, tant de mort… Dans un combat sans merci et pur…