Nom:
Magumonus
Prénom:
Corthithriac
Race:
Homme
Métier:
Historien
Age:
22 ans
Historique:
Corthithriac. Douze lettres. Douze petits symboles que jamais je ne verrai.
Mon histoire débute dans un hammeau, nommé Ga'hal'jun. Nous étions dans les terres de Nel'tho, mais les gens de mon peuples étaient toujours profédemment pour Aelias. Les habitants subissaient les impots, touours plus lourd, toujours plus nombreux, et bientôt ils n'eurent plus rien pour eux, autre que la nouriture qu'ils donnaient à leurs porcs. Malgré celà, ils étaient des villageois normaux -un peu excédés par les impots, un peu plus par les amourettes de leurs fils et filles, encore plus par les champs en mauvais état.
Notre village croyait en une déesse, Eldendra, mère de l'Eté, et en un démon, Shul'ben, père de l'Hiver. Ces croyances simplistes arrangaient tous, car il pouvait ainsi maudir par le dieu malin, invoquer son nom pour effrayer et appeurer les hommes trop couards et laches, ou bien remercier la déesse, priercette femme qui les aidait et les guidait. Croyances, simples et utiles, se méllaient ainsi naturellement dans la vie de chaque villageois - chose bête, stupide, et incroyablement ennuyeuses que ce vies là.
Je suis né dans ce climat de presque sympathie, de loyauté envers une nation qui n'était pas la mienne et d'impots trop lourd. Les raids de bigands se faisaient de plus en plus nombreux, car la vigilance des armées du despote Nel'tho étaient massées aux frontières. Dans l'année de ma naissance, les champs étaient déjà trop pilliés par les bigands pour pouvoir payer l'impot, lorsque qu'une tempête de gel et de neige s'abbatit sur la région, en début d'automne. Le jour où j'étais né.
Cette malédiction, je l'ai portée dès ma naissance. Je suis blanc, et pas qu'un peu: aveugle, aux yeux blancs, albinnos, à la peau blanche, et aux cheveux décolorés, donc blanc. Il a fallut, par on ne sait quel dieu facétieux - peut-être Shul'ben? - , que je naisse ainsi mal formé, et ce jour là. Bien entendu, les villageois, dans cette bêtise, qui leur est prpore, me rejettèrent, et ma mère dut me nourrir en cachette durant les six premières années de ma vie. Cette femmeétait des plus courageuse, et jamais je n'oublirai son sourire, sa voix, son visage.
Que les hommes sont bêtes, de l'avoir tuée. Ils avaient découvert qu'elle m'élevait, et, une nuit durant laquelle elle était restée avec moi, ils arrivèrent là où je dormais chaque nuit, c'est-à-dire sous un sapin d'une forêt proche. Ce jour là, je fut heureux d'être aveugle, car ce jou-ci je ne savais ce qu'ils faisaient à ma mère, mes ses cris, et les leurs, plus exatiques, m'ont permis d'avoir mon idée désormais. Le lendemain, après qu'elle eut été violée sous mes yeux aveugles, on brulait ma mère sur la place du village.
Je n'ai pas parlé de mon père, je ne le connaissais pas, pour moi, tout ce qu'a fait cet inconnu, c'est de s'enfuir quand il a sut ses devoirs. Les hommes sont bêtes, les hommes sont faibles, les hommes sont haïssables. Je n'ai pas connu celui là, mais j'en avais suffisament pour le détester sans le connaître. Aurais-je seulement put lui pardonner? Je ne sais pas. Cet inconnu, malgré tout, est tout de même mon génniteur, et je n'ai peut-être pas à lui reprocher son acte.
Toujours est-il, que cette nuit là, j'ai put m'enfuir, et dans la neige de l'hiver vennant, je pleurais, j'appelais à Shul-Ben, je maudissais et je clamais vengence. A six ans, déjà j'étais seul, mal formé et haïs à cause d'une coïncidence, qui peut-être n'en était pas une. J'étais pourtant un monstre aux yeux des autres, et donc aux miens propres, aveugles.
Et dans cette nuit d'hiver, j'ai pleuré.
Dans cet hiver, blanc comme j'étais, j'ai put m'enfuir, et les villageois bêtes et bornés ne purent - ou ne voulurent? - pas me ramenner. J'ai fuis un mois durant, et le froid se fit mordant das mes habits qui se faisaient troués par les branches. J'ai erré longtemps dans cette forêt, qui devait être des plus grandes, car je ne sais pas quand et où j'étais quand je revint au monde. C'était la chaleur d'un feu qui m'a attiré, et la faim mennaçante.
Dans ces bois, je me rendis compte de l'état dans lequel j'étais: j'avais beau être petit, mes vêtements, je ne les avais pas recousus quand j'en avais eu besoin. J'ai finni par me résoudre à me refaire entièrement une tunnique, comme je voulais revennir à la civilisation. J'ai trouvé des lapins, blanc puisqu'on était à nouveau en hiver, dont je me suis fait une cape avec leurs peaux, et une carcasse de rennard blanc me servit de veste. Je me fit un pantalon avec le fil de petits cocons, qui devaient être de la soie.
Bref, avec des vetements neufs, et blancs, j'errais dans la forêt, mais cette fois avec un but. Comme je l'ai dit précédamment, c'est la chaleur d'un feu qui m'a attiré, et je ne me suis pas trompé; en effet, un chasseur seul campait dans cette immense forêt, qui court du hammeau du royaume de Nel'tho, jusqu'à une ville de la terre incertaine. Cet homme, aujourd'hui il est mort, c'est moi qui l'ai tué. Il était un peu trop méfiant, et j'étais un peu trop dégouté de la bêtise humaine, et, presque par accident, il est tombé dans le feu. J'accorde, maintennant, avec un peu de recul, que mon pied a aidé l'homme à brûler.
J'ai dû le tuer, car il voulait m'abattre - je n'ai jamais sut pourquoi. Mort pour mort, je préfère vivre, et celà devait être aussi le cas de ce chasseur. Il en est mort, je m'en réjouis. Je me réjouis de ne pas êtere mort à sa place, je me réjouis d'être vivant. Finnalment, même si j'ai dû tuer, j'en suis heureux. Il m'a indiqué, pour se sauver des flammes, l'endroit où se tennait la ville. Puis il m'a supplié de sauver. Il est mort sans que je le regarde - je suis aveugle, j'en tire de grandes choses.
Je suis entré dans la ville, sordide, où les hommes mourraient de maladie, de froid et de faim. Je suis arrivé, couvert de la suie d'un feu dans lequel un homme était mort, dans un ville couverte du sang de ses habitants mourrants. J'ai passé la porte, l'odeur insidieuse de cette ville m'a prise au nez, et j'ai vomi dans la première impasse que j'ai rencontré. Jamais je n'avais vu l'homme aussi dépravé en masse, et bien que le hammeau de ma naisance ait tout de même connu de ces fous.
J'étais décidé à vivre ma vie seul, autre part que dans les bois sombres et froids que j'avais quitter, aussi, pour un début, il me fallait de l'argent. L'exemple plus que pitoresque que j'avais des hommes m'amennait à considérer les valeurs morales que ma mère m'avait enseignées comme dotées d'une certaine maléabilité, et j'en étais donc résolu à user de tous moyens pour arriver à mes fins - qui étaient ici, en l'occurence, de trouver une stabilité; autant finnancière que sentimentale.
Pour ainsi dire, j'avais pensé à la tricherie. Facile à faire, facile à mannipuler, j'avais autant de chances de m'enrichir vite et bien. Finnalement, dans cette ville à l'odeur horrible, je me suis mit à fréquenter les bars, tavernes et auberges, rien que pour arnaquer des gens trop saouls pour s'en apercevoir. Ces gens, aussi stupides que bêtes, me révoltaient, et j'avais presque honte de les voirs ainsi. Je les engageais un peu plus sur cette voie, car je les y poussais usan les alcool les plus fort possibles.
C'est pourtant dans ces lieux que j'ai renconntré Crow, le fauconnier...
[A suivre!! demain la suite!]
Description physique:
Descriptio Mentale:
Caractéristiques
Force:
1
Intelligence:
6+1
Agilité (Dextérité):
1
Eloquence:
6+1
Esprit:
6
Je voulais un perso déséquilibré, pour une fois. Bon, je demande pas de bonnus raciaux, et voilà! je prendrai des armures pour gnome, mais des heaumes pour hobbit: ça suffira.
Sujet: Corthithriac Magumonus 
