Et si...

(Nouveau gros rp)

Elle était tranquillement assit près d’un arbre qui trônait au milieu d’une colline nouvelle. Elle regardait ce magnifique soleil, luisant de chaleur et de lumière s’enfoncer dans les ténèbres de la nuit. Ces nuances d’oranges et de rouges qui amène la fin de cette journée, qui rencontre la terre en un fracas de puissance.

Pourquoi faut t’il que chaque jour le vivant rencontre la mort ? Ne vivons nous pas, pour mourir ? Alors la vie n’est t’elle pas la journée et la vieillesse, le coucher de notre soleil, de notre âme si rayonnante au tout début… Alors qu’elle est le but ? Construire une lignée d’enfant plus saut que les autres ? Construire une réputation de malin ou de bon chevalier galant ? Quelle est le pouvoir de la vie et pourquoi certain ont peur de leur fin ? La mort, naturel peur, horreur des uns, bonheur des autres, ami des uns, ennemis des autres…

Tout est une fois encore, une question de point de vue de la personne concerné. Tuer est t’il un crime si on parle de destin ? Les religieux nous chante les berceuse si douce et si véritablement ignorante, si tout est écrit alors cela nous donne un prétexte au meurtre et à la guerre. Un assassin pour défendre ses crimes sordides, chantera les louange d’un dieu quelconque pour nous dire que le destin la poussé à faire ça. Et tout le monde lui rira au nez avant qu’il ne soit pendu. Quel étrange monde ou nous vivons ! Ou les paradoxes en tout genre, se confond à la religion tant approuver. Ah ! La religion, quelle histoire ! Car la meilleur est seul, la pensés du propre être, sa propre religion est peut être le meilleur moyen d’amener un chaos certain…

Mais alors qu’elle espoir nous donne la vie ? Juste un. La mort. Espoir des faibles et des opprimés, désespoir des forts et des puissants. Les favorisés y perdent tout, les défavorisés n’y perdent rien, seulement l’espoir d’une vie meilleur. Alors quel avenir ?

Elle observa le soleil, ses ailes radieuses qui caressait encore sa peau d’une chaleur merveilleuse. Mais quand enfin l’ombre prit sa place sur le monde pour un tant, elle frissonna d’avoir perdu cette forme de pouvoir qu’elle pensait avoir en regardant cette boule de feu si majestueuse.

Pourquoi n’y aurait t’il pas d’autre monde ? Et si nous étions les seuls, que nous arriveraient t’ils si un jour le soleil ne remontait pas, si un jour la vie ne revenait plus. Serait ce la fin de ce cercle vicieux tant critiqué ? Serai ce la mort de la vie ? Nous avons tous apprit à un moment ou l’autre de note existence que toute naissance à une fin. Alors pourquoi la vie ne finirait t’elle pas si nous suivons les exigences de notre pensés si philosophique et si vaniteuse ? Alors nous continuons et de toute façon, qu’est que cela peut faire ? Oui ! Suivons cette phrase de l’égoïste pur tant critiqué et pourtant tant admiré. « Vivons notre vie comme elle vient et ne se soucions pas de l’avenir lointain car de toute façon nous serons morts et enterrés ! » Alors pourquoi ne pas l’engager dans la voix de notre pensés ! Peut être parce que nous la refusons perpétuellement, sachant bien que notre rôle universel ne s’achève pas par la mort. Ne dit t’on pas, aussi que la mort est une renaissance, mais laquelle ? Personne n’est jamais revenu pour nous le dire, et même si…

L’homme, l’elfe, le hobbit et les autres races ont chacun leur propre point de vue de ce qui se passe « après », il ne pense pas à l’essentiel. Si la vie, meurt et si la vie renaît toujours et toujours, pourquoi ? Dans quel but ? Car ici ce n’est pas à notre échelle que nous devons réfléchir mais bien en prenant compte toute notre terre et peut être tous les autres mondes…
Pourquoi « Elle » existe ? Casse tête des plus grand sage, ou pensés passé en un éclair dans la tête du petit malfrat des bas quartier. Rêve d’enfant ou rêve d’adulte, il ne reste que l’avenir.
Et si ? Et si la renaissance tant attendus n’était qu’un leurre pour ne pas, simplement avoir peur de cette pensés si dur à concevoir dans l’esprit d’un pauvre mortel. Et si, il n’y avait rien, rien du tout, le néant total. Impossible dirait les plus grand sage en vous regardant de haut en vous croyant fou ou ingrat !

Elle regarda la lune maintenant bien haute, sa réflexion avait prit du temps, et pourtant elle n’était pas arriver à trouver un accord avec son esprit sur son but et sur sa continuation dans ce monde qu’on appelait soi disant « Garkam », quel drôle de nom pour une immensité de terre. Etait ce le nom d’une divinité ou bien d’une entité inconnu de tous ? Hum, peut être, mais quelle importance, le nom n’est rien car il ne dit rien ! Pourquoi s’appeler Araora alors que cela ne sert qu’a se distinguer des autres.

Si je m’étais appeler Abigaël, est ce que cela aurait changé ? Serais-je devenus une posséder, folle et suicidaire ? Non, cela n’aurait rien fait du tout car mon âme est simplement différente. Ou alors ma vie a été différente, nous naissons pur, nous mourrons souiller quand l’âme à absorber son expérience. Elle n’apporte rien et ceux qui fabulent en disant qu’il la contrôle son des menteurs pathologiques. Comment contrôler une pensé abstraite, une entité énergétique qui se gavent de notre vie jusqu'à finiR par sortir de notre corps, se libéré de notre chair et rejoindre le Grand Tout. Le Grand Tout ? Qu’est ce ? Pourquoi, cela lui était venu tout d’un coup à l’esprit ? Avait-elle trouvé quelques choses ? Cette chose indéfinissable qui semblait être le cœur de notre univers. Et pourtant ces deux mots semblaient si éloigné qu’on ne pouvait pas les toucher de la mains ou les prendre dans le creux du cœur pour les comprendre, pour les savoir à jamais…

Elle observa à nouveau cette lune, semblant de lumière, caricature du soleil et de la vie. Appât de la mort aux vivants pour qu’ils meurent avant l’age ! Appât de la lumière aux jeunes pour que la peur les prennent avant l’age ! Etrange lumière qui fait frémire et pourtant qui rassure malgré ces formes toutes plus bizarres que les autres. Elle avait cette nuit là une forme de croissant lumineux ou l’on pouvait apercevoir quelques formes sombres que les sages de l’ancien temps appelait mer, ils avaient même trouvé des noms pour dénommer celles-ci. Bizarre ? Autour, formant un autre croissant bien plus grand, les ténèbres… Qu’était ce ? Une sorte d’entité de noir pur ou simplement le néant ?

Elle baissa la tête ne pouvant supporter cette vue si limpide et clair sur la lande dessécher, sur cette terre aride ou le village poussait petit à petit comme une simple graine qui commence à germer. Et dans quelques centaines d’années, que verra t’on d’ici et la, jusqu'à l’horizon clair et pur ? Que verra t’on ? Des milliers de silhouette de maison, tous pareil les unes autres, fourmillant de vie et de plaisir diverse, fourmillant de mort de souffrance diverse.
Elle regarda une nouvelle fois ce semblant de civilisation ou la vie avait réussi son petit bout de route, son miracle ! Tout était éteint et presque tous les hommes avaient déserté les ruelles pour un temps mais on pouvait apercevoir encore quelques irréductibles qui continuait à vagabonder tel des ombres ou des fantômes entre les tentes si proche, si familière.
En cette pleine nuit, il ne devait pas faire d’action très légale, la guilde des voleurs allait t’elle encore frapper ? Peu importe, maintenant elle n’avait aucun but bien distinct et elle s’écroulera tôt ou tard.

Elle regarda le sol sur lequel elle était assisse, un frisson la parcoura, il était glacé comme ce monde qui l’entourait puis levant la tête pour chasser cette pensé indésirables. Puis en un éclair une petite lumière traversa le ciel…

Une étoile filante, fais un vœu

Elle avait dit cela sur un ton émerveillé et était sur de l’avoir pensé mais cela l’avait touché énormément, et les souvenirs revenaient par paquet… Elle se rappela son frère qui avait dit un jour en voyant une étoile filante à Araora

Une étoile filante ! Je fais un vœu pour moi et un vœu pour toi car sinon tu ne seras pas quoi choisir…

Elle avait accepté bêtement à l’époque pensant qu’il avait raison, Quelle ignorante ! Avait t’il fait vraiment un vœu pour moi ? Et pourquoi pas un vœu de malheur perpétuel ? Dans ce cas là, elle était contente que son cadavre ait pourri et ait été mangé par les asticots. Alors aujourd’hui pourquoi ressassez des souvenir si ce n’est pour se faire souffrir ? Non aujourd’hui elle ne ferait pas de vœu, non aujourd’hui elle ne regarderait pas les étoiles une minute de plus.

Elle se leva, une douleur aux jambes lui parvenus petit à petit, elle était rester assit trop longtemps, peut être quatre ou cinq heures, mais qu’est ce que cela peut faire. Elle marcha entre les arbres si jeunes, ils semblaient prendre du plaisir à trouver toute cette place pour vivre, n’était ce pas la même chose pour les êtres vivants ?

La neige avait recouvert de son froid cercueil la terre gelée. Elle avançait sur cette couche infime de douceur, ses petits pas laissant une petite trace invisible. Si quelqu’un l’avait vu à ce moment là il aurait crut à un esprit de l’avant cataclysme. La peau de son visage, de ses mains, de ses jambes était d’une blancheur à faire peur ; ses cheveux mal coiffés et mal brossés leurs donnaient un air ébouriffé et sales qui n’allait pas bien avec une vivante et ses yeux, si pâle, observait la vie comme une chose incroyable…

Peu importe ! Personne ne passerait par là, couvre feu obligé… Si quelqu’un la voyait, peut être un milicien qui faisait sa ronde, que dirai t’il si ce n’est qu’il a vu une chose étrange…

Elle était maintenant dans une petite forêt à l’orée du village, elle serpentait à travers les nombreuses broussailles endormis qui faisait naître l’espoir d’une vraie vie !
La neige ici était toujours aussi présente, gelant le plus profond de notre corps. Elle tomba par terre, non pas d’épuisement mais plutôt de lassitude. Pourquoi continuer si c’est pour me geler l’esprit et le corps…

Une larme coula le long de sa joue, libérant une tristesse intense… Pourquoi avait t’elle fait ça ? Pourquoi les avait t’elle tués ? Pourquoi s’était-elle laissé aveugler par cette vengeance tant détester des religieux justiciers ?

Oui elle méritait la mort, la mort donner par l’homme, alors pourquoi fuir son destin ? Non elle ne fuyait pas, elle réfléchissait. Elle reviendrait tôt ou tard la-bas, dans ce seul berceau de vie qu’elle connaissait dans les environs. Sûrement demain matin, aux lueurs de cette Aurore lunatique, et peut être la verrai t’elle encore une fois avant…

Le tapis de neige était épais et quand elle s’écrasa dessus, elle n’eut aucun mal, aucune blessure, et de toute façon maintenant, comme dit la formule, elle ne tomberait pas plus bas.
Les bruits de la forêt venaient lui chatouiller l’ouïe lui rappelant qu’à part cette vie moderne que le village avait recréée, il y avait l’autre autour ! La plus importante, celle qui engendre la nourriture des uns, l’air des autres, l’esprit des uns, l’objet des autres. Alors pourquoi personne ne s’en préoccupe ? Il y a bien ces druides mais ils ne la défendent pas, ils prônent plutôt une interdiction de toucher, de voir, de sentir, gardant toute cette beauté pour leurs propres sens. Quel égoïsme !

Et il y a Nous… Nous qui la détruisons pour vivre, Nous qui la détruisons pour construire, et même le plus souvent, des choses inutiles. Alors pourquoi faisons-Nous cela ? Pourquoi vivons-Nous pour détruire une si belle chose ?

Quelle importance, lançons encore une fois cette superbe phrase, si connus « Vivons notre vie comme elle vient et ne se soucions pas de l’avenir lointain car de toute façon nous serons morts et enterrés ! »

Elle se leva à nouveau, laissant ces drôles de sentiments là ou il se trouvait, près de ses arbres naissant puis elle décida alors qu’il était tant de rebroussé chemin. Elle marcha à nouveau longuement sur ce tapis neigeux ou elle avait trouvé refuge lors de sa chute. Elle arriva à nouveau sur cette colline ou elle avait observé les ruelles de ce camp. La lumière du soleil commençait à percer l’ombre environnante.

Elle arrivait pour cette magnifique Aube aux couleurs flamboyantes qui donnaient tant de courage aux hommes à de nombreux combattant pour attaquer la forteresse de l’ennemis, qui donnaient tant de courage aux soldat pour défendre la forteresse de l’assaut ennemis… Quel ironie ! De quelle façon voyons-nous certain combat ? La mort y est toujours présente et qu’importe le vainqueur puisqu’il a perdu aussi. Pour les guerres de territoire, c’est le souverain qui gagne, non les soldats, c’est le souverain qui se déclare vainqueur et non la population !

Elle s’assit à nouveau auprès de cet arbre si vivant si beau si majestueux et pourtant, la tristesse vint lui mordre le cœur quand elle pensa que dans quelques années certains déciderai de le couper. Et que restera t’il alors ? Rien juste la poussière d’une aire décadente et fier !

Vive la vie ! Vive notre nation ! Vive Néolias !

Et que restera t’il alors ?

Juste la poussière d’une aire décadente et fier !

(araora : 100 Xp ^^ dsl mini mais c'est impossible de donner moins)

Marchant vers la lisière du bois, sanossar penser, il pensait a cette rencontre dans la tente de mininus avec ce mage, il pensait a la petite kender, il pensait au caporal de la millice s'activait dans le camp, tout en étant discret et mystérieux. Il arriva près d'un arbre sur une colline, il s'y adossa, et dit

"Alors, ma chère amies, cela est faits, vous vous êtes venger....."

Il soupira, triste et confus, commencant a allumer sa pipe pour ce détendre, il fit un siogne de tête, des dizaines de rongeure sortit de terre, et descendirent des arbres, montant sur sanossar et marchant dans ses pieds....

Elle entendit les paroles du centaure sans se rendre compte qu'il était arriver dans la fraicheur du matin. Elle posa sa mains dans la neige et comme pour mieux sentir les éléments sur sa peau à nue, elle l'enfonça de plus en plus pour sentir ce froid, la mordre, encore et encore...
Un frisson parcourut tous son corps la faisant sursauter un moment. Le regard triste et perdus elle avait veiller toute une nuit à réfléchir sur tant de question, qu'aujourd'hui à la lueur de cette boule de feu, elle n'avait plus coeur à s'endormir.
Ses yeux presque fermer, sa peau blanche et son air gelée, lui donnaientt l'air d'un cadavre fraichement retrouver, la puanteur en moins. Pourtant à part son cerveau qui continuait à marcher toujours et toujours et ces petits mouvements qui parfois la faisait revivre; rien ne laissait présager quelque chose de vivant. Peut être que pour tout vivant une lanterne s'accroche au milieu du coeur montrant inconsciemment que l apersonne est morte ou vivante.
Il ne fallait même pas y penser, quelle importance le regard des autre à sur nous ! Peu importe!
Elle s'exclama soudain quelques minutes après que le centaure est prit cette parole si sacré.

Oui c'est fait...malheureusement...

Elle se rappela cette horrible nuit, le regard de ses victimes agonisantes, leurs yeux suppliants et NON ! Elle l'avait fait, elle les avait tuer sans scrupules ne pensant qu'a la vengeance sur le moment. Elle se dégoutait.
Puis ajoutant quelques secondes plus tard.

Pourquoi?

Réstant toujours adossé a l'abre, sanossar ne voulait pas croiser le regard d'araora, il avait peur, peur de quelque chose que lui même ne savait pas....Il était perdu dans ses penser, il tira une bouffer d'herbe, les yeux grand ouvert, laissant aparaitre sur son visage les signes de la veillese, il soupira et ajouta en baissant le tête

"Car maintenant, une fois que le maitre saurien aura trouver vos traces, vous serez chasser, touts les milliciens de neolias a vos trousse, pour vous enfermez ou même pire......J'ai bien peur d'avoir était dépasser par les évenement, je serais la s'il vous trouve et je ne les laisseraient pas faire, mais je ne pourais les combattre a jamais, vous êtes vouez a aller en prison...."

Elle vacilla, mais resta là ou elle était sans bouger une seule seconde, puis un sourire illumina son visage, non pas joie ni de peur mais plutôt de desespoir car il lui restait que cela...
Elle réflichissa un instant, elle ne pourrai pas se cacher indéfinimment et à quoi cela servirait t'il si ce n'est que de se morfondre dans son petit bout de terre. Elle ne pouvait pas s'enfuir, comment ferait t'elle pour survivre, elle seules dans un monde inospitalier ?
NON, il fallait laisser faire le saurien et attendre son execution sans remord car elle le méritait.
Elle regarda le centaure de ses beau yeux pales et plein de vie puis baissant la tête de dégout de voir ce qu'il verrait dedans elle s'exclama...

S'il faut que je meurt pour laver mon crime, alors je mourrai.

Puis laissant retomber son bras dans la neige dans un bruit étrange elle reprit.

Pour le bien de Néolias

Ses lèvres était serrer et son ton ainsi, determiner pour que sa chute soit la plus rapide possible. Elle n'avait pas eu de chance mais était ce une raison pour tuer trois personne qui ne l'avait enfin de compte pas mériter...

Et n'essaye pas de m'en empecher

Sanossar sentit une sorte de désépoire dans les paroles de la kender, une larme coula des ses yeux rider, elle tomba sur la neige blanche et quelque seconde plus tards une fleur sortit, belle fraiche, rayonnen dans la lumière du petit matin, la fleur semblait croitre, mais quelque seconde plus tards elle disparu

"Hum vous ne mourrez pas, personne ne vous tueras, car personne ne le pouras!! Empecher moi de vous proteger ? Ca vous ne le pourrez pas et personne ne le poura"

Les paroles du centaure décellais une certaine haine mais aussi un grand attachement, une deuxième larme coula, une deuxièm fleur aparut, cette fois couleur or....or....

"Vous souvenez vous, vous souvenez vous de cette fleur, le soir de notre rencontre, elle ne restat pas longtemp sur le sol, mais je me souviendrais toujours de vos yeux, au moment ou elle est sortit de terre...."

Le centaure poussa un énorme soupir, et enfin ce décida a regarder la kender, il la regarda de son regard jugeur et protecteur, attendant qu'elle relève la tête

Quelle importance, je ne suis plus cette personne là et...je ne le serait plus jamais !

Elle éclata en sanglot, laissant ses larmes coulés librement sur son petit visage blanc comme la neige. Elle ne pouvait plus garder toute cette peine pour elle, elle en donnait alors une partie à la terre, une partie à l'air alors que celle ci s'écoulait dans l'eau.
Alors pourquoi ne pas laisser son regard se poser sur un paradis utopique, un rêve idylique.
Elle leva ses yeux au ciel, ils étaient magnifiques, luisant de beauté et de tristesse... Les larmes sortait par cette orifice lunaire, noir quand la haine vient les caressers, vert quand la jalousie les guette, pourquoi tant de couleur pour ces pensés abstraite et sans but!!!
Elle se leva et tout en marchant vers le camps, sans regarder derrière elle s'exclama à nouveau en pleurant.

Quel avenir pour une meurtrière?

"Meurtrière ? Un mot qui ne devrait même pas être dans votre vocabulaire..."

Il regarda la petite araora, qui commenca a marcher vers le camp, elle fit quelque pas et tomba a genou dans la neige qui lui allait jusqu'au coup, elle pleurait, et n'arreter pas....
"Araora, je peus comprendre qu'après ce que ces démons vous on fait que vous avez perdus votre inossence, mais perdrez vous la vie pour cela ?"

Il la rattrapa et la souleva de terre, la posant sur son dos, elle faillus tomber, mais le centaure la rattrapa, il fit aparaitre des lianes qui la fixèrent sur son dos

"Votre fin n'est pas encore arriver, le vieux sanossar veille sur vous...."

Il commenca a marcher tranquillement dans la neige ce dirigeant vers neolias,la kender presque somnolente, s'aggripait tant bien que mal au dos du centaure...

Elle sauta directement du centaure ne voulant pas être prit comme une pauvre marchandise, balloter entre les quatre coins du monde. Et de toute façon elle ne voulait pas être porter, elle détestait ça.
Elle se rattrapa tant bien que mal dans la neige, mais trébuchant sur une pierre, elle s'étala par terre. Son petit corps avait heurter le sol violemment et la douleur de ses blessures revenait peu à peu.
Peu importe, elle n'aurai pas l'estomac retourner par un voyage en selle.
Elle regarda autour d'elle, il y avait toujours ces arbres, toujours cette forêt naissante, enfoncé dans l'apais tapis blanc.
Elle se releva aussitôt ne voulant pas être reprit par le centaure.
Il fallait qu'elle se fixe bien sur ses jambes encore tremblantes et mettre un pied devant l'autre sans qu'elle ne fasse un exces de faiblesse en retombant au sol. Qu'elle belle matiné, elle n'était pas chaude mais le soleil semblait rechauffer tout les corps aux alentours.
Les hommes et les femmes du camps étaient en pleine occupation. Certain se saignait a creer une drole de muraille autour du village; pourquoi fallait t'il que la guerre pèse encore sur l'esprit de Néolias, pourquoi fallait t'il que la défense soit toujours à l'ordre du jour;
Elle ne le savait pas et ne le saurait jamais.

Ma fin arrivera quand la mort frappera et même vous, ne pouvez empecher cela et vous le savez! Alors arrêter vos mensonges et gardez la tête haute pour parler avec votre coeur et votre sagesse et non avec votre soi disant intelligence et votre plaisir personnelle. Si la mort frappe aujourd'hui alors elle frappera...

Elle leva les yeux vers le centaure, il semblait deçu de l'attitude qu'elle venait de prendre, mais qu'importe il fallait qu'il comprenne que desfois derrière un petit être se cache une volonté de fer. L'habit ne fait pas le moine comme dit cette fameuse formule pleine de sagesse.

L'intelligence est une vanité, la sagesse, elle, ne ment pas. Ne le saviez vous pas, Sanossar?

Elle n'aimait pas appeler les gens par leur prénom car elle ressentait un vide incompréhensible quand elle les prononcer comme s'il n'existait pas.
Les dieux et les déesse on bien des noms alors qu'ils sont totalement immatériel alors à quoi bon?

Le centaure s'arreta nette sur place, fixant araora d'un regard sombre et perdu, il sourit, sourit car il avait compris quelque chose, araora ne deviendrait plus jamais la petite fille ignorante qu'il avait connus mais deviendrait une personne proche d'une personne qui a disparu de ce monde en laissant une trace indélébile dans la mémoire du centaure. Il pris un ton qui n'était pas le sien, un ton grave et dure

"Que savais vous de la sagesse kender, vous et votre peuple ci naif, vous me dites vaniteux, mais mes paroles n'était que pour votre bien, allez y alors, courez, allez au camp et faites vous prendre, cela n'est plus de mon domaine, je vous est donné mon aide vous l'avez refuser tants pis!! La mort ? Que savez vous de la mort, que savez vous de ce qu'elle peut vous faires, je suis bien mieux placer pour vous dire quand elle frappe et comment elle frappe...."

Le centaure sentit une profonde haine, il voyait devant ses yeux ses parents adoptif, mort crucifier, le visage de leur persépteur qu'il avait lui même connus; il secoua la tête, et regardis a nouveaux la kender d'un regard encorep lus sombre qu'avant...

Elle avait entendut le discour du centaure et elle n'avait même pas broncher, elle n'avait pas bouger le petit doigt attendant son tour. Ne laissez aucun sentiment la perturber, elle faisait le vide dans son esprit. Elle ne devait pas faillir. Elle prit alors la parôle sur un ton sec et ferme.

Savez vous ce que c'est que de subir un viol? Qu'en savez vous ? Forcer quelqu'un à ouvrir son intimiter ! Que savez vous de cette douleur? La mort n'est rien comparez à cette souffrance! La preuve j'ai faillit préférer la mort à la vie ! Alors ne me parler pas de quelque chose qui m'est familier car je l'ait tenu par la mains.

Son regard si triste s'était soudain changer en haine pur et en dégout. Elle ferma son petit poing comme pour affirmer sa détermination, son interêt. Elle observa le centaure, le regard noir, son ton monta et la colère se sentit.

Vous dites que notre race est naif ! N'est ce pas avoir des préjugés? Vous dites que vous êtes bien mieux placer que moi pour juger de la mort ! N'est ce pas bien vaniteux de votre part ? Vous me méprisez comme vous méprisiez vos maîtres, vous n'avez pas gagner en sagesse sous votre liberté mais en rancoeur. Vous ne voyez que ce que vous voulez ? Et quand enfin vous me rencontriez, ce n'était pas de l'amitié que vous m'offriez car vous rigoliez de mon ignorance comme d'un animal de cirque. Vous me dégoutez.....

Elle cracha par terre pour allier geste et parole, elle ne comprenait pas l'attitude de ce centaure; il avait autant de peine à la voir comme ça qu'une marchandise qu'il venait d'acheter et qui était deja casser. Elle cessa alors sur le moment de considerer le centaure comme un ami mais plutot elle engagerait la même attitude que celui ci... Il payera tôt ou tard.

Contrairement à ce que vous pensez, je ne suis pas votre jouet...

(Araora +50Xp
Sanossar : +50Xp)

"Le viol !! Vous avez raison je ne peut comprendre, mais voir vos parents étendue les bras en croix crucifier sur une croix, les seuls êtres qui vous ont une seule fois dans votre vies aimer, comment réagirez vous a sa ? J'ai comme vous voulus m'ôter la vie mais je ne les points fais.....Vous croyez que je suis un manipulateur qui vous manipule ? Pourquoi, ais je le droit de choisir vos penser et vos actes ? Non je ne le crois pas..."

Le centaure détourna son regard et regarda neolias, il commença a avancer, il marchait vers le camp, il marcher tout d’abord plein de haine envers cette petite femme, mais après quelque instant il marcher plein de tristesse, il avait perdus sa seul amies....A quelque mètre lui lança

"Hum vous êtes plein de colère envers moi, je comprend, je pense que je devrais faire attention a mes arrière a présent, un carreaux est si vite perdu...."

Et il continua son chemin laissant son amie ou plutôt ancienne amie dans la neige...

Elle esclafa un sourire lorsque le centaure fit une référence à ses meurtres puis comme si elle venait de recevoir un immense coup.
Son visage s'assobris petit à petits laissant apercevoir des yeux brillants comme s'ils allaient faire couler des larmes.
Ses jambres tremblèrent peu à peu puis se dérobèrent sous son poids, elle tomba à nouveau, a genou, dans l'épais tapis blanc. Une larme brulante glissa sur son visage glacés, elle s'écrasa dans la blancheur immaculée, puis une deuxième.
Bientôt ses petites joues frèle en étaient recouvertes.
Puis sa tristesse répandue, son coeur desseché, sa haine monta...
Un cri déchira l'horizon et même le centaure qui se trouvait à plus de cent mêtres l'entendit...

POURQUOI ! JE NE VOULAIS PAS !

Des gens se retournèrent, le centaure aussi. Des oiseaux s'envolèrent prit de peur, le silence reignat quelques seconde dans la forêt. Ce silence pesant et lourd qui donnait des coups à l'esprit.
Elle sanglotait la tête dans la neige froide.

Elle eut soudain une pointe de ténèbre dans sa pensés, la vie la quittait..
Elle écrit un message qu'elle mit dans la neige à coté d'elle.
Le centaure accourai mais il était trop tard.

Citation :

J'avoue les meurtres de trois hommes, j'avoue avoir utilisé mes armes sur eux pour me venger de ce qu'il avait fait sur moi. Il m'avait violé. Et aujourd'hui quand je regarde le ciel, je ne voit plus rien de bon, plus rien... Adieu Néolias; Adieu mon ROI...J'espère que tu a deviné de qui je t'avait prévenu...

Elle mit son arbalete sur son cou et dans un clic sournois, la mort l'emporta.

Echo , de son instinct félin , avait pressenti quelque chose ... Il avait arpenté les bois et avait fini par tomber sur le centaure. Il le trouva avec l'arbalète de la jeune Kinder , et aussitot , il comprit ce qu'il s'était passé. Il s'avança ,s'approcha du centaure . Il s'agenouilla a ses côtés :
"Un nouveau malheur vient de s'abattre ... Shadow m'avait parlé d'une démonne . Mais jamais il ne m'avais parlé d'une Kinder totalement démoralisée ... Mais vous savez , ce n'est pas en faisant de même qu'elle que cela changera les choses ... Dans mon peuple ,nous avions un poème pour parler de ces choses douloureuses ...

Si je te blesse , frappe moi ...
Si je te manque, appel moi ...
Si je t'aime , aime moi ...
Mais , si je meurs , ne me suis pas ...

Alors messire centaure , allez vous la suivre ou rester avec nous ... Si la situation s'était trouvée inversée ,auriez vous préfèrée qu'elle vous suive ou qu'elle reste ici ?"

SssanOSssSaR?
Derrière le centaure de stenait à présent Ziramel, l'air sombre, dissimulé sous ses vêtements. Que c'était-il donc passé pour que tout ce sang coule à flot? Il n'en savait que trop rien. Il regardais simplement le centaure épris de tristesse devant le corps inanimé de la jeune femme...Le silence régna quelques instants sur la neige ensanglantée, et finalement, le reptile repris:
SssaNoSsAR...Je crOIs qU'il vAut MIeuX qUe tU vieNNeS avEC mOi...AsSeZ de GEns sSsont MorTS PoUr AuJOurd'HuI...
*J'arrive trop tard...Comment cette créature est-elle donc morte...?*
Le milicien tendis une main noire et griffue et centaure, lui faisant lentement signe de venir avec lui vers le camp, là où les vivants continuaient leur existence, là où les vivants oublient les morts, et où les cycle de vie reprend et recommence, sans fin...
Tu N'As AucUnE RraisON de FaiRE sssSa...ReNDonS nOus utIleS...ApRès TOuT...SSss'est SsSe qU'iL y a dE Mieux à fAIre...Là où elle repOSe à présENt, eLLe n'a aUcuNe RaIsoN d'être TrIsSSste...EllE esT retOurnéE à La TeRre qUI l'A PortéE...SsS'eST sSson chOix, eT elLe ne t'Y as PaS entraIné. ElLe n'aurAIs pas VoUlU ta mOrt; ViS Au moIns pouR eLLe...
Le lézard cherchais ses mots...Il n'était ni très à l'aise dans ses relations avec les autres, et ne savait pas vraiment si ses mots pouvait guérir les plus dures blessures de Sanossar...La brise souffla de plus belle, recouvrant lentement le petit corps de la jeune Araora, alors que les cheveux du centaure était secoués par le vent.
Vis aU moINs pour EllE, poUr ConNaîtrE ssSe qu'ElLe ne PourRa plus cONaître, poUr faIre sSse Qu'eLLe ne peut pLus faire. CoNsSsidèRe le FaIt d'êtRE en VIe comme SsSa..............derNIèrE vOlonté...
*Viens, centaure, approche...Ne finis pas comme ca...Le sang a déjà trop coulé...Finissons en, mais pas dans un bain de sang...*

Shadow allait reprendre la parole quand un cri strident se fit entendre . Raven descendit en piqué et vint se poser sur l'épaule d'Echo. L'aigle frotta sa tête contre le cou de l'homme chat et lacha quelque chose dans sa main . Echo regarda attentivement ...Qu'était ce que cette chose ? On aurais dit un morceau de bois ,mais souple , et couvert de sang ... Alors Echo compris :il s'agissait d'un bout d'ongle , assez grands .Il avait été cassé ,il y a peu ... Echo s'approcha de l'homme lézard :
"Décidément ,il se passe quelque chose d'étrange dans cette forêt ! Je vais voir de quoi il s'agit ! ON ne trouve pas des ongles ensanglantés et cassé au détour d'un chemin ! Raven , va !" L'oiseau s'envola et Echo le suivi en courant ,laissant l'homme lézard et le centaure ensemble ...

sSSaNoSssar...MainteNaNt...DoNne-moI SsSetTe ArmE...
*ne m'oblige pas à utiliser la force...*
Le saurien était tendu. Peut-être le vieux centaure ne l'écoutait-il même pas...Même Ziramel savait que lui et la Kender étaient très proches...La tension montait, alors que le vent glacé soufflait de plus belle, envoyant voler de nombreux flocons glacés sur le flan des deux créatures qui restaient debout dans l'air glacé contemplant tous deux le cadavre de ce qui fût autrefois une jeune innocente. Le lézard tressaillis sous sa cape...Il ne comptait pas bouger avant que la situation ne change...Restait à espérer qu'elle change en bien...

Sanossar regarder le carreaux, il n'avait plus qu'a apuiyer sur la détente et toute ses souffrances ne seraient plus, il pleura, pleura en contemplent le corps d'araora dans le cerceuil végétal. Il leva la tête, il regardis ziramel, il le regardit d'un regard triste et vieux, le regard d'une personne
qui n'a plus déspoir, il leva l'arme, ziramel tressalli, mais le centaure lui tenda l'arbalète, en gardant le carreaux ensanglanter qu'il fourra dans sa poche....

"Maitre saurien rien pour l'instant ne poura étancher mon chagrin, voila le mot qu'elle a laisser (il lui tendit un boup de papier chiffoner)Je rentre ziramel, je rentre au camp aurevoir..."

Sanossar n'avait pas l'habitude d'appeler les gens par leur nom, il trouvait cela impoli, mais maintenant qu'importe la seul personne lui ayant redonner le sourire s'en est aller, il fit une croix sur ce passage de sa vie, préférant oublier et il partit dans la neige fraiche disparaisant au loin comme une ombre....

Ziramel savait que ca ne finirais pas si facilement...Le carreaux sanglant avait été emporté, et quand bien même il serait dépossédé de ce carreau, Sanossar risquait de mettre fin à ses jours...Il fallait faire quelque chose, faire quelque chose, et avant qu'un autre malheur n'arrive...L'homme lézard marcha derrière le centaure, sans un regard pour la jeune femme que la neige recouvrait de son grand manteau blanc, comme un drap panse les plaies les peines et les douleurs. Ils avancaient vers le camp, et Ziramel réfléchissait intensément...Que faire pour empêcher le vieux Sanossar de commettre une folie? Il ne se remettrait normalement que dans très longtemps, s'il se remettait un jour...Il tâtta les fioles qu'il transportait toujours sur lui...Aujourd'hui, il allait peut-être sauver une vie grâce à une potion. Tout ce qu'il fallait faire, c'est lui faire avaler...
SssSanosSar? AuJoUrd'Hui eSt un JoUr tRisSste...VeUx-tU qUe jE t'OffRe unE BoIsSon PouR TeNir Le cOuP? Tu mE ParlEraIs dE SsSe qUi VieNs d'ArriVeR...
L'approche n'était guère fine, mais Ziramel n'était ni un expert du tact, et encore moins des sentiments-surtout pas des autres-...
AprèS ToUT...J'aUrAIs deS cOMpteS à ReNDre poUr sSSse qUi vIENt d'aRRiveR...
Cette dernière remarque était très déplacée, mais pour le saurien, il était évident que les évènements lui étaient défavorables...Tout s'engrengeait à son insu, sans compter qu'il était arrivé juste à temps pour voir le centaure armé de l'arbalète de la Kender, cette dernière morte à ses pieds d'un carreau de la même arme...