Notre histoire commence avec Myra Lia, première messie de Mélindaë
Il faut comprendre était la fille d'un grand roi de l'époque, elle renia son héritage pour partir aider les gens, les sauver de la misère.
Voici le dialoque de cette magnifique femme avec deux mendiant, à cette époque le royaume ou ce récit ce passa était gouverner par un tyran.
L'histoire des mendiants"_
Le feu coule dans mes veines; et la joie de vous voir sourire serai le plus cadeau que vous me donneriez. Pourquoi ne pas vous laissez aller, vivre; vous avez vous aussi le droit au bonheur. Ne serai ce que pour vous moquer de la tyrannie de votre roi, ne serai pas mieux de lui rire au nez? Lui faire comprendre qu'il peut tout faire pour vous détruire, mais qu'il ne vous prendra pas votre coeur, qu'il peut tout faire pour vous affamer mais qu'il ne prendra pas votre bonheur.Myra fit un geste en direction de son estomac, puis sortit un morceau de pain de son sac et fit:
Ceci est une faim.Puis Myra fit cette fois ci un geste en direction de son coeur et souria de bonheur et d'espoir et dit:
Ceci est la faim la plus importante, la faim de bonheur.Les mendiants étonné de l'étrangeté de la jeune femme, sourirent aussi, et tendirent la mains en signe de charité et Myra leur donna à chacun un gros morceau pain. Quand ils eurent finit de manger elle s'exclama à nouveau en sortant une gourde d'eau de son sac et fit:
Ceci est une soifPuis Myra fit un geste en direction du ciel,
Ceci est la soif la plus importante, la soif de foi, la soif d'espoir. Le diner terminer, ils restèrent discuter longtemps, puis les mendiants s'en allèrent et chaque jour ils revinrent plus nombreux encore. Et la foi en la déesse commença à prendre de l'ampleur.
Ils étaient plusieurs centaine quand on arrêta Myra mais ceci est une autre histoire."
L'arrestation et l'execution.Deux ans après les faits ci dessus, les rituels de Myra attiraient plusieurs centaines de personnes chaque jour. Des mendiants pour la plupart, des gens du peuple mais aussi quelques aristocrates bienveillants. Elle fut arrêter un jour de grand froid, la foule s'interposa et nombreux sont ceux qui pèrirent. Voici le dialogue de Myra et du Tyran
_Vous allez être condamner au bucher sorcière, condamner par la justice que vous prôner avec un tel acharnement. Je suis la justice, et je vous condamne au bûcher.
_Je ne prone pas la justice bafouée, je ne prone pas la justice souillée, je prone la justice divine, la seul.
Gifler moi et je tendrai l'autre joue,
Saigner moi et je tendrai mes veines
Violée moi et je tendrai mon corps
Tuer moi et je tendrai mon coeur
Mais dans sa véritable grace
La justice divine, un jour, vous punira
_Torturer la, violer la et bruler la; et que sa serve de leçon à vous tous; Mélindaë sera une déesse interdite de culte, et tous ceux qui la vénérons finirons comme cette chienne
_Je vous suis avec plaisir mon bon roi. Mais souvenez vous de celà quand vous serez sur votre lit de mort.Elle fut torturée, violée, lynchée et brûlée; mais la foi que les mendiants avaient en Mélindaë n'en fut que plus forte. Le roi devenut fou et se suicida bizarrement peu après, mais la religion fut toujours interdite et désigné comme hérétique. Et petit à petit la religion prit de l'ampleur et fut après de nombreuses dizaines d'années à nouveau légalisée. Elle prit tellement de pouvoir que le temple de Mélindaë était le plus riche alors qu'a ces origines Myra pronait la pauvreté.
La décadence ou la leçonFut un temps ou le culte de Mélindaë était tellement riche et tellement réplandissant qu'il dominait tout les autes dieux sur terre mais malheureusement ce culte n'était qu'un fantôme par rapport au verset originel. Ce culte vénérait la beauté et seul celle physique, celui qui avait un corps laid était rejeté.La déesse malheureuse de voir son culte souillée envoya une deuxième messie pour prêcher les sept commandement de la déesse.
Personne ne connut son nom, mais tout le monde sait ce qu'il lui arriva.
Elle fut torturée à mort par le temple et la déesse prise de colère condamna tout les membres du temple à mourir dans l'années sans d'atroce douleur. Et c'est ce qui ce passa, une effroyable peste ne touchant que les membres du temple furent touchés.
Après une années d'épidemie il ne resta plus qu'une survivante, une mendiante.
On dit que c'était la réincarnation de Myra, mais personne ne put le prouver.
La renaissanceUne mendiante, une seule qui venait à peine de découvrir le temple… Elle s’appelait Jaina, elle avait trois ans et demi et pourtant elle parlait comme un roi, elle avait trois ans et demi et pourtant elle avait la volonté d’une reine… Un miracle oui ; elle marchait entre les condamner pour leur redonner le courage… Elle marchait entre les mendiants pour leur donner de l’espoir…
On dit même, que sa simple beauté d’enfant réveillait la tendresse des hommes les plus durs, les plus répugnant.
« Elle marcha dans la forêt du plaisir libérant les femmes de l’esclavages en un seul regard… Gris clair il brillait de mille feux, Mélindaë leurs avaient donné le pouvoir de donné l’espoir, de tendre la main, de respirer à nouveau et d’émouvoir la mort elle-même. Les femmes étant le sein de sa mère elle avait enfanté à l’age de cinq ans une fille par ses larmes. Elle s’appelait Nâïad, fille de la bonté et de l’amour, fille de la déesse elle-même… Elle était rousse et ses yeux était comme deux émraudes de lumière divine... Mais malheureusement cet acte tua sur le coup Jaina… Les commandements furent transmis à sa fille…La longue lignée des Nâïad débuta alors son ère... »Après quelques années d’existence parmi les adeptes de Mélindaë, elle devint la première grande prêtresse après la renaissance du culte à l’age de cinq ans.
La première partie de l'histoire du temple est terminé...Mais son histoire ne vient que de commencer...