L'histoire d'Haazheel Thorn

De la même manière que Luna, je vous raconterait une histoire, mais pas n'importe laquelle...celle d'Haazheel Thorn. Je ne ferait pas mieu que Luna, n'étant pas particulièrement doué pour ce genre de choses, mais j'aimerais vous faire part de mon passé, afin que vous puissiez me comprendre.

Je m'atarderait sur quelques moment ayant marqués, les autres passages serons raconté plus brièvement.

Merci à ceux qui aurons le courage de lire ma piètre biographie...

Haazheel Thorn,

Deathanoam (ville ennemie de Aelias), quartier du Maelstricht, 13 février 5989 :

La neige tombait dru sur Deathanoam depuis plus d’un mois, le morale des habitants était au plus bas, la nourriture se faisait de plus en rare, le froid tuait de plus en plus de monde et tout le monde craignait qu’un nouvelle épidémie de peste noire s’étende sur la ville.

Mais personne ne se souciait du quartier du Maelstricht…Pourtant si près de leurs belles maisons et de leur doux foyer…

Ce quartier avait en effet était abandonné depuis longtemps, depuis que Nel’tho était au pouvoir il en avait retiré les maigres subventions qui permettait autrefois d’en préserver quelques habitants.

Le quartier était connu pour être le plus pauvre et le plus mal famé de Deathanoam…
Dehors des enfant, âgés de moins de huit ans courait derrière un rat, leurs visages était salle, squelettiques, leur vêtement rapiécés, leur regard vide d’expressions, ils ne pensaient qu’à une chose ; survivre… Dans leur course folle, ils croisèrent un cadavre étendu au beau milieu de la ruelle, un autre enfant, 14ans, le visage bleu vert, les yeux exorbités, regardant un ciel blanc, couvert de nuage. Ils passèrent à coté sans le remarqué, comme si ce spectacle était banal… il l’était.... A coté, des hommes agonisaient, ne trouvant pas d’abris pour l’hiver, ils essayaient de se réchauffer, lapant les traînés de bière se trouvant devant l’auberge et cherchant à quatre patte dans la neige, une peau de pomme de terre, ou autre friandise qu’il pourrait se mettre sous la dent…Un des enfant attrapa finalement le rat, un autre essaya lui prendre des mains avant de se prendre un poing en pleine face. L’heureux gagnant de la chasse morda alors le rat à pleine dent…

Ainsi étaient le quartier de Maelstricht, rongé par toute sorte de maladie, la famine et la violence.

Une femme hurlait au loin…elle était en train d’accoucher, et mit au monde un autre enfant qui était condamner à vivre dans la misère… Cette enfant s’appelait Haazheel et porterait le nom de son père Thorn.

Ainsi naquit Haazheel Thorn, dans le pire endroit qu’on ne puisse imaginer, sa mère était magicienne, son père non. Tout deux était issu de la paysannerie de Deathanoam, et n’avait d’autres choix que de vivre ici. A sa naissance Haazheel avait déjà un frère, Azraëlh, âgé de sept ans.

Ouai! c'est super! ! Bravo! j'aime beaucoup ton style romancé!
tient, je t'offre un repas complet! mange et boit et continue l'histoire de ta vie!

Mercei, je vous prévient les premier passages riquent d'être un peu glauques, mais c'est ma vie tel que je l'ai vécu.

Très bien...nous vérrons ça....
(viite!^^)

Et si tu pouvait mettre ce post en post-it histoire que quelques personnes le voit ^^...

Excellent! je vais avoir du soucis dans mon récit avec cette concurrence alors...

OK Haaz!
oui, ya de la qualité là!

Tu me fait de la concurrence là!!! hé c'est mon gagne pain!!! je devrai t'assassiner
Non franchement c'est bien écrit j'attend la suite...

Oui mais t'inquiete! tu resterat toujours notre barde favorite!

Bravo Haaz!

A quand la suite?

Haazheel vécu les quatre première années de son existence à Maelstricht, dans un monde dépassé par la pauvreté et la violence.
Mais il eu au moins une chance : la chance d’être accepté et choyer par ses parents. Il n’était pas jeter à la rue sous pretexte que sa ferait une bouche de plus à nourrir… Comme tant d’autres enfant.
Comme son frère Azraëlh, il reçu de sa mère le don de magie, dès sa naissance un flux magique coulé dans ces veines, peut-être serait-il suffisant pour surivivre dans ce lquartier si hostile ...

Haazheel Thorn etait maintenant âgé de 4ans.
Il avait déjà connu beaucoup d’horreurs pour son jeune âge.
Mais ce qu’il vit ce jour là le marqua jusqu’à sa mort…

Deathanoan, quartier du Maelstricht, 19 novembre 5993 :


Le soleil était déjà couché, moi , ma mère et mon frère étaient à la maison. Si on peut vraiment appelé sa une maison … Une pièce d’un trentaine de mètre carré, une porte en bois délabré, un trou dans le mur en guise de fenêtre, 4 paillasse, 1 table, des étagères en bois clouer superficiellement dans un mur de bois, un sol en terre battu, un foyer devant une fenêtre – utilisable seulement pour la cuisine…
Une seul point lumineux éclairait la scène, une petite bougie sur la table qui éclairait trois visage sale et anxieux … Anxieux, en effet, car mon père n’était toujours pas rentrer… pourquoi ?

L’éclairage, le silence rompu régulièrement par les grincement du volet et les ombres dansants sur les mur donnaient à la scène un aspect inquiétant…pourtant habituel.

Quelqu’un toqua … un mendiant en quête d’un foyer ? un ivrogne ? un voleur ?

Ma mère sortit de sa rêverie et se dirigea vers la porte d’un pas las.
Elle ouvre, dévisage un homme que je ne peut voir, et sort…

J’entend des voies dehors, une voie si familière, mais pourtant rauque et essoufflé : c’est celle de mon père…

Moins de une minute plus tard ma mère est de retour… seule.
Dehors un homme crie, assassinat ? malade agonisant ? enfant affamé ? … Peu m’importe..

Elle referme la porte, la barricade et se précipite vers la fenêtre, qu’elle ferme aussi. Tant de questions me viennent à l’esprit, mais par quoi pourrait-je commençait ?
Mon frère me dépasse et prend la parole : Maman ? Où est papa ?
La réponse se fit attendre : Il ne viendra plus, ne l’attendait plus… et dormez !

Quel réconfort ! J’essaie d’en savoir plus mais ma mère ne lâche pas une information supplémentaire. Je vais devoir dormir, ou plutôt essayer… car je ne réussirait pas.
Pendant la nuit des hommes et femmes agonisent dehors … un chariot passe … des bruits sourd … des gens crient… C’était encore plus dur à supporter qu’avant.
Je plonge dans un demi-sommeil, j’en sort pendant la nuit, je ne peut pas dormir… une longue plainte s’élève dehors, des dizaines de personnes pleurent, d’autres semblent agonisaient.

Ma mère était réveillait, elle disposait des linge mouillé sur toutes les ouvertures donnant sur l’extérieur – intersectrices autour de la porte, du volet de la fenêtre, imperfection dans le mur – Je pose sur elle un regard interrogateur.
Elle me dit enfin : la peste à encore frappé !


Pendant trois jours et trois nuit je suis restait enfermé chez moi, écoutant les gens mourir dehors, les chariot passant pour ramasser les corps, les femmes pleurant leur mari ou un fils. Toujours je pensait à mon père, pourquoi avait-il du mourir, pourquoi lui et pas quelqu’un d’autre … lui qui était pourtant un si bon père… Comme le destin est cruel.

Trois jours insoutenable, trois jours de craintes, chaque soir notre mère nous occulté... ni plaque, ni boutons, nous semblons épargnés.

La nuit je pleurait, nous pleurons tous, autant par craintes que par tristesse ...
Adieu père

SNiiif....mon povre...on comprend mieu ta sagesse....
Tient, mange et boit un peu...
belle histoire!

La vie à Maelstricht n’était guère facile, surtout depuis que seul le revenu de Elinda, la mère d’Haazheel Thorn pouvait couvrir les besoins de toute la famille.
Elinda travaillait en tant que serveuse dans une auberge, il lui arriver aussi, assez souvent de se donner en spectacle, grâce à ses talent de magicienne pour gagner un peu plus d’argent.
Mais ce n’était guère suffisant pour permettre à la famille de se nourrir à sa faim, Haazheel et Azraëlh devaient se contenter du minimum.
Haazheel avait huit ans… Azraëlh quinze. L’aîné travaillait donc depuis quelques années, il enchaîner les petit boulot mal famé et mal payé. Haazheel était encore trop jeune, il passait ces journée à chercher de la nourriture, mendier dans les quartier plus riche et … à lire. La lecture était un loisir quasi absent dans les quartiers populaires, mais la famille Thorn avait la chance de posséder un seul et unique livre : La magie sur Garkam, de Meth Rathon. Grâce à sa mère, Haazheel savait plus ou moins lire… Sa mère lui apprenait aussi la magie de temps en temps… Lorsqu’elle avait le temps.
La vie était aussi monotone que triste, chaque jour se succédaient, tous plus noirs les uns que les autres…Mais ce jour là restera graver à jamais dans la mémoire d’Haazheel Thorn :

Deathanoan, quartier du Maelstricht, 10 mars 5997 :

La pluie martelait le toit en chaume de la petite maison des Thorn, comme à chaque hiver, des bassines, flacons et récipients étaient placé en dessous des fuites du toit, provoquant des « ploc » incessant pendant des journées entière. De temps en temps un coup de tonnerre se faisait entendre au loin…
Haazheel était assis sur une vielle chaise en bois, les yeux fixer sur Le livre, qu’il dévorait pour la énième fois, il connaissait à présent toute l’histoire de la magie : de sa découverte à son fonctionnement, en passant par la biographie des grands mage de l’histoire de Garkam. L’ouvrage était un des biens les plus précieux de la famille… Et Haazheel ne pouvaient le lire que sous surveillance de sa mère. Sa mère était déjà rentrer et préparer le repas du soir… ou plutôt elle réchauffait quelques gouttes d’un bouillon de légume datant de plusieurs jours. Il ne manquait plus qu’Azraëlh pour passer à table, celui ci travaillait en tant que mineur, à quelque kilomètre du quartier. Il arriverait encore une fois épuisé, courbé par son effort et rongé par la sueur et par la crasse, il en était ainsi depuis plusieurs semaines.
Azraëlh devrait être normalement déjà de retour de la mine, mais les minutes passés sans que l’aîné arrive… Puis les heures.
Tel était la vie au quartier de Maelstricht, l’attente. L’attente de voir un salaire arrivé, l’attente de pouvoir manger quelques miette de pain, l’attente de voir un rayon de soleil traversé les nuages, l’attente de voir un proche rentré du travail, l’attente de voir la mort vous prendre…
Azraëlh se fit attendre, mais il n’arriva pas… Lorsque la lune était déjà bien haute dans le ciel et que les alcoolique déambulait dans la rue, Haazheel et sa mère décidèrent de se coucher… sous le bruit inquiétant des « ploc ».

Le lendemain, Azraëlh n’était toujours pas là. Elinda devait travaillait de bonne heure, Haazheel était donc charger d’aller à la mine pour voir si Azraëlh s’y trouvait encore…
C’est ce qu’il fit, il traversa les ruelles sombres de Maelstricht, évitant les groupes de personnes à l’apparence douteuse et après une heure de marche, il arriva à la périphérie de Deathnoan : devant la mine.
C’était une mine de fer, elle appartenait à l’état… ou plutôt au gouverneur de Deathnoan, c’est à dire Nel’tho. Il y avait quelques contremaître, issus de familles bourgeoise chargé de s’occuper du fonctionnement de l’entreprise, le reste était essentiellement des mineurs, une centaine, ayant souvent moins de vingt ans… Tous étaient issus de famille pauvre. La vie est si injuste pensa Haazheel… les pauvre son contraint de succomber sous le travail pendant que les riches remplissent des fiches de comptes et calculent les bénéfices qu’ils gagnent grâce à l’exploitation d’une centaine d’hommes… c’était inhumain.
Haazheel essaya de trouver quelqu’un qui pourrait l’informer sur son frère, mais peu de gens s’arrêtait pour lui parler, lui qui était si petit… si faible. Les travailleur, ayant peur qu’un de leur chef les voie en train de discuter préféraient se hâter pour aller travailler, tandis que les contremaîtres le rejetait, ils étaient « trop occupés ».
Après une heure de recherche il trouva enfin un homme qui daigna lui répondre…
« Monsieur, vous connaissait pas Azraëlh par hasard ? C’est mon frère, il a disparu, il travallait là avant…
-Non mon petit, jamais entendu ce nom, à vrai dire les gens défilent ici, les visages changent toutes les semaines.
-… Vous penser qu’il est … mort ?
-C’est bien possible mon petit, des gens meurent tout les jours ici, hier un homme est mort suite à un éboulement dans une galerie, mais personne n’a réussi à l’identifier ?
-… Je pourrait le voir ?
-… Non, il ne vaut mieux pas
-Pourquoi ?
-Bon d’accord, si tu insiste je vais te montre où est son cadavre… »

Encore aujourd’hui, Haazheel regrette d’avoir demander à cette homme, qui lui était inconnu, de lui montrer le cadavre de l’homme ayant trouvé la mort la veille…
On le conduisit à quelques mètre de l’entrée d’une galerie, là, caché dans quelques fourrées, le cadavre de l’ancien mineur avait était abandonné… Sa tête était manquante, il avait du la perdre dans l’éboulement… L’ancien garçon, qui devait avoir une quinzaine d’années était étendu dans une marre de sang, toute sorte d’insectes grouillaient sur son corps nu, rentrant dans les plaies et rongeant le cadavre de tout part… Il était complètement déformé, un bras était retourné, une jambe avait était marteler lors de l’éboulement, donnant naissance à un grand trou béant au milieu de celle ci. Haazheel retourna immédiatement la tête, ne pouvant supporter un tel spectacle … l’homme l’ayant menée ici avait disparu.
Il ne put jamais dire si le cadavre qu’il venait de voir était son frère… Il ne restait plus rien de l’homme qui se trouvait là… Il avait était dépouillé, jeter dans un fourré et ronger par les insectes… Personne n’aurait pu le reconnaître.
Jamais Haazheel n’entendu reparler de son frère, était-il mort dans la mine ? ailleurs ? … Avait-il fuit Maelstricht pour recommencer une vie ailleurs ? Avait-il était kidnapper ?
Toutes ces questions sont encore en suspens aujourd'hui, jamais Haazheel reçut de nouvelles de son frère, mais jamais il ne fut totalement sure que son frère était mort…





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Bon c'est pas un passage super mais bon, je tenait à l'écrire pour lier plus facilement la suite des évenements.

Les choses sérieuse commenceront bientôt ^^.

oh le suspens finale!
bravo sinon, c'est super!

Encore bravo!