Mimosa était content.
Il avais réussis à trouver tout seul l’épicier lui avait demandé distinctement de lui vendre des poireaux et de la farine de blée. Il se dirigeai maintenant vers son chez lui, la grande industrie gnome de Néolias, quant tout a coup, il entendis une énorme explosion. Il y été habitué, certes, mais pas a de si grandes explosion, et il s’inquiétât. Le gros bonhomme commença a courir vers l’industrie gnome quant il découvris que ses craintes étaient fondée : un incroyable nombre de badaud était déjà réunis autour des décombres. Cependant, vu la carrure de Mimosa, ils ne se génèrent pas à s’écarter devant son passage. Cependant, au premier rang, un homme bizarre lui interdis de passer. Mimosa le reconnut tout de suite ! C’était un milicien, Gnimsh lui avait interdit d’être méchant avec les miliciens, Mimosa ne désobéit donc pas et restât calmement dans les rangs.
Dans la logique de mimosa, les gnomes ne pouvaient mourir, à chaque fois qu’une de leur inventions leur explosait a la figure, ils se relevait et pleuraient de joie. Il n’y avait donc pas à s’en faire. En fait, Pour Mimosa, la mort n’existait pas. Même dans se grand corps d’adulte, l’esprit d’enfant qu’était mimosa n’avait jamais appris ce qu’était la mort, ce que cela faisait de perdre un être cher …Les miliciens restèrent la longtemps, cela permis au gros benêt de prendre le temps de mieux observer les lieux : Tout l’entrepôt avait été rasé, il ne restait pas un bâtiment debout. Les gnomes ne l’avaient pas prévenu qu’ils allaient se lancer dans une expérience avant qu’il parte, d’ailleurs, d’habitude, ils préféraient que Mimosa reste la, après tout, l’humain devait bien avoir a lui seul, le double de la force de tout les gnome de l’équipe … Mais peut être était ce une surprise ? Oh oui !!! Une Surprise pour Mimosa, quel beau cadeau !
Cependant, des heures passèrent ainsi, pendant que les miliciens fouillaient les décombres. Mimosa se demandait bien se qu’ils cherchaient. Peut être les gnomes jouaient ils a cache-cache avec eux ? Ou bien peut être les miliciens cherchaient ils l’invention des gnomes ?
Tout à coup un des miliciens s’écriât « Je les ai trouvé !! ». C’était bien ça ! Ils jouaient bien a cache-cache ! Mimosa, voulant faire une surprise aux gnomes, accourut dans la direction du cri –quelques miliciens essayèrent timidement de l’arrêter, mais aucun s’opposa vraiment a lui-. Il pensait retrouver la mine rigolote des gnomes parlants encore de plus de chose très compliquée et n’ayant même pas remarqués qu’on les avait vu … Il en riait rien qu’à y penser… S’il avait pu pensé qu’il avait tort …
Le grand Mimosa arriva devant un groupe de Miliciens, lui obstruant la vue. Ne mesurant pas sa force, tellement il été amusé, il les poussât vigoureusement de chaque coté de lui, les faisant quasiment tomber, et se retrouvât enfin face aux gnomes … Finalement, c’est Mimosa qui faillit tomber par terre … Il avait face a lui plus d’une douzaine de gnomes, tous avait une mine affreusement apeurées, tordue, tel des arbres noueux. Leur peau avait été noirci, et brûlée, a certains endroit on pouvait même voir des os a blanc … leur chairs avaient sans doute été brûlée par le souffle de l’explosion, calquant pour l’éternité les dernières impressions des victimes de l’accident … Mimosa était effrayé, mais il ne comprenait pas se qui se passer … Ou étaient ses amis ? Où étaient les gnomes ? Qu’étaient ses choses, totalement carbonisée ?
Tout a coup, la terrible vérité s’imposa peu a peu à grand jeune homme, quant il vit, sur l’un des cadavres, un petit nœud rouge brûlé de ci, de là, dans les restes d’une belle chevelure brune, dans la belle chevelure du cadavre de Gnina, la « mère » adoptive de Mimosa …mais celui-ci ne comprenait toujours pas ? Ou été Gnina ? Il se mis a Hurler son Nom. Où était elle ? Que faisait son nœud sur cette chose ? Et là, dans maintenant collée a une main décharnée ou le squelette était plus qu’apparent ? C’était la canne que Komfgni ne lâchait jamais ? Que faisait elle ici ? Ou était il lui aussi ? Et ça ? En ça, le bâton de Gnimsh et la lunette qu’il portait toujours autour du crâne…peu a peu, il reconnut tous les gnomes de l’industrie, aussi bien du Clic, que du Boom … Il reconnut quelques artefacts qui appartenaient à Rum sur un corps …
Mais il ne comprenait toujours pas, ou plutôt, il ne voulait pas Comprendre, des larmes lui coulaient des yeux, pourquoi ? Et cette tristesse, pourquoi ? Tout a coup, un autre homme arriva et déposa un grand linge blanc sur eux. Mimosa ne voulait pas qu’on recouvre les objets qui appartenaient a ses amis ! Il saisit l’homme qui venait de recouvrir les cadavres par l’épaule, avant que 4 miliciens se jettent sur son bras pour lui faire lâcher prise et le pousser a terre. Un autre milicien lui dis alors à l’oreille, à voix basse, qu’ils étaient morts. Mort, qu’était ce d’être mort ? Était ce la deuxième vie dont Gnina lui avait parlé ? La vie où on ne pouvait plus voir ceux qui n’avaient pas encore mourut. Etait ce ça la mort ? Non, Il ne voulait pas ! Il ne voulait pas ! Il voulait qu’ils reviennent ! Les quatre miliciens qui l’avaient plus tôt immobilisé lui mirent alors des menottes. Pourquoi ? Qu’avait il fait de mal ? Ils lui demandèrent d’avancer vers la caserne, mais pourquoi ? Il ne voulait pas les quitter ! Il voulait rester avec eux.
Les miliciens se mirent tout quatre pour le tirer vers la caserne. En effet, a voir a quel point portait son désarroi, il était potentiellement dangereux, et si il n’était pas vite mis dans une situation de contrôle, peut être seraient ils obliger de le tuer … Le géant, au bout d’u certain moment, ne cherchât même plus a résister, et se laissât tirer. Ses pieds laissaient deux grand sillon dans la neige, comparable a ceux d’une charrue. Sa tristesse l’endormait, il ne voulait plus penser,… il voulait dormir…
Mimosa pleurai, il était triste … Il n’avais rien fait de mal, il voulais juste revoir ceux qu’il considérait comme sa famille … Depuis combien de temps était il ici ? il ne savait pas, il venait de se réveiller. D’ailleurs, d’autres l’avaient remarqué. Un milicien, non armé, entrât et vint se coller devant lui, lui apportant une gamelle de soupe. Mimosa, qui était un fin gourmet, habituellement, n’avait pas faim, et ça se comprenait !
Cependant, le miliciens, pris d’un certain élan d’affection, lui chuchotât quelque chose a l’oreille. Mimosa parut interloquer. Etait ce possible ? Il fallait le croire ! Quelques jours plus tard, les miliciens avaient jugé que son état avait été rétabli, ils le relâchèrent donc. Vu sa taille, il ne faisait aucun doute qu’il trouverait du travail, que se soit chez un bucheron, ou dans une forge …
…
…On ne le revit jamais…
Sujet: VII) Destruction 