Péripéties saugrenues

/(Aujourd’hui, j’ai reçu une missive de mon éditeur, il constatais que mon travail ni ne s’améliorait ni n’avançait et qui plus est, se dégradait quant à ce qu’il appel « la vérité historique ». Je lui est rétorqué dans une lettre enflammé que je mangerais mon livre devant ses yeux, s’il trouvais ne serais ce qu’un mensonge.
J’en conclut qu’il est temps de changer d’éditeur…
Or, n’allez pas croire que mon livre est le produit de mensonges grossiers et d’affabulations, non, c’est juste que je ne peux garantir la véracité de certain fait. Je ne feins pas la vérité, c’est la faim que j’évite et la vérité que j’esquive à mes fins, afin que ne s’évanouissent aussitôt nées les freins de mon obsolescence. Enfin, je ne suis pas artiste, et si d’aventure je m’évertuais a hurler que je ne cherche pas la gloire, la reconnaissance populaire et surtout l’argent, il serais bon de me rappeler de déclencher une guerre civile dans un pays quelconque pour avoir la main mise sur ses matières premières. Me ferais-je ainsi la figure de proue d’un capitaliste délétère, dominé par une oligarchie économique et despotique ? Évidemment, oui ! Je suis un homme…)/

[…]
-Donc, si j’ai bien comprit. Conclut-elle. J’ai juste a tendre les bras et les agiter a la manière d’un oiseau et je pourrais m’envoler. Ça n’a pas l’air si compliqué que ça…Euhm, je me demande pourquoi personne ne se déplace de cette façon ?
-C’est parce qu’il faut s’élancer de très haut. Rétorqua-il. Tu vois cette arbre, celui aux abords de la forêt ?
-Oui, il doit être a deux kilomètres et faire au moins quatre vingt mètre de haut si je ne m’abuse
-Eh bien, je me suis déjà envolé en sautant de sa cime, j’ai atterrit à quelques pas d’ici.
-Vous n’avez rien eut ?
-Pas une égratignure.
Le gnome la regarda d’un œil embarrassé, puis s’approcha plus près d’elle. La jeune naine ne réagit pas, elle avait été tellement absorbée par les révélations de celui-ci qu’elle ne faisait même plus attention à ce qu’il se passait aux alentours. D’ailleurs, elle se voyait déjà, survolant les tentes et les bâtiments de la ville, libre de toute contrainte terrestre ; en sécurité.
-Mais fait attention. Reprit le gnome. Les autorités de la ville ont interdit le vole : Au pire, tu te ferais tuer si tu étais prit en plein flagrant délit, au mieux on te couperait les bras.
-Quelle horreur ! Je ne le savais même pas.
-Justement, tu ne dois pas le savoir ; oublie ce que je vient de raconter ou garde le au plus profond de toi, ils ont peut être la capacité de lire dans les pensées, tu sais… Et puis si tu as envie d’essayer le vol a tout prix et bien, fait attention à toute les personnes qui porte un vêtement d’une couleur rouge.
-Ah et pourquoi donc devrais-je me méfier de ceux qui portent du rouge ?
-Pardi, parce ce que ce sont les agents anti-vols. Des membres d’une secte tyrannique qui existe depuis des millénaires et qui empêche les gens de voler. Moi-même j’avais crus qu’elle avait disparut avec le cataclysme et bien, je me suis lourdement trompé…
-C’est terrible…
Léna était abasourdie. Jamais elle n’aurait put penser que la ville était dominé par une secte sanguinaire et païennes dont le seul dessein était de clouer au sol toute chose. Et sans doute qu’elle serait restée dans l’ignorance s’il elle n’avait jamais rencontrée ce gnome. Celui-ci l’avait abordé quelques heures plus tôt en prétextant qu’il l’avait vu la nuit dernière dans ses rêves. Ensuite, s’était suivit plusieurs heures de débat sur l’habilité des nains à la cuisine pour qu’il dévoile enfin le secret terrible qu’il gardait sur le vol.
-Le pire c’est que tout le monde est au courant…Attends tu vas voir.
Le gnome regarda autour de lui puis interrogea un inconnu qui passait :
-Dit moi mon brave, le vol est bien interdit ici ?
-Bien sur que oui ! Répondit-il. D’ailleurs, si je surprend un jour quelqu’un qui vole chez moi, il passera un sale quart d’heure !
-C’est bien ce que je pensais :
Tu vois Léna, il est interdit de voler ici…

** lalala, j'ai bien mangé, j'ai rien glandé de la journée et j'ai une amie très sympa et mignonne qui fait tout le travail à ma place, je suis vraiment gâtée! Faudrait que je pense à faire un peu les boutique un de ces quatre... Ah y'a du monde dans les rues aujourd'hui, faut dire que c'est une très belle journée aujourd'hui, il y a du soleil, il ne fait pas trop froid, si je trouvais une pierre un peu chauffée je pourrais y passer tout l'après midi! Oh ... ce type est vraiment moche ihihi... Bon alors où pourrais je aller, hein? rho j'en sais rien, je sens que je vais aller un peu partout, histoire de connaitre un peu mieux néolias, oui, puis trouver de belles boutiques biens sympathiques ihihi... Oh... cette... cette fille, c'est ...mais... oui je ne rêve pas c'est une naine, elle parle à un gnome... oh elle a pas l'aire futée... et cette bourse qui pend à sa ceinture... ihihi**

S'approchant par derrière d'un pas parfaitement neutre, Irra d'un geste simple et précis aidé d'un petit coup de griffe s'empara de la bourse, la fourra sous son mantelet et s'incrusta dans la conversation. [ jet de dés pas du tout à mon avantage (1 pour moi et 5 pour lena => 14 pour moi et 6 pour lena donc je gagne de toute façon éhé ]

"Bonjours vous deux, vous me semblez bien suspects, vous n'étiez pas en train de parler de vol? Hein? Oui vous... vous m'avez bien l'aire d'un petit voleur éhé... Allez sortez moi vos papier, oui monsieur je suis milicienne! Madame, vérifiez qu'il ne vous ai rien volé, s'il vous plait, je crois bien que ce n'est pas la première fois que je vois ce personnage, il vous embobine quelqu'un en quelques jolies paroles et vous déleste de votre bourse d'un geste...[baratinage: lena croit que le gnome est réellement le voleur ( 6 pour lena,3pour moi => 8 lena, 14moi je suis toujours en tête) ] rho, ça va pas bien aller pour lui, eh!"


Le personnage s'était détacher d'Irra qui lui tenait simplement le bras et avait fuit sans demander son reste.

"Ah le fourbe, il s'enfuit! rha, de toute façon nos services commencent à le connaitre, on le coincera ne vous inquiétez pas! Mais je ne suis pas sur que vous revoyez votre argent malheureusement... "