Petite Chasse [Quête]

[HRP : Ne soyez pas trop dur avec ce pauvre Shanks ]

Lancelot s'ennyuai déjà , il de vait attendre les autres pour pouvoir repartir mais ceux-ci prenaient apparement leur temps . Il s'approchai de Shanks pour faire la causette lorsqu'il entendit Hura' crier :
-HEP, QUELQU'UN VIENT M'AIDER A RAMENER MES PRISES ?
Lancelot courut dans la direction du cris .
-J'arrive , nain . Qu'avait vous tuer pour avoir besoin de l'aide des autres ?
L'elfe apperçu enfin Huragorn .
Un ours... ( ) , attendez que je vous aide . Il s'avança vers l'ours , le prit sur son dos et avança , supportant le poirds de l'animal .

(dsl pour le retard, quelques problèmes …J’espère que ce « petit » Rp Suffirât à me faire pardonner)

Le félin, assis dans la charrette, comme tout le monde regardât tour a tour ses compagnons de quête : D’abord un nain. Il l’avait déjà vu, tout d’abord, c’était lui qui avait lancé cette chasse, et deuxio, il lui avait déjà refait une beauté. En effet, sa tignasse, qui avait déjà commencée a s’en mêler, venait de naître quelques jours plus tôt, grâce aux bons soins de Fang. Ensuite, un Elfe. Dés qu’il le vit, une chose était telle qu’il ne lui inspirait pas vraiment confiance. Sa peau était brune, comme si elle était incroyablement bronzée. Pour tout dire, Fang n’aurai pas été sur qu’il s’agissait d’un elfe s’il n’avait pas aperçu deux oreilles aux bout légèrement plus pointue que celles des humains, enfin, par rapport aux siennes, on ne pouvait pas les dire « pointue ».

Un Humain, deux humains, trois humains. Mais ils étaient très différents. L’un ressemblait à une véritable brute, bourrée de muscles. Il n’avait pas l’air bien intelligent, mais l’homme chat n’aurai pas désiré se le mettre a dos … pour sa propre sécurité… Le second humain ressemblait beaucoup plus aux autre qu’il avait déjà vu a Néolias, bien qu’une légère odeur d’Alcool flottait autour de lui. Le dernier ressemblait à un barbare des plaines, bien que son regard était aussi noir que les coussinets de l’homme chat, et ne semblait guère heureux de se trouver ici.

A coté de lui se trouvaient un elfe et un nain. L’elfe semblait assez amical, du point de vue de l’homme chat, contrairement au nain, qui avait une gueule de conspirateur. Bientôt, Huragorn annonçât qu’ils étaient arrivés, et scindât le groupe en trois groupes distincts. Fang se retrouvât avec la brute et l’elfe. Tout a coup, il reconnut se dernier. C’était le maître de l’Archerie de Néolias. Finalement, il avait assez de chances, de se trouver avec lui pour la chasse, étant donné qu’il devait être un excellent archer. Comme si il avait sentit le regard du félin, Oromis se retournât vers lui et la brute et se présentât. Fang acquiesça, et répondis a son tour :

« Bonne idée. Je vous suis, Oromis. Au fait, je me nomme Fang. »

Et le groupe partit donc, s’éloignant des deux autres. Quant fang vis le maître archer encocher une flèche, il l’imitât. Bientôt, les bruits qui retentissaient des autres groupes s’évanouirent dans le silence de la forêt, brisée qu’à de rares instants par quelques hululements d’oiseaux. Tout à coup, les oreilles de fang frémirent. Il avait entendu du bruit. Le félin se tournât vers l’elfe, qui apparemment, avait lui aussi entendu. Ils se déplacèrent a pas de loup (avouez que c’est un comble, pour un Homme chat !) vers l’origine, et aperçurent quelques cervidés. Bandant son arc, il visât une biche, se trouvant non loin de lui.

Il jetât un regard a Oromis, qui lui fis un bref signe de tête. Tout a coup, tout deux lâchèrent leurs flèches en même temps. Il ne pris pas le temps d’admirer le tir de Oromis, sa flèche ayant touché la biche a la patte, se qui la ralentirait sans doute, mais ne l’immobiliserait pas. N’ayant pas la même fréquence de tir que l’elfe, la biche réussit à s’enfuir avant que Fang ait pu lâcher sa seconde flèche. Il s’élançât à sa poursuite. Ralentie par la flèche de Fang, la biche n’était plus assez rapide pour permettre de semer le chasseur. Sautant par-dessus un tronc d’arbre mort, fang attrapât une seconde flèche dans son carquois, prêt a toute éventualité. Même si sa blessure la fatiguait et la ralentissait, un simple instant d’inattention, et il perdrait sa proie.

Tout à coup, une idée lui vint. Tout en courrant, il mis sa main devant lui, comme s’il cherchait a attraper un objet invisible et commença a incanter. Tout à coup la biche eut un cri de panique. En effet, une longue tige épineuse, venait de s’enrouler autour d’une de ses pattes arrière. Puis, une seconde, puis une troisième, jusqu'à ce que toute tentative de fuite soit irrémédiablement ternie. Enfin, Fang rattrapât la bête et s’appuya un instant contre un arbre, pour reprendre son souffle, puis enfin bandât a nouveau son arc, et, visant à bout portant pour ne pas faire souffrir la bête plus longtemps, plongeât sa flèche en plein cœur de la bête, qui mourut sur le coup. Après un instant, les racines qui emprisonnait la créature se relâchèrent, comme si elles avait comprises d’elle-même qu’elles n’avait plus aucunes raisons d’être.

Fang s’agenouillât devant une plante qu’il connaissait. Dans sa tribu, ils appelaient ça la laitue sauvage, bien que cela ressemblait plus a de la fougère naine. Toutefois, il savait cette plante non dangereuse, et en arrachât donc une feuille, qu’il commençât a mâché. Enfin, il se tournât vers sa cible, saisit sa flèche, et d’un coup sec, la tirât de la biche, éjectant un flot de sang. Il remis sa flèche dans son carquois, bouchât la plaie avec la feuille mâchée, et s’intéressât a la seconde flèche. Malheureusement, elle fut partiellement brisée dans l’action, ou peut être a cause de la chute de la bête, mais dans tout les cas, cela la rendait dés a présent inutilisable a nouveau.

Puis, Fang fermât les paupières, encore ouverte, de sa prise, et la mis dans une position plus convenable. A ce moment, on aurait pu croire, si on ignorait les tache de sang de ci de là sur la neige et sur sa fourrure, que la biche était simplement entrain de dormir, et que l’homme chat la veillait. Enfin, le félin lui posât une main sur la tête de la biche, fermat les yeux, et commença a chuchoter quelques mots que seuls ceux connaissant la langue des Hommes félins pouvaient comprendre, que seuls ceux qui connaissaient sa langue maternelle pouvaient saisir l’ampleur


« Merci a toi, Biche. Bientôt, ta peau vêtira nos frère, et ta viande nourriras nos prochains »


Ses paroles, bien que plus une prière pour l’esprit de la bête qu’autre chose, était pour la tribu de Fang, une sorte de messe basse, obligatoire pour chacune des créatures mourrant pour qu’eux survivent… Puis, le Félin réfléchit un instant. Sans s’en rendre compte, il s’était sans aucun doute énormément éloigné de son lieu de départ et se retrouvait a présent au beau milieu d’une forêt qu’il ne connaissait pas du tout … pour ou venait t’il ? Biensur, il suffirait de suivre ses traces, mais traîner sa cible jusqu'à la charrette prendrait sans doute beaucoup de temps … peut être même avait il tourner en rond et que la route se trouvait a quelques pas de là … mais comment faire pour le savoir … Hurler risquerait de faire fuir les dernières proies se trouvant dans le secteur, et cela ne permettrait a fang qu’à se ridiculiser. Et partir en abandonnant sa prise lui laisser l’idée que peut être ne retrouverait il pas le chemin. Non, il n’y avait qu’une solution, c’était de tirer sa prise…

Tout à coup, un miaulement roque le rappelât à la réalité. D’Où venait il ? Fang tournât la tête en tous sens, jusqu’à remarquer un grand chat gris tigré, assis sur une branche d’un énorme chêne, se trouvant juste a coté de lui. Ses yeux couleur fauve regardaient d’un air hautain la prise de Fang. Tout a coup, le félidé sautât de branche en branche, jusqu'à arriver devant la biche, morte. Le félin, sans un regard à Fang, reniflât ça et là le corps étendu par terre, puis commença à lécher le sang qui avait coulé de sa blessure au cœur. Fang voulu le caresser, mais a peine l’avait il effleurer que le chat sauvage avait mis en un éclair un espace suffisant pour que fang ne puisse le toucher.

Fang soupirât, puis s’assis au dos du grand chêne d’où était descendu le chat tigré et marmonnât des paroles étranges, chuchotées, qui ressemblait a tout, et en même temps a aucun des bruits émis par un animal. On aurait pu confondre ce chuchotement avec un aboiement, un ronronnement, un gazouillis, un roucoulement, et que sait-je encore. Pourtant, aucun n’auraient été plus différent que ce bruit … il y avait là dedans quelque chose de … magique. Pourtant, le chat sauvage levât pour la première fois les yeux vers ceux de Fang. Puis, petit à petit, tandis qu’il lui chuchotait dans sa langue maternelle


« Allons n’ai pas peur, petit frère, je ne te veux aucun mal »


Il se rapprochât de l’Homme félin et vint se lover sur ses genoux. Fang le caressât, alors qu’il retombait dans ses pensées. Le chat lui avait donné une idée. Simple, mais efficace, il suffisait de grimper dans ce chêne, et de regardait aux alentours si il ne voyait pas la route. De là il lui serait simple de retrouver le chariot, ou ses compagnons. Le chat semblât avoir compris, car a peine avait il penser a cela, qu’il s’était lever et sautât a nouveau sur le chêne, ou il grimpât, grâce a une branche basse, puis sautât, avec une agilité hallucinante. Fang se levât, puis l’imitât. Son agilité naturelle, couplée avec le fait que le chat tigré lui montrait le chemin, rendait l’ascension facile.

Enfin, ils arrivèrent à un point ou le chêne dominait tous les autres arbres du coin. Le félin se félicitât d’avoir eu l’idée de grimper, quant il remarquât que le chemin, se trouvait a l’opposée de là ou venait ses traces. Il avait donc bien tourné en rond… Parfait, il pourrait donc facilement ramener sa prise. Il s’assis sur une grosse branche, et observât un instant la cime des arbres, jusqu’au chemin, ou il pouvait voir, dans le loin la charrette. De là, il ne pouvait voir si il y avait déjà quelqu’un de retour là-bas. Le gros chat gris revint vers lui, et s’assis a son tour, (à la manière d’un chat normal, Biensur) a coté de fang, qui recommençât a caressé la nuque de celui-ci inconsciemment, comme si ce geste était devenu pour lui aussi normal que de faire sa toilette tout les matins.

Dsl pour le double post mais :

Citation :

La longueur de votre message dépasse la limite autorisée.

Tout à coup un grognement de satisfaction retentis tout en bas de l’arbre. Le chat, qui se trouvait a coté de fang, sautât alors sur une branche un peu plus haute, le poil tout hérissé sur son dos. Fang eut peur de ce qu’il retrouverait la en bas, mais le bruit qu’il y avait retentit ne lui disait rien de bon … Fang se dépêchât de redescendre de l’arbre, ou tout du moins, jusqu'à ce qu’il puisse voir ce qui se trouvait là en bas. Quant il aperçut la bête, son cœur se figeât : Gros d’environ 6 pieds et demi de haut, d’une couleur brune et aussi gros que trois nains de la corpulence de Kraggi, Fang vis alors, du haut d’une des dernières branches avant le sol, un ours, qui semblait drôlement intéressé par la biche … Fang eut un léger relâchement au cœur, lorsqu’il remarquât que l’Ours n’avait pas encore remarqué ça présence, trop intéressé par le cadavre de sa première prise, mais il avait encore tellement peur que le bruit de son battement de cœur l’avertirait de sa présence, tellement celui-ci lui martelait les côtes.

En un éclair, Fang pris sa décision, de toute façon, il n’avait pas tellement le choix : Il ne pouvait ni fuir, et il se trouvait trop loin de la charrette pour que, si il y ait quelqu’un près de celle-ci, il puisse l’entendre. En plus, l’ours le trouverai, et il n’était pas du tout sur que la bête ne pouvait grimper a l’arbre, ou même le déraciner. Et ci il attendait la, que l’ours parte avec sa prise, ou qu’il la dévore ici même, il n’était pas descendu de son arbre, et en plus, il perdrait la seule prise qu’il aurait eu de sa journée… très peu ravissant pour le chasseur qu’il est. Et puis, finalement, se trouver dans cet arbre, était peut être un avantage si il devait tuer cet ours … de là, il pourrait avoir un peu de temps avant que l’ours ne puisse l’atteindre. Fang, a cet idée, retrouva vite son sang froid de chasseur et commença a échafauder son plan. Une seule erreur de mise en ordre, et il risquait sa vie, ou pire, sa réputation.

Le félin tendis une main vers l’ours qui continuait de renifler d’un air dédaigneux le cadavre de la biche, puis marmonnât quelques paroles magiques. Tout à coup de longues lianes de ronce s’avancèrent sans bruit vers les pattes de la bête et s’enroulèrent, avant même qu’il ait réagit, autour de ses pâtes. Fang, jugeât du regard la taille des tiges, comparé a la taille des muscles de la bête qui se dessinaient sous son pelage. C’est alors qu’il pensât nécessaire de lancer a nouveau le même sort de racine sur le fauve, pour que celles-ci résistent mieux a un éventuel accès de rage. Bien que le premier sort n’avait pas inquiété plus que ça l’ours, qui continuait de renifler la bête, le second sort l’alertât alors d’un ennemi, et presque aussitôt il remarquât la présence de Fang dans l’arbre. Il se mit tout a coup a rugir et essayant de charger vers l’arbres, mais ses deux pattes arrières ne pouvant plus bouger, il tomba t lourdement sur le sol.

Fang bandât a lors a nouveau son arc, tira une flèche, celle qui avait déjà tué la biche, et la tira sur l’ours. Elle se plantât entre les omoplates mais, à la grande stupeur de l’homme chat, celle-ci ne semblât que l’énerver encore plus … il recommençât l’opération 3 ou 4 fois, avant de se dire que la couche de graisse de l’ours devaient sans doute empêcher ses flèches de toucher les points vitaux. Dans ce cas … il n’y avait qu’une solution, toucher un point ou la graisse ne pouvait protéger la créature. Et fang, étant toujours dans son arbre, ne pouvait en atteindre qu’un seul, et c’était son crâne. Fang encochât une flèche qu’il tirât vers celle-ci, mais le fauve fis au dernier mouvement, un mouvement de la tête qui lui fis esquiver la flèche.
Cependant, a la seconde tentative, la flèche réussit a toucher la tête de la bête, mais sans toucher le cerveau, se qui voulait pour ainsi dire, ne pas lui cause la mort … il saisit encore une flèche, qu’il tirât sur la créature, et enfin, il le touchât en plein milieu du crâne, entre les deux yeux. L’ours tombât alors, mort, secoué de spasmes pendant encore quelques instant, puis, ne bougeât plus.

Fang redescendis enfin de son arbre, suivis du chat gris, qui avait regarder toute la scène,n mais un ou deux mètre plus haut. L’homme chat retournât chercher quelques feuilles de laitue sauvage et recommença à en mâcher une feuille. Puis, répétant l’opération, il arrachât une a une, chacune de ses flèche, et lorsque du sang en sortant, il bouchât la blessure, histoire que la peau de l’ours ne soit pas trop souillée. Par chance, comme l’ours n’avait pas pu faire beaucoup de mouvement, à cause ronces qui lui entravaient les mouvements, une seule de ses flèches avait été cassée. Puis, il fermât les paupières de l’ours et essayât de ramener les pâtes de l’ours prêt de lui, pour la cérémonie d’adieu que fang allait pratiquer, comme pour la biche. Enfin, le félin lui posât une main sur la tête de la bête, fermât les yeux, et commença a chuchoter quelques mots en langue félin :


« Merci a toi, Ours. Bientôt, ta peau vêtira nos frère, et ta viande nourriras nos prochains »


Après une bonne minute, les ronronnements du chat gris ramenèrent Fang sur la terre, et celui-ci se rendis alors conte a quel point il avait eu de la chance … Dans le feu de l’action, il n’avait pas réalisé qu’il venait de tuer un Ours ! Un Ours … il se souvenait d’une partie de chasse, avec son père, sa mère et son oncle, ou il avait assisté à sa toute première chasse a l’ours. Ils avaient du se mettre a trois pour tuer la bête … Oh Biensur, Il était bien plus gros et plus bourru que celui-ci, mais tout de même … Fang était fier de lui …. Mais bientôt un problème se posât … comment allait il ramener la bête jusqu’à la charrette … Une Biche, encore, pourquoi pas, mais un Ours … Après mûre réflexions, il finit par décider d’abandonner un moment le cadavre de l’ours, pendant qu’il emmènerait le corps de la biche a la charrette, et là-bas, il trouverai bien quelqu’un qui pourrait l’aider a ramener le corps de l’ours …. De toute façon, il pourrai facilement retrouver ou ce dernier se trouvait, grace au grand chêne juste a coté, qui dominait d’une bonne demi-douzaine de mettre tout les autres arbres aux alentours…


Edit : Dsl si mon Rp colle pas sur certains point avec Oromis, mais j'ai commencé mon Rp avant qu'il poste, et j'ai pas le courage de changer pour que ça corresponde avec ce qu'il dis ...

HRP : Totalement excusé Fang, je connais qu'une personne qui faisait de tel RP...Enfin bon, bien, mais essaye de répondre plus régulièrement pour éviter au pauvre Oromis d'attendre! Bon, puisque tout le monde est là(dommage pour Armstrong, mais bon...), nous partons



Huragorn attendait un peu a l'écart de la charette, l'arbalète chargé, et scrutait les environs, espérant apercevoir la fourrure de Fang ou les oreilles pointus de Oromis. Il fut enfin récompensé, alors que tout le monde s'impatientait! Le dernier groupe arriva, avec une bonne tripoté de prises. Le nain les accueillit le plus gentillement possible, mais lui aussi était irrité par le temps qu'ils avaient mis. L'homme chat leur demanda de l'aide pour ramener un ours...Le nain n'en crut pas ses oreilles, mais apparemment le barbier avait eut une certaines chance. Le mercenaire alla donc l'aider a ramener le bestiaux, tout de même moins gros que le sien, mais déjà imposant.

"Bien joué, c'est rare que des chasseurs avec peu d'expérience dans l'art de la guerre arrivent a mettre a terre un ours seul. Moi même, je joue toujours un peu avec le feu..."

lança il en traînant la carcasse. Encore étonnant, presque aucune goutte de sang ne tachait la fourrure, par contre, des plantes en bouillies étaient repartit de ci de là de la bête. Hura' en déduit que Fang avait de bonne compétence quand même, et qu'il pourrait lui être utile aujourd'hui. Une fois arrivé a la charette, tout le monde savait ce qu'ils allaient faire, mais le nain leur répéta tout de même :

"Puisque tout c'est bien passé, et que déjà nous avons de quoi nous nourrir, mais nous allons faire un tour tous ensemble. Il faudra un peu de discipline, plus que tout a l'heure"

, dit il en lançant un regard réprobateur a Shanks,

"En espérant bien sûr tombé sur une bonne troupe de cervidés, où peut être de sanglier, bien que ce ne soit pas forcement le mieux. Au moins, les ours et les loups ne poseront plus de problème, car en quelques flèches là où il faut, ils ne nous atteindrons même plus!"

finit le spadassin en rigolant. Plus il fit signe a la troupe de le suivre. Direction : les tréfonds des bois!

(si tu pense a Abigaël, je te rassure c'est pas moi et j'aurai pas le mérite de me hausser au même titre qu'elle )

Fang se sentit un peu insulter quant Huragorn ne traitat comme un chasseur d'opérette, toutefois, il put assez facilement garder son calme. C'est sans doute vrai que "l'art de la guerre", comme il disait, lui passait tout a fait au dessus de lui, mais il était tout de même fils d'un des plus grand clan de chasseur, et la chasse lui fus enseigner pendant toute sa jeunesse ! Il avait appris a comprendre comment réagissaient les bête, et c'est cela son seul mérite... Sa race avait toujours été nommé "homme animaux", "hybride", voir même "bestiole" ... Les hommes chats n'étaient rien de tout ça, mais il est vrai que sa race avait développée depuis longtemps une certaine affinitée avecles bêtes sauvage ...

Après quelques long instant, Huragorn reppris son discour, et ils repartirent a la chasse ...

Armtrong, qui s'éait endormis durant le combat, se réveilla au moment ou tout le monde partait, il se leva, commença a avancer lorsque soudain, ilne se passa rien !
Il avança en regardant Tout ce qe l'équipe avait deja tué ...
Il était vraiment impressioné, il décida qu'il était digne d'en faire autant !

- Hé Shanks, vien donc voir par là !

Il vit le pirate qui s'approcha de lui puis il lui répondit :

Dis moi, a la prochaine tuerie, sa te dit que nous en tuyons quelques-uns ensemble ?

L'humain semblais entoushiaste a l'idée de tuer des animaux plus ou moins féroce dans le seul et unique but d'en faure de la chair a saucisse

(pas d'inspiration aujourd'hui :s)

[HRP : je tien à préveneir que je vais venir de moins en moins , j'essayerai de passer le plus souvent possible]

[Hrp: et moi je tien a dire que je trouve que les rp de moi et armstrtong sont vraiment bidon face aux autres... on reconnait les lvl 1 ]

Shanks regarda la masse musculaire de Armstrong, écouta ce qu'il lui disait d'un oreille seulement car il regardait en même temp le chargement du gibier abattu... Il se sentait éxtrement géné, voyant qu'ils avaient abattu nombre d'ours et cerf... Il écouta ensuite Armstrong avec plus d'attention, celui ci lui proposait de combattre a ses coté la prochaine fois.

"Ce serait avec plaisir que je combatterais à tes coté la prochaine fois, j'espere juste que nous auront plus de gibier que j'ai eu à moi tout seul..."

Il sortit alors le petit lapin qui était accroché à sa ceinture et le jeta sur le chariot. Celui ci roula sur la carcasse de l'ours, et vint s'applatir sur les autres carcasses avant de se faire écrasé par la carcasse de l'autre ours... Il le regardait et se sentait vraiment minable comparé aux autres qui avaient réalisé un véritable carnage. Il se retourna alors vers Armstrong.

"Mais au fait, ou étais tu pendant cette attaque ? tu n'as rien chassé ?"

Il se tourna alors vers la charette et continua de se déséspérer...

Lancelot accouru , suivit de près par Oeil de Lune . Enfin arrivé tout près des deux coureurs , il examina les alentours . Une cabane en bois mise sans dessu dessous , un homme surement mort et Huragorn et Oromis . C'était un drôle de tableau et Lancelot se demandais se qui avait bien pu se passer... Il entendit Oromis
-On fait quoi? On les poursuit? Ils sont à cheval , on aura du mal à les suivre...
-Cela ne servirait à rien en effet , examinons vite le mort , si il est vivant on pourra peut-être connaitre le nom de ses agresseurs... Il s'avança vers le corp ensanglanté .

Armstrong cette fois-ci était bel et bien présent a la bataille, dès qu'il vit les brigand décendrent, il pris sa veste, la jeta en l'air tout en disant :

Ah, tout de même, enfin un peu d'action !
Je vais enfin pouvoir montrer a tout ces ignorant la musculature qui fais la Fièrtée de la famille Armstrong depuis des générations et des générations !
A peine sa veste eut touché terre qu'il avait deja bondit sur l'un des brigand et lui donna un coup de poing bel et bien digne de sa noble famille de combattant .
Certe, le dit coup de poing ne l'avait tout juste amoché mais bon, c'était deja pas mal .
Il tenta de le reprendre par le col mais il ne se laissait pas faire .

GRMBL ! Mais tu va te laisser faire oui ?

Il lui donna un second coup juste entre les deux yeux puis un troisième dans le nez, puis un quatrième, puis un cinquième .
Le brigand ne bougeait plus .
Armstrong le jeta tout de même a terre puis le pietina afin de s'assurer de sa mort .
Peu après, il sentais une présence derrière lui, une présence qui tenait de lui prendre le bras .
L'humain se tourna en frappant avec le bras en question puis se rendit compte qu'il y avait bel et bien un brigand derrière lui, il tenta de lui donner un coup, il réussi d'ailleur soit dit au passage, puis, essaya de le mettre a terre en donnant un coup de pied .
Il échoua et il tomba lui même a terre :s ...
Le brigand tenta de lui donner un coup mais echoua ce qui permis a Armstrong de le mettre a terre une bonne fois pour toute et de le pietiner jusqu'a ce que mort s'en suive .
10 minutes plus tard, le brigand n'était pas mort, Amrstrong lui sauta dessus, lui écrasant la cage thoacique, L'humain eut l'impression de sauter sur un tas de bois légèrement moisit .

Il recula histoire de voir le monde qu'il restait tout en cherchant sa veste

C'est qu'il ne ferais même presque pas chaud dans ce pays !

[Hrp: Sérieusement P***** arrete FMA , sinon j'me paye un bateau et un équipage et on fait FMA vs One Piece ]

Shanks regardait tout ce petit monde se battre, recula un instant pour évaluer le nombre de personnes, et comprit que le combat serait dur... Il recula encor une fois, brandit son épée, et fonça droit sur l'ennemis leplus proche qui était occupé à charger quelqu'un. Le coup lui déchira le dos, et Shanks pouvait même voir les vertebres avec la copure qui s'aérait net et profonde. Le voleur tomba, gémissant sous la douleur, Shanks voulu l'enjamber, mais se résigna alors qu'il avait le pied au dessu du corp, finalement il le contourna.

"On enjambe jamais un cadavre, ca porte malheur..."

Il chercha un voleur, mais remarqua que ce n'était pas ce qui manquait ici. Il en chercha un autre, qui netarda pas a trouver, il lui donna un coup, mais le rata, celui ci lui tournait le dos, Shanks brandit son épée, et le rata lamentablement. Le brigand se retourna, et donna un violent coup que Shanks esquiva avec peine. Il donna un coup dans la jambe en relevant son épée, et avant que le brigand puisse donner un nouveau coup, il lui donna un nouveau coup sur le bras, cherchant a lui faire lacher son épée. Il ne la lacha pas, mais avait l'air de soufrir terriblement. Il leva une nouvelle fois son épée, mais Shanks donna un nouveau coup et l'épée vola. Le brigan, à genou, ne pouvant attaquer, se coucha, Shanks l'ésquiva, pour aller tuer d'autres brigands, mais son assaillant lui saisit la jambe, et prit son poignet opur lui prendre son épée. Shanks se débattait opur le faire lacher, mais rien n'y faisait. Il arriva a le faire lacher prise au poignet, mais il lui tenait toujours la jambe. Il leva son épée, la retourna, pointe dirigé vers le bas, et enfonca celle ci dans la gorge du brigand. Le brigand mort, Shanks retira son épée, voulu partir, mais la main était toujours crispée sur sa jambe, il se baissa, tenta de la faire lacher, mais rien n'y faisait. Il était dans une bien mauvaise posture...