Ellen Princesses royales
Nombre de messages : 59 Age : 36 Classe : combattante/disciple de la magie Alignement : Chaotique-bon/Chaotique-mauvais Xp - niveau : 660/660 Date d'inscription : 04/02/2007
| Sujet: Journal de Sofia Dim 12 Aoû 2007 - 6:49 | |
| (Attention Ce rp et ceux qui vont suivrent peuvent heurtés la sensibilité de certain lecteur ) Thème musical pour tout le rp ; La Erf nan me suis trompée et le vrai thème je le mettrais dans le prochain post (en passant j'aime bien le petit cri vers la fin) Journal de Sofia : Introduction - Citation :
- Je suis Sofia.
Je suis supérieur et JE RECLAME…non. J’EXIGE que l’on me loue, m’honore et m’implore ! Quand je dirai « Prosternez-vous devant moi », tous s’appliquerons sans dire mots : tous jouiront de ma présence et du fait que je ne les ais pas encore fait pendre ou écartelés pour MON propre plaisir.
PLAISIR, ils ne serviront que le mien.
Quant…à ma sœur…elle sera la première à mourir.
OUI JE la ferais violer auparavant pour qu’elle connaisse les doux maux de la chair ! Néanmoins, regarder ce spectacle ne me séduira guère… Je la ferais tuer bien vite. Et comme elle aime tant sa mère, elle mourra de la même façon. Je ne SUIS point UN MONSTRE.
Mon père ? Il mourra bien assez tôt…JE suis une nymphe et je serais tout aussi jeune et belle lorsqu’il sera sur son lit de mort et qu’il faudra lui faire boire un poison. La honte de le voir laid et impuissant étant trop forte.
EnSUIte…
Les gueux et les indigents qui peuplent LA nation exécrable de mon défunt père devront dans un premier temps se pliés à des LOIs despotiques et hégémoniques. Ceux qui ne les respecterons se mettrons l’Etat à dos et seront châtiés comme il se doit :
Le crime le plus grave sera de me porter outrage.
Si c’est une femme, elle sera tout d’abord violée et torturée en publique par quelques robustes hommes - Il en existera toujours pour accomplir pareil bassesse et dans le cas échéant ou il n’y aurait aucuns volontaires parce que celle-ci serait d'une laideur accablante, JE désignerais moi-même un membre de sa famille pour se charger de ce travail délicat. Peu importe qu’il soit son frère, son père ou son fils, il s’y attellera ou subira la castration - Ensuite, si son corps n’est point trop délabrés, elle sera libérée et subira jusqu’au trépas l’opprobre populaire ; en revanche, si je m’aperçois que sont corps a bien trop subit pour être profitable à la société ou pis, que sont discernement deMEure défectueux, elle sera mise à mort de la manière la plus adéquate. Que la foule se DÉLECTE DE la peur !
Je n’approuve point LA CRUAUTÉ injustifiée.
Si c’est un homme, on le torturera en publique jusqu’à se qu’il meurt ou qu’il devienne fou. Si cela prend trop de temps et que la foule se désintéresse de son cas, on le suspendra à un poteau et il succombera complaisamment de faim ou de soif en chef d’œuvre de ma prépondérance.
JE ne SUIS point UN MONSTRE | |
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