Recherche de plantes[PV Denorym, Len, Sarius et Aheneus]

Le petit groupe avait marché durant un petit moment pour enfin arrivé dans la forêt de Blanfeuille. Elle était silencieuse, seul le vent soufflait, faisant bougé les feuilles provoquant un doux bruissement...
Denorym menant le groupe les mena plus à l'intérieure de la forêt pour avoir plus de chance de trouver ce qu'il voulait...

Hrp Vous vous êtes enfoncé d'en environ vingt mètres dans la forêt et les bruits sont rares Hrp

Aheneus avait suivi le groupe jusqu'à la forêt, s'extasiant sur sa beauté: la neige qui recouvrait les arbres donnait un côté presque féerique à l'endroit, tranchant avec l'épisode des démons. Ses yeux allaient de gauche à droite, se posant sur chaque arbre, chaque buisson, s'abreuvant presque à la pureté de la neige immaculée. De temps à autre, son regard surprenait quelque bête nocturne, dérangée dans sa tâche et qui fuyait devant eux. Il devina assez vite que Denorym connaissait cette forêt, car il les dirigeait d'un pas qui, bien que prudent, n'en était pas moins sûr. Fyrn tournait autour du groupe, entourant leur passage d'un nuage de traces de pattes.

Le saurien conaissait bien cette foret, même trés bien. Ses arbes, ses plantes, ses chemins et surtout ses coins difficiles d'accès pleins de féérie si cela est possible dans une telle foret. Rien autour d'eux à part des arbres enneigés, quelques plantes et un chien qui court partout. Qui lui a donné tant d'énergie a ce chien ? Il n'a presque pas mangé et il court comme ça ! Non mais vraiment quel chien étrange. On dirait qu'il voudrait nous dire quelque chose. Oh mais c'est stupide voyons.
Bref... L'équipée chargée de trouver les plantes pour soigner le nain malchanceux et maladroit avançait tant bien que mal dans cette foret épaisse. Une vingtaine de mètres apres avoir pénétré dans cette masse feuillu, Denorym, menant l'équipe comme il le pouvait décida sans prononcer le moindre mot de sortir du chemin principal. On vous l'avait dit qu'il connaissait bien cette foret. Si bien qu'il avançait sans la moindre peur, seul dans l'obsurité parsemée d'ombres étranges. Cette nuit la lune était avec eux. Bien qu'elle ne soit pas pleine cela suffisait grandement, allumer un feu dans cette foret serait porter atteinte à ses gardiens.

**Bon, l'endroit où il y a des fleurs c'est... Par là, si je me souviens bien. Avec un peu de chance on trouvera ce qu'il nous faut et partir sans rien demander à ce foutu homme-arbre qui ne peux pas me voir en gravue -gravure, peinture, dessin... c'est pareil non ?- Si jamais on le croise... Je m'enfuis, tan pis le nain je sauve ma vie avant tout. Esperons que j'ai plus de chance que la fois dernière que je suis venu ici...**

Pour faire simple, l'homme lézard, dirrigeant ses compagnons tel un vulgaire poisson mène les siens à l'endroit de reproduction sans dire le moindre mot -le jour où vous verrez un poisson parler appelez moi !- Les pattes toutes heureuses d'enfin refouler sa forêt natale -un poisson ça a des pattes aussi ?- avec un peu de chance il réussira a dormir un peu cette nuit -ça dors aussi un poisson ?- après avoir soigné le nain par son "remède miracle". Son chien continuant de tourner autour du groupe en courrant. Il a vraiment un gros problème ce chien là, Soit il est vraiment *censuré*, soit il a remarqué quelque chose d'inquiétant...
Non mais serieusement : un poisson ça parle pas, ça a pas de pattes et ça dors pas... Ca a vraiment rien d'humain ce truc ! Remarque ça a des émotions, pas comme... comme qui déja ? Peut être un elfen je sais plus...

Sarius était partit avec les trois autres personnes, il jouait surtout le rôle de garde au cas où ils auraient d'autre chien ou d'autre monstre du même genre.

En marchant il gardait toujours sa main poser sur le pommeau d'une de ses épées pendant que l'autre repoussait la végétation environente. Sa vision nocture lui permétait se voir au loin mais les arbres bloquaient la visibilité. Il était souvent allait dans la forêt souvent pour so nentrainement du matin où il courait en faisant un tour dans la forêt puis revenait en ville le tout avec tout son équipement sur le dos, cet entrainement lui permétait de se mettre en forme pour la suite de la journée.

Le demi-elfe écoutait les environnement, il n'entendait rien même pas de son d'oiseau, celà était étrange même en pleine nuit il y avait toujours des bruit d'animaux mais là rien.

Le saurien continuait d'avancer sans le moindre bruit, sans le moindre murmure, seul le bruit de leurs pas se faisaient entendre. La boue glissante pourrait en faire déraper plus d'uns, les quelques endroits enneigés pourraient être piégé, mais peu importe. Le seul chasseur vivant depuis longtemps dans cette foret était Denorym, peut être serait-il bon de commencer à apprendre tout ce qu'il savait à son apprenti. Le saurien, malgrés son jeune âge avait autant de connaissances sur la foret qu'un érudit, si ce n'est plus. La différence entre le saurien et un érudit est que le saurien lui a pratiqué la chasse...
Mais là n'est pas le sujet, il faut sauver le nain en allant chercher des plantes : la millefeuille et les graines de lin. Plus facile à dire qu'à faire. Bientôt l'équipée, suivant le saurien arriva dans une petite clairière, coin préféré de Denorym. Buissons, arbustres, plantes, fruits, même encore des fleurs. Sûrement ils trouveraient ce dont ils ont besoin ici. L'homme lézard mis bas ses armes, il posa son carquois et sons arc au centre de la clairiere. Puis il s'adressa à ses camarades, il commençait maintenant à les comprendre et à leur feire confiance, cela se voyait par sa timiditée réduite.

- Ici... C'est ce qu'on appèle une "réserve"... Les gardiens de cette foret entreposent un peu de tout ici. On peux prendre ce dont on a besoin... En contrepartie : pas de feu, pas de sang... On ne doit rien tuer de ce qui est ici et prendre uniquement ce qu'il nous faut... Si un gardien arrive, on doit lui obéir...

Mais le saurien ne savait pas vraiment ce qu'il nommait un "gardien", à vrai dire, il évitait toujours ce genre d'endroit. Pourquoi ? Déja parcequ'il fait froid. L'homme-lézard n'as pas autant de fourure qu'un mamouth. Et puis, le seul gardien qu'il avait déja croisé était un homme arbre. Son frère lui avait parlé d'esprits de la forêt, de centaures. Mais il n'en avait jamais vu de ses propres yeux.
En y réfléchissant, être un mamouth peux être amusant. Se balader sans avoir froid... Oh puis un mamouth c'est peut être encombrant. Un mamouth nain tien. Ah non. C'est tué pour la nourriture ceux là. Un mamouth nain laineux, élevé et choyé pour sa laine. En parlant de celà, quand Denorym rentrera à Néolias, la première chose qu'il fera est d'acheter des vêtements chauds, parceque là, il gêle un petit peu. Il n'y a plus qu'à espérer qu'ils trouveront les plantes dont ils ont besoin...

HRP : J'ai gagné Tsimi, j'ai réussi à en parler te ton "mamouth nain, laineux" ^^

Sarius suivait toujours le petit groupe, surveillant les alentours essaillant de déceler une présence hostile, car pour le moment il n'avait stristement rien entendu ni sentit. Même avec sa vison nocturne il ne voyait rien à par des plantes, il regarda ses dernière en espérant trouver la plante qui pourait aider le nain.

ils arrivent enfin dans une clairière où des arbre fruitiers avait pousser ainsi qu'une multitude d'espece de fleur. Sarius espérait vivement que les plantes qu'ils cherchaient se trouvait là. Il entendit le chasseur parler d'un gardien, sur ses mot Sarius resséra encore plus sa main sur le pommeau de son épée se prépa&rant la sortir en cas d'agréssion, le coin était trop dévoiler, des monstre pouvait surgir de n'importe où.

Lorsqu'ils débouchèrent dans la clairière, Aheneus s'éloigna du groupe pour fureter un peu partout en quête des plantes. Au bout d'à peine trois minutes, il réussit à identifier un parterre comme étant du millefeuille, il se retourna alors vers ses compagnons, et leur cria sa découverte:
"J'AI DU MILLEFEUILLE, PAR ICI !!!"

Aheneus ne savait pas qu'en criant ainsi, il attirait des prédateurs, bien plus dangereux que de simple cabot des enfers. Le pire c'est qu'ils se déplacent dans le silence le plus complet et n'attaque qu'au dernier moment. Ils sont craint par tout les voyageurs, guerrier ou pas.
Et le demi-orc venait d'en attirer six. Ils sont encore loin, mais ils approchent gentiment guidé par leur ouïe et leur instinct de prédateur....

Hrp il va de soit que pour l'instant vous ne pouvez pas savoir qu'ils vous chassent, je posterai lors de l'attaque, mais en attendant vous ne sentez rien (seul Denorym (étant "maître" chasseur)peut se douter de quelques choses avec certitude, mais ignore tout...) Hrp

Déja ? Du millefeuille ? Voilà de quoi ravire le maitre à propos de son élève, coup de chance ou vrai savoir faire ? Tel est la question... Le saurien s'appochait pour voir la quantitée de millefeuille que son apprenti avait débusqué. Derrière cette grosse touffe d'herbe, entre ce petit carré de neige et ce rocher, quelques pieds de millefeuille. Quelques pieds mais largement assez pour soigner le nain. Le "maitre" fit signe a son élêve de regarder ce qu'il prélevait de cette plante, juste les feuilles les plus belles en partant du bas, en prenant soi de ne pas blesser la plante ni de la déraciner. Juste avec les griffes qui lui servent d'ongles. L'équivalent de trois grosses poignées furent prélever et non broyés -il faut libérer la substance active au dernier moment. Puis il demanda à son apprenti de procéder comme il l'avait fait et de prélever l'équivalent de deux poignées.
Le viashino repris sa route vers son carquoi, ou plutôt la poche en dessous de son carquois, puis y rangea les feuilles qu'il avait réussi a trouver, attendant accroupi que son apprenti finisse ce qu'il lui avait demandé. Là, accroupi, Denorym fut intrigué par l'attitude de son chien, depuis qu'ils étaient là il avait perdu son attitude joyeuse et était comme inquiet. La truffe en l'air il reniflait et semblait appeuré. Toujours autant intrigué, le saurien se concentra un peu plus sans pour autant montrer le moindre signe d'inquiétude à ses camarades. Il tenta lui aussi de renifler l'air, mais son odorat n'es malheureusement pas aussi développé que celui de son fidèle Fyrn. Tien... Le vent tourne...
Le vent tourne et le saurien se rend compte qu'un de ses compagnons a une odeure particulière... C'est maintenant que le saurien le remarque. mais lequel ? Sarius ou Aheneus ? Len étant dans son dos celà ne peux pas être lui. Comme une odeure de viande brulée, de cramoisi, bref une odeure de nourriture. Mais rien de bien inquiétant pour nos camarades. Sauf ci... Sauf ci des créatures venaient à titiller les narines de bêtes dont l'estomac est vide depuis un moment. Ah si seulement le vent pouvait tourner encore une fois que notre chasseur puisse savoir ce qui se cache dans son dos.

~Petit passage "omniscient"~ (pour que la situation soit plus claire, car je me doutes que les histoires de "vent", etc, ne sont pas forcément claires pour tout le monde)
La clairière est arrosée par la lumière de la lune, Aheneus cueille le millefeuille tant convoité, Sarius quand à lui cherche à proximité du semi-orc, tous deux sont au sud-est de cette clairière fleurie. Len quand à lui poursuit ses recherches au nord de la clairière, Denorym en son centre range ses feuilles dans la poche de son carquois intrigué par le comportement de son chien. Le vent qui tourne souvent depuis un petit moment souffle maintenan en dirrection du nord-est. Tandis que les bêtes arrivent d'on ne sais où...

Soudain les prédateurs entrèrent dans la vue de Len qui alerta ses compagnons. Six tigres à dent de Sabre allaient droit sur les chercheurs de plantes. Ils seraient sur eux dans dix secondes. Le combats étaient quasiment perdu d'avance face à ces prédateurs qui étaient comme des rois ici. Recevoir un coup de dent était là mortel. Leurs griffes pouvaient arracher un membre d'un coup...

Hrp il va de soit que ce n'est pas avec une flèche u avec un coup d'épée que vous les tuerez, allez voir le profil dans bestiaire de la faune et flore commune pour vous faire une idée Hrp

**Et merde et merde et merde ! Je m'en doutais de celle là ! Depuis que je suis parti de cette forêt ils sont revenus. On est venu pour sauver le nain et c'est nous qui allons mourir !**

Le saurien se lança dans la bataille sans grande chance d'en réchapper. Il ferma la poche sous son carquois pour protéger les plantes si précieuses se dépêcha de remettre son carquois à son dos et pris son arc. Jamais le saurien n'avait été aussi combatif, lui qui vivait ici savait à quel point ces bêtes pouvaient être dangereuses, si il prenait un coup il allait mourir. ET puis, Denorym et le corps a corps faisaient vraiment deux... L'arc dans la main droite, son chien sous le bras gauche, le saurien se dirrigea en dirrection d'Aheneus et de Sarius, c'est à dire loin des bêtes en criant.

-Des tigres à dents ! Attention ! Vite !

Totalement paniqué, le saurien fit comme à son habitude : la technique du pigeon... Pourquoi pigeon ? Vous ne vous ètes jamais pris une fiente de pigeon sur le coin de là tête lors de vos balades sans pouvoir vous venger de l'animal qui vous à fait celà parcequ'il est haut perché ? Voilà le principe de la technique de Denorym. Vu qu'il avait vécu de longues années dans la forêt à chasser et à grimper aux arbres, il n'avait aucune difficulté à grimper à ce sapin juste avec la main droite à moitié prise... Et sa queue aussi... Autant s'en servir.
Vite installé dans une position peu confortable, son chien tremblant à ses cotés assis d'une manière peu stable sur l'épaisse branche de l'arbre que le saurien avait choisi, il commença à lancer ses volées de flêches. Mieux valait ne pas éonomiser les flêches pour ces bêtes là, et le saurien, à chaque fois, envoyait deux flêches par tir. *Tchak* Deux bien placées : une dans l'abdomen, un autre dans la patte gauche et un cri perçant.
Maintenant les tigres à dent de sabre étaient dans la clairière. Aussi vite que possible, le saurien envoya une autre volée dans le même animal : les deux flêches se plantèrent dans le dos de l'animal. Vite une autre volée ! Zut, pas trés bien visé : une autre dans la patte avant gauche, l'autre devant l'animal qui peinait déjà à avancer...

**Le truc bien, c'est qu'en arrachant les crocs de ces bêtes là je vais pouvoir les réutiliser pour quelque chose... Ces bêtes là sont peut être plus difficiles à tuer, mais au moins elles partent pas en fumée dès qu'elles meurent.**

HRP : Vu que je lance toujours les dés pour les dégats lors des combats (j'aime bien le hasard que ça donne) voici le détail (déja calculé avec l'absorption de l'adversaire):

Spoiler:

HRP// désolé pour l'absence, j'ai été un peu long...\\PRH

Aheneus se retourna dès qu'il entendit Len crier, et vit deux tigres courir vers lui de toute la vitesse de leurs pattes. Sentant l'adrénaline monter dans ses veines, se dirigea vers un arbre proche, sortit son arc et visa un tigre, comme il avait vu son mentor faire. Avant de rejoindre l'arbre, il décocha un trait, et réussit à atteindre un des fauves à l'épaule. Il sauta ensuite le plus haut qu'il put, et s'accrocha aux branches d'un arbre. Il se retourna encore, et tira à nouveau sur le félin, qu'il blessa à l'encolure.

Spoiler:

Malgré les flèches les fauves ne s'arrêtaient pas, les deux blessés redoublèrent même d'ardeur et de rage. Le premier voulut se jeter sur Denorym, mais ce dernier étant percher dans un arbre, ne put que se heurter dans le tronc et rester sonné moins d'une secondes. Il vit alors un chien...
Aheneus fit que son ancien cible lui courait dessus, réussit à éviter la charge. La bête fonçait déjà sur Len.
Sarius était au prise avec deux des félins. Un devant et un derrière. Aheneus voyait une bête s'approche du chien de son maître, mais il ne pouvait rien faire. Pour cause le dernier des fauves lui arrivait dessus.

Juste comme indication, les jets ne sont pas nécessaires, je veux juste du réaliste..., mais après si sa vous dis, je suis ok!

HRP// normalement je joue sans les dés, mais c'est vrai que c'est marrant ^^\\PRH

Profitant de ce que le félin était emporté par son élan, Aheneus sauta et sur sa branche et se mit hors de portée de ses griffes (du félin, pas des siennes). Il banda son arc en visant le tigre, mais un craquement de mauvais augure se fit entendre: la branche cédait sous son poids ! Il bondit sur la branche d'à côté mais, l'appui se dérobant ses ses pieds, il la manqua de plusieurs pouces, et se reçu plus ou moins souplement sur le sol gelé. Il ramassa la flèche qui venait de tomber, et l'encocha. Il tira un peu au jugé, mais le trait fila et se planta dans la joue du prédateur, ce qu'il ne sembla pas apprécier. Il se ramassa alors, regardant dans la direction du demi-orc, et bondit toutes griffes dehors. Heureusement, Aheneus s'y attendait et, les nerfs à fleur de peau, il réussit à esquiver, de justesse. Rangeant son arc, peu adapté à la situation, il sortit son bâton afin de profiter du gain d'allonge, et frappa
la bête au crâne. Son coup fut annulé par l'épaisseur de la fourrure de la bête, qui ne sembla pas le sentir, et le chasseur dut se replier derrière une souche, abri provisoire, afin de mettre au point un plan.

Spoiler:

Le carreau de Sarius fila et ne fit que glisser sur le pelage du félin. Les autres combats étaient assez mitigé. Aheneus en était au bâton avec un félin, mais avait vite fuit derrière une souche. Le tigre continuait d'avancer ignorant sa blessure.
Sarius était en sécurité sur son arbre comme presque tout les membres de cette expédition.
Soudain, un des félin poussa un cri de douleur. Elle avait tenté de monter sur l'arbre ou était percé Sarius et avait glissé. Le cri sembla réveiller tout les habitants de la forêt. Les combats continuaient.

La bête qu'il avait pris pour cible semblait avoir compris que son heure était proche, elle tentait le tout pour le tout et tenta de sauter pour rejoindre le saurien haut perché. Le saut n'eut malheureusement pas l'effet attendu. Le tigre se heurta au tronc du sapin et se retrouva sonné à terre. Fyrn quand à lui, conscient du danger et animé de l'envie d'aider son maitre se jetta au sol. Un chat retombe toujours sur ses pattes... Et bien ce chien aussi... Un léger bruit de neige retenti au moment où le chien atteri. Tandis que le tigre se remettait de ce choc, Fyrn se mit à se gonfler, ses poils se hérissèrent mais malheureusement le chien ne faisait qu'une petite sixantaine de centimètres. Bien peu comparé à la taill du tigre. Un duel commença entre les deux animaux.
Elles tournaient l'une autour de l'autre. Denorym quand à lui ne pouvait rien faire, les branches l'empêchaient de viser convenablement. La seule chose qu'il pouvait faire était de croire en son chien. Malheureusement si Fyrn se faisait prendre dans les crocs de son adversaire... Duel à peu prés égal, un chien survitaminé contre un tigre à dent de sabre agonisant. Ce dernier déclencha une charge sans réfléchir, gueule ouverte et crocs bien apparents. Fyrn quand à lui attendait que son adversaire approche. Quand il fut assez près, le chien dévia sur la droite, tandis que son assaillant continuait sa folle course. Un dérapage dans la neige puis les crocs du chien gagnèrent le cou du tigre... Un cri, du sang et un chien vaiqueur.
Le corps du tigre était là, sur le flanc, la gorge tailladée de multiples coups de crocs. Le saurine félicita son chien, l'homme à écaille en avait presque les larmes aux yeux... Il décocha une flêche, pris soin de viser et acheva l'animal d'une flêche dans le crâne.

**Brave chien, il s'est battu pour moi... Brave. Brave...**

Mais il restait encore cinq animaux. Le saurien remarqua son apprenti qui avait quelques difficultées. Mais d'ici impossible de bien viser. Le saurien rangea son arc et changea de branche pour se placer un peu plus bas dans l'arbre. Son chien quand à lui restait en bas, il se cacha dans un buisson lorsqu'il entendit le cri perçant du tigre qui venait de retentir... Tandis que le saurien ressortait son arc et sorti une flêche, une seule et unique... Si la bête venait à trop menacer son apprenti il tirera, mais le saurien ne voulait pas en arriver là : il voulait que son apprenti trouve la solution de lui-même, cet exercice faisait parti de son apprentissage de chasseur.

Aheneus entendait le fauve respirer lourdement derrière lui, sérieusement blessé. Il en avait entendu un hurler à l'instant, et il présumait qu'il était mort... Un de moins, plus que cinq. Ecoutant les bruits de pas, il se rendit compte que le félin contournait la souche pétrifiée par le temps et le gel. S'accroupissant, il dégaina son arc e le banda, paré à tirer dans la gueule du fauve à bout portant dès qu'il pointerait le bout de son museau. Malheureusement, ce ne fut pas une tête qui se révéla, mais une patte nantie de griffes de deux pouces au moins. Le demi-orc lâcha sa flèche, qui alla se planter entre deux coussinets, et ressortit de l'autre côté, déchirant sur son passage les tendons. Feulant de douleur, le tigre à dents de sabre replia son membre blessé et bondit par dessus l'abri précaire d'Aheneus, gueule grande ouverte afin de le transpercer de ses crocs. Attrapant quelque de long entre ses dents, le félin mordit de toute ses forces, et senti sa prise se briser dans ses mandibules. Malheureusement pour lui, ce n'était qu'un bâton, et le bras qui, armé d'un poignard, lui trancha la gorge d'un geste sûr était bien entier. Toutefois, en passant de vie à trépas, le tigre tendit brusquement sa patte non blessée, et arracha un morceau de chair à son agresseur.

Grognant de douleur, Aheneus se redressa et analysa la situation.

Spoiler:

Le saurien s'efforçait d'analyser la situation : chaqun de ses compagnons avaient une bête à leur trousses, du moins sauf pour Sarius qui en avait deux. Si l'on compte bien celà fait quatres tigres, à cela s'ajoute un qui est décédé cela donne un total de cinq... Mais le saurien avait cru en voir six tout à l'heure : où est passé là sixième bête ?

**Là bas... Non là bas rien ne bouge... Là bas... Non plus... La lune éclaire légêrement mais on ne voit rien... Du moins rien qui bouge... Le vent ! Utiliser le vent !**

Denorym commença à siffler, ordre que son chien reconaitra surement. Siffler pour ordonner de flairer, flairer une de ces bêtes mortelles. La peur avait pris le dessu sur l'habituelle tactique de chasse du saurien, peut être aurait-il dû aider son apprenti. Mais pour le moment le vent n'est pas non plus en leur faveur, les seules choses que Fyrn pourrait flairer son celles qui sont dans le dos du saurien, et non ce qui est au centre de la bataille. De plus l'odeure assez forte du cadavre animal empêcherait le chien de sentir avec précision... Non la trace du Sixième animal était perdue. A moins que...

**Il a disparu, caché... Il faut que je sois sur mes gardes... Il y a un de ses congénaires prés de moi, ça va surement l'attirer... Je dois bouger...**

Mais il ne pouvait pas laisser son apprenti dans ce pétrin. Comment faire ? Il est légêrement trop loin, la précision de cet arc est assez élevée mais non sans faille... Une solution : les flêches elfiques. Le saurien banda son arc, pris soin de viser la bête qui venait d'arracher un bout de chair à Aheneus et tira... Il ne regarda plus la bête ni où avait atteri la flêche, au pire celà faisait une diversion. Maintenan il fallait bouger sans se faire repérer...

HRP : Je laisse le soin au MJ ou à Aheneus de décider où a atteri la flêche, Denorym a tiré précipitement donc a vous de décider...

HRP//merci pour l'aide, master \\PRH

Le demi-orc eu à peine le temps de se redresser qu'un léger sifflement se fit entendre, et une flèche sans doute d'excellente facture se planta dans la mâchoire supérieure du tigre et, la traversant, pénétra le bras qui tenait la dague quelques pouces sous le poignet. Réprimant à grand-peine un cri de souffrance, Aheneus prit le temps de maudire l'unique archer de leur bande, puis retira la pointe de sa chair en prenant appui sur la tête du fauve. Arrachant ensuite un morceau de sa tunique, il le noua autour de son avant-bras avec les dents, serrant suffisamment le nœud pour limiter l'écoulement du sang.

Ramassant son couteau, puis la flèche elfique, il se leva, et, remarquant son mentor dans un arbre à une distance suffisante pour que son apprenti puisse s'étonner de la remarquable précision de son tir, il lui fit signe que tout allait bien. Il monta ensuite sur la souche qui lui avait servi d'abri pour regarder autour de lui. Soudain, il remarqua les points noirs, de plus en plus nombreux, en périphérie de son champ de vision… il chancela, mais se reprit et inspira profondément pour se calmer. Il lui faudrait être prudent, il avait perdu trop de sang pour jouer les héros. Avisant l'arbre le plus proche, il y grimpa et s'installa sur une branche, l'arc prêt.

Spoiler:

Soudain trois silhouettes apparurent. Elles couraient, arme en mains. L'un d'eux poussa un cris de guerre terrifiant et se rua sans plus attendre sur le combat entre Sarius et les tigres. C'était Illam!
Le tigre se retourna en entendant ces cris. Il reçut comme seul coup de bienvenue deux frappes parfaites. L'une tailla l'épaisse fourrure de félin et l'autre alla se planter en pleine coeur. Coup fatal et sans grand risque pour son exécutant. Illam cria alors:

-Criez, ça les effrayes!!!!

Jareth s'était empressé de rejoindre Len et Emile avait été directement vers le demi-orc qui venait de chanceler. La chance avait tourné....une fois de plus...

[Dsl de cette absence non prévenue]

Sarius était toujours en haut de son arbre, les deux tigres étaient toujours au pied de l'arbre. Soudain il entendit un crie qui effraya les tigres, l'un d'eux mourut suite à des blessures donné par les nouveaux arrivant.

Le demi elfe descendit de l'arbre, il attérit devant le tigre, ce dernier était tourné vers les nouveau arrivant, Sarius en profita pour le frapper, la lame enchanté fendit la fourure et la chair. Le tigre se retournant en hurlant de douleur et envoya une patte griffut en direction de Sarius qui esquiva en reculant, le tigre commença à tourner autour du demi-elfe, il donnait des cout de patte que Sarius parait ou esquivait, Sarius attaqua et toucha le monstre à la joue, Le tigre recula, puis bondit vers le gladiateur,ce dernier esquiva en se décalant et avant que le tigre touche le sol il abatit son épée au niveau de la gorge du monstre. Le tigre s'écroula au sol une marre de sang se formant autour de sa gorgre.

Sarius regarda autour de lui, il vit ses compagnons occupé avec d'autre tigre, il rejoignit les nouveau venut.