Le temple

Une drole de pièce, ou vous pouvez vous reposez au chaud, en toute quiétude; vous pouvez faire vos prière et voeux qui sait elles seront peut être exaucés; Vous pouvez faire des dons d'argent aux pauvres ou bien parler avec les membres du temples
Ici se trouve aussi la caisse pour les pauvres du temple qui s'élève à ce jour à : 4600po

J'entrat dans le templs, majestueux.....a genoux, je remarquat le tronc...
je trouve domage d'avoir besoin de recourir à l'argent mais bon...
je me relevat et déposat 1000 po dedans..Pour Mélindaë..
et je repartit...

Zenzai entra dans le temple
Une prêtresse s’approcha de lui :
-Puis je vous aider ?
-Euh non…Je viens honorer la mémoire d’une ancienne adepte, Ashania.
-Bien je suis à votre disposition….
*Cette voie de paix ne serait elle pas la source de la sérénité que j’ai longtemps recherché ?
Non , tu as commis trop de crimes ,tu ne peux être pardonné, tu es trop vieux pour changer..
Non,tout le monde commet des erreurs.. Tu es pardonner mais je ne peux te mener seule vers le bien suprème, décide toi..*
-Etes vous ouvert aux nouveaux fidèles ?

Elle s'approcha de Zenzai, elle lui souria puis elle mit la main sur son épaules; son attitude était chaleureuse et pleine de joie. Elle était comme toujours habillée d'une belle robe blanche immaculé; elle illuminait le temple par sa prestance et par sa retenue.
Elle répondit à Zenzai, dans ses yeux la gratitude se voyait à plusieur metre; son ton était calme et serein

"Nous avons toujours besoin de fidèle Zenzai et tu est le bienvenue dans l'ordre; toute tes anciennes fautes sont pardonner; ne faut t'il pas faire des erreur pour ne plus jamais les refaires? Tu est maintenant pres à repandre le bonheur sur cette terre et tu est le bienvenue dans l'ordre de Mélindaë; merci et bonne chance. Que Mélindaë veille sur toi, Zenzai."

-Merci bonne dame...Je serai comme le rocher , dans la plaine de la paix je serai une base sur laquelle fonder un royaume et dans les versant de la guerre je roulerai vers les ennemis de la paix et promptement les réduirait a néant.

Elle entra la tente puis soudain comme prit de vertige elle dut s'asseoir, elle regarda alors la statue de Mélindaë avant que son corps ne tombe raid par terre, comme tétaniser. Elle respirait encore mais impossible de la réveiller, on l'a mit sur une paillasse et on commença à prier pour elle.

Elle était dans une forêt couverte d'un épais tapis blanc, le souffle du vent refroidit soudain son corps frêle mais pourtant couvert de drôle d'habit, chaud mais si leger. Un bruit bizarre se fit entendre, elle tourna la tête pour observer l'origine de cette personne ou cette chose qui avait rompu le silence. Rien, silence complet, oppressant, dur et entrainant; puis quelques bruits d'oiseau et enfin des bruisements de feuillages d'arbre. Rassurrant ces bruits la fit se détendre quand...
Une brume soudaine couvra la forêt par un prodige effroyable,

*Surement un tour de magie, et quelle tour de magie! Impressionnant et inquietant à la fois, Quelle étrange sentiment d'impuissance!*

Un vent glacé traversa la brume et se faufila dans ses cheveux, et dans la moindre parcelle de son corps qui était à nue, elle frissona.
Sans s'en apercevoir, elle avait saisie une dague dans la main droite et à chaque seconde qui passait, elle s'approchai en silence de sa gorge. La lame coupa vif, une perlée de sang s'écrasa sans bruits sur le sols. Elle n'en n'eut aucune douleur apparante, ou bien si elle en eut, son visage n'en montra aucun signe;

Un flocon de neige descendit petit à petit dans l'air, puis se deposa en douceur comme si il n'avait voulut faire aucun mal sur la chevelure rousse, flamboyante d'Abi.

*Je ne suis pas cette personne; il me semble que celà c'est passé il y a longtemps, mais pourquoi me fait elle voir ça, quelle importance, et tant de réalité bien que je ne contrôle aucunement mes mouvement, j'en est conscience; incroyable*

Une drole de chanson raisonna dans l'air, une chanson parlant d'injustice et d'impuissance, elle était comme porter par le nuage, raisonnant dans sa moindre parcelle. Elle s'effondra par terre

Elle eut l'impression que la forêt se tue, comme si elle retenait sa respiration, en jugeant de la qualité des paroles, elle écouta avec attention les airs des temps anciens, les airs du passé, serein et pourtant tellement plein d'immondice. Elle se rappela les histoire des héros passé, les histoires de vie, d'amour, de peine, elle se rappela les nuits froides autour d'un feu, une larme puis deux s'écoulèrent sur sa joue comme porter par l'image du désespoir ambiant.
Elle sentit une haine intérieur contre les races intelligente monter en elle comme si ces races avait fait quelque chose de terrible, quelque chose d'innomable. Puis un sentiment de tristesse vint à elle deposer sur ses joues par le liquides doux et salés, des larmes?du sang?
Incroyable, fascinante, pâle. Ses larmes coulèrent sur le tapis feuillus l'abreuvant de sa mélancolie, elle regarda le ciel cacher en partie par les feuillage, elle y vu la naissance d'une air, la naissance de la mort, la naissance de ce monde, l'enfantement du mal à l'état brute.

Un ange pleur de désespoirs
Car ce matin
Il a vu le monde

Un ange pleur de désespoirs
Car ce matin
Il a vu le monde qui se meurt

Tenant dans ses mains
Une lame
Il scarifie son corps
Pour la mort

Il a coupé ses ailes
Il tombe
De ses beaux yeux bleus
Coule du sang

Pour toute la haine
Du sang coule
Pour toute la tristesse
Du sang coule

Il se meurt
Il meurt

L’ange qui est mort aujourd’hui
Comment s’appelait t’il ?
L’ange qui est mort aujourd’hui
Comment se nommait t’il ?

Il s’appelait Suicide

Elle entendit les dernière parole de cette chanson comme prit d'une envie funeste, elle essaya de parler, mais ce ne fut qu'un étrange gargouillis qui sorta, elle toussa, le liquide rouge s'écoulait. Les mains à la gorges puis elle les regarda, belle, mais si rouge; vitale, vitalité. Elle releva la tête, elle vu une silhouette apparaître comme dans les doux reves. Il portait une longue robe argenté. Elle se demanda si c'était lui qui avait chanter cette magnifique chanson, cette magnifique prose, cette merveilleuse tristesse, cette somptueuse amour sadique, cette naissance du paradoxe.........

Elle s'endormit épuisé, par tout les sentiment qui venait de se dégager de son corps, de son être, comme si l'on venait d'aspirer son energie vitale, elle aperçut dans un dernier regard, que tout son sang s'ecoulait par la gorge; elle mourrai , elle pria.

Une voix dur et belle se fit entendre

"Tes congènéres ne sont que da la racaille ignoble n'égalant dans leur civilisation que la putridité de la mort !"

Elle se réveilla en sursaut dans le temple.

Un peu perdu, pendant quelques secondes elle ne sut pas ou elle était; elle regarda autour d'elle le regard hagard et étonné. Penché sur elle quelques personne abasourdis l'obervait.

"Ou...ou suis je?" s'exclama Abi d'une voix frêle et inquiete.

"Ne vous inquieter pas prêtresse, vous...Vous êtes en sécurité" répondit une voix dur et pourtant plein d'émotion, comme si le sorte de coma qu'avait atteint Abi l'avait touché au coeur et que son réveil était l'accomplissement d'heure entière de prière.

Elle reprit peu peu conscience de l'endroit ou elle se trouvait; des gens curieux arrivait dejà pour voir ce qu'il s'était passé, pour voir de leur propre yeux le bonheur palpable qui commençais à se répandre dans le temple. Abi se leva difficilement, l'aide de membre du temple ne fut pas de trop; elle regarda autour d'elle rien n'avait finalement changé depuis qu'elle s'était endormis dans des conditions plus qu'étrange.

*Mélindaë, pourquoi ce message; que voulez vous me dire; je ne comprend pas! Elle doit le savoir; chaque chose en son temps surement; je ne suit peut être pas prête pour savoir. Pourquoi tant de monde sont venu prié pour moi? Il pensait surement que j'allait mourir; et moi de même; qu'elle étrange rêve et pourtant si jolie. J'ai deja l'impression qu'il s'estompe; pourquoi? pourquoi? pour...*

"quoi, pourquoi? Mélindaë, oh déesse; je ne comprend pas..."

Elle marcha seule vers la statue de la déesse et elle s'agenouilla; elle commença une sorte de dicton philosophique bien que beaucoup n'en comprirent pas le sens et surement beaucoup pensèrent qu'elle délirait.
Mais elle semblait si consciente et son visage démontrait qu'elle était en grande réflection.

"Néant ou infinité? Curiosité, peut être car si celle ci n'est pas prise en compte, l'ignorance reste... et nous tous savons que l'ignorance amêne la violence, la haine; bien que celà depend du contexte? Pourquoi ce rêve je me le demande, et qu'elle étrange chanson! Et si j'avait été dans la peau d'une personne de passé ou du futur? que veut t'elle me faire voir? Qu'il y avait t'il de si important? Une sorte de suicide? Et si ce n'était que le monde représenter par le femme que j'était? Une sorte de reve abstrait ?
Oui je pense que c'est celà, mais qui nous pousse à..."

Elle s'arrêta comme prit d'un vertige; elle se leva dans une vitesse incroyable laissant les membre du temple sur leur fin; elle regarda la statue de la déesse les yeux dans les yeux;

"Je pense que j'ai comprit, bien que tout ne soit pas clair."

Puis se retournant vers les membres du temple elle répondit à leur regard avide de compréhension;

"L'ordre doit être fort, et pour l'instant Mélindaë veille sur nous tous; mais ce ne sera peut être pas toujours comme, ceci; préparons nous."

Des paroles presque sans sens, s'immiscèrent dans les pensés des gens présent, et comme encouté par la voix d'Abi; il commencèrent à répandre une joie certaine et un bonheur indescriptible. Une energie qui semblait réchauffer les coeur remplissa la pièce puis soudain disparut.
Abi les regarda une nouvelle fois et dans un sourire de confiance, elle sortit de la tente en vitesse;

Un vent froid la fit frissoner, elle réflichissa longuement, la morsure du froid commençait à faire son travaille. Elle finit par revenir au temple; la peau presque bleu.

Shadow , qui avait eu vent de l'état d'Abigaël avant son départ précipité . Il s'en était inquiété , et maintenant , elle rentrait , frigorifié . Shadow s'approcha d'elle et la fit asseoir . Il commença a la frictionner en lançant :
"Tchal Emlo Vidaln ythu "
Le sort de réchauffement lancé par Shadow commença sona ction et la chaleur commença a emplir le corps d'Abigaël ...
"Que c'est il passé ? Pourquoi être parti aussi précipitament ?"

Abi regarda shadows, toute la joie qu'elle avait d'habitude dans les yeux avait disparut, elle semblait perdu. Elle réussit a garder son calme, dans le silence complet jusquà ce qu'il n'y est plus que lui et elle. Son calme apparent et ses sourires absent inquietait les fidèles mais ils n'en dirent rien. Elle rompa le silence pour enfin répondre à la question de Shadow

"Le temps nous le dira, mais le temps est imparfait; ce rêve m'a bouleversée, pourquoi? je pensait avais comprit mais j'avait tous faux: je le sait maintenant; je suis ignorante je ne mérite pas le titre de prêtresse! Part d'ici! Elle éclata en sanglot Ne me voit pas dans cette état!"

Les larmes coulait librement sur son beau visage; elle détourna son visage de la vue de shadows et elle s'enfuya, dans la nuit noir.

"Abigaël ! Attends !" Shadow s'élança a sa poursuite ,voulant consoler Abigaël ...Il sortit son ocarina en pleine course et joua le Boléro du Feu ,la musiqu qu'il avait apprise a Raven pour le faire venir ... L'aigle vint voler aux côtés de Shadow . Le saurien , rangea son Ocarina , essouflé et ordonna a Raven :
Va ! Retrouve Abigaël !

Quelques minutes plus tard, elle avait séchés ses larmes; et son sourire était revenus. Elle s'aprocha, et elle mit la main sur son épaule et elle s'exclama en souriant:

Chaque chose en son temps; répandont la lumière; le bonheur dans nos coeur et leur coeur; vivons pour vivre mieux!! Et non pour souffrir en silence.

Elle s'approcha de la statue et elle s'agenouilla; récitant un poeme ou une prière...

Blanche de beauté
Elle s'est envolé
Nuit noir ou néant
Reflet d'ignorant
Aujourd'hui flamme
Coucher de calme
Futilité somptueuse
Froide berceuse

Malchance, chance
Civilisation perdu
Sortie de l'enfance
Dejà
Enfoncé dans la peur
Du terrible bonheur

Retrouve,
Oh ton honneur
Oh Lune du ciel
Oh Enfant Coeur
Une vie bien plus belle

Illuminant la voute
Ce debut de route
Et sous les étoiles
Joyeuse de son voile
Sous cette lumière infini
Ne plus jamais mourir
Sous la lumière ne finit
Que l'utopie du paradis

Un long cri strident se fit entendre ... Raven pénétra dans le temple et se possa sur l'épaule d'Abigaël .A la patte de l'aigle royal était arroché un message . Abigaël le prit délicatement et le déroula :

Citation :

Abigaël ,
je sais que cela n'est pas votre rôle ... Mais pourriez vous surveiller l'entrainement des Templiers le temps de mon abscence ? Je sertai bientot de retour parmi vous ...
Votre dévoué,
Shadow Fox

Raven prit son envol et sortit de la tente ...

Elle regarda le message attentivement, elle pensait se diriger vers la salle d'entrainement après ses prière. Son sourire était toujours aussi grandissant de bonté, et a chaque personne qui entrait dans le temple, le bonne acceuil était là. Rien qu'un petit sourire réchauffe souvent les coeur et même les plus durcit par le froid de la haine et de la peine.
Elle regarda eu dehors, le temps était encore maussade et la neige allait encore surement tombé après le repas de midi.

*Tant pis de toute façon pour l'instant, le temps m'importe peu; tant de gens à eveiller, tant de gens à bercé, tant de gens à qui tendre la mains. Le vent souffle, flocons, par flocons; grisaille glacés, blanche immaculés; mains d'espoir, lumière ; oh justice...*

Soudain comme prit de vertige, elle regarda autour d'elle, tout était devenu flou. Des nausés et des étourdissement vinrent s'ajouter à son mal. Un mal de nez terrible la fit pousser un cri dur et douloureux. Elle porta sa mains à son nez; du sang; rouge de vie, rouge de mort.
Des fin trait de ce liquide s'écoulèrent sur le bout de ses lèvres puis s'écrasèrent en fine goutellette de son menton sur sa robe clair. Libèrant un autre cris plus douloureux, ses yeux, aveugle de rouge; encore du sang...

*Douleur, douleur; pourquoi?; Quel est ce maléfice? je perd conscience je le sent.............pourquoi?............un autre rève?.......NOOOOOOONNNN!!!!!!!!!.........................................*

Elle s'écroula par terre dans un grand fracas, le visage par lequel de mince filament s'écoulait tel de rivière de vie sur une plaine de mort, devenait petit à petit pâle...apparemment ce rêve si cela en était un, ne devait pas être une partie de plaisir.


Un lever de soleil, sur le bord d'une rivière; une chaleur douce presque douloureuse. Une beauté à coupé le souffle s'imposait tout de suite au regard. Abigael regarda attentivement la scène; elle était seule; comme perdu, du sang coulait sur ses poignets par des morsures non nettoyés.

*Pourquoi ces morsures, pourquoi ce gout de sang, quelle peine, quel haine! Que mélindaë veille sur moi; cette femme dans lequel je suis, oh miséricorde, quel horreur! Je ne peut le croire, pourquoi? Mélindaë?*

La chaleur devint douloureuse, presque horrible; elle regarda maintenat autour d'elle; il n'y avait plus de rivière juste un grand trou ou seule était assit Abi, au milieu d'une centaine de cadavre; seule, perdu. Le soleil montait petit à petit, dur de plus en plus douloureux, brulant le corps, un mal était comme extirpé du corps d'Abi par cette lumière.
Abi s'ecria soudain sans connaitre le sens de ses paroles...(elle traduisit un peu plus tard après avoir découvert un livre sur les langues anciennes, voici ce que cela donne en langue commune)



Ces paroles étaient crié de plus en plus fort; le sang coulait par tout ses orificice, décomposant son corps petit à petit; cela n'en devint que plus douloureux, des horribles mal lui traversait tout le corps; elle semblait comme atteinte par les rayons de soleil. Soudain, elle s'affaissa et comme dans un coup de vent, elle disparut; resta la conscience d'Abi encore quelques secondes

Une bouffée d'air, elle s'éveilla, brulante de chaleur, dans une mare de transpiration...

(Un peu de rp dans un monde de floodeurs)


*Nouvelle journée, nouvelle contrainte et de ce fait nouvelle responsabilité.
_Une âme
_Quelle âme ?
_Celle qui est partit aujourd’hui, rejoindre le Tout
_Le tout ?
_Celui la…*

Elle referma le bouquin, trop fatiguée pour continuer à lire, une nuit encore, et encore des rêves, doux et calmes et surtout silencieux.
Mais ces autres rêves, ceux qui accaparait ses pensés chaque jour, chaque heure, chaque minute, la terrifiait. Ceux même, dur, mélancolique, constitué d’une infinité de peau…
Ces cauchemars envoyer par sa déesse la faisaient changer physiquement et mentalement, néanmoins le changement ne l’avait que très peu atteint, pour l’instant…


*Mais quelle imagination, quelle sourire hypnotique ? Pourquoi cette heure la ? Je me le demande. Pourquoi tant de chose et si peu de temps ? Et surtout pourquoi tant d’amant et si peu d’amour… ? La haine est-elle notre ? Courage nous y arriverons…enfin je l’espère sincèrement*

Elle regarda autour d’elle, le temple, le conseil de l’ordre ; Déjà quelques mois qu’elle se trouvait ici, et pourtant le chemin suivait son cour… La religion et toute ces choses avaient commencé a faire effet sur la populace survivante, et les jours se suivaient et se ressemblait, mais pourtant si intéressante ces « petites vie dans la grande vie », comme quand elle regardait la pluie tomber, elles la fascinaient.

*Une larme, une flamme éteinte, une colère nouvelle…
Une peine, une veine, une plainte, une goutte nouvelle
Perte de conscience ou de confiance
Perte d’enfance ou d’innocence
Quel avenir ?
Néant…*

Elle s’avança vers la statue de Mélindaë, une larme rouge coula de son œil et s’écrasa sur l’autel, dans un bruit inaudible ; si rouge et si beau…Magnifique conscience de tristesse et de peine, malheureux chemin veiné d’embûche. Presque touché au cœur, Abi commençait de nouveau à saignée par ses yeux, tel des larmes éblouissantes de somptuosité. Calme, silencieuse elles tombaient, se mêlant au sol pour l’abreuve de sa soif ; si violent, si douloureux. Le Vide ?
Abigael s’exclama soudainement comme portée par une puissance inconnue, comme envoûté par une énergie indescriptible…

« Le Vide ? La mort ? Pourquoi tout cela Mélindaë ? Je ne comprends pas. Veut-tu ma fin, veux-tu ma vie ? Je veux savoir, quelle IMPORTANCE ! ET POURQUOI AI-JE SI MAL ? Qu’ai-je fait ? POURQUOI TANT DE SOUFFRANCE……..NON JE NE VEUT PLUS DE CES RÊVES…….. je veux savoir…….. »

Elle allait commencer à pleuré quand une douleur au bras la fit poussée un cri ; elle s’effondra en silence, le corps affaissé sur le sol dur et le flot de sang qui coulait par ses yeux se tari et en quelques secondes, il n’y coula bientôt plus rien. Mais la pâleur d’Abi était maintenant de plus en plus inquiétante et si son ventre n’avait pas fait des petits mouvements de haut en bas signe d’une respiration régulière ; on aurait put la croire morte…

Un château, une gigantesque ville; tel fut la première image qu’elle vue quand elle ouvrit ses yeux. Elle était au sommet de la plus haute tour, surplombant la ville majestueuse, mais bien vite elle comprit.

*Silence, oppressant, lourd. Aucun bruit, aucun cri, personne…
Une ville vide ? Le Vide ?
Quelle est ce maléfice ? …je ne peut le croire, je suis, NOOOONNN… !*

Une putridité incroyable vint soudain attaquer ses narines, et l’odeur ne la fit pourtant aucunement bronchée, au contraire elle respira longuement pour bien s’en imprégnée.

*Quelle horreur, pourquoi me montre-tu cela ? Mélindaë…Je t’en prit réponds moi…JE N’EN PEU PLUS… !*

Elle regarda autour d’elle et soudain, effroi ou dégoût ? Elle était maintenant au milieu de la plaine au pied de la ville. Effroi ou dégoût ? Quelle importance ! Une mare de cadavre remplissait la plaine, dégageant une monstruosité incroyable. Ils étaient poser chacun comme éteint, mais tous souriaient ; horribles sourires, terribles joies…

Un cadavre soudain se leva, il se dirigea toujours cet immonde sourire aux lèvres ; dévoilant ses dents pourris et son odeur épouvantable. Abi était paralysée, elle ne pouvait plus bouger et sa bouche ne lâcha aucun cri, il avançait de plus en plus vite. Il était maintenant tout, près habillé d’une armure rouillée ; il cria à l’adresse d’Abigaël sur un ton dur et ferme des paroles qui raisonnèrent sur toute la plaine, s’amplifiant à chaque fois;

« Le sang, boit-le !
Les larmes, dévorent-les !
La haine, répand-la !
La mort, tue-la !
Dort, dort, tu seras Mort !
Bois, bois, tu seras Vie ! »

Le paysage changea soudain, elle se trouvait de nouveau sur la plus haute tour du château, mais quelques choses avait changé, une conversation vint soudain occuper toutes ses pensés…

«_ …Laquelle ?
_Cette ère, cette horreur, cette beauté ;
_Et le sang ?
_Effroi et beauté
_Quelle terrible tragédie ! Mais nous continuons à vivre…
_…tel est la voie du perdant…Pouvoir utopique?
_ C’est cela…malheureusement pour elle… »

*Je ne comprends pas, s’il vous plait, Mélindaë ; aide-moi…*

Le soleil devint de plus en plus chaud, le sang commençait à couler partout sur son corps, et sa peau commençait à brûler. Une odeur de chair grillée se dégagea dans ce ciel, fruit de ce rêve, tellement réelle…
Soudain le corps d’Abi, disparue et la douleur avec ; resta à nouveau juste la conscience de son être quelques secondes.

Elle se réveilla à nouveau, perdu et dans ses pensés ; puis regardant autour d’elle, elle reconnus le temple dans lequel elle s’était endormie de force plusieurs heures plus-tôt. Et maintenant, qu’elle était sur d’être à nouveau dans le monde réel elle se leva difficilement.
Elle s’attarda sur la statue de Mélindaë, puis elle se dirigea vers le froid de la nuit.

*Personne ne m’a vue pendant que je rêvais ; Tant mieux … Je n’avais pas envie de les voir…*

Abi avait la peau presque blanche, elle marchait vite et elle sortit de la tente aussi vite fredonnant d’étrange parole :

« Un vent froid, un frisson…
Une larme, une goutte…
Une flamme, en amont
Une peine, tu la goûte
Sang.
Nourriture du sage
Le mort, un orage… »

Une ombre rentra dans le temple, elle se dirigea à pas de loup vers le seul croyant qui était rester ici, la nuit répandait son royaume et le voile du sommeil était venu chercher quelque autres...
Elle approchais de plus en plus comme si le temps cétait arrêter , l'homme était perdus dans ses pensés.
Elle sortit sa dague, toujours aucune réaction de la part de l'homme, elle était maintenant à un trentaine de centimètre.
Un coup, un bruit, du sang...
Le sang s'écoula par la gorge de l'homme, il mourrai... Elle approcha sa bouche de sa gorge et la elle mordit. Après quelque minute de sucions; elle lacha le corps de l'homme; il s'écrasa sur le sol en un bruit sourd; et le sang coula de nouveau...
Elle s'approcha maintenant du coffre et elle l'ouvrit , elle récuperat toute les économie du temples...
Elle regarda alors la statue de Mélindaë
Elle cracha sur la statue en guise de méprit, et elle s'appreta à sortir...

[désolé d'interrompre votre joli dialogue Abi et Shadow mais il me semble que si tu accepte que ton perso disparaisse (chose qui va t'apporter moult avantages) tu dois aussi accepter que durant ce temps le temple et les templiers ne soit plus sous ta coupe....En gros je percevrai mieux que tu n'amene pas un perso gerer par toi dont on a jamais rien entendu pour gerer la guilde....]

(Jai créé le temple, jai crée les commandement, jai crée un peu tout, donc je le garde sous ma coupe le temple; pas de Templier qui prend le temple... Les templier sont templier et non pretre...

Donc je le garde le temple, je le gere, e surtout surtout, il n'y aura pas d'échange entre cette pretresse et abi...

Ah moins que tu trouve l'argument, je controle toujours moi, sarah, le temple...))

[Tu offriras sans rien recevoir en retour...Un de tes commandements...Autre chose j'ai créé la quete des statuettes de melindae et tu est venu decider des trucs en tant que grande prétresse..grace a tes interventions je me suis fait traiter de sal*...mais je n'ai rien dit...
]

(Premièrement tu as crée une quête sans me prévenir aucunement, alors que c'est une quête en rapport avec mélindaë, et tu n'est qu'un simple Templiers. Encore tu m'aurai prévenu...
Et puis je ne voit aucun interêt a chercher des statuettes que moi je pense fragile, et qui aurai soi disant, resister au cataclysme, je trouve ca pas tres RP.
Elle sont rester dans une grotte ou un donjon? Eh bien ou? on ne sait pas ou on est, on ne sait pas ou il y a des donjons ou des grottes; et si on savait qui nous prouve qu'il y aurai des statuette encore intact?
Il faut avoir un minimum de reflection avant de proposer une quete... Non? Eh bien la je trouve que tu n'en a pas user...

Deuxièment tu vient pleurer ou plutot pigner et bouder parce que tu t'est fait traiter de "sa... " quand ta dut virer des gens de la quete...
Eh bien tu n'avait qu'a y penser que je m'en melerai non, et qu'il avait trop de gens à gerer...
Et que c'est toi qui prend; je trouve ca mérité ...

Troisièment les templiers son dirigés par Shadow et Galadrielle, si tu à quelque chose à dire sur la nouvelle prêtresse, c'est à eux et en RP

Quatrièment je ne fait pas partit du temple de Mélindaë et je voit pas pourquoi moi, je devrai suivre ce commandement...

Cinquiement, je commence à en avoir mare de ton orgueil de "mâle viril"...


Bien cordialement
Sarah )

( désoler zenzai, mais elle a totalement raison, tu prend je trouve un peu trop la grosse tête juste a cause de ton titre de "templier", la quête étais ton idée, tu aurais du mieux la gérer pour qu'elle ne dépasse pas un certains nombres de menbres....voila ce que j'en pense....)