Un duo entre cousin (pv:Bran)

Cela devait bien faire trois ans qu'elle n'avait plus vue les mure de la citée. De nombreuse années où la jeune elfe noir avait cherche son chemin plus que fait un véritable voyage. Mais une foi dans cette citée, Lwienlindra retrouva tout ses repères.
D'un pas sure la jeune femme traversa la moiter de la ville pour entrée dans l'auberge. Bien évidement elle entra par la porte de derrière pour saluer toute la famille du tenancier qui l'avait il y a des années, servit de foyer. Après avoir fait la bise à tout le monde, elle alla se poser en salle se demandant si elle allait ou non se produire se jour là.
Elle était donc posée dans un coin de la salle a se demander ce qu'elle allait faire en ce jour, buvant un bon vers de lait offert par son ami.

*Que le monde est fade en cette periode de l'année! Rien de neuf! Rien de vieux! Rien de bien!*

Lwienlidra voulait agir, mais il lui manquer un petit quelque chose...

Arrivant au coin de la rue des auberges, je frissonnai. Le vent s'engouffrait dans la ruelle fréquentée où s'amassaient, le long de ces murs de pierre grise, tout ce que la ville pouvait compter d'artiste, de ménestrel, et de catin de tout niveaux. C'était un endroit plaisant, en dehors de quelques tire laine et maraudeurs qui avaient tôt fait de vous dérober le fruit d'une journée de chant ou de danses...Qu'il leur était facile alors d'échapper à leur potentiel poursuivant en escaladant un étal et disparaissant sur les toits...Beaucoup de jambes, mais incapable de tenir une lame pour défendre leur prise en cas d'échec de leur fuite audacieuse.

Un endroit plaisant, vraiment. Bon nombre de mes frères trouvères vivaient là, jouant des soirées voire des nuits entières pour quelques malheureuses piécettes de cuivre. Que les gens pouvaient être hypocrites avec leurs dons. Si seulement ils étaient à la mesure des applaudissements nourris dont ils nous gavaient à longueur de morceaux...

Je resserrai ma cape au col, réajustant la fibule de métal vulgaire qui la maintenait en place.Le temps de ces derniers jours ne prêtaient guère aux productions extérieures. Aussi, je m'engouffrai dans la première taverne accueillante, et demeurai un instant sur le seuil, aveuglé par la saisissant contraste de luminosité. Je fis le point comme je pus, observant les lieux. Je notai la présence d'une estrade, d'une chaise dite « du Ménestrel », de tables rondes et lustrée par des centaines de coudes. Jusque là, toutes les caractéristiques d'une taverne ordinaire aux clients qui l'étaient tout autant!
Mais chose plus étonnante, je m'aperçus que bon nombre de clients buvaient, non pas de la bière ou quelque hydromel, mais bien du lait.

Plus de doutes, j'étais « Au Loup Hurlant ».

C'était bien ma veine. Une taverne tenue par un Nain pour des Nains, créatures respectables mais ô combien peu accueillantes avec les gens de mon espèce.
Je me trouvai donc bien vite une table dans l'ombre, malgré la proximité avec le feu qui flambait joyeusement dans l'âtre. Commandant discrètement une pinte de lait au serveur humain des lieux, je commençai à observer le bon peuple de Néolias qui avait coutume de se réunir ici.

Des nains massés au comptoir, des gnomes assis par petits groupes de quatre ou cinq autour d'un pot commun... Dans un coin, quelque elfes, silencieux, empreints d'une grande condescendance par rapport au petit peuple qui leur tenait lieu de seul compagnie...

Je commençai à hésiter: ces lieux connaissaient mes talents, les hauts murs de pierres résonnaient encore du souvenir de ma première production publique...
J'allais me lever et quitter cette taverne pour une autre, quand mon attention fut attirée dans le coin opposé de la pièce, précisément en face de la table où je me trouvai.

Une femme, drow, belle, séduisante dès le premier regard.

Elle portait un ample manteau à capuchon, dont partait deux longues mèches de cheveux blancs qui marquait un superbe contraste avec la teinte bleu sombre de son visage.Mais malgré ce long manteau qu'on pourrait penser adéquat au température froides que nous connaissions, elle n'était que fort peu vêtue. Un corsage fin couvrait sa poitrine jusqu'à son cou, mais ses épaules demeuraient nues. Son ventre était dévoilé au regard désireux des humains, et des elfes qui, comme moi, ne savaient rester, même de façade, insensibles aux charmes d'une de ces créatures nocturnes...
Ensuite, ses hanches étaient couverte d'une sorte de voile, qui tombaient jusqu'à ces pieds qui, eux, était nus.

Elle était danseuse, comment aurait il pu en être autrement?

Je me sentais fondre intérieurement, la chaleur de la salle me parut suffocante, mais je tâchais de demeurer serein face à la tempête intérieur qui menaçait d'éclater dans mon for intérieur.

Je me levai d'un mouvement souple, et, contre toute raison, je traversai la salle pour venir prendre siège en face d'elle.

Encore une folie de ma part, mais comment résister, en tant que poète, aux sortilèges d'une drow?

Sujet: Re: Un duo entre cousin (pv:Bran) Jeu 5 Mar 2009 - 16:52

Lwienlindra était posée dans son coin tranquillement à réfléchir au passé. Cela la fessait toujours rire un temps de se dire que la seul personne qui étit son ami dans cette ville soit un nain. Mais d'ailleurs, comment une elfe noir avait put devenir de bon amis? Cette longue histoire était sans doute l'une de ses favorite. Mais pour le moment cela n'était pas ce qui l'amusée. Depuis le temps qu'elle avait quitté Grolim, le patron, il devait s'en être passé des chose. Comment elle le savait? Et bien car les lieux était plus calme qu'à son premier passage, de plus ce qui au début n'était qu'un jeux entre eux deux, soit le ver de lait chaud, était devenu un produit très priser du lieux.

Parmi tout les détales qui la changer elle pouvait voir que la scène des artiste était devenu plus développé, sans doute que de nouveaux talent venait y faire leur début, comme elle il y a des années. Elle regarder le jeux jongler qui tenter de faire bonne figure devant le public en jonglant avec des pomme. L'une d'elle lui échappa, mais la jeune drow fit bien vite un geste pour la rattraper et fit un signe de la tête au jeune homme comme pour le remercier de cette pomme, ainsi si nulle ne sut que cela était une faute de prise. Lwienlidra regarder la salle d'un regard las quand elle croisa le regard presque trop insistant de Bran. Elle fit mine de ne pas l'avoir vue et continua, bien que son désir de discuter avec ce cousin de la surface la tenailler. Pourquoi? Et bien car cela devait faire bien plusieurs mois qu'elle n'avait vue de monde, et bien des années que dans ce monde nulle elfe se trouver. Mais elle ne pouvait aller le voir.

Elle réfléchissait à un moyen d'aller vers cet homme quand du coin de l'œil elle vit qu'il venait. Avent qu'il ne fut posé sur la chaise devant elle, elle ravala sa joie, et tout ses émotion pour paraitre comme toute bonne drow, impassible et intouchable. Mais elle ne le put et resta donc joviale et douce comme a son naturel. Avant qu'il ne put ouvrir la bouche, Lwienlindra appela le patron a sa façon, de sa douce voie qui était pourtant assez forte pour se faire entendre du nains derrière son comptoir.

"Oyez la barbe à patte! Set moi de suite deux vers de ta meilleur liqueur de rose! Et me dit pas qe tu ne sert pas cela je sait que tu te saoul avec tout les soir!"

Gorlim prit deux vers, la bouteille de liqueur dont la jeune drow parler et vint plus vite que nulle nain ne put courir sur cette terre. Son visage était rouge, mais ses yeux trahissait de l'amusement encore un de leur jeux. D'une poigne bourrue il posa les vers et la bouteille et dit d'une voie rêche et dure.

"Tu a de la chance que je doive faire régner le calme ici sinon je t'aurais déjà tuer l'allumette!"

"Mais je n'attend que toi! Je sait que je te battrait de nouveaux!"

"Pff! N'en soit pas si sure peaux noir! N"en soit pas si sure!"

Il est bon de savoir qu'en combat singulier Lwienlindra se ferait vaincre, mais comme toute bonne drow elle ne se battait jamais ainsi, et utiliser le point faible du nain, point faible qui était le secret qui les lier de cette amitié si profonde, pour le vaincre. et a cette heure sur leur onze petite joute, elle en avait gagner six. Une foi le nain parti avec un regard de faux mépris, la jeune drow posa ses yeux ténébreux sur le jeune elfe qui se trouver devant elle. Son sourire étrange en disait long sur l'amusement et le plaisir qu'elle avait de le voir a cette place. De sa douce voie tout en servant un ver qu'elle lui tendit elle dit.

"Il est bourrue mais il fait une bonne liqueur vous devriez gouter! Elle est légère et gouteuse."

Lwienlindra se servit un ver et attendit de voir comment l'elfe allait entamer la conversation.

Sujet: Re: Un duo entre cousin (pv:Bran) Sam 7 Mar 2009 - 19:40

Toujours silencieux, un brin méfiant devant la liqueur que le nain venait de me servir, je portais toutefois le verre translucide à mes lèvres, et goutait le breuvage les yeux fermés. Simple désir de réflexion ou crainte de croiser le regard ravageur de la drow? Les deux, probablement.
Elle avait le langage assez familier avec le tenancier, en tout cas. Chose bien peu fréquente pour les gens de notre race... Quel genre d'aventures ces deux là avaient ils bien pu connaitre ensemble pour lier une franche amitié comme celle-la? Car pour se lier avec un nain, soit vous l'avez tirer de sérieux ennuis, soit il aime vous mettre au défi avec bonhommie.C'est dans l'adversité que l'on reconnait ses mais, dit-on.

Qui trouverais tu en face de toi ce jour là, Bran?

Personne. Je pouvais certes me targuer, silencieusement du moins, de connaitre les nombreux ménestrels et artistes qui pullulaient dans les rues parfois mal famées de Néolias, mais pouvais je pour autant me déclarer fidèle à aucun d'entre eux?Assurément, non. Le Peuple sans Terre est un peuple d'être errants, assoiffé de liberté et de solitude. Nous formions une fraternité informelle, nous rassemblant de temps à autre pour le seul plaisir de jouer ensemble, mais après, que restait il de nos échanges?
Vent, poussière, un air oublié...

Le liquide rosé dégagea une douce chaleur dans ma gorge. Le goût floral de l'alcool persista un long moment dans ma bouche, et c'est avec plaisir que je trempai à nouveau mes lèvres au verre.
Ouvrant les yeux dans un petit sourire à peine esquissé, je rencontrai le visage de la danseuse.
Grands dieux de mes pères, qu'elle mêlait à merveille séduction sereine et effronterie dans ses traits et ses yeux malicieux...Il était presque étonnant que je n'aie point remarqué cette fine fleur dans le désert esthétique de la taverne...

Je passai le bout du doigt sur le bord de mon verre, saisissant une infime goutte d'alcool que je portait sur ma langue.
Elle me regardait toujours, pleine de mystère au fond de ses iris sombres.Il était d'entamer la conversation:

-Il fallait au moins un alcool de cette trempe que pouvoir discuter avec vous, dame drow...

Surtout une drow qui demeure seule à une tablée, malgré les coups d'œil appuyés que certains elfes du fond de la salle vous adresse sans que vous daignez les apercevoir...
Solitude qui m'est commune... Je suis ménestrel.

Serait ce folie, hardiesse ou heureuse chance de ma part que de m'être conviée en votre présence, belle amie?

Je demeurai silencieux, goûtant une nouvelle fois au breuvage.Léger et doux, c'était les bons mots pour le qualifier...

Sujet: Re: Un duo entre cousin (pv:Bran) Lun 16 Mar 2009 - 14:52

Lwienlindra s'amuser intérieurement de voir ce jeune elfe se débattre avec ses pensée. Elle ne savait pas trop ce qui avait causer cette réflexion, mais quand il sortit un peu de celle-ci pour gouter son nectar favori, elle eut une pointe d'intérêt a sa réaction. l'alcool était à la foi doux et fort, et au vue de ce que dit l'elfe en suite il l'avait bien sentit.

Lwienlindra fut tout de même amuser de ce que dit le troubadour pour débuter la discutions, elle n'était pourtant pas un monstre pour qu'il faille être saoul pour oser lui parler. Puis le rapport au ivrogne standard du lieux la fit un peu revenir aux dure loi de la réalité.

La dernière question de l'elfe fit naitre un petit sourire sur le visage paisible de la drow. Et de sa douce voie elle répondit d'une de ses phrase assez dure a comprendre et pourtant claire.

"Un peu des trois! C'est en effet foli que d'être venu à la table d'une personne de ma race au vue de notre réputation, hardiesse que de venir à la table d'une dame sans y être inviter, mais heureuse chance que si vous ne l'aviez pas fait ce serait moi qui serait venue! Car entre votre compagnie mon charment amis et la compagnie de ces elfe don vous me parliez à l'instant, je préfère la votre! Je suis danseuse de profession, et j'ai sut voir en vous le ménestrel....votre instrument m'aillant aider! Et de plus il est claire en vous voyant qu'il était plus facile de vous approcher que nos cousin qui sente l'alcool a douze pied!"

Lwienlindra fit un petit sourire en buvant un nouvelle gorgée. Elle fixait l'elfe dans les yeux de son regard emplit des mystère des sombre famille drow. Elle reposa son vers et d'un aire léger demanda.

"Mais..A qui ai je l'honneur de parler au juste?"

Sujet: Re: Un duo entre cousin (pv:Bran) Ven 20 Mar 2009 - 17:57

Elle ne manquait point de conversation, c'était le moins que je pouvais dire.Elle avait au fond des prunelles cette sombre malice amusée commune à chaque drow digne de ce nom, mais qui avait su, une fois de plus, ébranler le sombre lac de mon âme, telle une pierre qui trouble la surface de l'onde en y sombrant avec fracas.
Il y avait certes de l'innocence, beaucoup d'innocence dans la façon dont elle discutait d'un ton léger, dans sa manière de prendre siège et de porter le verre de cordial à ses lèvres sombres.

Mais les dieux savent ce qui peut se cacher derrière telle apparence tranquille et presque frivole. Je ne le savais que trop bien: les dieux et les bardes parlent la même langue, disait on encore dans les provinces reculées d'où je venais. Des contrées encore suffisamment simples et sauvages que pour rythmer ses pas sur le cycle des lentes saisons de la Terre et des rires ou des éclats de colère des dieux d'En-Haut comme d'En-Bas.Et ceux des drows provenaient d'en bas... Sombres profondeurs qui virent naitre les Nains, les gobelins au sang noir, et les cousins aux cheveux de jais des elfes qui vivent sous le soleil. Certains disaient que cette noirceur des profondeurs s'étaient en partie déversée dans l'âme de cette race, et qu'il fallait se méfier de leurs manières simples et de leurs discours innocent. Plus d'un Humain en avait payé les conséquences.

Devias je me méfier de cette femme qui ne désirait apparemment que calmement discuter autour d'un alcool, avec dans le regard une lueur amusée née de la teneur des propos et des tournures complexes qui faisaient office de jeux dans ces véritables joutes orales?

J'écoutais, la méfiance au cœur, mais je tâchais de la faire taire.Après le froid mordant du dehors, je ne voulais point le faire venir en mes entrailles par abus de sûreté. Il serait toujours temps de se rétracter rapidement.

Quand vint sa légitime demande de connaitre un fragment de mon identité, un sourire à peine esquissé étendit mes lèvres.
Encore les noms.

Ah! Quel fameux pouvoir que le leur! Connaissez un nom, vous pouvez manipuler en partie son possesseur, l'obliger à écouter vos propos, attirer son attention, sans que sa Raison ne le retienne d'aucune façon.
Vous le teniez en main instantanément.

Pour les ménestrels, ce pouvoir avait une importance considérable: il ressuscitait, pour le temps d'une chanson ou d'un soir, les âmes errantes des guerriers morts, la jeune fille morte en couche, les princes et les rois oubliés, les trésors perdus, et les chevaliers trop fougueux.

J'avais même en main le pouvoir d'inviter les dieux en notre bas monde, car je connaissais leur nom, et leur histoire.

Prodigieux pouvoir que celui des noms...

Fallait il que je le donne? Connaissant son pouvoir, même limité, j'hésitais. Ce n'était pas mon véritable nom , car nul ne pouvait le connaître vraiment. Je n'avais nul garantie quant à l'usage qu'elle en ferait, et elle demeurait une parfaite inconnue pour moi. Le sombre spectre des légendes de drows refit surface, et, l'espace d'un instant, je pris peur.

-Vous le saurez en temps utile, belle danseuse. Allons plus avant dans nos propos avant de lier ainsi nos vies par un échange de choses sacrées... Vous me pardonnerez cet excès, je l'espère ardemment. Mais ouvrons nos propos à l'autre, et cette formalité légitime trouvera bientôt sa place.Parlez moi de vous, danseuse...

Sujet: Re: Un duo entre cousin (pv:Bran) Ven 20 Mar 2009 - 19:17

(PS:je me maudit encore de lui avoir donner un prénom aussi long et aussi complexe, bien que j'en soit fière car il est d'une sonorité plaisante!^^)

Lwienlindra se rendit très vite compte que les légende qui courait sur son peuple serai sans doute une des chose qu'elle devrait vaincre. Elle voyait dans le regard que lui portait le ménestrel qu'il n'était pas totalement rassuré, bien qu'il ne soit pas distant. Elle avait déjà eut à faire a cette peur de son peuple, mais il était vrai qu'une drow n'ayant pas était pervertie par son peuple était rare. Elle ne fut donc pas surprit de ce que lui demanda le jeune elfe.

Elle fit un petit sourire a cette demande et se calant bien dans son siège elle répondit. Elle parla lentement et calmement pour que les mots qui coule de sa voie se fassent un chemin jusqu'à l'esprit de cette homme, pour qu'il puisse lire l'honnête de ce qui aller suivre et qu'il comprenne ce qui allait être dit de façon détournée par foi.

"Je comprend votre crainte! Les légende sur mon peuple ne sont pas glorieuse....et par malheur trop d'entre elle sont exact! Mais laisser moi vous compter une histoire, celle d'une jeune drow qui avait une autre façon de voir le monde! Si vous juger qu'il m'est après autoriser à connaitre votre nom chère cousin alors j'en serai honorée! Il y a de cela soixante cinq ans de cela, par une nuit aussi sombre que l'avenir qui lui était promis naquit une jeune elfe noir, Lwienlindra! Sa famille, les Do'Arden, était et est toujours la plus importante d'Asombira, une citée drow enfouie sous les mont brumeux. Leur commerce est celui d'un métal rare que seul les drow peuvent travailler tan ses radiation magique corrompent le cœur et l'âme de ceux qui le travaille.C'est donc dans cette famille d'une richesse rare que vint au monde celle qui allait devenir le déchet de cette noble lignée. Lwienlindra eut une éducation dure, pervertie, mais droite prônant des règles contradictoire. Mais ces règles ne prenaient que trop mal sur la jeune fille qui en foi l'apprentissage de la lecture finit avait trouver son salut dans les légende de la surface. Elle rêver de voir le soleil, dut elle se consumer comme le disait les livre. Son autre rêve était de rencontrer les monstrueux elfes de la surface qui massacraient les enfant et dévoraient leur cœurs..."

Lwienlindra regarder Bran avec un petit sourire narquois, elle s'amuser à narrée ce qu'elle avait crut de ces cousin pour montrer a ce jeune homme qu'il n'était pas le seul à avoir eut des préjugé sur l'autre race. Elle reprit doucement.

"Mais elle voulait aussi voir ces vallées infernale de lumière. Son rêve devenait de plus en plus pressant, de plus l'idée de finir corrompue et las comme l'était sa mère ne lui convenait pas! Elle voulait vivre et rire en usant de sa grâce et de son agilité qui déjà lui servait à distraire sa famille dans des danse envoutante tiré des livres qu'elle lisait. C'est poussé par cette soif de vivre à la surface qu'elle quitta à peine âgée de dix-huit ans sa famille et leur monde de ténèbres pour jamais plus les revoir, ne gardant comme seul lien que son nom et la cape qu'elle porte encore à ce jour pour masquer la noirceur de sa peaux. Lwienlindra décida d'appliquer sa façon de pensée plutôt que celle de sa famille. Quand elle arriva à la surface pour la première foi, nous étions la nuits, des millier de petite sphère de lumière luisait dans un ciel gouverner par une immense orbes argent. Nous étions au printemps et la douce odeur sucrée qui venait de la plaine fit comprendre à la jeune Lwienlindra qu'elle n'aurait pas à regretter sa décision. Mais elle ignorée que cette douce obscurité n'était pas éternelle, bien quelle se souvenait des mise en garde des ouvrage de ses parents. Quand le jour se leva, la jeune fille fut frapper de sa lueur qui désormais lui est devenu commune, ou presque. Mais à ce moment elle fut frapper si violemment qu'elle en perdit connaissance! Quand elle s'éveilla elle se trouver dans une roulotte, des artiste itinérant, libre de tout préjugé l'avait sauver de ce soleil si monstrueux qui lui avait bruler les yeux. Elle apprit très vite à connaitre cette troupe composer d'être de toute race, mais celle qui lui avait inspirée le plus de crainte était un jeune musicien elfe. Mais cette troupe lui apprit que les préjuger n'était pas l'ami de l'artiste, et depuis la jeune drow ne juge plus par la race ou par l'origine, mais par les actes! Elle apprit l'art de la danse qu'elle avait déjà bien étudier durant sa jeunesse obscure, et devint une danseuse mêlant les grâce et es charme des terre sombre avec la légèreté et l'élan des terre illuminée! Ayant apprit toute les danse de toute les peuplade, elle était devenu une danseuse émérite! Mais alors qu'elle avait atteint ses cinquante années, Lwienlindra sentit en elle le besoin de vivre une nouvelle vie. elle quitta ce qui avait au cour des années fonder sa véritable famille et s'en alla vers l'horizon. C'est au cour des quinze années qui nous séparent de cette époque qu'elle fit la rencontre d'un guerrier nain et de sa femme magicien humaine! Ils devinrent bon amis grâce à une histoire qui est tenu au secret par un pacte entre ces trois personne. Le nain devint après quelque années patron d'un auberge, la magicienne son épouse et associer, et la drow parti à l'aventure revenant tout les trois ans voir ses anciens compagnons de route et amis."

Lwienlindra observa Bran. elle voulait voir ce qu'il avait comprit de cette histoire, qui au demeurant était la sienne. Elle laissa un temps puis de sa voie douce et légère elle demanda.

"Et vous noble cousin, avez vous une histoire semblable à me narrer?"

Lwienlindra attendit la réponse et l'éventuel histoire qui peut être lui donnerait la possibilité de connaitre le nom de son interlocuteur.

Sujet: Re: Un duo entre cousin (pv:Bran) Sam 21 Mar 2009 - 0:40

J'écoutais, charmé par la magie des mots, l'histoire, son histoire, qu'elle me narrait avec aisance et fluidité.Il est de bien curieux destins... Les nôtres coïncidaient sur certains points. J'esquissai un sourire, toujours attentif à ses propos. Je gravais en ma mémoire les mots qu'elle livrait au vent, en songeant au jour où je pourrais, peut être, en faire l'objet d'une chanson.

Quand elle eut fini, son souffle se relâcha, et sa souple poitrine se détendit comme un jeune apprenti se relâche après avoir accomplis ses exercices de voix dans les hauteurs de la Montagne ou sur le bord de l'Océan à la houle bruyante.Je m'étonnai: avait-elle l'habitude de semblables démonstrations, où le fait de raconter son propre passé lui était familier et agréable?Je fus tiré de mes réflexions quand elle m'interrogea en ces termes:[i]

"Et vous noble cousin, avez vous une histoire semblable à me narrer?"

Que devais je faire? Livrer mon passé comme elle venait de le faire? J'étais tenté de le faire, je l'avais déjà fait. J'écartais fermement le voile sombre des légendes, et laissai à mon âme le temps de rappeler à elle toutes les blessures à vif et les cicatrices brûlantes, les peines encore intactes et les joies oubliées.

Je rappelai à la surface le spectre de mon maître, et de ma jeunesse.

J'acquiesçai à la drow, qui me fixait avec un petit sourire. Instinctivement, je me saisis de ma lyre, et ralentit mon souffle pour apaiser les battements de mon cœur jusqu'à ce que le sang me batte les oreilles aussi doucement que possible.
J'étais prêt.

Je naquis dans la montagne, simple enfant d'une simple prince,
Mon rang de troisième enfant me désignait comme le futur barde,
Du saule et du frêne furent brûlés pour maquer mon initiation,
auprès d'un vieil elfe sage, fils de barde et grand conseiller.

J'appris auprès de lui mille et une chose utile,
du nom des étoiles jusqu'aux plantes qui poussent sous le ciel,
du nom des arbres jusqu'aux noms des rois,
j'appris à manier lyre, flûte de roseau et voix.

Un jour vint où, hauts dans la montagne, il m'enseignait la légende
du Soleil et de la Lune, sa soeur assassine,
Naissance de notre race, et premiers astres du temps.
La montagne donne beaucoup, mais reprend bien souvent.

Mon maitre mourut, et la montagne mère,
qui le vit à la naissance, lui servit de cimetière.
Je descendis les flancs de la Grand nourricière,
n'emportant que mon souffle, je fuis dans la nuit.

Durant des jours, qui me parurent des mois,
je tombais de trous en fosses, et atteignant la Plaine,
épuisé, abattu, le regard vide, je la voyais s'étendre.
J'avançai sans but, âme errante et perdue...

Durant des semaines qui me parurent douze mois,
Je marchais, tombais, jusqu'à rencontrer,
de la vue une ville aux toits enneigés.
Et ainsi , belle drow, j'arrive devant toi...

Je me tus. Ma lyre se tut également. Fidèle amie de mes chants, elle s'accordait à ma voix. Je fixais les yeux de la drow, toujours posé sur moi.

Je ne craignais plus rien...

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