Aube nouvelle

La ville s'éveiller, les badauds et les marchands se mettaient en place, sortant de leurs hibernations nocturne pour faire reprendre vie aux ruelles de Neolias. L'agitation matinal dégageait un brouhaha commun a tout homme ayant déjà vécu en ville, ce n'était donc pas choquant pour la plus pars des gens, mais comme bien peu le savait sûrement, il existait encore une partit de la population qui n'avait jamais connu les murs cloitrés d'une citée et sa vie intérieur, Geldø en faisait partit. Il c'était réveiller assez tôt, la mélancolie lui ayant dévorer sa courte nuit. Il était triste, triste d'avoir perdu son ancienne famille et son ancien peuple, triste d'être sûrement le seul survivant. Qu'était devenu Otwin le berserk, qu'était devenue Freya la douce ? Qu'était devenu Siggur le fier ? Ils avaient tous basculé dans l'ombre. A cette pensée bien peu joyeuse, le fils des Menegoth c'était éclipsé vers un endroit neutre, un endroit calme : Le pâturages.

L'air y était frais, il sentait le vent s'engouffrait entre ses jambes, son kilt ne le protégeait pas contre le froid, mais il était habitué et ce n'était pas un ou deux flocon qui lui faisait peur. Il c'était posté sur un rocher, dans la lande un berger gardait ses moutons, somnolent sûrement après une longue nuit de veille. L'aube orangé illuminait la neige de mille étoile scintillante, tel un océan d'éclat divin. C'était un vision qui inspirait le fier guerrier. Il droit dans le vent, tenant sa hache a l'envers sur le pommeau, le tranchant planté dans le sol tel une canne. Les rayons de soleil froid réfléchissait sa barbe d'or, il avait l'œil triste quand il saisit son instrument, mais ont pouvait distinguer la fierté qui émanait de lui au souvenir de ce tomber avec le cataclysme.
Il plaça ses lèvres sur l'embout en bois de sa cornemuse et soupira, arrachant une petite note de musique. Dans un souffle il dit.

"Gloire a vous mes amis, gloire aux ancêtres et gloire aux Menegoth, qu'ils vivant a jamais"

Et sans attendre il entama une longue mélodie, ne ressemblant sûrement pas a celle qui était commune des villes modernes. C'est avec honneur qu'il jouait le chant des dieux, celui qui accompagnait le décès et l'union, la toute dernière mélodie que l'ont apprenait une fois musicien de guerre devenue. Le champ sembla s'animer lentement, les moutons tournèrent la tête vers lui ainsi que le berger et son chien, immobile comme s'il craignait de casser cette épopée par un quelconque mouvement. Geldø était heureux, la tristesse avait disparut, ne laissant que de ces anciens souvenirs un force dans laquelle il pouvait puisé et qui le rendait heureux.
A travers la musique, jamais les Menegoth ne disparaitrons.

[Rp libre]

Tandis que len flânait a droite a gauche (en d'autre termes, il s'était encore perdu dans la ville) il tomba nez a nez avec une grande étendues de neige clairsemée de touffes d'herbes. Il vit quelques lapins, de ci de la, gambader dans la neige, quant tout a coup, il entendit une étrange mélodie. Se son semblant lui être inconnus, le demi elfe suivis la musique, jusqu'à tomber nez a nez avec le musicien. en plus de son accoutrement pour le moins insolite, Len n'avait jamais vu l'instrument avec lequel il jouait.

Comme charmée par la mélodie, il resta la, sans bruit, a écouter le musicien.

Miria arriva dans les pâturage, elle était déjà venu ici une unique fois, l'endroit était alors désert et Miria espera que ce soit à nouveau le cas afin qu'elle puisse essayer sa nouvelle épée à l'abris des regards qui se moqueraient inévitablement de l'inexpérience de la jeune femme.
Elle eut cependant vite conscience que son désir ne serait pas exaucée, alors qu'elle s'aventura sur l'étendu d'herbe elle entendit une triste mélopée et apperçut au loin une haute silhouette sur un rocher qui fut bientôt rejointe par une seconde. Elle ne pourrait pas passer inaperçut et décida donc de s'approcher de la source de la musique qui d'une certaines manière l'envoutait, la charmait et l'incitait à rejoindre le musicien.

La musique étaient belle, porteuse d'un sentiment bien plus fort que ce qu'elle avait put écouter à l'auberge. La longue plainte qui se faisait de plus en plus forte à mesure que Miria s'approchait lui donna quelques frissons, elle avait rarement entendu quelque chose d'aussi intense et d'aussi grand... Si elle avait du redéfinir le mot 'magie', elle aurait probablement proposer ce morceau comme exemple, il dégageait une telle impression de tristesse, mais également de grandeur et de fierté que Miria arriva a coté des des autres hommes avec une larme à l'oeil.

Elle s'assit à proximité de Geldo et écouta attentivement jusque celui-ci termine sa plainte... Elle ne sut alors pas trop quoi faire et ce trouva un peu idiote : il n'y avait aucune raison à sa venue. Elle se demanda s'il fallait applaudir au non, elle n'était pas à l'auberge et la musique étaient bien différente qu'elle avait l'habitude d'entendre la bas.

Elle évita donc le regard du musicien et se contenta d'essuyer discrétement sa larme du revers de la main en ajoutant :

"C'est... magnifique..."

Alors que Len écoutait l'envoûtante mélopée du joueur de cornemuse, Len remarqua qu'une autre personne avait été attirée par la mélodie. Et peut être la personne qui lui faisait a présent le plus peur de revoir. En effet, leur dernière rencontre, c'était finit dans la plus grande incompréhension de Len, et il n'était pas sur de savoir ce que ce baiser avait voulu dire, et avait donc peur de s'imaginer des choses factices.

Toutefois, même avec cette terrible peur qui étreintait son être, le demi elfe ne réussissait a quitter du regard la jeune humaine se trouvant a quelques mètre de lui. Il remarqua au passage qu'elle portait l'épée qu'il lui avait offert, ce qui eut don de lui faire plaisir. Toutefois, il avait étrangement aucune envie de faire le premier pas pour lui parler, même si, paradoxalement, il n'attendait que cela.

Le léger vent qui c'était levé faisait batailler les cheveux blonds du musicien de guerre. C'était une mélodie qui lui rappelait trop d'hommes et de femmes tombés, trop de mort et trop de massacre perpétuer. Mais tout en continuant a jouer, il souriait, c'est un chant aux morts et a la renaissance, tout ce qui meurt renait, tout ce qui renait meurt, ainsi était dicté la vie. Geldø était fier de faire partager aux gens environnant la musique de son âme. Il entendit plusieurs silhouettes camper derrière lui, un jeune homme non loin, et une jeune femme était assis prêt de lui. Il ne changea rien, continuant a émettre le sons parfait de son instrument jusqu'à la dernière note. Quand il eut finit, il mit en travers sa cornemuse et éleva les mains au ciel.
Avec force et joie il s'exclama.

"Soyez fier peuple oublié, votre âme sera préservé tant que la musique perdurera. Un jour, nous nous retrouverons tous."

Il avait finit sa phrase dans un murmure, pensant au jour ou il passerait a son tour dans l'ombre, ce jour la, encore une fois la musique serait son guide et il suivrait sa trace en s'élevant devant les grandes portes de Nobarion. Cette pensée proche ou lointaine le faisait toujours sourire, sa femme était morte pendant le cataclysme, et il louait les dieux de lui accordait un regard sur lui, espérant de tout cœur qu'elle le surveille de la haut. Le Menegoth se retourna lentement et a la remarque noble de la jeune femme il inclina la tête.

"Merci a vous noble dame, si le sons de la cornemuse et l'art des Menegoth vous plaise, sachez qu'ils vous en sont tous reconnaissant."

Conclut-il une main sur le cœur. Son instrument de musique était accrocher a une lanière de cuir dans son dos et sa hache bandait a un baudrier. Il continua.

"Je me nomme Geldø, enchanté de vous rencontrez sous une si belle journée".

Pour ponctuer sa phrase il tourna lentement la tête vers le soleil naissant, petit instant de paix dans un monde encore si tourmenté.

Une fois la musique finie, Miria prit le temps de dévisager les deux autres hommes (un homme et un demi-elfe en fait), et elle reconut Len qu'elle avait déjà croiser à l'auberge et qui lui avait offert son épée, elle lui adressa un sourire de reconaissance et reporta son attention sur Geldo, il venait d'adresser un hommage à un certain 'peuple oublié' qui devait apparement être, d'après ce que Miria eut comprit, les Menegoth.
Elle ne conaissait pas ce peuple :

**N'est-ce pas plutôt normal puisque c'est un peuple oublié ? Ce Geldo ne devrait pas être trop offensé si je lui dit que je ne connait pas la civilisation pour laquelle il chante ces louanges**

Elle se présenta à son tour :

"Enchantée Geldo, je suis Miria..."

Elle ne sut pas trop si elle devait présenté Len ou le laisser faire lui-même... Elle attendit donc quelques secondes pour voir si celui-ci se manifestait avant de questionner Geldo sur l'histoire des Menegoth.

[Vla, si tu dit rien Len, je continue ^^]

A présent il se souvenait. Cette étrange mélodie ressemblait a celles que son père jouait. Pas dans la forme, mais plutôt dans l'aura qu'elle dégageait. une impression de tristesse et de mélancolie. Il se souvenait que son père avait essayer de lui apprendre a jouer du violon, malheureusement, sans grand resultats.

Len se sentit rosir un peu quant il croisa le regard de la jeune serveuse. Elle et le dénommé Geldo commencèrent a se présenter, Len en fis de même. juste après que la jeune femme ait parlée, il ajouta, sur son ton timide habituel :

"Et moi, je m'apelle Len... Len Curtis."

Tout a coup, la serveuse se rendis compte que sa pause déjeuner venait de finir. Elle couru a toute vitesse en direction de l'auberge. [Parce qu'elle est partit en vacance] Len la suivis des yeux jusqu'à ce qu'elle disparaisse. Il resta là un grand moment, sans trouver quoi dire au musicien. Après quelques longues minute, il finit par se trouver idiot, et conclut :

"Hem, Eh bien, a la prochaine, Geldo, je vais moi aussi retourner travailler .. au revoir"

60 Xp chacun

» A l'aube
» Aube du chasseur
» A l'aube, sur un morceau de muraillle