[Quête] Les bas-fonds de Néolias

Vous, peut être, déclara-t-elle, les autres non. Tant qu’ils n’auront pas à leurs tours dévoilé ce qu’ils ont dans leurs bourses.

Les yeux de la femmes disparurent quelques instant. Puis, les loquets de la portes s’ouvrirent un à un, cliquetant légèrement sous la pression des mains de la jeune femme et l’entrée s’ouvrit, dévoilant aux yeux du mage la beauté de celle qui se disait la maîtresse de la maison close.




Nadia était blonde, plutôt grande, arborant une expression glacée que ses yeux cerclés de jais appuyaient à son apogée. Elle portait une robe à la mode, cousue sans aucun doute par l’un des plus grand couturier de la ville. Celle-ci, fondée en deux parties, l’une noir l’autre blanche, ne pouvait que se fondre dans les traits figés et froids de son visage, ainsi donnant au tout de son corps, une harmonie quasi parfaite.
Bien qu’elle eut ouvert la porte, Nadia gardait tout de même la poignée serrée entre ses mains. Elle ne semblait pas avoir peur mais si par malheur les gens qui accompagnaient le mage se révélaient être des hommes sans scrupules, elle devrait agir au plus vite, refermant l’entrée le plus tôt possible.

-Vous, vous pouvez entrer, dit elle en désignant Baltazar de ses yeux. Les autres, pas avant de m’avoir montré vos bourses, bien entendue.

L’antichambre de l’immeuble était sombre, austère, ne révélant aucune de ces décorations obscènes que les maisons closes affectionnaient habituellement en leurs seins. Ne révélant à la lueur de la seule et unique torche qu’un escalier sinistre dont la décoration, faîte de petits démons en bois sculptés sur sa rampe, semblait dénuer de toute chaleur, de toute grâce ce qui des lors ne pouvait s’apparenté à une maison close.

Le félin suivis le groupe se dirigeant vers la maison close. Il ne savait pas trop dans quoi il s'était embarqué car, même si il était a présent bilingue, il ne comprenait pas encore parfaitement le langage des humain, et, même en faisant attention, il n'avais pas tout suivis. Apparemment, ils pouvaient trouver des informations sur cette fillette, Margaux, dans cet endroit. Toutefois, on ne lui avait jamais dis que l'entrée était payante .... s'il avait su, il ne serait sans doute pas venu. Toutefois, il devait penser en premier a son but : sauver la fillette

** Eh ben, moi qui été heureux de ce premier acompte **

la peluche sortit docilement l'argent qu'il avait pris de la bourse du vieil homme ... Lui qui pensait le garder encore quelques temps il allait juste servir de droit de passage pour cette endroit ...

Alors que la belle femme ouvrait la porte, Modamar s'engouffrait à la suite de Baltazar dans l'ouverture. Il fit une légère révérence à leur ravissante hôte, et examina les lieux. Sombre et vide, aucun ennemi en vue si ce n'était une pauvre femme qui refusait par ailleurs de tous les laisser entrer sans gage de leur richesse et dont l'austérité suintait par chaque surface de la pièce. Il sourit, s'approcha d'elle avec un sourire aux lèvre, peut-être un gage d'avidité, la bourse dans sa main tiraillait ses muscles. Puis au dernier moment, alors qu'il s'apprêtait à remettre le sac plein de richesse à cette femme, il lui abattit sur la tête. Le sons creux et étouffé qui résulta du choc donnait un avis très trompeur sur la violence de se dernier et la pauvre n'eut qu'à s'effondrer sous le coup. Alors, lâchant ses pièces, et dégainant son sabre, avant qu'elle n'eut le temps d'esquisser le moindre mouvement, avant qu'elle n'ai put pousser le moindre cris, il lui trancha la gorge d'un geste précis et rapide. Le sans gicla, maculant à la fois le sol, la robe de la victime et le meurtrier qui pliait à nouveau le bras, se préparant à lui assainir un nouveau coup. La point de sa lame déchira plusieurs épaisseurs de tissus, la robe, la peau de l'abdomen, les parois de plusieurs organes. Puis, alors que le sang avait cessé de couler, démontrant que la vie elle même avait cessé d'habiter ce corps mutiler, il la perça de nombreux autres coups, charcutant la chaire, lacérant le visage.

Lorsqu'il s'extirpa du carnage qu'il venait d'opérer, il se tourna vers le mage et allant au delà d'une incompréhension dangereuse, il balbutia.

"Ici, c'est un piège, elle... pas amis..."

Baltazar allait annoncer qu'il était venu la avec ses compagnons pour prendre un peu de bon temps, même si l'endroit lui semblait bien trop sale et vieux pour une maison close, mais qu'importe. Mais il n'arriva pas a continuer, a peine le dénommé Modamar était entrée dans l'édifice qu'il sauta a la gorge de la jeune femme, un sabre en main.
Le mage était sans voix, tout c'était passé bien trop vite sans qu'il n'est put réagir a se pure massacre, pourquoi ?! Qui était donc ce Modamar ?! Il était déja très repoussant mais en plus si c'était une brute sans nom, il ne devait pas être inconnu des gêoles de Neolias.
Toussotant légèrement sous la vue du corps en lambeaux, il faillit sursauter quand l'homme lui parla. Baltazar aurait put exploser dans une colère sans nom, mais le fait que l'homme portait toujours le sabre le calma bien vite, même s'il n'avait pas vraiment peur, mais il devait trouver le mot pour parler a un être aussi rustre.

"Mais...Même si imaginons que ce lieu n'est qu'un piège, vous venez de tuez la possible seule personne qui aurait pu se trahir elle même et nous révéler de possible indice...Ont entre pas aussi facilement dans une maison pour tuer son premier hote...C'est inimaginable..."

Il sa posa une main sur la tête, consterné. Que devront t'ils faire maintenant ? Baltazar était trop confu pour réfléchir un temps. Par contre, il ne manqua pas de se baisser pour récupérer l'argent de sa bourse, autant lié le profit a l'enquête, de toute façon, maintenant elle était morte et il fallait trouver un autre moyen de trouver la signifiquation de se cette carte ensanglanté.

Il jeta un regard noir à Baltazar, le mage qu'il avait déjà eut envi de trucider plusieurs fois essayait de jouer au plus malin avec lui, il fit un moulinet avec son sabre avant de le ranger, ramassa sa bourse qui trainait au sol et avisa le cadavre.

"Pfeu, elle nous aurais trahis nous... pas elle... Ici surement pas l'endroit qu'on pense, rester vigilant et tuer le plus possible. Il faut tuer, c'est la loi de la survie."

Il ramassa alors la carcasse sanglante et la hissa au prix d'un effort important sur son épaule.

"Vous deux, nétoyer sang par terre, moi cacher cadavre... Je vous rejoins... plus tard... Nous somme pas encore repérés. "

Alors il sortit de la maison close, le corps de la fille sur l'épaule, traversa une rue, prenant garde non seulement de ne pas être vu, mais aussi
de ne pas laisser de trace de sang. Il s'engouffra alors dans une ruelle, où il cacha sa victime après lui avoir prélevé un bon morceau de viande.

(hrp: Bon bah le poste que j'ai mis avant ne compte plus)

Théodore avait assisté au meurte de la jeune femme. Cela ne lui fit ni chaud, ni froid. La mort était chose courante dans ce monde, un de plus ou un de moins, cela importait peu, tant que ce n'était pas sa vie ou la vie de quelqu'un qui lui était proche. Aussi, le visage froid et impassible, il s'avança vers la mare de sang. Poussant un soupir, il tendit le bras qui tenait son bâton et commença à incanter. Quelques secondes plus tard, un jet d'eau jaillit. Une fois que le sang dut bien mélangé à l'eau Théodore fit évaporer le tout, en dégageant une forte chaleur. Il ne restait désormais plus de traces de sang, ou du moins il aurait fallu regarder de très près. Puis se tournant vers les autres, il dit:

- Voilà une chose de faite, attendons maintenant cet être charmant, cause de cela...

Théodore sourit, bien qu'il ait conscience que ses camarades puissent être choqués...

** Bon bah cela nous fait déjà deux meutres sur les bras... Cette affaire est bien étrange... **

L'Homme chat restat tout a fait Stoique face aux ordres de Modamar. Certes, assisté malgré lui au meurtre de la jeune femme pouvait être expliqué et compris, mais, le fait d'effacer le sang, était là, une preuve formelle de ça complicité. Fang n'était pas mauvais, et encore moins criminel.

Il ne dénoncera Modamar, que si sa sécurité personnelle, ou celles d'un inocent était mise en cause, maintenant, il fallait penser a celles de Margaux. Esquivant la marre de sang grace a un saut, le félin décida qu'il était temps de rentrer. Il jetta un regard a Balthazar.. Apparement, au vue de sa tirade, il avait réagit comme le semi-félin, un lien de compation l'avais donc plus ou moins lié au magicien des sables. Il esperait qu'il le suivrait, au moins lui, ou bien au moins L'elfe noir et le vieil homme magiciens qui venait d'arriver un instant plus tôt.

[Oups, dsl, mal u ^^]

Le félin se retourna et écouta se qu'avait a dire l'apprenti mage. Il douta un instant puis, lentement, se posa près du mur, a l'entrée et dis :

"Vous ... avez raisons ... poensons d'abord a la petite margaux ... mais ne perdons pas trop de temps, sa m'étonnerai que personne ne vienne d'ici quelques instant, pour voir pourquoi cette femme ne revient pas, oubien simplement allerté par le bruit de son execution ..."

Le félin s'assis devant la porte de la maison, et ecouta l'interieur. son ouie fine de félin l'aiderai sans doute a entendre un éventuel habitant de cette maison, dont il ne connaissait toujours pas l'utilité

(Mjtage d'urgence )

Le cadavre est caché, toutes les personnes de la quête sont présentes dans le vestibule de la maison close. Le silence est complet, l'endroit dans lequel les aventuriers se situent semble étrangement désert.

(Reponse d'urgence )

Le félin s'avança d'abord. pas un bruit, même lui n'entendait rien, malgré son oreille féline. Il avança a pas de chat (Pas de loup, sa le faisait moins). Il regardait de tout coté, mais rien. La demeure était deserte ... Restant sur ses gardes, il continua a explorer, sans s'éloigner du reste du groupe

Le groupe principale (tout le monde, sauf Modamar)

Après quelques minutes de marches dans le couloir, le groupe tomba sur une porte en bois pourri. Après l'avoir franchi, un escalier les mena apparemment dans les sous-sols de Neolias. Un souterrain, assez semblable au précédent tunnel, de son obscurité, s'ouvrit a eux. Un portail se trouvait tout au bout de celui ci. Celui ci ressemblait à un filet de roses de fer en fleurs. Il n'était pas verrouillé, seulement fermé. à la lumière du Baton de Théodore, ce dernier remarqua un parchemin cachetée, posé au sol. Il était recouvert d'un peu de poussière, comme si une personne l'avais fait tombé d'une de ses poches par mégarde, et l'avais abandonné sans s'en rendre compte. Ou peut être avait il été laissé la pour quelqu'un ? A première vue, il s'agissait d'une lettre.

Citation :

Mon Cher disciple, toi qui veux rejoindre le fier groupe des Charognards des rêves.

Vient donc me rejoindre, au plus profond de la maison close. Prend garde, pour prouver ton lien avec moi, Julian, n'oublie pas de te munir du signe prouvant ton appartenance à notre groupe. Tu en trouvera sans aucun doute auprès du portail. Maintenant que tu es prêt, franchie la dernière porte, et rejoint nous, ta nouvelle famille...

Julian

Effectivement, si l'on croyais cette lettre, qui semblait ne pas leur être adressé, on pouvait remarquer, habilement camouflé dans les méandres de l'architecture du portail, de nombreux anneaux. Tressé de fils de fers, ils ressemblaient à de minuscules couronnes d'épines.

Modamar

Alors que modamar rentrait en effraction par la fenêtre, il sentit un regard dans son dos. Il se tourna vers la porte de la pièce, ou il remarqua une petite fille, bien trop jeune pour se trouver dans ce genre d'endroit. Celle ci ne semblait pas apeurée par la silhouette de cet homme venant d'escalader la paroi. Fixant Modamar de ses grands yeux, qui semblaient légérement trop grand par rapport au visage de la petite fille, la jeune fille ne fis aucun mouvement, comme si elle était en parfaite confiance

"Joint toi a moi ..."

Sans bouger les lèvres, la jeune fille continua de fixer Modamar. La voix qu'il avait entendu semblait appartenir a la jeune fille, bien que le son émis ne semblait ne pas venir de la bouche de la gamine, mais du plus profond de Modamar. Peut être que si ce dernier avait été un peu plus érudit, il aurai pu supposer qu'il s'agissait la de télépathie ...

*Cette gamine me parle comme si elle était de ceux que j'ai tué... peut-être veut-elle les rejoindre...*

Sa silhouette monstrueuse se redresse lentement dans l'embrasure de la fenètre, ses membres se déplient lentement, ses pieds un par un se dépose avec silence et légèreté sur un planché froid et poussiéreux. Une mèche de ses cheveux dont la noirceur se fond avec les ténèbres environnantes lui barre le visage et masque ses yeux d'où se déverse l'avidité et la cruauté. Ses pas, un par un, le rapprochent de la gamine. Une latte de bois grince sous son poids, un trait de bave coulle des commissures de ses lèvres et ses mains sont encore imprégnées de sang.

*Le carnophage ne se joins à personne, mais tous se joindront à lui...*

Il est face à la fillette que la disproportion de leurs deux coprs côte à côte n'effrai pas, soudains son bras se déplie en un éclaire, sa main ouverte vient apper ce visage dont la part de monstruausité est tout aussi importante que la sienne, le choc projette le corps frèle contre la porte et il le maintient imobile à plusieurs centimètres du sol. Alors il approche sa gueule immonde de la gorge blanche, y plante les dents et mord au sang.

*Ajourd'hui, je mange...*

[note pour le mj: les actions effectuées sont à prendre avec une valeur hypothétique dans la mesure où je ne suis pas sur de réussir, toutefois je ne le fais pas apparaitre dans le rp dans un soucis de syntaxte... ]

Pour certaines raison, l'ordre est déclarée morte. En d'autre terme, elle est annulée. vous pouvez donc reprendre une activitée normale au sein de Garkam