Aube du chasseur

Aun'vre arriva en ville, sa démarche saccadé effrayait les passant et les gardes le surveillaient, près à intervenir au moindre de ses agissements suspect, La méfiance était de mise dans la ville, cependant Aun'vre n'en avait cure et continua se diriger vers quelques maisons parmi les tentes. Après avoir acheter une lourde arbalète, il remarqua une discrète hutte recouvert de neige. Vu l'allure et les matériaux de l'habitation il s'agissait surement d'une hutte de chasse et c'est par instinct qu'il s'y rendit. Il passa la porte ou plutôt les banderoles de cuir qui la remplaçaient.

Il put découvrir un lit, une table avec un tabouret sur laquelle reposait un couteau de chasse, de l'encre et une plume.L'encre avait séché, la plume gelé était devenue roc et le couteau rouillé mais encore tranchant ne pourrait servir qu'au dépecçage.
Au mur pendait des peaux d'animaux et des ustensils de chasse.

Aun'vre se demandait qui pouvait bien vivre ici, mais sa il le savait, c'était un chasseur, mais quel type de chasseur? Et s'il rentait sous peu et le prenait pour un voleur? Le sang froid du reptile circula rapidement dans ses veine et il sorti d'un bond en arrière, attérissant sur une neige trompeuse l'envoyant au sol.
Et un villageois curieux s'approcha de lui, lui expliquant que plusieurs propriétaires avaient déjà vécu ici quelques temps avant de démissionner. La place était donc vaquante, une aubaine pour le voyageur sans travaille. Aun'vre essaya de sourir mais sa machoire ne lui permettait pas et le villageois aurait surement fuit si les yeux de l'homme lézard ne délivraient pas sa bienveillance naturelle.

Il réentra dans la hutte, apportant quelques modifications, le lit fut remplacé par une couchette, la table et le tabouret furent déposer dans un coin de son antre et il passa une nuit au chaud, la première depuis longtemps.
Au premières lueurs du jour il reparti vers la forêt, faire ses premières reconnaissances.

"Premier jour,
Je suis sorti par la porte tôt ce matin et me suit rendu dans la forêt de blanfeuillage, la route dans les plaines fut longue et désagréable mais la cime des arbres encore vert me remplit de joie. Dans cette forêt, j'ai pus repéré plusieurs animaux, notamment des loups, des lièvres blanc et quelques cerf, il semblerait qu'un équilibre à survécut à ce que les homme d'ici appelle cataclysme. J'ai vagabondé pendant quelques heure, posant mes premier piège, je me rappelle aussi avoir chasser un groupe d'écureilles pour me nourrir, chose amusante quand l'on sait que lorsque deux d'entre eux se tenaient sur un branche paisiblement, je me suis approché sans un bruit, et d'une petite pression, j'abattit l'un deux, mais pas celui que je visait, malheureusement.
J'ai ensuite déguster sa chair et ai passer une bonne partie de mon après midi à repéré lestraces des animaux sauvages en prenant garde de ne pas les déranger lorsque je tombait sur un groupe où une créature solitaire, leur heure n'était pas encore venu.
Je réussis aussi à abattre un petit chevreuil, ce serai ma première véritable victime. Cette fois ci, je le suivit avec ses parents, à contre vent bien sur. Je me positionna dans un arbre, me laissant une vue dégagé de ma cicble puis une autre pression sur le gachette et le petit mourrut d'un trait dans la tête, il n'eu souffert, j'en suis sur. Je le vida sur place avec le vieux couteau et le ficela pour le ramener à mon nouvelle habitat.
Mais lorsque je me rendit à Néolias, c'est avec stupéfaction que je vit s'avancer une horde verte, même ici, je ne pouvais leur échapper... Mais cette fois, je n'était plus le petit lézard d'atrefois et ma vengeance envers cette race leur laisser aun goût amer."

Aun'vre courrut en bondissant jusqu'à la ville et pu passer la porte avant que les gardes ne la scellèrent. Il courut déposser son gibier dans sa hute et s'emparra de son arbalète, rejoingant un group d'arbalétriers dissimulé dans une maison arborant les murs.

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» Aun'vre, le chasseur patient