Arrivé à Néolias

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[hrp Very Happy

ans ce rp, il y aura surement quelques incohérence sur le fluff pour l’équipement d’Haku mais je trouve que c’est mieux ici(accord d’un admin acquis Razz

Il y aura des musiques d'ambiance (en blanc) pour chaques post/hrp]

Dans un petit village paisible au Nord de Garkam, le soleil se lève sur la plaine. Dès l’aube, ses villageois se lèvent pour entreprendre leur tache quotidienne, mais parmi ses habitants, un jeune garçon vient de naitre entrainant la joie de ses parents, en effet, le nouveau né aura mis plusieurs heures à venir au monde, épuisant sa mère qui tomba rapidement dans le coma après l’éprouvant accouchement. La famille, à la fois réjoui et peiné amena le bébé aux sages du village pour l’examiner. Curieusement, après le passage du nouveau né, toutes les personnes qu’ils croisaient devenaient faibles, l’herbe jaunissait et les légumes pourrissaient. Le père devenait à son tour faible comme si il rentrait d’une dur journée à récolter le blé, puis il devint soucieux et faillit abandonner son enfant lorsqu’il se rendit compte qu’il était l’origine de ce fléau, mais cette décision, seul le conseil en avait la charge. Il s’agissait d’une assemblé constitué des plus sages hommes de la ville et leur paroles aurait pu être comparé à des paroles divines car les conseils avisés ont sauvé plus d’une fois le village. Evidemment, la question fut vite tranchée et l’enfant devrait mourir au plus vite. Lorsque sa pauvre mère appris la nouvelle, seul une phrase put être entendue parmi les sanglots : « Cet enfant n’est pas le mien, il est maudit ! C’est le fils du diable et à ce titre il n’aura pas de nom ! » C’est ainsi qu’Haku fut abandonné dans les montagnes. Le froid l’aurait surement tué, mais ce n’était pas son heure, il fut ramasser par un vieillard, ermite solitaire ayant fuit la civilisation. Ce jour là, alors qu’il recueillait quelques plantes aux vertus médicinales, il trouva cet enfant, abandonné dans un panier d’argile. Il le recueillit et le nomma Haku, malgré le fléau qu’il entrainait jour après jour, mais ce n’était pas par amour, l’enfant n’était qu’un rouage dans un plan visant à faire du mal aux races. Il l’éduqua à l’art de la métallurgie ainsi qu’à l’étude de la nature, et bientôt, à l’âge de huit ans, il lui apprit à contrôler ce pouvoir grâce à une rigueur et une discipline de fer. Malgré les moments de bonheur qu’ils vécurent, le vieille homme lui parla de la dite « civilisation », elle qui l’avait rejeté dès sa naissance, de l’amour des races à s’entre tuer pour des terres ou des rancœurs depuis longtemps oublié de tous, et, jour après jour, lui enseigna à ne jamais faire complètement confiance aux autres, que lui seul pouvait être digne de confiance en lui révélant que même lui se servait de lui, creusant un immense fossé dans son être, fermant son cœur. Il lui apprit aussi à ne suivre que ses propres règles, il pensait que lui qui avait déjà subit la solitude qui avait été abandonné par les siens deviendrais juste envers les autres, mais la haine avait grandit en même temps que lui, pouvant l’entrainer dans la folie à tous moment. Malgré cela, il resta normal, du moins jusqu’au cataclysme. Les années passèrent et des séismes les prirent au dépourvu lorsqu’une parti de la montagne s’écroula sur elle-même, emportant les deux dans une marrée de neige et de roc dans un bruit puissant, une avalanche, tellement fort que l’on aurait pu croire que les dieux hurlaient tous contre les mortels.

Au milieu des décombre, Haku se releva, un jour plus tard, ses côtes étaient brisées comme l’un de ses bras, mais malgré ses blessures, il trima plusieurs heures pour retrouver celui qui fut son mentor, non pas par amour mais simplement qu’il ne savais que faire seul, malheureusement, ses forces le quittèrent vite, et ce ne fut que lorsque ses larmes commencèrent à geler dans le froid devenu insoutenable qu’il le laissa, quelque part parmi les gravats et les flocons de neiges devenus dunes. Dès lors, la colère pris le dessus sur lui, et il draina la force de toutes les créatures environnantes pour se procurer la force de repartir vers les plaines, et très certainement celle de son maître s’il vivait encore, son bouclier sur le dos er sa dague, dissimulé dans l’un de ses gants. Il empreint des sentiers escarpés au milieu des rocs de glace et de roche comme les sentiers d’ébène, évitant des fossés tels des puits sans fond et affrontant le blizzard sans jamais faiblir. Du haut de la dernière falaise, il aperçut un petit village. Ses lumières scintillaient comme des feux follets flous, éphémères, balayé par un souffle glacial. Son village natal.

Haku reconnu le village, non pas par souvenir, mais grâce aux quelques paroles du vielle homme. Tout autour du village s’étendait les montagnes duquel le fleuve gelé qui coulait depuis les glaciers, traversant les ruelles pour repartir vers la mer, « il semblerait que le tremblement de terre ne les à pas touchés ». Le village était composé de quelques maisons pittoresques, dont la plus prestigieuse était celle du conseil, une merveille le architecturale gothique dont les tours de pierres plongeais une grande partie de la journée de nombreuses demeures, en comparaison aux humbles habitations construites de roches et d’argile en forme de dômes, le tout était surplombée d’une colline sur laquelle se dressait faiblement un grand cerisier, qui, autrefois recouvrait les sentiers d’un rideau de magnifiques pétales roses. Désormais il n’étai qu’un tronc blanc, parasité par d’étranges ronces couleur sang qui se nourrissait d’animaux ou d’hommes condamnés par le conseil. Mais cette journée fut sans soleil, mais le ciel était grisâtre voir noir à certains endroits. Haku descendit les quelques escaliers taillés à même la pierre pour entrer accéder au village, sur le chemin la vigne sanglantes étira ses branches vers lui pour se nourrir, ses extrémités fonçaient vers lui, guidé par la faim, cependant elles ne purent qu’heurter le bouclier d’Haku sans le traverser et n’eurent pas le temps de si enrouler, son repas était déjà loin.

Dernière édition par le Dim 21 Oct 2007 - 23:40, édité 1 fois

Une fois aux milieux des rues, les villageois le regardaient d’un œil méfiant, il fallait dire que peut d’homme innocent passait dans le coin, et un homme encapuchonné ne passait inaperçu. Malgré le fait qu’il fut abandonné par ces gens, Haku n’éprouvait pas de ressentiments, non pas parce qu’il avait décidé de leur pardonné mais à cause du peu d’émotion qu’il ressentait, il ne connaissait plus l’amour et jamais ne fut attaché à quelqu’un depuis des années. Aux fenêtres comme dans les rues, tous le fixait, avec sa taille et les cheveux blanc qui dépassait, tous le prenaient pour un vieillard. Lorsqu’il eut fini de traverser le village, il tomba sur un groupe d’hommes qui s’apprêtaient à prendre la route, il s’agissait de marchands qui allaient en direction d’Alias avant de partir pour le port puis de remonter le long de la mer. Cette aubaine était un présage pour Haku, il devait les suivre, en ville, il trouverait certainement du travail. « Sa va pas être évident de me joindre à eux… » Haku n’eut pas le temps de se présenter qu’un homme courait vers le groupe de marchands, les prévenant des répercutions du cataclysme.

Mes amis, c’est horrible, la grande cité d’Aléas n’est plus, ses murs et ses maisons se sont effondrées, il nous faudra s’en aller à Néolias, un camp fortifié dirigé par un puissant seigneur, Sir Minimus Master. La cité se trouve au Nord Est du port. Allons, allons calmez vous, ce n’est pas la seul nouvelle importante, je me doit de vous informer que le récent tremblement de terre n’est pas survenu seul, dans tout le pays, la terre est recouvert d’une épaisse couche de neige et nombre de créature plus dangereuses les unes que les autres se sont réveillé dans les profondeurs.

A ces mots la panique saisi la populace et seul l’intervention de quelques membres du conseil put ramener le calme en prêchant que les dieux les aideraient à traverser cette périlleuse épreuve, et en faisant escorter la caravane par des hommes armées venus de terres lointaines, des mercenaires. Si leurs dires étaient vrai, Haku pourrait s’infiltrer sans grandes peines au milieu des marchands. Evidemment, ses armes le définissaient comme un combattant au milieu de ces fermiers. Bien qu’Haku ne disaient rien, les gens se chargeais de faire des suppositions à son sujet, il n’avait qu’à marcher près d’un chariot comme les trois autres mercenaires. Lors des premiers jours, il put apercevoir à de nombreuses reprises une personne de son âge l’observait timidement, intrigué, sans doute, par cet étrange personnage au visage d’enfant et aux cheveux blanc, comme ceux des anciens. Cette nuit là, ils s’arrêtèrent sur un large plateau, autrefois le grand lac qu’il abritait n’était gelé et la terre portait de magnifiques champs de fleurs aux couleurs enivrantes et pleines de vie, désormais cristallisés, le paysage était stérile, sans vie, tandis que de lugubres nuages suivaient chacun de leurs pas. Cette nuit là, ils ne s’aperçurent de rien et montèrent le camp, et, pendant que les hommes jouaient de toutes sortes d’instruments, les femmes se livrait à un boléro vivace, entrainé par la merveilleuse mélodie, beaucoup de couples vinrent danser autour mais aucun couple ne rivalisait avec elles. Alors que les marchands se dansaient et chantaient, Haku était assis sur la toile d’un chariot, observant de loin quelques ombres virevolter au son des instruments, soudain, il entendit des pas s’enfoncé dans la fine couche de neige, derrière lui. Il tourna la tête et aperçu une jeune fille qui pris peur, mais en essayent de s’enfuir, ses jambes s’entremêlèrent, la faisant tomber au sol. Elle commença à pleurer à cause de la douleur à sa jambe, mais aussi à cause de quelques flocons s’étant infiltrés dans son épais manteau de fourrure blanche, « … » malgré son apparente détresse, Haku détourna le regard, la laissant sangloter, envouté par la danse fugace des marchants qui s’arrêta peu après, laissant place au silence obscure de la nuit sans étoiles.

J’aurai pas du venir, ce voyage est trop dur, nous n’avons pas quitté les montagnes que je n’en peu plus, le village me manque, en plus je me suis ridiculisée… dit-elle entre deux larmes en murmurant. Puis vint une main amicale, presque complètement recouvert d’un épais gant noir arborant une étoile à cinq branches. Un sataniste ! Non, c’est l’étoile du gobôsei, elle symbolise le cercle de la vie. Bon tu l’as prend cette main ? Ce fut la première fois qu’elle entendu le son de sa voie, mais ce ne serait pas la dernière. Malgré cette main amicale, elle refusa, essuya ses larmes avant de l’assommer de questions.Je m’appelle Malah, et toi comment tu t’appelles ? Tu viens d’où ? C’est vrai que tu es un mercenaire ? T’as déjà tué d’horribles créatures ? T’as une petite copine ? T’es armées ? Pourquoi tu as les cheveux blancs ? Pourquoi tu nous escorte ? T’as eu un maître d’arme?C’est normal la veine sur ton front ?...Une seule question résonnait dans sa tête « Misère, pourquoi moi La caravane avait repris la route pour Néolias, évidemment, Haku ne voyageais plus seul, Malah le suivait le plus près possible, posant toujours beaucoup de questions tout en parlant d’elle, bien sur, il semblait ne prêter qu’une oreille sourde à ses paroles, en apparence du moins car elle était bien la seul lui tenir compagnie, les autres, méfiants, préféraient ne pas s’approcher de lui, surtout depuis qu’elle était avec lui car franchement, qui se joindrais à un inconnu des plus louches et un fille paradoxale à la laideur mais qui ne s’arrêtera de parler qu’avec le repos de la tombe, du moins, on ose le penser. Tu ne veux pas parler ? D’accord je comprend, t’aime pas parler aux étranger, dans ce cas…. je suis nés dans le village d’où nous sommes partis, je ne te dirai pas mes mensurations (pourtant généreuse, dommage ^^), autrefois je vivais aves mon père et ma mère mais ils sont mort quand j’étais toute petite et c’est un ancien qui m’a recueilli, je n’ai aucun souvenir de mes vrai parent, sa parait triste mais en fait c’est pas grave je suis très heureuse comme même. Et toi tu t’appelles comment ?

…

T’es muet ? Hahahaha, faut pas être timide tu sais, j’vais pas te manger

Pff, tu ne te tais donc jamais ?

Ouaiii, t’as parlé ! C’est un miracle, t’as retrouvé ta langue !? Moi, je ne parle pas beaucoup pourtant, tu me rappelle un vieux ronchon d’ailleurs, il vivait dans une petite maison et ne sortait que pour se plaindre, mais ça c’est autre chose, en plus t’as pas une voix de p’tit vieux alors pourquoi t’es tout blanc ? Et puis, à ce moment Haku la coupa,et puis il y a un ogre sur ta droite.Paniqué, Malah tourna la tête, une expression d’horreur la défigurait et un frisson parcourut son échine lorsqu’elle vit ... un coq. (Oui, c’est l’enfoi** qui vous à réveillé ce matin ^^) Et lorsqu’elle reposa les yeux vers Haku qui venait de se jouer d’elle, il n’était plus là, disparu dans un vent glacial.

Il avait réussis à trouver une faille exploitable, il s’esquiva entre deux chariots, avant de s’accrocher à l’arrière d’un d’eux pour se dissimuler au seins de diverses objets de bois, armoires, chaises, roking chair, tout un mobilier qui allait être vendu dès leur première escale. « J’ai enfin pu m’en débarrasser, non mais quel plaie » Une journée qu’il était parasité depuis l’aube par cette fille radieuse et charmante mais qui le serait plus apprécier bâillonnée. Le crépuscule, enfin, comme l’aube, il aimait bien ce moment où, l’ombre et la lumière s’échange, laissant à l’autre dominer les vastes étendues de Garkam. Bien évidemment, le camp était monté, une trentaine de tentes à peu près, mais cela était bien suffisant pour lui échapper. Cette soirée il allait la passer au calme, du moins tant qu’elle ne l’approchait pas, c’était sur cette idée de base qu’Haku comptait passer la fin de la journée. Il se rendit dans la tente où tous les autres mercenaires se regroupaient, à première vu, il n’y avait que des nains, des humains, mais aussi des elfes, alors, bien sur, l’ambiance était assez électrique. Haku pouvait déjà observer un nain en train de défier un elfe, du moins, il l’insultait (étonnant ? ^^), disant qu’il ne pourrait même pas gagner un bras de fer avec un enfant, tout en désignant Haku du doigt. « C’était trop beau pour durer…. »

Bon, le nain de jardin, commence pas à me taper sur le système, va emmerder l’elfe.

]Il a raison, venez plutôt vous battre contre moi.

« Et voilà la l’elfe qui s’en mêle » Non mais laisse tomber, c’est pas un m mage elfe qui va battre un guerrier nain.

Tu vois, même le môme me donne raison, même si c’est une véritable girouette haha ! A ce demander de quel camp il est.

Un camp ? Je suis dans mon camp tout simplement.C

’est absurde.

Mais non ! C’est juste qu’il a plus de courage que toi.

Dis donc sac à vin, vous n’avez pas rendez vous avec une pinte ou plutôt un tonneau de bière ?

Mais c’est qu’elle est mignonne avec sa robe, tu devrais rentrer, ton mari doit s’impatienter.

Je vous trouve bien prétentieux pour un nain, votre vantardise est paradoxal à votre taille.

« Ils me soulent, mais ils me soulent ! » En peu de temps, le nain renversa une table d’un ample geste, reversant la quasi-totalité des aliments qui y étaient exposés, s’en suivit de regards noirs de la part des protagonistes et bien qu’une ambiance explosif régnait, on pouvait entendre des pari sur e vainqueur du conflit imminent. En un éclair, Haku pu admirer un conflit qui traversait les millénaires, la hache du nain fendait les distances à une vitesse qu’il n’aurait pu égaler, en face l’elfe arrivait à évité la lame affuté du nain tout en incantant, mais alors qu’il rassemblait de la mana, un uppercut lui ferma la mâchoire et quelques dents. L’elfe mit à terre, les railleries du guerrier nain qui touchait son pourcentage d’or sur les mises puis tous s’en allèrent avec les moqueries du nain, délaissant le mage qui gisait encore au sol, seul, au milieu d’une pièce vide, ou presque, Haku s’accroupissant près de l’elfe pour lui parler :Tu t’es pris une de ces raclé mon vieux, il faut dire que le corps à corps désarmé et qui plus est contre un combattant certifié

…

Arrête de faire la gueule, ça pourrait être pire, il pourrait y avoir l’autre. Il l’aida à se relever puis il le raccompagna jusqu’à sa tente, non pas par amitié mais surtout pour lui échapper (oui oui, c’est de Malah qu’on parle^^). Une fois arrivé, l’elfe l’invita d’un geste du bras, plus par politesse que par plaisir, bien sur il aurait refusé s’il ne l’avait pas aperçu du coin de l’œil. L’intérieur était conçut seulement pour les besoins primaire, à part quelques livres errant sur une table faite avec des rondins, éclairé par la faible lueur d’une bougie. Un long silence, pesant, ne fut brisé qu’au bout d’une vingtaine de minutes par les animaux qui chassaient dans les plaines environnantes avant de reprendre. L’elfe, vexé par sa défaite et Haku de nature peu bavarde laissa les esprits s’assoupir jusqu’au petit matin, réveillés par l’habituelle et quincophonique mais traditionnel « cocorico » de l’abominable poulet. Pu**** de piaf, je faisais un beau rêve »

Salut !

Sujet: Re: Arrivé à Néolias Lun 26 Nov 2007 - 19:32

Malah se trouvait à côté de lui, la tête penché, arborant un sourire niais à moitié caché par ses cheveux noirs qui tombaient jusque sur sa tête, il les éjecta d’un mouvement sec avec la main." et merde, le coq et maintenant elle !"

J’ai préparé à manger, t’en veux ?

Et l’elfe il est où ?Demanda-t-il, perplexe.

Quel elfe ?

Haku se redressa, fit le tour de la pièce avec les yeux, la tente était vide, et si l ne l’avait pas réveillé, cela voulait dire qu’il c’était servi de magie sinon il l’aurait réveillé car il avait le sommeil très léger. Haku revint posé le regard sur Malah, sur le repas serait plus exact. A ses pieds, du pain, un peu de viande et du miel, un véritable festin, privilège pour une descendante d’un patriarche (membre du conseil) qu’il regardait désormais d’un œil non-chaland et semblait mettre mal à l’aise la jeune fille qui détourna les yeux.

Bon, je voulais juste te dire que l’on part dans peu de temps.

« Curieuse femme, elle m’apporte de la nourriture sans rien demander en retour…. » Il étala un peu de miel sur un morceau de pain pour l’avaler goulument avant de sortir, tous étaient prêts à repartir vers la mystérieuse cité de Néolias où ils pourraient gagner assez d’argent pour vivre, une année de plus. Vint l’heure du départ, les véhicules et leurs occupants démarraient au son de cors. Ils traversèrent une longue et interminable plaine enneigé qui brillait sous l’astre ascendant qui chauffait si fort qu’il semblait c’être approché de Garkam or aucune goûte ne se formait, mais le plus surprenant fut sans doute les bourrasques de vent glacial qui balayaient ces étendues devenues stériles. En effet, sur plusieurs kilomètres, aucune forme de vie, aucune plante, aucun oiseau qui volait au dessus de cette terre autrefois luxuriante, désormais, seul les milliers de reflets de chaques flocons animaient les lieux.

Plus tard, sous un soleil de plomb, un gigantesque nuage se rapprochait à l’horizon, et, en peu de temps, se détacha du ciel pour se révélé être une tempête de neige. Ile mur blanc mit peu de temps pour arrivé sur le convoi, les ensevelissant petit à petit dans un hurlement céleste, créant une panique quasi-générale car seul quelques uns d’entre eux. Haku ne distinguait pas réellement les silhouettes qui passait près de lui, et lorsque sa cape fut quasiment recouverte, regretta d’avoir choisit de s’installer sur la toile d’un chariot . Des vents violent recouvrait le convoi d'un épais drap blanc à chaques minutes au milieu, on ne distinguait plus rien et les quelques forment mouvante étraient recouverte d'un liceuil glacé. Puis les hurlements du vent se calmèrent et le soleil revint, Haku, enterré sous sa cape et son bouclier balaya la neige d'un ample mouvement. Malgré la nouveautée de l'évènement, Haku avait toujours un visage inexpréssif, tapotant sur son épaule, dégageant la poudre gelée.

On dit qu'un malheur n'arrive jamais seul, une autre vague blanche approchait, mais d'une toute autre nature, celle ci était fait de crocs et d'un cuir solide.Une horde de loups se montra à l'arrière des chariots. Leurs poils blanc étaient recouvert de la poudreuse apporté par la tempête, leur yeux jaunes arboraient une expression vide, leur museaux respiraient abondemment l'odeur de viande, transprter par les bouirrasque à plusieurs lieux. La meute affamé ne pouvais pas les manquer. Très vite, un cri se fit entendre, l'alerte. Les mercenaires se dressèrent face à ces bêtes, armes à la main. Haku sauta du chariot et se saisit de l'un de ses poignards. La meute se rapprochait inexorablement, loin d'être intimidé par ce rassemblement d'humanoïdes. Le nain avait sa hache enter le mains, ses yeux ifixaient les loups, sa barbe devenue blanche le transformait en bonhomme de neige lorsqu'il se tourna vers les autres pour élaborer un semblant de stratégie. L'elfe, lui, commençait à faire affluer le mana et à le façonner. Haku était en première ligne du fait qu'il possédait un bouclier contrairemenbt à la plupart des guerriers, derrière lui, l'elfe essaya de le rassurer, action inutile, le jeune guerrier n'avait plus peur de la mort ou d'une fin atroce, inutile de parler de ceux qui l'entouraient.

La seule raison qui le fit combattre était qu'il n'irait pas loin sans carte. La horde de loup s'élança dans un charge, ils arrivaient. Arrivé à quelques mètres ils sautèrent, plusieurs d'entre eux furent fauché d'un coup de lame, un autre eu la tête empaler contre l'une des pointes du bouclier d''Haku lorsqu'il le releva busquement, mais derrière le premier, un second manqua de lui planter ses crocs dans la jambe, la créature finit carbonisé avant de le toucher, il tourna la tête brièvement, voyant des cones de flammes sortirent de l'elfe, incendiant un à un les loups. A peine reporta-t-il sont regarde devant lui que deux autre loups vienrent se jeter sur lui. Il se coucha, évitant l'impact tout en se protégeant, son bouclier collé à lui. Les bêtes dérapèren exessivement, ne pouvant prévoir la couche de glace dissimulé sous la neige. Haku en profita pour planter une de ses armes dans une patte blanche, clouant le loups, il sortit sa deuxième dague, débarrasser de l'adversaire superflux, il regarda dans les yeux la terrifiante créature. Ils se tournèrent autour, échangenant des regards avides de sang, puis, dans un bond insoupsonnable, Haku arriva en face du loup qui ouva la gueule aux canines assérés. Néanmois, elles ne trouvèrent que le métal froid d'un bouclier, lui cassant le musseau. La bête, désorienté sans son flair et blessé ne put se défendre lorsqu'un revers lui transperça la tête. L'ennemi laissé plus loin avait réussit à retirer la dague qui lui mutila la patte, boitant, il ne put s'enfuir sans glisser sur le sol mouvant. Toutefois, ses crocs ne s'étaient pas calmés pour autant et ce fut d'un coup de bouclier que le loup fut renverser avant d'être éviscéré.

Dans ue gerbe de sang écarlante, un grand louip lui fit face, sa présence était plus lourde et plus difficilement supportable, probablement le chef de la meute. La créature tournait autour d'Haku, retrancher derrière son bouclier, accroupit et serrant fermement une de ses dagues baigné de sang. Le chef de meute sauta, feintant le bouclier et aggripa son bras, qui fut trop lent pour réagir. Il se dégagea en tentant d'heurter le loup à la tête avec une des pointes ornementale, mais le coup ample laissa l'assailant se dégager. Le bras en sang, irrité par la froidure de l'hivert restait utilisable, pour quelques instant. N'ayant d'autre choix qu'une action offensive, il tacla en direction du lioup qui se jeta sur lui, rebondissant contre le bouclier fermement tenue et récoltant une entaille qui lui scinda l'abdomen en deux, Haku avait laisser sa dague perpendiculairement au sol dans une action défensive que se révéla d'un bien meilleur usage que ce qu'il avait pensé.

A la mort de leur chef, les survivants de la horde fuyèrent à travers les étendus blanches.

Encore ce rêve, Haku se réveilla, les yeux encore dans ses songes, il se rendormis, ne sachant que trop bien que la suite de son voyage surviendrait bien assez tôt.

[hrp: voilà, première partie finie, mais ne loupez pas le prochaine épisode qui se déroulera dans les ombres marais à l'ouest de Néolias(manque d'inspiration pour continuer se post -_-)/hrp]

+ 400 xp ( c'est noël avant l'heure )

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