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 Petite chasse

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Modamar
Ratier
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Modamar


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MessageSujet: Petite chasse   Petite chasse EmptyJeu 2 Aoû 2007 - 13:43

ATTENTION LE CONTENU DE CE RP EST TRES VIOLENT ET PEUT CHOQUER LES PERSONNES SENSIBLES
( ce n'est pas une blague )


Edit Admin : Après lectures du Rp, je répète, âme sensible s'abstenir !


Modamar venait de sortir d'aspic 2000, la neige qui tombait autour de lui se déposait délicatement sur ses épaules mais n'était pas visible dans l'obscurité. Ses pas néanmoins émettaient des craquement sonore en s'enfonçant dans la couverture blanche qui généraient sa discrétion. Et comme pour s'assurer qu'il ne passerait pas inaperçu, un peloton de rat se regroupa autour de lui. Il soupira haussant légèrement les épaules, après tout il n'avait surement pas l'intention de faire dans la finesse. Comme toujours la nuit était plus que froide, lui qui avait passé sa vie dans ce climat ne bénéficiant jamais de la chaleur de véritables vêtements, il s'en moquait évidement, lui. Il était si différent, aujourd'hui plus que jamais il était en droit de se demander, était-ce une force ou un fardeau ? Pour ses vendeurs la réponse était évidente, c'était d'ailleurs la majeur raison pour laquelle ils étaient à ses cotés lui permettant d'accomplir le plan, malgré la crainte qu'ils pouvaient avoir de se faire bouffer. Exemple frappant à l'instant dans l'attitude de Poc, cela passerait surement, peut-être fallait-il seulement que chacun s'habitue à l'autre.
Tout en marchant il était passé devant plusieurs tentes mais n'avait croisé personne. Parfois l'une d'elles était illuminée de l'intérieur, signe que son occupant ne dormait pas encore. Signe surtout qu'elle était habitée à l'instant. Cela pouvait toujours servir de cible si il ne trouvait rien. Il se devait de trouver une proie. Si sa faim avait été atténuée, son sadisme refoulé et accentué par la présence des frères qu'il n'avait le droit d'attaquer était sur le point de le submerger. Sa prochaine victime serait l'une des moins chanceuses de son existence il en avait la certitude, c'était inévitable, autant qu'il la choisisse bien. Elle subirait des tortures qu'ils n'avait encore jamais put pousser jusqu'à ses désirs les plus extrêmes. On aurait presque put déceler un aspect sexuel dans sa démarche mais l'appel du sang était beaucoup moins subtil que ça. Il en était encore à un stade très basique de cruauté parfaitement gratuite. Gratuite mais pas négligeable, il était maudit et ne pouvait pas lutter contre cela, c'est du moins ce qu'il croyait. Une situation un peu analogue à celle de ces rats, courant autour de lui et lui mordant le pieds de temps à autres, ces créatures guidées par une force supérieur.
Malgré un champ de vision très réduit, Modamar sentait la mer des tentes s'étendre loin dans chaque direction, et toujours pas la moindre victime en vue. Pas de bruit non plus, juste ses pas dans la neige, l'obscurité et le silence qui l'accompagnait toujours. Seule une tente semble habitée. C'est une petite tente individuel, dans laquelle on peut à peine tenir debout. Elle luit d'une lueur ocre que seul une ombre fine trouble. Une silhouette floue sur la toile. Il s'approche. Il sens ses pulsions se répandre dans ses membres, son pouls accélérer, il passe légèrement sa main sur le tissu, regarde aux alentours, il a toujours l'espoir de trouver une cible marchant aux alentours. Son attention se reporte sur la tente. Il sors une dague, le frottement provoque un bruit cristallin qui alerte la personne à l'intérieur, son ombre bouge mais quelques secondes plus tard retrouve négligemment sa position initiale.
D'un coup de dague il éventra la tente et fit irruption arrachant un cri de stupeur à la jeune fille qui s'y trouvait. Elle était à la fois belle et simple, au regard limpide et teinté d'innocence et de frayeur. Sa première réaction ne fut pas de sortir en hurlant mais d'attraper le premier objet venu à savoir une bouteille de vin dont elle répandit par mégarde le contenu sur ses habits de nuit. Ses gestes étaient fébriles, elle tremblait et pas seulement de froid, aussi une large tâche de vin ne devait pas la préoccuper. Tout en maintenant sa bouteille toujours pas tout à fait vide braqué sur l'intrus elle recula lentement en rampant. Modamar, lui prit d'un geste son arme finissant de la vidée sur le sol de couvertures, puis attrapant la jambe de sa proie il la tira vers lui. Elle hurla, gifla, il frappa de la garde de sa dague qu'il n'avait pas lâché l'assommant presque sur le coup, puis lui saisit la gorge et assura son étreinte en s'avançant sur elle, la coinçant entre ses genoux. Il n'avait pas l'intention de la tuer, pour le moment, elle souffrirait jusqu'à ce qu'il puisse côtoyer des humains sans avoir des pulsion de meurtre, à ce moment il la tuerait.
Sa main saisi sa tunique au col, et en arracha un large pan pour faire un bâillon. Il venait de dénuder une épaule et un début de sein, provoquant une ultime mais vaine tentative défensive. Il lui couvrit la bouche, puis continua de lui arracher par lambeau ses vêtements, se délectant de sa peur toujours croissante. Ses regards suppliants étaient emplis d'une tristesse déchirante, l'encourageant à continuer. Il avait mis à nue une poitrine élégante mais ne pouvait descendre plus sans perdre de son assurance. La pointe de sa dague se balada un instant sur la peau pâle et délicate, il n'était pas encore l'heure de faire des trous. Il retourna le corps tout en paralysant les bras, le tout était d'une finesse très sensuelle. Avec quelques lambeau il attacha les mains, puis les pieds. Cette fois il pouvait bouger sans risquer de la laisser fuir. Quand il la remit sur le dos, il remarqua une larme couler le long d'une joue. La seconde d'après la jeune fille était entièrement nue.
Son corps était une perle, une perle qu'il inspecta un instant, admira également. Pas le moindre défaut. Il éloigna un rat qui voulut y gouter, caressa la cuisse, douce et ferme, remontant jusqu'à l'aine puis planta ses ongles crasseux dans l'abdomen. Un gémissement arriva jusqu'à ses oreille, il la regarda, elle pleurait, reniflant de temps à autre, lui il souriait,une expression moqueuse sur le visage. Il enfonça plus profondément ses doigts provoquant un gémissement plus long puis les retira. Le sang commença à couler, il en avait évidement plein les doigts et en profita pour le répandre sur la poitrine de sa victime du bas des seins jusqu'à la gorge. Son regard se reporta sur ses cuisses, des cuisse qu'il n'avait encore qu'éffleuré. Il approcha son visage, posa lentement sa tête puis planta les dents. Son sang était doux, légèrement teinté d'une très légère pointe d'alcool. Il mordit plusieurs fois au même endroit, meurtrissant la chaire, en arracha un épais morceau qu'il cracha au visage de sa victime. Il en avait terminé avec les préliminaires, sortant une dague il enjamba le corps et planta profondément sa dague découpant une large plais. Un spasme douloureux accompagna l'incision qui se poursuivit le long du flan, jusqu'à buter sur une côte qu'il cassa en forçant un peu. Il planta encore sa dague dans l'épaule, dans le bras, fit un longue incision au dessus des seins, une autre sur la joue et une dernière sur le haut du front. Modamar observait toutes les réaction de la jeune fille qui semblait à bout, plus elle souffrait et plus il en profitait, la torture ayant prit un coté jouissif.
A présent il ne se préoccupait même plus des rats qui s'étaient agglutinés autour de la martyre et commençaient à la dévorer rongeant ses jambes ou ses bras. Modamar avait lâché sa dague et s'était mit à ruer sa victime de coups. Plusieurs l'atteignirent à la tête lui brisant le nez et lui cassant des dents. La poitrine aussi était une cible de choix, il la martela pendant plusieurs minutes jusqu'à sentir des os rompre sous ses assauts, il éclata alors d'un rire franc et retira le bâillon. Le visage, d'une grande beauté quelques minutes plus tôt était devenu une plaie sanguinolente. Aucun cri ne s'échappa de la bouche libre. Il la frappa, ne parvint qu'à lui arracher un soupire, alors plongea ses mains dans ses entrailles, les déroula, termina d'ouvrir l'abdomen puis remonta lentement jusqu'aux poumons. Il tritura un peu chaque organe, s'amusant encore à étudier la place et l'aspect de chacun d'eux. Son jouet n'émettait presque plus aucune réaction. Il l'avait épuisé peut-être un peu trop rapidement. Relativement déçu il caressa un peu ce corps que les rats finiraient durant la nuit, ce corps qui vivait ses derniers instants mais qu'il avait décidé de ne pas achever. Le froid avait refermé la plupart des plaies retardant l'hémorragie, peut-être s'en sortirait-elle si les rats ne la finissaient pas. Il s'allongea sur elle, posant la tête sur sa poitrine pour écouter battre son coeur. Il s'enivra de sa chaleur, de sa douceur, et observa ses rongeurs.
Le coeur avait cessé de battre depuis un moment quand modamar décida de s'en aller. Se levant il observa la jeune fille, son corps était sublime avant, à présent c'était une véritable oeuvre d'art. Si seulement les trois frère pouvaient la voir...
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Kurbitas
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MessageSujet: Re: Petite chasse   Petite chasse EmptyJeu 2 Aoû 2007 - 14:05

Au secours ! Voilà le seul mot que venait d’entendre Kurbitas. Il s’était présenté dans le hall de la caserne, une femme était arrivé en courant, elle était en pleure, et comme le hasard fait bien les choses, elle s’était dirigée vers le gnome. Celui ci l’assis sur une chaise avec difficulté. Son visage était marqué par la peur et la terreur. Ses yeux étaient rouge, les larmes les avaient irrité a un tel point qu’elle aurait put en devenir aveugle. Ses joues semblaient encastrées dans son visage, son teint livide, elle semblait avoir était poursuivi par la mort.
Kurbitas posa une main sur l’épaule de celle ci, comme pour lui procurer un réconfort qui n’arriverait jamais. Il fallut bien une vingtaine de minute pour que les larmes se raréfient et qu’elle respire a nouveau normalement. Le gnome avait rarement rencontré une personne dans un tel état de choque, il s’était passé quelque chose de très mauvais, quelque chose d’horrible. Un nouveau meurtre sûrement mais plus sanglant que les autres…
Il attendit que la femme le regarde dans les yeux pour lui parler yeux dans les yeux.


« Bonjour Madame, je me nomme Kurbitas, milicien et bibliothécaire du campement, quel et votre nom ? Et que ce passe t’il ? Respirez oui…Allez. »

Le regard de la femme semblait affolé, elle se mordait les doigts et jeté des regards hâtif partout, comme si elle craignait que le mal surgissent et l’emporte si elle parle…Après encore une bonne dizaine de minutes, elle annonça d’une voie saccadée..

« Mo-mon-mon Nom…As-As-Astride ! Se-secour’ le ma-mal il, il est la-la ! Meur-meur-meutre ! Dan-dan…Dans le quartier nord ! »

Elle finit sa phrase et fondit en larme, si bien que Kurbitas pensa que jamais elle ne s’arrête de pleurer. C’était aussi les derrières parole censé qu’il pourrait tirer de cette femme, sauf s’il usé d’une potion de bien intérieur, mais le gnome avait maintenant comprit qu’une potion ne devrait être utilisé qu’en dernier recours. Il partit donc de la caserne, deux miliciens le suivaient, l’escadron de 3 habituel. Le quartier Nord n’était pas loin, comme tout les autres quartiers d’ailleurs, la caserne se situé a égal distance des points cardinaux. La course fut brève et rapide, Kurbitas avait le souffle court et coupé. Ils entrèrent maintenant dans le dédale de ruelle et purent reprendre la marche, bien que rapide…Comment trouver un corps dans le quartier nord ? Un seul indice crédible, la foule ! Oui, la foule était partout, surtout la ou elle ne devrait pas y être…Kurbitas n’avait qu’a suivre le bruit des badauds pour arriver la ou se trouvait l’endroit chercher. Quelques minutes passèrent et enfin, enfin la foule. Les deux miliciens plus imposant que Kurbitas se chargèrent d’écarter la foule. Celle ci s’écarta bientôt, même si les fenêtres des tentes étaient ouvertes…Et la Kurbitas comprit…

« … »

Devant lui un cadavre de jeune femme, manger par les rats. Sa peau n’était plus celle d’une jeune pucelle, car elle n’avait plus de peau. Sa cage thoracique était ouverte, quelques reste d’organes pendaient le reste dévoré par les rats. Son visage était sans vie, mais il ne ressemblait plus a un visage humain, son nez, ses yeux, ses joues, tout avait était enfoncé ou cassé, un silence de mort s’étendit dans la ruelles. Le silence fut brisé par un rat qui sortit du corps de la jeune femme. Une bille aigre remonta dans la bouche de Kurbitas, il fut prit de nausée assez violente mais réussi a se contrôler avec difficulté. Il s’approcha alors du corps. La neige était maculé de sang, et dans celle ci trônait des nombreuses petites traces…Des rats, beaucoup de rat.
Seul le mal a l’état pure pouvait commettre une telle atrocité. Kurbitas se jura intérieurement de retrouver le tueur et de lui infliger les mêmes souffrances s’il le pouvait. Car a la vue des blessures, elle était morte lentement… Le gnome fit un signe a un des miliciens qui apporta une couverture et la passa sur le corps de la jeune femme. Le gnome s’essuya la bouche comme pour faire reculer la bile. Il annonça.

« Venez…Nous avons des recherches a faire…La ruelle doit être interdite… »

Et il se retourna sans rien dire, un flot de larme lui emplit les yeux, comment quelqu’un pouvait t’il être aussi cruelle pour faire cela, anéantir une vie était déjà un crime horrible, anéantir une vie en détruisant un corps était pire…Le gnome reprit le chemin de la caserne, il avait a faire ! La tache serait beaucoup plus compliqué…Il n’avait qu’un seul indice, une masse de rat !
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Nim
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MessageSujet: Re: Petite chasse   Petite chasse EmptyVen 3 Aoû 2007 - 13:35

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MessageSujet: Re: Petite chasse   Petite chasse Empty

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