Menu et BOISSONS!

Comme le vent sur la terre
Je suis invisible mais présent
Cette inertie de l’utopie claire
Rend l’infini dureté de mon chant
Je ne suis plus qu’une coquille vide
Mon vent brillant à finit par croupir
Chaque jour de ma vie a en pâtir
L’âme ronge le corps si perfide
Calme et serein dans mon cœur
Elle s’y évanouit comme il faut
Dur et dureté dans mon cerveau
La mort y trouve enfin son bonheur
Aujourd’hui dans le ciel je m’envolerai
Pour la beauté de ce silence embrassé
Aujourd’hui dans le ciel j’y goûterai
Car se sera la plainte d’un mourrant

Cet amour raciste
Certain en ont droit d'autre pas
Il tue comme un génocide
Et rend l’humanité fratricide

Frapper par ce monstre carnassier
Chaque jour cette vie liquider
Elle regarde sa maison morose
Une dernière fois pour oublier
Si macabre autour de ces roses
Elle va faire cesser sa vie passée
Aujourd’hui elle décide de partir
Cette nuit ne plus jamais revenir
Seul solution pour vivre en paix
Déduction terrible pour sa paix
Il n’y aura jamais de retour
Elle part pour le grand voyage
Elle garde son cœur chaque jour
Elle part sur un bon présage
Ecraser à chaque heure
Déformer par son cœur
Enoncer ce mal rattraper
Suicider est se délivré

Cet amour raciste
Certain en ont droit d'autre pas
Il tue comme un génocide
Et rend l’humanité fratricide

Caressant sa tête d’une chaleur douloureuse
Le soleil de ses ailes blanches lui rappelait
Le choix d’être à jamais pour une nuit, somptueux
D’un dénouement d’espoir aujourd’hui aboutirait
Dans la souffrance cette chute serait fugace
L’emportant au royaume dans la grâce
Sentant sa place dans la vie, s’achever
Sentant sa magnifique mort arriver
Il se rappela, des moments fictifs, qui
Aurai voulu passer dans sa courte vie
Ces courts moment avec des amis
Raisonnent dans sa douleur infinie
Et trop de souffrance l’avait amené
A définitivement ne plus y penser
La lumière de la vie ne lui vint plus
Il s'étonna à regarder ce qu'il fut
Il sentait l'espoir vivace autrefois
Aujourd'hui, dans l'ombre il se noie
Son esprit autrefois magnifique
C'est murer en penser utopique
De ses splendides ailes mutiler
il ne pourra plus jamais s'envoler
Il se regarda dans le miroir
Le résultat glacial de ce soir
Les nombreuses traces sur ses bras
Montrai la triste haine de soi
Tellement mortifier par les gens
Pour un physique déplaisant
Il avait prit cette dur rancœur
Aujourd’hui il en voit toute l'horreur
Dans sa douleur infinie
Du haut d’une tour délabré
Ses ailes vont se déployer
Et d’un saut de silence
Signe la fin des souffrances

Cet amour raciste
Certain en ont droit d'autre pas
Il tue comme un génocide
Et rend l’humanité fratricide
Aujourd'hui les cris de chagrin
Raisonnent au jour d'une fin
Sur la lame pleine de sang
Qui chaque jour va plus loin

(solo de violon)

Ces rires qui font souffrir
Ces rires qui font mourir
Ses pleurs qui sont un heurt
Ses pleurs qui tue la fleur
Elle a fané, la fleur