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 La fin de la ligue... adieu

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Abigaël
Chevalier Errant
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Abigaël


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MessageSujet: La fin de la ligue... adieu   La fin de la ligue... adieu EmptyDim 4 Juin 2006 - 22:36

La conversation à l’auberge n’ayant pas aboutit concrètement ; elle ne s’était pas attarder plus longtemps ne trouvant plus l’immense mansuétude qu’elle avait tant besoin pour converser avec des animaux. Le sang et la souffrance subsistaient en demeurant une priorité pour rééquilibrer la balance, notamment pour contrés ses anciens jugements erronés. Elle avait envoyé un message à cet homme qu’elle avait croisé l’heure dernière à l’auberge, et elle avait réussi avec succès à le retourner contre les Kaëlien. Elle ne doutait pas que cet elfe soit mort à l’heure actuelle, mais cela l’arrangeait plutôt que de l’attristé ; tant que la néo-ligue en sortait affaiblis.

Elle n’avait pas marché, très longtemps que la neige se mit à tomber en sanglots blanc et pur, il ne semblait pas vivre l’immensité de la terre, il se déposait avec douceur sur l’immaculé tapis. Elle glissait entre les arbres, tel une silhouette inconnu, marchant dans l’au-delà avec ténacité, il ne fallait pas être dévoré par mégarde. Malheureusement, elle trébucha en se prenant les pieds sur racine bien dissimulée, elle ria de sa maladresse et dans un semblant de grâce, elle se releva. Elle n’avait rien eut, mais son corps à moitié découvert s’en était retrouver refroidis.

Elle se retourna en un mouvement fluide de tête, elle n’était pas encore aussi loin du village qu’elle l’avait penser au départ, elle devait à tout prix accéléré la marche. Elle arriverait bientôt à l’endroit ou elle rencontrerait Erik, et elle n’hésiterait pas une seconde à l’abattre, sans aucun remord…si le plan ne marchait pas.

Elle n’avait jamais pensé quand elle s’était réveillé qu’elle pourrait tuer encore une fois mais elle avait comprit la triste vérité, elle le devrait indéfiniment, pour préserver l’équilibre bancal du monde et pour cela elle réparerait ses erreurs une par une. Elle n’en avait même plus peur, le monde est un chemin et le mort le bout. Le chemin était difficile à préserver ; chacun jetait ses propres ordures, ses excréments et toutes ses immondices en attendant la mort sans aucun regard pour ce que l’on a laissé sur le bord. Malheureusement, personne n’était la pour nettoyer.

Le ciel brumeux lançait des encouragements de beauté, d’un gris noir, il semblait dominé par sa prestance d’éclat blanc. Le soleil avait comme disparus, mais sa lumière perçait encore les épais nuages, par sa chaleur, dans une aisance subtile mais décadente. Un lever, un coucher, envie de vivre ou de mourir. Se couper la route, se mutiler l’esprit sans aucun moyen de retour en arrière dans une ère méprisante et instable était le meilleur moyen de trouver l’insondable. Que nous aidions nos prochains ou que nous les mettions à mort, le même effet dévastateur s’enclenche, l’harmonie s’en voit malmené.

Elle arriverait, et la, elle agirait. Elle savait, bien sur, qu’il ne serait pas seul, Erik n’était pas stupide, ni tête brûlée, il réfléchissait mûrement à ce qu’il faisait avant de l’accomplir. Il n’était pas excellent au corps à corps, et même s’il se défendait avec la hargne d’un attaquant, il ne risquait pas de se battre seul. Elle serait là pour contribuer au simulacre de cette rencontre hypocrite.

Au coucher du soleil avait t’elle dit, ce choix n’avait pas été sans sous-entendu, étant apparenté à la fin, cette fin de jour conduirait l’extermination des derniers membres de la néo-guilde de Kaël. Elle voulait que pour chaque mort qu’elle causerait ; une sorte de moment cérémonial soit prit en compte dans l’énoncé des jugements erronés avant qu’il soit révoquer…à jamais. Elle avait engendré ces anomalies mais comme elle ne pouvait pas se châtier, elle punissait les conséquences de ses actes, par la mort.

Elle en était tout près maintenant, le soleil serait bientôt sur la ligne d’horizon, la lumière pourpre et magenta se faufileraient par les nuages et illuminerait la lande ainsi que la forêt. Elle dégaina son épée, c’était à une centaine de mettre en contrebas que se déroulerais le massacre, elle appréhendait tout de même, peut être avaient t’ils engagé des mercenaires. Une boule se forma dans son bas ventre, il ne fallait pas qu’il faillît…à tout prix.

Les arbres façonnaient une clairière insoupçonnée, formant un ovale presque parfait à l’allure d’une ancienne arène, avant le cataclysme. Elle ne douta pas que ce tracé ne soit pas naturel, et qu’il était à l’origine un formidable édifice. Tout autour, des longues côtes qu’il fallait monter pour surplomber l’enclave se tenait fièrement de tel sorte à ce qu’en haut, près des arbres, on la voit comme un gigantesque cratère blanc. Elle attendrait cacher que les Kaëliens arrivent avant de descendre à son tour, l’endroit était propice aux embuscades, et ils n’étaient pas connus comme étant loyaux.

Elle s’assit et guetta l’arriver des autres, le soleil se coucherait dans les minutes à venir, nul doute qu’ils viendraient. Elle était adosser à un arbre, à découvert, elle aurait put être surprit par derrière si elle n’avait pas choisit une position défensive, on ne l’aurait pas aperçu si une quelqu’un était arriver par ce même chemin, étant dissimulé par le tronc ; de plus elle les aurait entendus arrivé.

Soudain un petit groupe descendit en contrebas, elle n’eut pas de mal à reconnaître Erik et le reste de l’ancienne ligue ; ils étaient six dont un qui paraissait en mauvaise état. L’elfe avait fait son boulot avant de mourir, elle sourit à cette idée. Elle se leva et rejoignit le plus rapidement possible, le groupe antagoniste. Elle s’exclama sur un ton solennel et théâtral comme si elle jouait.


Eh bien ! Je vous l’avais dit que nous nous retrouverions, mon ami. Dans des circonstances peu amicales, certes, mais nous y sommes.

Erik jouant de même au jeu d’Abigaël répondit dans un simulacre de cérémonie, accompagner d’un regard mutin et d’un sourire pervers. Les autres membres de la guilde ne se doutaient de rien ; et ils ne semblaient pas se rendre compte qu’ils allaient bientôt passer de vie à trépas.

Mademoiselle ; il s’inclina légèrement ; Ne nous attardons pas sur des futilités sans grandes importances, nous avons mieux à faire, comme, …mettre fin à votre vie.

A ces mots les hommes d’Erik se mirent à sourire, ils ne doutaient pas de leurs capacités à battre une femme, mais ils n’étaient pas au bout de leurs surprises. Abigaël n’avait pas bougé d’un centimètre et ne tremblait pas de peur ; cependant, dans ces moments là, tout être normalement constituer aurait eut l’engourdissement tremblant, détruisant tous espoirs. Le doute s’installa…

Qu’on me prend par mes pieds ! Qu’on me traîne et qu’on me vide de mes tripes ! Je crois que cette mort sera la plus plausible ! elle s’inclina et fit un clin d’œil à l’égard d’Erik

Abigaël espérait qu’on ne la trahit pas, elle avait tout prévu depuis le départ, les lettres et les solutions nécessaires à l’éradication de la vermine Kaëlienne. Il n’avait resté plus qu’un pas à franchir et elle l’avait fait, ne restait plus que sa vie, sur un fil qui aurait pus casser à tout moment, le fil de la confiance aveugle. Elle en avait été obligée pour mettre son plan à exécutions, elle le devait pour l’équilibre du monde, elle avait prit des risques non négligeables pour une cause qu’elle jugeait juste et aujourd’hui elle ne regretterait rien, quoi qu’il se passe.

La trahison était pouvoir, la confiance était fardeau, ce raisonnement n’était pas faux mais la conception primaire en étaient dépassé si l’on concevait que le point de vue dépendît entièrement de la personne concernée sous un plan purement intra dimensionnel. Elle le savait et attendait avec impatience l’action secondaire qui suit la réflexion quand les moments d’abjections immondes se mêlent à la cause et la conséquence. Elle avait été audacieuse ainsi que démente en choisissant la voie de l’illusion pour laquelle elle n’avait eut aucune armatures concrète, il suffisait d’un seul geste de la part de cet homme pour qu’elle s’éteigne dans une agonie poignante ; une seule pensée, et à la fin ne resterait plus que l’immensité rouge…sans aucun espoir de retour. Sans esprit un être vivant ne peut rentrer dans la divergence d’humanité dont la naissance est origine, le propre point vu est détruit au détriment d’un voile si sombre que même l’odeur de la mort ne vient pas lui caresser les narines ; reste une carcasse vide errant dans un univers mortuaire.

Erik en en coup de vent sortit son épée et dans un aller retour, il mit les tripes à l’air d’un de ses anciens coéquipiers, il avait été si facile pour Abigaël de joué sur les remords de cet homme. L’homme blessé, tomba à terre, déchirant l’air de ses cris de douleurs, la souffrance venait lui caresser le ventre en une ouverture béante sur l’intérieur de son corps. Il gesticulait comme un homme démembré, réveillant la forêt par ses hurlements, le sang se répandait peu à peu sur la blanche neige, il ne verrait plus sa mère.

Abigaël n’hésita pas à se lancer dans le combat acharner qui venait de commencer et avant que la supercherie soit découverte, elle attaquait un homme qu’elle avait convaincu, jadis, de faire partis de la ligue. Il aurait eut plus de volonté auparavant il ne serait pas mort aujourd’hui. Un coup bien placé sur le flanc de cet homme, lui fit comprendre avec une rapidité incroyable, qu’ils avaient été trahis par Erik. Il était étonnant de voir avec qu’elle célérité, les hommes, lorsqu’ils sont en présence de la mort, réagissent bien plus qu’il ne réfléchisse. Ils auraient pus s’enfuir s’ils n’avaient pas été accaparés à attaquer, malheureusement cette solution qui aurait pus les laisser en vie, ne passa pas dans leurs esprits. Sous un deuxième coup de surprise, l’homme s’effondra dans un sanglot, long et douloureux ; la lame était passer entre ses jambes. Abigaël l’observa quelques minutes avant que deux hommes ne viennent l’attaquer, elle devait faire preuve de combativité et de hargne, elle les abattrait et gagnerait sans difficulté…sans difficulté.

Les lames s’entrechoquèrent, elle était en prise avec deux ennemis, Erik quant à lui s’attaquait aux deux autres encore debout. Les deux derniers se roulaient de douleur dans la neige, l’un répandant le fruit rouge de ses entrailles sur la clairière encore gelée, l’autre vomissant du sang jusqu’à ce que les sucs gastriques aient finit de ronger son œsophage. Plus rien n’était gagner, la stupéfaction ayant fait place au summum de la haine, aucun regard de pitié pour l’agonie.

Les anciens de la ligue ne s’étaient pas préparé à une lutte acharnée, la fatigue vint vite les bercer, la concentration de moins en moins poussé, les coups de plus en plus grossier ; Ils n’avaient pas l’endurance nécessaire, la rupture se ferait bientôt, il suffisait d’être patiente. Abigaël s’épongea son front à l’aide de sa main avant de la remettre sur son pommeau, près de nouveau à parer ou à feinter une attaque ; elle transpirait à grosse goutte, l’énergie lui manquerait s’il elle ne tuait pas un des deux Kaëliens. Une erreur stupide de la part d’un des deux antagonistes lui permit de le toucher à la gorge ; le sang s’écoula par sa gorge en étranges gargouillis insupportables.
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Abigaël
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Abigaël


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MessageSujet: Re: La fin de la ligue... adieu   La fin de la ligue... adieu EmptyDim 4 Juin 2006 - 22:36

(dsl pour cette coupure mais jai eut le droit à ca "La longueur de votre message dépasse la limite autorisée")


Ne restait plus qu’elle et lui. Jetant un coup d’œil à Erik, elle parut rassuré ; elle reprit peu à peu son souffle, les attaques étant maintenant plus espacées. La nuit avait prit son droit et seule les faibles lumières de lune et des étoiles éclairaient le sang et les cadavres des hommes agonisant sur le parterre neigeux. Des soupirs, des râles soupirants, des pleurs agrémentaient cette affreuse soirée d’une goutte funeste inaltérable. Il fallait qu’elle garde des forces pour terminer son œuvre, elle avait demandé à Erik de ramener une pelle et il l’avait bien prise, elle en était heureuse, il ne fallait pas qu’il n’y ait aucune trace de leurs morts.

Elle frappa sur le flanc, malheureusement, celui ci avait anticipé et para avec facilité, son épée ; tout en contre attaquant. Elle fut touché à la jambe, le sang s’écoula. Pourquoi ? La douleur s’ambra de couleur chatoyante, l’accompagnant comme un ami dans cette lutte tragique. Elle avait rêvé de rencontrer son prince charmant, malheureusement cela n’avait été qu’un leurre, et il lui avait transpercé le corps…à jamais. Son cœur saignait depuis, depuis…jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de liquide ; il s’était simplement vider à jamais de passion, de joie. Ne restait qu’une vie fade et amère, la haine avait prit le dessus. Un coucher de soleil, seigneur de l’ombre, seigneur du sang de la mort et de la haine ! Ne restait qu’une amertume ivre, abattre un animal. Situation désespérée. Aucune crainte du retour.
Sa jambe, saignait…comme son cœur…à jamais.

Elle poussa un cri inhumain et retranchant sa volonté dans une ombre presque peureuse, elle transperça le corps du pauvre homme d’un coup d’épée, bien placé ; elle s’effondra à genoux. Elle tourna la tête, Erik était agonisant…

Il avait été touché alors qu’il achevait son ennemi. Elle s’approcha de lui, plus rien n’était pareil autour, elle ne douta pas qu’à la lumière du jour, le massacre soit visible. Il n’aurait pas dut prendre tant de risque. Il allait mourir, elle s’exclama tristement.


Lune concupiscente.

Les larmes vinrent aux yeux, d’Erik, il fermerait bientôt les yeux alors qu’Abigaël le tenait dans ses bras, il reprit le poème d’une voix érailler

Au…aurore mélancolique
Fragment d’amitié


Son regard se voila peu à peu, il s’était battus jusqu’à la mort, il avait combattu au coté d’Abigaël, pour sa cause et espérait qu’il avait réussi à faire changer les choses. Dans un sanglot sincère, Abi termina la poésie.

Envole-toi.
Templier de Mélindaë


Ses paupières se refermèrent et dans un dernier souffle, la mort s’engouffra, une ombre laissé sur terre, âcreté. Calme et sereine elle se leva, regarda une dernière fois Erik, une larme coula le long de sa joue ; elle ne le reverrait plus dans sa fougue, elle regrettait pourtant de ne l’avoir vraiment connu que dans une comédie solennelle. Elle se rappela lorsqu’elle l’avait connu quand il était jeune templier, et qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’il était entrer dans la ligue de Kaël, il jouait, un espion, infiltrer par le temple.

Elle prit son courage à deux mains voyant qu’une nostalgie suicidaire lui tenaillait le cœur, elle devait creuser. Elle ramassa la pelle à quelques pas, et la ou le sang avait le plus coulé, elle commença son ouvrage, un trou ou elle pourrait déposer tout les corps, elle y passerait toute la nuit, s’il le fallait.

Après plusieurs heures de travail acharné, elle avait finit cette fosse commune ; elle traîna les cadavres en pleurant de tristesse ainsi que de douleur, sa jambe lui faisait toujours autant souffrir. Ereinté, fatigué, elle le faisait tout de même car elle en était obliger pour préserver sa propre sécurité, Ziramel était un barbare et elle était déjà sur sa liste marquer d’une croix d’un rouge vif ; la néo-ligue Kaël devrait disparaître sans laisser aucune trace ; elle serait certainement soupçonner mais plus rien ne l’accuserait. Quand vint le tour du corps d’Erik elle ne put s’empêcher de s’effondrer à genoux, de regarder une dernière fois ses yeux bleus-pâles. Ils resteraient à jamais, gravés dans son cœur, dans son esprit…

Aujourd’hui elle avait tué un mal dont elle était la cause, mais qu’arrivera t’il quand elle détruira le bien qu’elle ait commis. Elle ne put s’empêcher de soupirer, sa tache était ardue et elle ne savait pas si elle arriverait jusqu’au bout…

Le plus dur fut sans doute de reboucher la fosse, elle était à bout de force et quand ce fut finit, elle tomba à terre essoufflée, transpirante, elle ne serait plus jamais la même, plus jamais… Trop de chose était arriver depuis qu’elle s’était réveillé dans ce cercueil de glace, trop d’émotion de peine et de mort.

Elle s’en retourna comme elle était venue, seule…arriver à l’orée du campement elle se déposa près d’un arbre et couverte de sang, elle s’endormie, bercés par une bise froide et sans vie.


Dernière édition par le Dim 4 Juin 2006 - 23:19, édité 2 fois
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Urzak
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MessageSujet: Re: La fin de la ligue... adieu   La fin de la ligue... adieu EmptyDim 4 Juin 2006 - 22:57

140 Xp pour toi ^^ treeees beau travail
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MessageSujet: Re: La fin de la ligue... adieu   La fin de la ligue... adieu Empty

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